Tante et oncle

Juliette serre dans sa main fébrile le pal qu'elle affectionne de son oncle Paul. Les deux nus, sont étendus sur la terrasse. Tout cela sous le regard amusé de sa tante Laure. La main agile décalotte le gland à chaque descente, Juliette ne peut s'empêcher de dire :

-Il a une bonne queue tonton hein tante, il est infatigable, il m'a deja sauté deux fois ce matin pendant que tu prenais ta douche. J'ai encore envie qu'il me défonce, tu te joins à nous !

Laure, souriante, répond :

-Non, pas maintenant, je vais vous regarder, éclatez-vous mes cochons, excitez-moi !

Juliette presse la queue tendue, le gland semble déborder de la hampe, il parait monstrueux. La coquine donne plusieurs coups de langue sur le cèpe, avant de branler le mat tendu. Paul grogne de bonheur, il sait que sa nièce peut être vraiment bonne. Pour cela, il la stimule :

-Oui ma chérie, branle à fond, décalotte bien mon nœud, prépare bien ma queue, avant que je t'éventre avec !

Juliette branle énergiquement la verge gorgée de sang. Les grognements de bête que pousse son oncle l'incitent à plus de violence. Sa main, volontairement, cogne les couilles velues, remplis de semence à chaque descente. Paul râle de plaisir en agitant son bassin. Laure dit en souriant :

-Vas-y, écrase lui les couilles, il adore être malmené le salaud, fais le gueuler, cela va me stimuler pour vous rejoindre !

Juliette empoigne les couilles et les presse fortement, Paul grimace de douleur. Elle lui gobe le gland et le tète comme une affamée. La douleur se joint au plaisir, le bougre se cabre et remplit de sa semence la bouche vorace de sa nièce. Laure crie :

-Avale, salope, avale, ne gâche pas la marchandise !

La bougresse a retroussée sa jupe et retirée sa culotte, elle se fouille la chatte en grognant comme un animal blessé. Sa cyprine dégouline abondamment sur ses cuisses. Elle s'approche du duo, en marmonnant, elle bascule Juliette sur le côté et lui écarte avec rage les cuisses. Elle plaque sa bouche sur la vulve et aspire le jus que le temple en ébullition laisse échapper. Elle lui aspire violemment le clito, Juliette se cabre sous la forte succion. Sa tante lui à deja de nombreuses fois dévorée la chatte, elle adore être la chose de Laure. Paul regarde les deux amantes, en se caressant la verge gluante. Il soupire en ne quittant pas la bouche de sa femme dévorer la chatte de sa nièce. Laure est bien cambrée en suçant la chatte de Juliette. Paul regarde la croupe ondulée, à chaque coup de langue. Il s'approche, passe sa main sur la chatte noyée de cyprine, et y enfonce trois doigts. Sa femme se cabre et reprend de plus bel le broutage de la chatte de sa nièce.

Les doigts noueux de Paul la font gémir, elle délaisse la chatte de Juliette et dit d'un ton autoritaire :

-Baise-moi, baise-moi vite, j'en peux plus !

Paul frotte sa queue contre la chatte en fusion de sa femme, il enfonce aisément son glaive dans le ventre de sa femme. Il s'accroche à ses hanches et la défonce comme un beau diable. Sous les coups de reins redoutables de son pourfendeur, Laure reprend en bouche la chatte baveuse de Juliette et la suce comme une démente. Juliette geint comme jamais, la voracité de sa tante la fait délirer. Elle se tend comme un arc et explose, elle gicle avec force dans la bouche de la suceuse, qui avale tant bien que mal les puissantes décharges de cyprine. Paul se donne sans compter, il démonte la chatte de sa femme en grognant comme un bucheron à chaque coup de reins. Laure pousse un hurlement et jouit comme une dingue. Paul défonce encore un bon moment la chatte gourmande, qu'elle se remet à jouir. Le corps de Laure et secoué de spasmes violents, elle à plusieurs orgasmes. Paul bascule sa femme sur le côté, il plonge sans crier gare sa queue au bord de l'explosion dans le ventre de Juliette qui pousse un long râle. Le tonton amant la besogne comme un soudard. Les gémissements de sa nièce l'excitent au plus haut point. Le pilonnage sévère augmente en intensité. Juliette divague en s'accrochant à son oncle, sa croupe s'agite fortement, elle est au bord de la syncope, soudain entre deux gémissements, elle se raidit, pousse un long râle et jouit affreusement.


Paul n'en a pas fini avec elle, il s'acharne. Ses coups de reins violents ressemblent à une correction. Il grogne comme une bête sur sa proie, soudain, il se bloque et remplit le ventre de sa nièce avec plusieurs décharges de semence brulantes. La coquine sous la douce chaleur du sperme jouit une seconde fois. Laure reprend ses esprits, elle clame :


-Prends-moi par le cul, et elle aussi, défonce-nous le cul avec ta grosse bite mon salaud, fais nous jouir du cul comme des bêtes, tu es si doué pour cela !