ACCUEIL > Triolisme > Récit : L'été de Cassandra - 2ème partie

L'été de Cassandra - 2ème partie

+69

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 13/09/2022

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Le lendemain, comme nous en avions assez de la piscine du camping, Déborah s’était mise en tête de m’emmener sur une plage naturiste. Elle en avait repéré une à une quinzaine de kilomètre de là. Déborah était habituée à faire du naturisme dès son plus jeune âge. Ses parents en étaient adeptes et le pratiquaient tous les étés. Pour ma part, je n’étais pas très rassurée à l’idée de me promener nue devant le regard de tous les passants, mais Déborah m’avait convaincue : « Tu verras, ce n’est pas si terrible que ça. En fait comme tout le monde est à poil, personne ne te regarde. Les gens sont beaucoup plus tolérants. Là-bas on sera beaucoup plus libre. Personne ne nous regardera de travers si on s’embrasse, et il est courant que des couples fassent l’amour sur la plage, et cela ne choque personne. Et puis le bronzage sans la trace du maillot c’est tellement mieux ! »
Elle avait négocié deux vélos auprès des deux garçons qui nous avaient dragués à la piscine, leur promettant une danse, et peut être plus, à la prochaine soirée du camping. C’était de vieux vélos d’occasion, usés jusqu’à la corde. Nous partîmes donc en début d’après-midi. Après quelques kilomètres, la roue de mon vélo commença à frotter. Je pensais au début que c’était à cause de la chaleur, que quelque chose s’était dilaté, mais au bout d’un moment, c’était devenu insoutenable. Je ne pouvais plus avancer. Nous étions sur un petit chemin bordé de buissons, en plein soleil. Je m’aperçus que la roue arrière frottait car elle s’était dévissée. Mais je n’avais pas la force pour la remettre à sa place, et je ne savais pas comment m’y prendre. Déborah m’attendait, agacée, car elle était pressée d’aller se dévêtir sur sa plage lorsqu’un homme déboula d’un virage en VTT. Il ralentit, semblant hésiter, puis il s’arrêta à ma hauteur : « Vous avez un problème ? Vous voulez un coup de main ? » « Oh oui répondis-je avec enthousiasme. » Il était grand, fin, musclé, habillé en cycliste avec un maillot et une cuissarde moulante. Il devait avoir dans la cinquantaine, et on devinait son crâne chauve sous son casque. Il dégageait quelque chose de viril et de rassurant. Il s’approcha de moi. Déborah nous regardait d’un peu plus loin. Elle ne dit rien, mais observait le cycliste attentivement, le jaugeant. Je me penchais sur le vélo en lui montrant la roue : « Ça coince, ici. La roue frotte, et je n’arrive pas à la redresser ». Je me rendis compte en me relevant, qu’il avait eu une vue plongeante sur ma poitrine et qu’il abordait un large sourire. Déborah me souriait aussi et me fit un petit clin d’œil coquin. L’homme s’agenouilla pour examiner le vélo : « Ah, oui, je vois. Il faut desserrer la roue et la remettre droite. En plus la chaine s’est coincée. Je vais essayer de la remettre. ». Il trifouilla un bon moment. Je le regardais faire, inquiète, alors que Déborah semblait elle plutôt amusée. Elle me glissa à l’oreille : « Il ressemble à Brat Pitt !! » _Pff, Brad Pitt il est pas chauve, il est blond. _ Oui mais quand même, il est musclé comme lui ! ».
Au bout d’un moment, l’homme se releva, l’air abattu : « Je suis désolé, c’est un vieux vélo. Les écrous sont rouillés. Sans outil, je ne vais pas y arriver. » On se regardait, Déborah et moi, et j’avais de la peine pour elle, car je pensais en moi « Adieu la plage naturiste ».
Puis l’homme réfléchi et proposa : « Si vous voulez, j’habite pas loin, juste au bout du chemin. On peut y aller ensemble. Là j’ai des outils et je pourrais réparer le vélo, pendant ce temps, vous pourrez vous désaltérer et boire un peu, il fait tellement chaud. » Mon regard croisa celui de Déborah, et j’y lus son consentement. J’étais ravie : « D’accord, c’est très gentil à vous ».
« Très bien, prends mon vélo, et moi je transporterai le tien. Suivez-moi, ce n’est pas loin ». J’étais surprise que l’homme me tutoies, mais j’obéis, trop contente de cette aide inespérée. Le bel homme marchait quelques pas devant nous, portant mon vélo de ses bras puissants. Déborah me glissa à l’oreille : « Il a un beau cul, tu ne trouves pas ? » J’étais choquée : « Depuis quand tu regardes les fesses des mecs ?  _ Depuis qu’ils ont de belles petites fesses musclées et fermes, et que ce sont de vrais mecs. » C’est vrai que dans son short de cycliste moulant, il était très sexy. « Il te fait envie, lui demandais-je ? _ oui, bien sûr, j’adore les hommes mûrs, tu ne savais pas ? » Déborah me surprenait toujours. Moi qui était persuadée qu’elle était une pure Lesbienne. « Ah, bon, tu t’intéresses aux hommes maintenant ? _ Ben oui, surtout les vrais, les mecs avec de l’expérience, qui savent faire jouir une femme. D’ailleurs ma première fois, c’était avec un mec de 60 ans ! _Ah bon ? Faut que tu me racontes ça ! _ Une autre fois…
Je ne sais pas si notre sauveur nous avait entendues, mais à ce moment-là il se retourna en nous souriant : « Voilà, c’est ici. La maison derrière la haie. » C’était une belle maison, récente, grande et resplendissante sous le soleil. Les haies la dissimulaient complètement, si bien qu’on ne la voyait pas de l’extérieur de la propriété. Il rajouta : « J’y vis seul, maintenant que ma femme est morte et que les enfants sont partis. »
L’homme déposa le vélo devant la porte du garage, et nous fîmes de même. « Venez, entrez. Installez-vous sur la terrasse. Je vais vous servir de l’eau fraîche, ça vous ira ? _ Oh oui Monsieur, lui répondis je. _ Je t’en prie, appelle-moi Max, ce sera plus simple. _ Très bien Max, moi c’est Cassandra, et elle c’est Déborah. _ Enchanté. Installez-vous, asseyez-vous et détendez-vous le temps que je répare ce foutu vélo.
Nous traversâmes une grande salle à manger, très propre et bien rangée, pour arriver sur une grande terrasse de pierre, abritée par une pergola, avec une petite table et des chaises de jardins. Le temps de nous assoir, Max arriva avec un plateau contenant des verres et une carafe. Mais Déborah qui ne tenait pas en place se releva déjà et se dirigea de l’autre côté de la terrasse : « Oh, mais vous avez un jacuzzi ! _ Oui, c’est exact. Vous voulez l’essayer ? _ Oh Oui s’exclame-t-elle ! _ Très bien, je vais le mettre en route. Vous pourrez vous détendre dedans, le temps que je m’occupe du vélo. Vous pouvez vous changer dans la chambre là-bas si vous voulez mettre vos maillots de bain _ Oh pas besoin de maillot de bain, réplica Déborah. Je suis naturiste.
Avant que l’un de nous deux ait eu le temps de respirer, elle retira son débardeur et son petit short, et se retrouva en tenue d’Eve sous nos yeux ébahis.
Marc semblait embarrassé, mais ravi. Pour ma part, j’étais furieuse et je devais être rouge aussi, car Max se retourna et ma glissa à l’oreille : Si tu veux, tu peux aller te changer dans la chambre ! » Je fis oui de la tête, mais je ne bougeai pas, étant toujours paralysée par l’audace de Déborah. Elle se pencha pour tester l’eau du jacuzzi, mettant en évidence son sexe épilé. Je m’aperçus qu’il y avait maintenant une bosse qui se formait dans le cuissard de Max. Je ne pouvais lever mon regard de cette poche qui ne cessait de grossir. « Comment le mettons en marche, demanda-t-elle en se retournant face à Max, sa petite poitrine toute dressée dans sa direction. Max se rapprocha : « Comme ceci, dit-il en appuyant sur un bouton. Déborah poussa un petit cri de surprise lorsque les bulles jaillirent brusquement du jacuzzi. En sauta sur le côté et saisie le bras de Max. Celui-ci ne réagit pas. Alors elle s’appuya sur lui pour enjamber les parois du jacuzzi. Il l’aida en lui tenant le bras à son tour, mais elle fit mine de glisser. Elle se pressa contre son torse pour se retenir, ses seins- frottant allègrement contre Max. Elle s’arrêta en le regardant, puis repris son équilibre en le remerciant. Qu’elle actrice, me disais-je en moi-même ! Il ne dit rien, mais je remarquais que sa bosse avait encore grossi, et que l’on devinait maintenant la forme exacte et définitive de son sexe sous le fin tissu de son short en Lycra. Il se tourna vers moi, comme si de rien n’était, et me dit : « viens, je vais te montrer la chambre où tu pourras te changer ». Il m’invita à passer devant lui, ce que je fis, le regard gêné. Lui n’avait pas l’air gêné du tout de bander autant. Il me montra la chambre, puis repartit et refermant la porte tout doucement. J’étais rassuré, car j’avais cru un moment qu’il allait me sauter dessus, mais pas du tout. Il était resté très courtois, malgré son érection très avancée.
Je me changeais rapidement, dans une petite chambre très simple, qui devait être une chambre d’ami, car elle n’était visiblement pas occupée, puis je rejoignis Déborah dans le jacuzzi. Elle prenait son aise, les jambes grandes ouvertes, et s’amusait à faire sortir ses tétons hors de l’eau.  Ah quand même, Mlle Sainte Ni Touche, me lança-t-elle. Tu n’es pas obligée de faire ta prude, tu peux enlever ça, tu n’en as pas besoin. » Elle tira mon haut de maillot de bain. J’étais furieuse contre elle : « Qu’est-ce qui t’as pris de te mettre à poil devant lui et de le provoquer ? _ Ben quoi, il a l’air content. Regarde, il vit seul ici. C’est évident qu’il n’a pas vu de belle femme depuis un bon moment. T’as vu comment il s’est mis à bander quand je me suis déshabillée ? _ Oui, j’ai vu, mais c’est pas une raison ! _ Ben quoi, on peut quand même s’amuser. Tu ne vas pas me faire une crise de jalousie ? Tu sais bien que toi je t’aime, et que c’est pour ça que je te veux toute nue à côté de moi ! » Je n’eus pas le temps de lui répondre ni de protester, elle m’attrapa et me fit plonger la tête dans le jacuzzi en poussant de grands rires. Puis me relevant, me prit dans ses bras, et me roula une pelle. J’étais sous son charme. Je sentis une de ses mains descendre la bretelle de mon maillot, puis se saisir de l’un de mes seins. Je me laissais faire, me lovant contre elle. Puis sa main continua son chemin, et se glissa son ma culotte. Elle fouilla, jusqu’à atteindre ma chatte qu’elle entrouvrit délicatement. J’étais en train de fondre. Elle savait y faire. Sa main habile commençait à me chauffer. Je me mis à genou au-dessus d’elle pour lui faciliter l’accès. Elle retira ma culotte jusqu’aux genoux, tandis que j’offrais mes deux gros seins à sa bouche. C’est alors que j’entendis tousser derrière moi. C’était Max. Avec le bruit de l’eau, nous ne l’avions pas entendu arriver. Je poussais un petit cri de surprise, m’écarta de Déborah et me rassit dans l’eau en réajustant maladroitement ma culotte et mon soutien-gorge. Max riait ouvertement, les mains sur les hanches, son sexe clairement tendu sous son Lycra : « Désolé de vous interrompre, j’ai terminé. Le vélo est maintenant en état de marche. _ Oh, merci, répondis-je avant Déborah, car je craignais qu’elle ne lance une nouvelle provocation. Comment vous remercier ? Ma question était sortie sans réfléchir. Je m’en voulais. Ce fut Déborah qui réagit la première : « Moi je sais, au vu de la bosse sous votre short, le spectacle vous a plu. On peut continuer si vous le voulez. Vous pouvez nous rejoindre dans le jacuzzi. Ce serait sympa. »
Max sourit et enleva son T-shirt, mais garda son short, puis il entra dans le jacuzzi. Déborah me reprit dans ses bras et m’embrassa sur la bouche, puis regarda Max de manière très sensuelle. Elle dénoua l’élastique de mon maillot, et libéra mes seins, les présentant fièrement à Max. Je me sentais soulagée, et regardait Max dans les yeux. Il souriait, visiblement content de voir ma belle poitrine. C’est alors que je sentis les mains de Déborah soulever mes fesses, et descendre ma culotte. Avec une dextérité insoupçonnée, elle la fit glisser le long de mes jambes. Je levais mes pieds pour l’aider et elle réussit facilement à l’extraire, et la présenta triomphalement à Max. J’étais maintenant moi aussi entièrement nue, et la gêne avait fait place à l’excitation. Max nous regardait, les mains sur ses hanches, mettant ainsi en valeur son énorme sexe tendu sous son Lycra. Déborah prit l’initiative. Elle me lâcha, et s’avança à quatre pattes vers Max comme un félin, en dodinant des épaules et des fesses. Elle s’arrêta juste devant son sexe et regarda Max avec un air de défi. Je pensais qu’elle allait lui enlever son short pour en faire sortir l’objet de ses convoitises, mais non. Elle tendit la langue, et commença une fellation à travers le tissu. J’étais surprise, je ne pensais pas que Déborah pouvait être aussi sensuelle avec des garçons. Je profitais que l’attention de Max était prise, pour me glisser discrètement dans son dos. Comme Déborah, je m’étais mise à quatre pattes juste derrière les belles fesses musclées de Max. Lentement, je descendis son short, qui finalement découvrit son sexe. J’entendis un cri d’admiration de l’autre côté de la part de Déborah. Max se laissa faire lorsque je fis descendre son short jusqu’en bas et l’ôta de ses pieds. Il écarta légèrement les jambes, si bien que j’aperçus ses couilles qui pendaient au ras de l’eau bouillonnante. Je les pris délicatement d’une main. Elles étaient énormes, poilues et chaudes. Je n’en avais jamais vue d’aussi lourdes. Il faut dire que jusqu’à maintenant, les quelques garçons que j’avais sucé, étaient des ados de mon âge. Déborah s’activait sur la grosse queue de Max. Elle s’en donnait à cœur joie. De mon côté, d’une main je continuais à malaxer ses boules, et de l’autre je lui massais les fesses. Je les écartai pour voir son cul. Il était poilu, mais très mignon. J’y glissais ma langue, lui léchant d’abord le pourtour, puis lui enfonçant la pointe. Il eut un petit sursaut. Il se retourna et me regarda. Mon regard, provocateur, croisa le sien. Je pensais qu’il allait me dire d’arrêter, d’un air choqué, mais pas du tout. Il ne dit rien, me sourit, et gentiment passa sa main dans mes cheveux, et pressa doucement pour que je revienne au contact de son cul. J’entrepris donc d’explorer un peu plus profond son anus avec ma langue. Mais il y avait beaucoup de poils. Je compris pourquoi Déborah préférait les sexes et les culs rasés. J’entrepris donc mon exploration anale avec mon majeur. Max, les mains sur la tête de Déborah qui le pompait, gémit mais ne dit rien de plus. Il était entièrement à notre merci. Je me penchais pour lancer un regard triomphateur à Déborah. Celle-ci me rendit un regard complice. Elle retira la bite de sa bouche, et me fit signe de venir prendre sa place. Nous échangeâmes les rôles, mais j’étais bien moins à l’aise par devant. Le sexe de Max était énorme, et je n’avais pas l’habitude des fellations. Je ne l’avais pratiqué qu’à deux reprises jusqu’à maintenant, et mes partenaires avaient éjaculés très rapidement, dès que je leur avais mis un doigt dans le cul ! Alors je commençais très doucement, par des petits coups de langues sur le bout. Il apprécia. Puis j’essayai de prendre tous son gland. Mon dieu, qu’il était grand. Il m’a fallu ouvrir ma bouche au maximum. Je pensais que des bites aussi grosses n’existaient que dans des films pornos. Que c’étaient des acteurs triés sur le volet. Max avait de quoi rendre jaloux un de ses acteurs ! J’essayai d’abord d’imprimer des vas et viens avec ma tête, mais sa queue était trop grosse, cela ne rimait à rien. Je changeai alors de tactique, en faisant tournoyer ma langue autour de son gland. C’était plus facile. Il gémit plusieurs fois de plaisir, et me fit même des compliments : « C’est très bien comme cela Cassandra, continue ». Cela me fit plaisir qu’il m’appelle par mon prénom, et me dise des choses gentilles. Les autres garçons s’étaient contentés de dire de cochonneries : « Vas-y, suce salope » ou « je vais te défoncer sale chienne » juste avant d’éjaculer…
Je n’avais pas vu, concentré sur ce sexe, que Déborah avait quitté son poste, et s’était mise derrière moi. Elle souleva mes fesses hors de l’eau, si bien que je me retrouvais à quatre pattes. Elle entreprit de me lécher, la chatte mais aussi le cul, surtout le cul. Et elle le fit savoir à Max, avec un « Hum, j’adore ton petit trou ». Cela me fit comme un électro-choc. Je sentais le désir monter entre mes cuisses. Max le sentit certainement aussi, car il me proposa, toujours avec cette douceur qui le caractérisait : « Tu veux que je te prenne ? Tu es prête ? » Ce fut Déborah qui réagit la première, car j’avais encore la bouche pleine : « Non, elle est vierge, et veut le rester. Mais tu peux l’enculer si tu veux, elle aime ça ! »
Ah ce moment, je m’en voulais d’avoir fait cette promesse stupide à mes parents. Celle de rester vierge tout l’été. Mais bon, ils m’avaient fait confiance, et je ne pouvais pas les trahir, mais je le regrettais amèrement, car j’aurai bien voulu perdre ma virginité sur une bite aussi belle. En tout cas, j’en avais envie, pour la première fois. Max se recula de mon étreinte : « Ah, ben une sodomie, ça ne se fait pas comme ça. Attendez, je vais chercher quelque chose. » Il sortit de l’eau. Je fus déçu de perdre mon jouet, mais amusée de le voir se déplacer le sexe en érection. Déborah rit aussi avec moi. Puis je la pris dans mes bras en l’embrassa, pour la remercier de son audace qui nous a conduit jusqu’ici. De fil en aiguille, nous étions en plein ébats lesbien lorsque Max fut de retour avec un flacon d’huile de massage, et deux petits godes. Cette fois il ne nous interrompit pas. Pour qu’il puisse mieux voir le spectacle que nous lui avions promis, nous nous assîmes sur le rebord du jacuzzi et nous nous branlâmes devant lui, les jambes largement écartées, les doigts dans le vagin et sur le clito de l’autre, comme nous le faisions sous la tente. Max lui se contentait de s’astiquer doucement son énorme sexe en nous reluquant. Il n’en perdait pas une miette. Ce fut Déborah qui atteignit l’orgasme la première. N’étant plus dans le camping, elle s’exprima très fortement par des gémissements sans aucune retenue. Enhardie par son orgasme, je la rejoignis, mais de manière plus intime. Le calme revenu, Max s’exclama : « Eh ben, mesdemoiselles, vous savez vous débrouiller seules. Vous n’avez plus besoin de moi. _ Au contraire, répliqua Déborah. Elle se retourna, s’affaissant sur le rebord, les fesses vers le haut. De ses mains, elle ouvrit en grand son vagin et son anus, et lança : « Baise nous ! ». Ne sachant trop quoi faire, je pris finalement la même posture qu’elle, mais n’ouvrit que mon anus, pour être bien sûr que Max ne se trompe pas. Je craignais quand même de recevoir un tel engin dans mon derrière. Je sentis une main me caresser délicatement les fesses, alors que Déborah elle poussa un cri. Max venait d’enfiler son membre dans sa petite chatte. Pendant qu’il la limait de son pieu, sa main s’aventura dans mon entrejambe, et fit des merveilles sur mon clito. Ses doigts, beaucoup plus gros que ceux de Déborah, ouvrirent mes lèvres et entrèrent dans mon vagin qui les attendait avec impatience. Ce fut un pur bonheur. Je pris la main de Déborah, qui me sourit entre deux spasmes. Je sentais les doigts augmenter leur pression à chaque coup de rein qu’elle recevait. Le feu revenait entre mes cuisses, et inonda petit à petit tout mon corps. Je sentais Déborah se contracter. La connaissant, je savais que c’était le signe qu’elle allait bientôt atteindre l’orgasme. Je laissai alors la vague de plaisir me submerger moi aussi. Nous jouissâmes toutes les deux en même temps. C’était merveilleux, la fusion parfaite. Cette fois-ci je ne retins pas mes gémissements, si bien que Déborah et Max comprirent tous les deux que j’avais atteint l’orgasme. Max se retira, nous laissant reprendre nos esprits, et lui son souffle. Déborah m’embrassa avec fougue. Lorsque nous nous retournâmes, Max était tranquillement en train de s’enduire le sexe d’huile de massage, en me regardant. J’étais un peu embarrassée, mais Déborah me soutint en me prenant par les épaules et en me souriant : « A ton tour ! ». Je pensais que Max allait me retourner, et m’enculer en levrette, mais pas du tout. Il s’assit sur le rebord du jacuzzi, et attendit patiemment, les jambes ouvertes, le sexe bien dressé. Ce fut Déborah qui prit les choses en main, ou plutôt « La » chose. Elle saisit la queue de Max, et en la branlant doucement, me fit signe de m’approcher, toujours avec son petit sourire coquin. Je ne savais pas trop comment m’y prendre. De nombreuses choses sont passées dans mon cul depuis mes 18 ans, la langue de Déborah, ses doigts, son gode, mais jamais rien d’aussi gros et jamais une vraie bite. Déborah me fit signe de me retourner, ce que je fis, puis elle me saisit délicatement par les hanches pour me faire assoir sur les genoux de Max. Elle dirigeait sa queue, et je la senti à l’entrée de mon petit trou. J’avais un peu peur, mais elle me dit doucement : « C’est toi qui pilotes maintenant, tu fais comme tu le sens. » Cela me rassura. Je me frottais un peu les fesses contre le sexe de Max. Il était aussi dur qu’une barre de fer. Je l’entendis gémir doucement. Cela m’encouragea. Alors, de mes mains, j’écartais mes fesses pour ouvrir mon anus au maximum et essayer de faire rentrer sa bite. Déborah m’encourageait et cela me fit du bien. Elle appréciait visiblement le spectacle. A ma grande surprise, le gland entra facilement dans mon cul. La gravitation et la lubrification firent le reste, si bien que je m’assis complètement sur les cuisses de Max, et que sa queue tout entière rentra dans mon fondement, sans aucune douleur. Je retrouvais l’agréable sensation d’avoir un objet dans le rectum, mais là il était énorme, et il bougeait tout seul, et surtout, il procurait du plaisir à mon partenaire. Chaque fois que je bougeais, que je serrais ou desserrais les fesses, je l’entendais gémir. C’était une sensation nouvelle pour moi. J’étais fière d’être aux commandes. J’en profitais et je me retrouvais bientôt en train de me limer violemment sur le sexe tendu de Max. Je n’avais absolument pas mal. Ça glissait facilement. En plus Déborah s’occupait de mon petit minou. Elle était repassée devant moi, la tête entre mes cuisses, et en profitais pour me faire un cunnilingus sans aucun complexe. Mon plaisir montait, et celui de Max aussi. Je m’étais cambrée et reposait ma tête contre son épaule. Il m’embrassait affectueusement, tandis que ses mains faisaient de merveilles sur mes énormes seins dressés. Son souffle s’accélérait au fur et à mesure que j’augmentais le rythme de mes hanches. Il me dit des mots gentils : « Tu es merveilleuses. Cela faisait longtemps qu’une fille ne m’avait donné autant de plaisir… » Je le sentais, bouillonnant au fond de moi, et cela me rendit fière. J’étais encore vierge, mais je me sentais une femme, une vraie, capable de donner du plaisir à mon partenaire. Je me détendis complètement, et cela eu pour effet de faire monter un peu plus mon plaisir jusqu’à l’orgasme. Déborah me dit qu’elle reçut en pleine figure une giclée de mon jus lorsque je me suis mise à crier, comme si j’avais éjaculé, mais je me suis aperçu de rien, tellement le plaisir était fort.
De retour au calme, Max continuait de me caresser tendrement les seins, et il était toujours au fond de moi. Je me sentais bien, et je voulais qu’il continue à m’enculer, mais Déborah réclama le même traitement : « Ah mon tour, défonce-moi le cul comme une bête. Viens jouir en moi ». Toujours dans la provocation et la démesure ! Elle se pencha en avant sur le rebord du jacuzzi, et ouvrit en grand ses fesses. Son trou était béant, si bien de Max n’eut aucuns soucis à y rentrer son énorme pieux. J’étais effarée par la taille de son sexe. « C’était en moi ce machin-là ? » C’est vrai que maintenant, une fois qu’il s’était retiré, je sentais encore le passage de son engin dans mon rectum. Ce n’était pas désagréable. Cela dura longtemps, ce qui me surpris. Max était déchainé. Il pilonnait le cul de Déborah à grand coup de reins. Je voyais ses couilles balancer et taper dans le sexe de Déborah, qui poussait de grands cris en l’encourageant : « Oh, oui, vas-y, comme ça ! Défonce-moi bien. Encule-moi à fond ». J’étais aux premières loges, et je pu constater qu’effectivement, il rentrait sa queue jusqu’au fond. Comment Déborah pouvait recevoir un tel monstre en entier en elle ? Je me mis de côté et je réussi à glisser une main jusqu’au sexe de Déborah. Je lui rendis la pareille et la masturba frénétiquement. Mon autre main caressait les fesses de Max, et petit à petit, arriva jusqu’à son anus. Je tendis un doigt et ses mouvements de hanches firent le reste. Mon doigt entrait profond dans son petit cul à chaque va-et -vient. Max portait un temps d’arrêt à chaque fois et j’en profitais pour explorer un peu plus son fondement. Visiblement, il aimait bien ça ! Il accéléra le rythme, et je fis de même avec ma main dans la chatte de Déborah. Tous les deux couinèrent et étaient proches de l’orgasme. Je m’amusais. Qui allait jouir le premier ? Le clitoris de Déborah était devenu énorme, gorgé de sang. Mon pouce le titillait frénétiquement tandis que le reste de ma main, entièrement rentré dans son vagin exécutait de grands vas et viens. Je sentais la queue de Max qui rentrait et sortait de son cul, ainsi que ses couilles qui tapaient contre la paume de ma main. Max s’arrêta soudain, et poussa de grands gémissements. Je continuais à masturber Déborah, qui elle aussi cria son plaisir, lorsque Max se retira de Déborah et présenta brusquement sa queue devant ma figure. Avant que je comprenne, je reçu une giclée de sperme en plein visage. Le reste alla sur ma poitrine. Max frotta sa queue entre mes gros seins, et je pris délicatement son gland plein de sperme dans sa bouche. Le goût était bizarre, mais pas désagréable. Déborah se joignit à moi et lécha le reste de la queue que je ne pouvais rentrer en entier dans ma bouche. Puis elle entreprit soigneusement de lécher tout le sperme répandu sur mes seins. Il devait y en avoir des litres ! C’était agréable. Max me regardait, admiratif, et j’étais fière d’exhiber mes obus imprégnés de sa semence, comme une médaille passée autour du cou. Sa bite commençait à dégonfler, et j’en profitais pour la prendre entièrement dans ma bouche, maintenant que je pouvais, comme pour le remercier du plaisir qu’il nous avait apporté. Je la sentis rétrécir jusqu’à attendre la taille d’un zizi d’enfant ! Il se retira puis il me sourit.
Sans rien dire, il me caressa tendrement les cheveux de sa main, puis sans un not, il sortit du jacuzzi. Je voulu lui dire quelque chose, mais Déborah colla sa bouche contre la mienne et nous nous embrassâmes longuement. C’était sa manière à elle de me faire part de sa satisfaction. Elle avait été comblée, et aussi contente que j’accepte d’aller jusqu’au bout avec elle. Nous nous rhabillâmes en silence, tous encore un peu abasourdit par ce qui venait de se passer. Je ressentais toujours la présence du sexe de Max dans mon rectum, et cela me fit bizarre de me remettre sur le vélo.
Avant de partir, nous échangeâmes nos numéros de téléphone. Max nous proposa de repasser aussi souvent que nous le voudrions, car il avait été ravi de l’après-midi. Déborah repris son jeu de séduction et fit mine de réfléchir prétextant un emploi du temps chargé, alors que je savais très bien qu’elle en mourait d’envie.
Bien évidemment, nous sommes revenues les jours suivants et avons vécu des choses passionnantes, mais j’écrirais cela un autre jour…
69 vote(s)


Histoire de Malefices

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : L'été de Cassandra - 2ème partie


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :