L'été sera chaud - 2ème partie (7)

Vendredi 2 Août 2013

Ce matin quand elle descend à la cuisine, Hélène se demande comment se comporter après les débordements de la veille. Elle est un peu rassurée de voir que ni Ber ni Thomas ne sont en érection et que personne ne fait allusion à ce qu’il s’est passé entre eux tous.

Donc tout le monde va se préparer et direction Valensole pour la fête de la lavande.
Hélène me laisse la convaincre de ne rien mettre sous sa petite robe, comme moi et Lola. Elle s’y habitue très vite et profite de cette belle journée.

Au retour, nous reprenons immédiatement notre tenue maintenant standard pour la maison - c’est à dire entièrement nus - et nous distribuons dans la piscine ou autour. A un moment, je remarque que les bruits d’eau ont attiré les voisins car Pierre est comme hier à la fenêtre et apparemment déjà nu, ou alors avec un caleçon taille très basse. Je souffle mon idée à Ber en le mettant en forme de la main dans l’eau et il sort sur le bord de la piscine dès qu’il est en bonne forme. Tout va pour le mieux car Hélène est à ce moment-là allée prendre ses mails du bureau sur son ordi et n’assiste pas à la scène. J’entame alors une branlette sur Ber qui fait comme s’il n’avait pas remarqué la présence du voisin.

Je continue par une fellation pendant que Ber me commente à voix basse:
- Là, vu le mouvement de son bras, il est en train de se secouer à notre santé.
- (slurp)
- Il se retourne! Super, il vient de se faire surprendre par sa femme.
- (slurp)
- Ça y est, je la vois, elle est à poil ou en bas de maillot et l’engueule, on dirait.
- (slurp)
- Elle s’est calmée. Elle nous mate elle aussi maintenant. Et il est derrière elle.
- (slurp)
- Ils sont toujours là. Ressort un peu ma bite et branle-là bien pour qu’elle la voit.
- (slurp)
- Voilà, il est derrière elle et lui malaxe les doudounes. Attend, il lui baisse le slip.
- (slurp)
- Ça y est, il se frotte derrière elle. Mais elle a l’air de protester un peu.
- (slurp)
- Bon, c’est fini, ils se sont baissés, ils doivent baiser sur le lit.
- (plop)

Ber et moi arrêtons notre exhibition et il préfère laisser retomber son érection pour économiser des cartouches en vue de notre programme du soir.

Par contre, Thomas bande lui aussi car il a tout vu, ainsi que Lola. Mais il ne se doute pas que les voisins étaient les spectateurs privilégiés du show. Comme l’ambiance redevient calme, lui aussi finit par ramollir.

Peu après, sa mère revient et se pose sur le ventre sur une serviette en demandant si quelqu’un veut bien lui passer la crème solaire dans le dos. Je fais signe à Thomas d’y aller. Il se propose donc à la surprise d’Hélène:
- Allez Maman, je te fais ça, j’ai l’habitude.

C’est vrai que d’habitude, et depuis des années, son fils le fait à la mer ou même ici avant la venue de ses amis. Mais maintenant ça lui fait tout drôle vu leurs nudités et ce qu’il s’est passé la veille. Mais elle n’ose pas refuser et s’abandonne.

Sauf que cette fois, après que ses épaules et son dos aient été bien badigeonnés, elle sent que les mains de son fils ne s’arrêtent pas en arrivant sur les fesses. Il est vrai que Jusqu'à maintenant il y avait la frontière du maillot, mais là non. Mais il s’attaque aux jambes et elle souffle un peu. Ce répit n’est que de courte durée car les mains remontent sur les cuisses Jusqu'à la pliure des fesses et reprennent leur malaxage.

Elle trouve qu’il s’y attarde un peu trop et met en terme à l’opération:
- Merci mon chéri, ça ira comme ça.
- De rien Maman, à ton service. C’était un plaisir.

Elle tourne la tête vers lui et s’aperçoit qu’il est en pleine érection:
- Oui, je vois…
- Euh, excuse, mais c’est une réaction normale, non?
- Peut-être, mais c’est tout de même sur moi, ta mère, que tu fais ça.
- Oui, c’est vrai, mais je suis tellement heureux d’avoir une maman aussi sexy.
- Ah, tu me trouves sexy, maintenant?
- Tu l’as toujours été, mais j’ai jamais osé te le dire.
- Ah bon, eh bien je devrais me sentir flattée, je pense…
- Et en plus ça me fait plaisir de voir que tu as repris une activité sexuelle.
- Puisqu’on en est à ces confidences, oui, ça me manquait un peu.
- C’est sûr que si depuis que tu es séparée tu ne fais plus rien…
- Euh, bon, mais ça reste entre nous, pas un mot à ton père , hein?
- Evidemment, tu le connais: il comprendrait pas, borné comme il est.

La discussion a un peu fait redescendre la bite de son fils, ce qui la rassure.

Le soir, le temps étant un peu plus nuageux que depuis le début du séjour, nous décidons de rentrer pour manger. Nous nous retrouvons donc au salon pour l’apéro que nous prenions d’habitude à l’extérieur. Cette fois, Ber prend la place d’honneur entre Lola et moi sur le canapé pendant que Thomas et sa mère héritent des deux fauteuils. L’atmosphère est lourde à cause de l’orage qui menace et nous nous sentons tous moites. Pour compenser, l’apéro coule à flot et l’ambiance devient de plus en plus décontractée.

Ber lance le bal avec une main dans la fourche de sa fille et l’autre dans la mienne et nous le lui rendons bien en nous y mettant à deux pour lui faire dresser la colonne. C’est le moment que choisit l’orage pour se déclarer. Un bel éclair illumine l’extérieur subi d’un bon coup de tonnerre qui déchire le silence. Hélène sursaute, ce qui incite les autres à se moquer un peu d’elle. Thomas en profite:
- Tu as peur Maman? Tu veux que je te tienne compagnie?

Et sans attendre sa réponse, il vient s’assoir en travers sur ses genoux, un bras autour de son cou, comme quand il était plus petit. Elle n’ose pas le chasser car en fait elle aime bien les souvenirs de cette époque de sa vie. La seule différence, c’est que le petit garçon a grandi et que là, il est en érection. De plus, dans sa position, et vu que sa bite tire un peu à droite, le gland est en contact avec le ventre de sa mère qui ne sait pas comment le lui dire. Mais elle n’a pas le temps car il enchaine:
- Tu sais, j’adore ta poitrine. Elle est petite, mais elle est belle.
- Euh, merci mon chéri, c’est gentil.
- Tu me laisses te téter un peu, comme quand j’étais petit, dis?
- Tu as peut-être passé l’âge pour ça, non?
- Allez, Maman, juste un peu…

Et il approche sa bouche, gobant le téton et le suçant en aspirant bien. Hélène ne sait quoi dire car ça lui fait des sensations intéressantes. D’ailleurs ses tétons durcissent immédiatement. Thomas envoie sa main libre sur l’autre sein qu’il empaume sans difficultés vu son volume et le malaxe doucement. Hélène sent que maintenant c’est son sexe qui commence à bouillir et elle en est troublée. Surtout du fait que c’est son fils qui lui procure cet émoi. Son fils qui maintenant frotte un peu son gland sur son ventre, laissant une trace glaireuse qui le lubrifie, facilitant l’action.

Du coup, c’est comme dans un rêve quelle le sent prendre sa main et la poser sur son membre dressé. Elle ne se retire pas et ferme ses doigts sur la hampe, n’allant pas plus loin pour le moment. Dans sa tête tout se bouscule. Elle pense qu’il y a peu de temps elle s’offusquait encore de voir son fils simplement en érection et là elle tient cette érection dans sa main et ne la lâche pas.

Elle a en face d’elle Lola et moi qui n’avons encore rien vu, étant donné que nous sommes penchées sur Ber pour le sucer à deux. Il a l’air d’approuver ce qui se passe car il met un pouce en l’air en souriant à Hélène pour le lui signifier. Comme Thomas commence à lui imprimer le mouvement, elle se laisse donner le rythme et finalement décide d’y aller franchement. Tant que faire les choses, autant les faire comme il faut. Elle se déculpabilise en se disant qu’une branlette c’est finalement pas grand chose dans cette ambiance sexe.

C’est Ber qui vient faire diversion. Il se lève et s’approche d’eux, la bite en main. Il la présente vers leurs visages et dit à Thomas:
- Allez, va un peu satisfaire ma fille pendant que je m’occupe de ta mère.

Hélène est soulagée de pouvoir arrêter de masturber son fils qui va directement se planter en levrette dans l’intimité de Lola agenouillée entre mes cuisses. Elle prend le relais en pompant Ber qui la laisse œuvrer un peu avant de la faire se mettre à côté de Lola et la prendre dans la même position. Je me décale sur le canapé et présente ma chatte à déguster à Hélène qui s’y lance, toute excitée de penser qu’elle est en train de faire ça sous le regard de son fils. Son fils qui change de position quand Lola annonce sa jouissance. il vient s’assoir à la place que j’occupais et sa partenaire qui reste en place le prend en bouche pour le faire venir à son tour.

Elle se surprend à regarder avec attention cette belle queue se faire sucer sous ses yeux pendant qu’elle sent le pouce de Ber s’insinuer dans son anus et glisser librement grâce à de la mouille qu’il récupère au passage dans sa fente.
Elle sent monter son plaisir et ne contrôle plus les mouvements de son bassin qu’elle envoie à la rencontre de cette double pénétration.

Je me lève alors et propose d’aller chercher des accessoires pour continuer. Profitant que la place est libre, Thomas se décale vers la droite et se retrouve dans la position dont il rêvait depuis un moment. Il présente sa bite à sa mère:
- Tu veux bien me sucer, Maman?
- Allons Thomas… Et arrête de m’appeler “Maman“ dans ce genre de situation.
- OK! Alors, tu veux bien me sucer, Hélène?

Elle panique un peu devant la tournure que prennent les choses. Une petite branlette dans le feu de l’action, bon, OK. Mais de là à faire une pipe à son fils. D’un autre côté ce bel outil lui fait envie, et le fait qu’il l’ait appelée par son prénom lui permet de prendre de la distance avec sa qualité de mère et lui donne une excuse pour ne pas se retenir plus longtemps. Elle gobe donc ce gland filial et s’applique dans cette fellation. Tant et si bien que Thomas ne tarde pas à lui lâcher le paquet au fond de la gorge. Surprise, elle s’étouffe un peu et sort la queue de sa bouche, recevant sur le visage les giclées suivantes. Elle s’insurge contre ce sans-gêne:
- Tu aurais pu au moins me prévenir que tu allais éjaculer, mon salaud!
- Excuse-moi, Hélène, mais tu fais ça si bien que j’ai pas senti venir.

Elle n’insiste pas car pendant ce temps Ber a continué de la pilonner et le tout l’embarque vers une vague de plaisir qui détourne sa pensée de l’incident. Venant juste d’arriver, j’ai aussi assisté à la scène et trouve que ça prend bien la tournure que j’espérais. Je suis harnachée de mon strapon qui me donne un look d’hermaphrodite entre la bite dressée et les seins. Je propose d’aller poursuivre les réjouissances sur un lit en haut pour que ce soit plus confortable.

Tous se lèvent donc et me suivent au premier dans la chambre d’Hélène qui est la plus spacieuse. Pour ne pas laisser retomber l’ambiance, Ber lui fait monter l’escalier avec son pouce toujours dans le cul tandis que Lola continue à remettre Thomas en forme manuellement. Hélène constate d’ailleurs que son fils ne met pas longtemps à être de nouveau dans une forme olympique.

Dès qu’ils sont dans sa chambre, je fais mettre mon amie à genoux au pied du lit et je me positionne derrière elle pour la préparer avec une bonne dose de lubrifiant. Comme Ber avait déjà rodé l’entrée avec son doigt, sa rondelle est vite jugée assez souple à mon goût pour m’inviter dans son boyau avec ma queue factice. Hélène se rend compte qu’elle commence à bien aimer se faire prendre par là. Elle a en point de mire sur le côté du lit Lola qui propose à Thomas de lui faire la même chose. Elle n’a pas le temps de les voir longtemps car Ber fait se lever tout le monde pour se mettre sur le dos au milieu de la couche et demande à Hélène de venir le chevaucher. Elle monte à cheval sur lui et se fourre la bite dans la chatte sans se faire prier, commençant par un trot enlevé.

Mais je la fais stopper pour passer à des choses plus chaudes.
- Tu connais déjà la sodomie, maintenant tu vas goûter au sandwich à la saucisse!

Pour faciliter la double pénétration, Ber lui prend les épaules et la fait se coucher sur son torse en lui demandant de bien bomber son cul. Elle s’exécute et sent l’engin se poser à nouveau contre sa rondelle puis pousser. Son anus ne résiste pas et elle sent le cylindre se faufiler dans son boyau. Elle se sent remplie comme jamais. Sans trop attendre, deux mains se posent sur ses hanches et le ramonage de son conduit commence en douceur, lui arrachant des soupirs et des râles. Les coups de reins que je lui donne la fond décoller un peu puis retomber sur la queue de Ber et ces deux mouvements complémentaires sont divins. Elle se laisse mener vers l’orgasme qui arrive en trombe et s’écroule en sueur sur Ber. Nous attendons un petit instant qu’elle reprenne ses esprits, puis nous reprenons la manœuvre.

Elle sent qu’une nouvelle vague de jouissance arrive, mais tout à coup tout bascule quand elle voit Lola apparaitre dans son champ visuel et moi m’installer derrière ma fille pour venir lui prendre le cul avec le strapon. Elle commence:
- Ah non, bande de…

Car elle vient de réaliser que si Lola et moi sommes dans son champ visuel et Ju en dessous d’elle, c’est donc forcément Thomas qui est derrière elle. Elle est en train de prendre son pied en se faisant enculer par son propre fils. En effet, ce qu’elle n’a pas vu, c’est qu’au moment où elle était penchée sur Ju en attendant l’entrée de mon strapon dans son cul, j’ai fait signe à Thomas de venir se positionner à sa place. Celui-ci a vite réalisé l’aubaine qui lui était offerte et il ne s’est pas fait prier pour venir perforer l’anus de sa mère.

Mais l’orgasme arrive et elle abdique toute pudeur et tout préjugé. Elle jouit en ne retenant pas ses cris. Elle sent que Thomas la rejoint car il éjacule dans son boyau.

Dévastée par ces orgasmes multiples, elle se laisse couler sur le côté quand Thomas sort après s’être ramolli tandis que Ber se désengage sans avoir éjaculé. Il vient lui présenter son gland et elle commence à le pomper en s’attendant à tout recevoir dans sa bouche.
Mais Ber la surprend à nouveau en l’arrêtant au bout d’un moment en disant:
- Non, c’est à Thomas de s’acquitter de son gage. Allez, Thomas, viens me sucer.

Et à son grand étonnement, Hélène voit son fils gober le gland juste sous son nez sans hésiter. Mais ça ne dure pas trop longtemps, car Ber ressort de la bouche de Thomas juste avant de jouir et éjacule sur le corps d’Hélène, lui arrosant les seins et le ventre jusqu’à la chatte. Il ordonne à son pipeur:
- Allez, occupe-toi de bien nettoyer ta mère.

Et Thomas s’exécute, Hélène n’ayant plus d’objection à se faire lécher tout ce sperme sur les seins et prend même un certain plaisir à écarter grand les cuisses pour permettre à son fils lui bien nettoyer la fente avec la langue.

Entretemps Lola a joui elle aussi sous mes coups de reins et tous nous sommes un peu vidés. Thomas regagne sa chambre avec Lola et Ber et moi en faisons de même, la laissant tomber rapidement dans un sommeil empli de rêves érotiques.

A suivre…