L'ermite

Ce récit est basé sur une histoire vraie.

Je suis un ermite retiré sur les pentes d’un causse. Ma vie est simple, je me contente de peu. Je suis ravitaillé par une jeune femme de la vallée. Une fois par semaine, elle porte mes provisions : un peu de viande que je cuits ensuite sur un feu de bois, des laitages, et bien sûr de l’épicerie et des légumes. Ma vie sexuelle, parlons-en. Je vis toujours nu, des fois j’ai ma bite qui se relève un peu trop. Je la dompte rarement. Je reste à l’entrée de ma caverne, ma queue raide, en regardant la vallée. De loin je vois des femelles.

Je suis bien tranquille pour me masturber, en regardant l’humanité vivre dans sa médiocrité. Je m’installe assis sur la marche à l’entrée, le bien être que je ressens à chaque masturbation est immense. En plus j’aime me branler. Je commence par me caresser les bourses, toujours superficiellement. Je passe un doigt en direction de mon cul : j’y entre souvent. Il me semble avoir une queue dans le cul : un souvenir de ma jeunesse quand des fois j’acceptais la pine d’un copain dans mes fesses, avant de lui rendre la chose.

Ma main serrée autour du mandrin me fait souvenir que je mettais ma queue dans les cons des filles. Ah, les filles, créatures futiles du diable qui me tentent toujours. Heureusement que la file de la vallée vient me voir. Elle inspecte ma bite comme un bijou. Je pourrais me couvrir avant son arrivée, mais mettre quoi sur moi ? La vielle cape que je réserve pour les jours froids ?

Si je bande à son arrivée, elle est satisfaite. Voir ma queue en extension lui donne des idées. Elle me voit de loin, elle enlève ses sous-vêtements. Elle montre ses magnifiques fesses. Je sais d’avance ce qu’elle désire. Elle se frotte à moi, son ventre caresse ma bite bandée. Je la laisse faire : elle se tourne toujours. Je loge ma queue entre ses fesses : elle se penche en avant. Je ne fais pas beaucoup d’effort pour arriver à son anus. C’est bien ce qu’elle cherche. Je tiens ses hanches, ma pine est sur son cul. Elle se donne ainsi. J’entre en elle. C’est agréable de l’enculer : elle est assez étroite. Pour améliorer son plaisir elle se masturbe toujours. Je sens les mouvements de sa main sur sa chatte : si elle a d’avantage de plaisir, elle m’en donne ainsi beaucoup. Des fois elle me laisse après son orgasme sans que je jouisse. Tant pis, je me finit seul après.

Mais j’ai une voisine, une gardienne de chèvres. Elle n’est pas là tous les jours. Je sais qu’elle est pas loin en entendant les clochettes de ses bêtes. Elle déboule vers moi, vive, pleine de vie. Elle est belle, mignonne, avec des cheveux très long qui arrivent sur ses fesses. Elle sait que je suis ermite, elle sait que je branle souvent : elle me regarde faire. Je l’ai entraperçu un après-midi quand elle surveillait ses bestioles. Elle était assise, les jambes bien ouvertes, sa main sur sa chatte. Elle ne faisait pas du tricot. Son soupir final n’était pas feint. Je voyais bien sa main monter vers sa bouche : elle se goutait.

Je profitais de son exhibition pour bien sur me faire plaisir.

Notre première fois était sa première fois. Elle venait jusque dans mon trou pour me voir. J’avais ma queue dans la main. Elle m’interrompait pour une sottise. Je devais avoir l’air particulièrement imbécile avec la queue droite, mes mains immobiles. Elle souriait moqueuse. Je ne pouvais me laisser faire : je me suis levé, j’allais lui mettre une bonne fessée. C’est sans doute ce qu’elle attendait. Elle avait les fesses bien rouges sous sa jupe en toile trop courte.

Elle criait son indignation, ne faisait rien pour s’en sortir. Elle arrivait à me faire bander plus fort. J’étais un peu surpris, agréablement quand elle m’a bouffé la queue. Littéralement bouffé. Je sentais ses lèvres m’aspirer dans sa bouche, sa langue prendre le relais. Ses mains prenaient mes fesses, comme pour éviter que je lui échappe. Elles écartaient les fesses, cherchait un quelque chose dans la raie. Son doigt était le bienvenu dans mon anus. Elle entrait un doigt de chaque main, écartait mon cul pour y mettre trois doigts certainement. J’avais affaire à une fille qui enculait ses partenaires. Vivant isolé je pensais que c’était la nouvelle mode. Je me laissais faire.

Je la voulais elle, je voulais baiser son jeune cul. Quand elle m’a laissé, je devais être à deux doigts de jouir. Elle m’a demandé de m’assoir sur mon « siège ». Elle venait sur mes genoux, tournée vers moi, sa bouche sur la mienne. Elle approchait son ventre du mien. Quand elle a pris ma bite j’ai pensé qu’elle voulait me branler. La direction de ma bite était son con. Elle s’est faire dépuceler sur moi. Je la voyais faire une petite grimace qu’en elle me faisait entrer. D’un seul coup j’étais au fond d’elle. C’était doux, humide, profond. Ma bitte était à l’aise en elle, mieux quand dans le cul de celle qui me ravitaille. Elle faisait tous les mouvements de va-et-vient avec une certaine science. J’allais jouir quand je sentais ses spasmes : elle jouissait avant moi. Deux mouvements de plus, je jouissais moi aussi.

Je ne pensais plus la revoir : dès le lendemain elle était là, sur moi, son sexe ouvert à ma pénétration. Ses chèvres se gardaient toutes seules.

Elle voulait que je quitte mon isolement. Je suis trop bien ermite : je peux me branler quand je veux.