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L'essence de Vanessa : Le départ

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Lue : 19752 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 20/05/2010

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Vanessa retira la clé de la serrure et poussa un léger soupir de soulagement.
Elle allait enfin quitter sa Province natale pour rejoindre la capitale. Paris… Dans tout son être ce nom raisonnait comme une multitude de belles promesses : Les opportunités et la réussite bien sur mais aussi les folles nuits parisiennes, le charme des terrasses de café, les boutiques de luxe qui affichent sans pudeur des prix à donner le tournis. Paris et l’Amour évidement. L’amour qui peut surgir à chaque coin de ruelle, sous n’importe quelle porte cochère. Oui, elle n’en doutait pas un instant, Paris était un véritable appel à l’amour et à l’éveil des sens.

Vanessa se retourna et se retrouva nez à nez avec André, le propriétaire du petit deux pièces qu’elle louait depuis deux ans. Elle lui tendit la petite clé dorée.
-Et voilà Mr André ! Je crois que tout est en ordre !
-En effet…, répondit André qui affichait ostensiblement une moue pleine de mélancolie.
-Tu vas me manquer Vanessa… Tu étais la locataire rêvée.
-Je suis certaine que sitôt le prochain locataire arrivé, vous m’aurez oubliée !, répondit-elle en n’en pensant pas un mot.
-Un informaticien… Le genre lunettes triples foyers et stylos dans la poche de la chemise. Un vrai régal ! Mais bon, je me console en disant qu’il doit être un bon payeur.
-Vous voyez Mr André, vous y gagnez au change !
-Ho, tu n’as eu que quelques légers retards de paiement sans aucune gravité. On s’arrangeait toujours…
Vanessa adressa à André un petit sourire plein de chaleur, elle se mit sur la pointe des pieds pour faire une bise sur la joue du propriétaire. Elle en profita pour lui murmurer dans le creux de l’oreille :
-Profitez-en pour changer le film occultant sur la fenêtre de la salle de bain Mr André.
André devint rouge comme une tomate et bredouilla une bouillie incompréhensible.

Vanessa, en s’installant à l’étage de cette grande ferme complètement refaite avait très rapidement compris que le voile occultant de la fenêtre, qui offrait une vue imprenable sur la cour de la ferme ne serait pas changé de sitôt. En lambeaux, passablement usé et à l’efficacité plus que douteuse, Vanessa l’avait quasiment immédiatement retiré après avoir posé ses valises. La salle de bain s’en retrouvait baignée de lumière pour son plus grand plaisir. Du coup, elle ne poussait pas André au remplacement du film occultant.
Un soir, tandis qu’elle sortait de la douche, Vanessa jeta un regard par la grande lucarne. La nuit tombait, tranquillement sur la campagne. Tout en se séchant les cheveux, elle contemplait avec admiration la cour refaite en magnifique jardin par André et son épouse. C’est alors qu’elle aperçu, grossièrement cachée derrière un abricotier, une silhouette immobile. La jeune femme plissa les yeux comme pour mieux affûter sa vue, pour être bien certaine qu’il s’agissait bien d’une silhouette et pas d’un jeu d’ombres tandis que la nuit se faisait plus présente à chaque minute.
-Un voyeur, murmura-t-elle.

Instinctivement, elle se regarda dans le grand miroir qu’elle avait installé juste à coté du lavabo.
Elle fût surprise de découvrir que son visage arborait un léger sourire, mélange d’une étrange satisfaction, de fierté et d’un brin de provocation. Elle contempla avec satisfaction son corps de jeune femme de 22 ans. Son épaisse chevelure brune tombait comme une cascade de dentelle noire sur ses épaules blanches et délicates. Ses seins étaient fermes. Ils se dressaient avec une certaine arrogance. Deux grains de beauté maculaient gracieusement son sein droit : un au niveau du décolleté qui ne manquait pas d’attirer le regard et l’autre, plus discret comme un secret que l’on ne partage pas avec tout le monde, caché à coté du téton. Son nombril arborait un joli piercing. Elle en avait toute une collection et elle en changeait au gré de ses envies ou en fonction de ses tenues sexy. Celui-ci était comme un petit pendentif avec un cœur qui brillait de mille feux. Ses hanches étaient un véritable hymne à la féminité : Douces comme la soie et parfaitement dessinées, elles donnaient à la moindre caresse, une sensation de vertige. Très satisfaite de l’image que le miroir lui renvoyait, Vanessa arrêta là l’inspection. Elle jeta discrètement un regard vers la cour : la silhouette était toujours là, immobile. Elle prit une serviette et se sécha le corps non sans sur jouer un peu le moment où elle passa la serviette sur ses seins. Le lendemain, lorsqu’elle vit André celui-ci devint instantanément rouge pivoine et bafouilla le « bonjour » le plus maladroit et hésitant qu’elle avait entendu.

Depuis ce jour là, un petit jeu aux règles tacites s’était établit entre le propriétaire et sa jeune locataire. Personne n’était dupe : Le voyeur se savait repéré et il savait qu’il ne volait pas un moment de vie privée mais, au contraire, qu’il recevait avec plaisir ce que Vanessa acceptait de lui donner.

En deux ans, Vanessa était passée experte dans l’art de l’exhibition faussement innocente et bien que n’ayant qu’une modeste lucarne comme scène, elle avait eu suffisamment de fantaisie et d’audace pour faire de sa sortie de douche de véritables moments plein de sensualité. Plusieurs fois et chacun de leur coté André et Vanessa s’étaient demandé le quel des deux prenait le plus de plaisir à ce petit rendez-vous coquin.
-Je vais t’aider à descendre ton sac.
-Vous êtes un amour André, minauda Vanessa.

Puis ils descendirent les escaliers en silence. Arrivés dans la cour, le visage de Vanessa fut inondé par la lumière du soleil estival. La jeune femme s’étira comme une chatte au coin du feu en poussant un miaulement félin qui chauffa les sens d’André qui avait les yeux rivés sur le mini short en jeans que portait Vanessa.
-Tu sais, si ça se passe mal pour toi à la capitale, tu sais que tu seras toujours la bienvenue ici.
-Oui, je le sais Mr André. Et ne faites pas votre tête des mauvais jours, vous devriez vous réjouir pour moi. Vous savez il n’y a pas d’avenir ici pour une jeune femme.
-T’es une tête de mule, j’abandonne ! File donc à Paris avec sa pollution et ses embouteillages ! Si tu savais le nombre de parisiens qui rêvent de venir s’installer dans la région de Montpelliers, tu y réfléchirais à deux fois !

Vanessa ne répondit rien. Assise sur l’énorme sac qui lui servait de valise, elle alluma une cigarette en fixant cette magnifique campagne qu’elle adorait à travers ses lunettes de soleil Dolce & Gabbana.
C’est vrai qu’elle adorait sa campagne, ses odeurs, les couleurs du sud, cette chaleur… mais Paris c’était la perspective de vivre une vie plus excitante et tant pis pour le bruit et la pollution.

La Fiat 500cc de Katie déboula dans la cour dans un petit nuage de poussière. Katie sortie précipitamment de la voiture en s’excusant de son retard. André pesta vertement sur Katie :
-Bon sang ! Je venais de passer le râteau dans l’allée !
-T’en fait pas Katie, il est de mauvais poil aujourd’hui, répondit Vanessa en se relevant pour prendre Katie dans ses bras.

Les deux femmes se serrèrent affectueusement de longues secondes.
-André, depuis le temps que je vous dis nous faire une petite allée goudronnée !, dit Katia avec un large sourire.

André retourna dans sa maison en levant les bras au ciel.
Katie et Vanessa traînèrent le sac de Vanessa pour le faire rentrer tant bien que mal dans la petite voiture.
-Tu sais que tu vas lui manquer, grimaça Katie en pleine lutte avec la valise.
-Je sais oui, répondit Vanessa songeuse.
-le pire c’est que lui aussi va me manquer. Je me sens bien ici.
-Oui surtout dans ta salle de bain avec vue sur un pervers.

Katia et Vanessa poussèrent de toutes leurs forces pour faire entrer l’énorme sac dans le coffre étroit de la petite voiture italienne.
Au prix d’un gros effort, le sac finit par rentrer totalement ; les deux jeunes femmes étaient en sueur. La petite robe légère de Katia lui collait à la peau et dévoilait un corps jeune aux proportions pleines de tentations. Vanessa adressa ses adieux une dernière fois à André qui pesta de ne pas se faire appeler juste « André » par la jeune femme tandis que son épouse observait la scène de loin, sur le pas de la porte, les poings posés sur les hanches.

Katia qui était déjà au volant klaxonna pour presser son amie. Quelques instants plus tard, la voiture démarra dans un petit nuage de poussière et, comme à son habitude, le vieil André grogna quelques phrases bien senties à l’attention de Katia.

Il y avait environ 45 minutes de route pour se rendre à Montpellier où Vanessa prendrait le TGV en direction de la capitale. Vanessa était largement en avance puisque le train ne partait que dans 2 heures et demie mais les deux amies voulaient prendre le temps de se dire « au revoir » sans être bousculées.
La petite voiture filait sur les routes de campagnes, les deux femmes fixaient la route en silence, chacune plongées dans ses propres pensées. Les joues de Vanessa s’empourprèrent légèrement et elle sortie de ses songes brutalement. Elle regarda son amie qui semblait complètement absorbée par la conduite de la Fiat. Vanessa alluma la radio et monta le son. Le tube latino de l’été se jouait et mettait un peu de légèreté et de bonne humeur.
Finalement, Vanessa brisa le silence :
-Je vais te manquer tant que ça ?
Katia ne répondit rien et continua à foncer sur la route.
-Tu sais Katia, je reviendrai régulièrement et puis j’espère bien aussi que tu viendras enflammer Paris de temps en temps.

Toujours aucune réponse.
Vanessa, agacée par le mutisme de son amie s’emporta :
-Et puis merde à la fin, si tu veux qu’on se quitte en me faisant la gueule c’est ton problème. T’as vraiment un caractère de merde !

Katia pila ; la voiture s’arrêta net sur le bord de la petite route de campagne. Elle tourna la tête pour regarder Vanessa bien en face, baissa ses lunettes de soleil pour les placer juste sur le bout de son nez parfaitement ciselé. Elle plongea alors son regard le plus noir dans celui de son amie.
-OUI, ça me fait chier que tu partes et OUI tu vas me manquer… Et je t’interdis de t’emporter comme ça contre moi !
-Ha oui, et pourquoi donc ?, fulmina Vanessa.
-Par ce que… par ce que quand tu t’énerves, tu me fais trop craquer ! Katia avait prononcé ces derniers mots avec plein de douceur, comme un murmure, presque comme une caresse.
Vanessa resta comme figée visiblement troublée par les propos de son amie.
-Katia, tu es ma meilleure amie, on a tout fait ensemble et je…

Katia lui coupa la parole pour ajouter :
-Oui, je sais Vanessa… Et en ce qui me concerne, j’ai très envie de tout faire encore une fois avec toi avant que ce maudit train ne m’arrache ma meilleure copine de jeu !

Elles se regardèrent un instant qui sembla durer une éternité puis Katia posa ses lèvres avec passion sur celles de Vanessa. D’abord hésitantes, leurs langues se mêlèrent avec fougue dans un long baiser qui embrasa instantanément le désir des deux jeunes femmes.
Vanessa, la respiration lourde repoussa gentiment Katia.
-Katia… Pas ici, on pourrait se faire surprendre !
- Tu quittes la région donc tu t’en moques.
- Et toi ?
- Et moi, ça m’émoustille, répondit Katia avant d’embrasser Vanessa à nouveau.

Vanessa enlaça son amie et lui passa une main dans son épaisse chevelure tandis que les baisers de Katia partaient déjà à la conquête de son cou. Enhardie, Vanessa posa une main sur le genou droit de Katia qu’elle fit remonter en une chaude caresse le long de sa cuisse. La robe de Katia dévoilait désormais complètement ses cuisses douces, fermes et chaudes ; son intimité n’était cachée que par sa culotte qui déjà trahissait d’une légère trace d’humidité, l’excitation de la belle italienne.

D’un geste sur et ferme, Katia tira sur le haut du débardeur blanc que portait son amie. Deux seins gonflés de désir jaillirent, défiants avec l’arrogance de leur jeunesse la bouche et les caresses de Katia.
Très vite, la petite Fiat 500 fut bien trop petite pour contenir la fougue de leur ébat. Une voiture qui les dépassa à vive allure tout en klaxonnant fini de les décider : Vanessa ouvrit la portière et sortit, les joues rouges, le regard perdu quelque part comme si elle contemplait un océan de volupté. Dans un état second, elle ne prêta pas la moindre attention à sa tenue complètement débraillée : ses cheveux noir comme le jet ressemblaient plus à une épaisse crinière, son débardeur offrait sa poitrine nue et encore frémissante des baisers brûlants de son amie, son mini short en jeans était déboutonné. Katia sorti à son tour, tentant de reprendre le contrôle de ses sens et allant jusqu’à réajuster ses lunettes de soleil sur son nez. Katia adorait se prendre pour une actrice de cinéma italien des années 50. Elle en avait le physique et travaillait l’attitude. Fièrement, elle se dirigea vers Vanessa toujours debout et immobile, les yeux fermés. Elle goûtait avec plaisir les caresses d’un vent très léger sur ses seins. Elle partait pour Paris heureuse et enthousiaste mais avec un léger arrière goût de trahison pour une région qui lui avait donnée une merveilleuse jeunesse.

En cet instant, elle eu l’impression d’être en totale communion avec la nature et que sa province adorée l’honorait à sa manière. Katia posa une main sur son épaule et toute la nuque de Vanessa fut parcourue d’un léger frisson. Sans rien dire Vanessa se retourna et sa bouche rencontra immédiatement celle de Katia. La jeune italienne avait prit une serviette de plage sur la banquette arrière de la voiture. Vanessa la prit et la posa négligemment à quelques mètres de la route, au milieu de hautes herbes. Puis elle s’allongea sur le dos, se redressa en posant les coudes à terre puis adressa un « vient » d’un ton parfaitement ambigu. Etait-ce un ordre, une sommation ou une supplique ? Katia ne chercha nullement la réponse à cette question. Débout, elle plaça une jambe de chaque coté de la taille de Vanessa.

Dans cette posture de totale victoire elle contempla son amie au travers de ses lunettes qui donnait une teinte irréelle à tout ce qu’elle regardait comme si le monde entier et le corps de son amie était enveloppé dans un léger voile de soie noire. Puis elle retira en un geste lent et fluide sa robe qu’elle passa par-dessus sa tête sans que sa chevelure ne semble bouger d’un seul cheveu. Elle fit ensuite glisser sa culotte le long de ses cuisses sans cesser de regarder un instant son amie qui se languissait à ses pieds. Lorsque se culotte fut arrivée à ses genoux, Katia se redressa lentement en se caressant l’intérieur des cuisses. Une de ses mains s’arrêta sur son intimité tandis que l’autre remontait lentement vers ses seins en une douce caresse. Le visage de Katia restait figer, impassible ; elle se plaisait dans sa posture faussement dominante car bien que surplombant son amie, elle s’avait que bientôt, elle succomberait à la délicieuse invitation de Vanessa. Rapidement, tout son corps s’embrasa. S’il y avait encore eu de la place pour un peu de raison dans ses pensées, elle aurait certainement regrettée un peu d’avoir laissée sa main la plus experte entre ses jambes. Le plaisir montait bien trop vite, Elle avait du mal à maintenir son attitude droite et fière, ses jambes commençais déjà à fléchir, ses genoux à plier. Serrant les dents, elle retint comme elle put un gémissement tandis que sa main s’affolait sur son sexe brûlant et humide, se rendant à peine compte que son autre main pétrissait violement son sein gauche.

Vanessa ne perdait pas une miette de ce spectacle aussi excitant que frustrant. Elle voulait embrasser Katia, sentir sa peau, se perdre dans ses cheveux, dans son parfum, la mordre quand viendrait le moment de jouir. Vanessa plongea une main dans sa culotte et se masturba avec délice. Elle continuait d’observer Katia qui s’effondrait peu à peu sous l’assaut de ses propres caresses. Vanessa se mordait la lèvre inférieur, c’était comme une sorte de tic chez elle à chaque fois que le plaisir envahissait tout son corps. Puis brutalement Vanessa mis fin à la position de plus en plus difficilement tenable de Katia. Elle saisit brutalement la culotte de Katia, restée au niveau de ses genoux et tira violemment, sèchement. Immédiatement, Katia perdit l’équilibre et tomba en avant. L’instant d’après, le visage de Vanessa se retrouva sous les seins de Katia qu’elle se mit à embrasser et à lécher avec gourmandise. Katia, la culotte coincée aux genoux était complètement pâmée par les baisers de son amie.

Tant bien que mal, elle tenta de retirer sa culotte tout en continuant d’offrir ses seins à la bouche insatiable de Vanessa. En vain et dans une malheureuse tentative, elle perdit l’équilibre et bascula sur le coté. Vanessa, sembla presque furieuse qu’on lui retire aussi brutalement l’objet de toutes ses convoitises et bondit sur Katia, lui couvrant le coup, le visage et la bouche de baisers tandis que sa main gauche plongea entre les cuisses de son amie qui n’opposa qu’une résistance de principe. Elle écarta légèrement les jambes et offrit son intimité aux caresses de son amie. Vanessa découvrit un sexe doux et chaud au toucher ; elle afficha un léger sourire de satisfaction lorsqu’elle découvrit à quel point Katia était excitée.
-Arrête de me faire languir, lança Katia tout en écartant les jambes.

Vanessa ne se fit pas prier et plongea ses doigts dans l’intimité de Katia qui poussa un léger râle de plaisir. Les deux femmes s’embrassèrent. La respiration de Katia devenait haletante ; s’abandonnant complètement, elle donnait de légers coups de bassin parfaitement en phase avec les caresses brûlantes que lui faisaient Vanessa.
-Enlève-moi cette foutue culotte !, implora Katia entre deux gémissements.

Vanessa se mis à califourchon sur Katia lui présentant son dos. Puis elle plongea en avant à la rencontre du petit morceau de tissu. Elle faisait courir ses mains le long des cuisses de son amie tandis que sa bouche couvrait de baisers son nombril puis son ventre, puis son bas ventre. Lorsque sa bouche arriva au niveau du sexe de Katia, Vanessa fit une pause, se retourna pour lancer un regard inquisiteur à la jeune italienne qui respirait lourdement. Katia ne dit rien mais regarda Vanessa d’une façon si explicite que Vanessa comprit parfaitement ce que désirait son amie ; L’instant d’après Vanessa embrassait le sexe de son amie. La réaction de Katia ne se fit pas attendre. Elle eu l’impression que son corps fut parcouru d’une décharge électrique et poussa un long râle de plaisir. Encouragée et joueuse, Vanessa se mis à caresser l’intimité de son amie avec sa langue. Katia s’agrippa au short de Vanessa et se mis à gémir au rythme des coups de langue de Vanessa.

Au prix d’un effort qui lui sembla surhumain elle baissa le short ultra serré de Vanessa. Maladroitement baissé sur les cuisses, le short délivra enfin les fesses de Vanessa, les proposant comme une délicieuse offrande aux caresses de la jeune italienne plongée un peu plus à chaque instant dans l’extase. Vanessa avait eu l’excellente idée de mettre un string minuscule qui avait l’avantage, en plus de mettre parfaitement en valeur ses formes, de faciliter l’accès vers son intimité. Katia ne perdit pas une seconde et écarta légèrement le petit bout de tissu puis plongea immédiatement un doigt. C’était chaud et humide, totalement accueillant. Vanessa se tortilla de plaisir tout en continuant de lécher son amie avec plus d’ardeur que jamais.
Les deux femmes furent alors prisent dans une véritable spirale de plaisir, chacune s’attachant au plaisir qu’elle donnait à l’autre. Le calme de la campagne n’était perturbé que par le bruit d’une voiture qui passait ou par leurs respirations qui devenaient à chaque instant plus lourdes, plus fortes et mêlés de gémissements tout droit sortis de leurs entrailles. Les joues rouges, le souffle court, le corps de Katia était envahit par des vagues chaudes, régulières et de plus en plus puissantes.

Désormais elle désirait avec la force d’un ordre souverain, goûter son amie. Aussitôt elle agrippa les fesses de Vanessa qu’elle tira vivement vers sa bouche déjà entrouverte. Elle écarta presque violemment le string qui cachait grossièrement le sexe de son amie, elle aurait voulu l’arracher mais la force lui manquait. Dès qu’elle aperçut la fente luisante et rouge vif, elle plongea son visage entre les cuisses de Vanessa et fît glisser sa langue à l’intérieur. Le goût de son sexe était un appel à l’amour le plus torride, un parfum enivrant qu’elle goutait comme une récompense. Vanessa avait beau faire de vigoureux mouvements de bassin, Katia, littéralement enlacée autour des fesses de son amie, continuait son adorable besogne. Les vagues dans le corps de Katia se transformèrent en une sorte de houle sauvage et son corps éclata alors dans un orgasme puissant, presque douloureux. Katia projeta sa tête en arrière, et poussa de longs cris puissants. Elle ne réalisait même pas qu’elle avait plongé deux doigts dans la fente trempée de Vanessa qui se sentait partir à son tour.

Quelques instants après, Vanessa fît un petit bond en arrière et colla se sexe sur la bouche de Katia qui reprenait à peine ses esprits. Katia se mit à lécher son amie sans retenue. Vanessa explosa à son tour oubliant qu’elle écrasait un peu le visage de Katia. L’italienne ne lui en tint pas rigueur et l’accompagna de sa langue au bout de son orgasme…
Le dernier certainement qu’elles partageraient ensemble…
En se rhabillant Vanessa garda la culotte de Katia et la mis dans la poche de son petit short.
-Je garde ça en souvenir… Et si tu veux la revoir, faudra venir à Paris.
Katia ne protesta pas et enfila sa roche.
-Si tu savais comme tu vas ma manquer Vanessa…
-Je le sais… Mais je pars pour Paris et il est hors de question que ce qui vient de se passer soit un adieu.

Les deux femmes remontèrent dans la voiture et partirent vers la gare en parlant des futures aventures qu’allait vivre Vanessa à Paris.

Fin du chapitre 1....... à suivre.........
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Histoire de Vanessa

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Commentaires du récit : L'essence de Vanessa : Le départ

Le 08/06/2015 - 14:25 par douce3302
bravo c'est vrai de vrai super l histoire bien ecrite l image qu on s 'en fait donne eau a la bouche et on a hate d 'avoir la suite
Le 29/05/2010 - 01:10 par Vanessa
Merci beaucoup pour ce commentaire et pour les quelques mails d'encouragements, ca fait très plaisir (promis, je tente de vous répondre...) J'espère que la suite vous plaira... N'hésitez pas à me faire vos remarques et vos commentaires... Bises -V-
Le 28/05/2010 - 13:55 par Decibel
Excellente narration ... bravo !!!

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