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L'été sera chaud - 2ème partie (6)

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Lue : 466 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/04/2020

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Jeudi 1er Août 2013

Ce matin, je me retrouve dans le couloir au même moment où Thomas sort de sa chambre. J’en profite pour lui tripoter la bite en lui disant:
- Alors, tu vois ce que je te disais à propos de ta mère?
- Oui, tu avais raison, c’est bandant de faire ça devant elle.
- Alors, vas-y, descend et continue…

Et je le laisse partir en pleine érection vers le rez de chaussée. J’attend Ber qui revient des toilettes et nous descendons à leur tour.

Les trois autres sont déjà là dans la cuisine en train de prendre leur petit-déjeuner. Sauf que Lola et Hélène sont assises et que Thomas est debout, son gland à hauteur de leur nez, pas très loin de celui de sa mère d’ailleurs. Sa mère qui fait visiblement l’effort de ne rien dire et de ne pas trop regarder dans cette direction.

C’est moi qui décoince la situation en rigolant:
- Dis donc, Thomas, tu es un peu trop en forme ce matin pour rentrer dans ton short.

Mais tout rentre dans l’ordre quand chacun part s’équiper pour la rando prévue sur le sentier Martel. Chacun a mis un T-shirt et un short (sauf moi qui ai enfilé une petite jupette sur mon string-ficelle rouge) et chaussé de simples baskets, suffisantes sur ce parcours.

Il y a pas mal de monde en cette période, tout au moins sur la première partie en partant du Point Sublime et jusqu’aux trois tunnels et la première plage de galets accessible. Mais dès l’approche des escaliers Imbert, peu de monde continue à cause des 100 mètres de dénivelée très raides et vertigineux. Je calcule pour passer la dernière afin de faire profiter les personnes suivantes de la vue de la ficelle rouge de mon string entre mes fesses charnues. Justement, c’est un couple d’un certain âge qui me suit. Monsieur en tête qui souffle mais qui s’accroche grâce à la motivation que je lui procure tandis que madame se laisse distancer et ne regarde que ses pieds sur les marches. Après avoir redescendu le talus de l’autre côté, nous bifurquons vers le point de la Mescla où il n’y a pour le moment personne.
Du coup, tout le monde se retrouve en string pour une première baignade pendant laquelle des randonneurs pointent le bout de leur nez mais n’osent pas s’installer au vu de la tenue très légère du groupe. En effet, Ber à prêté un string-ficelle camouflage à Thomas et moi mon jaune minimaliste à Hélène, ce qui fait que nous sommes tous en mini cache-sexe. Du coup, nous avons le coin à nous pour le pique-nique.

Après une sieste et une nouvelle baignade, nous nous séchons et reprenons le chemin du retour. En remontant le talus, comme j’ai fixée ma jupette bien haut sur ma taille, les randonneurs ont des visions agréables. Dans la redescente des escaliers, la longueur très minimale de ma jupe procure aux personnes montantes que nous croisons une vue dégagée sur mon micro-triangle rouge. Et de même pendant tout le chemin du retour car l’arrondi de mes fesses dépasse un peu du bas de la jupe.

Au retour à la maison, nous arrivons au moment où les voisins sont juste en train d’ouvrir le portail pour rentrer la voiture. Ber qui conduisait s’arrête à leur hauteur et nous nous saluons tous. Hélène leur fait les présentations:
- Eh bien, vous connaissez déjà mon fils Thomas…
- Oui, bien sûr, on s’est vu la semaine dernière.
- Et voici mon amie d’enfance Anna avec son mari Ber et leur fille Lola.

La voisine nous présente son couple à son tour:
- Moi, c’est Christine et mon mari, c’est Pierre. On a loué pour les vacances.
- Oui, on est venus visiter la région, mais on finit ce dimanche matin.

Nous apprenons entre autres que Pierre a 37 ans et Christine 35, qu’ils sont de Lyon où ils sont tous deux cadres dans la fonction publique. Je jauge Pierre qui fait environ 1,75 m, un peu enveloppé avec des cheveux courts châtain clair, et Christine, plutôt dans les 1,62 m, un peu enrobée avec de la cellulite, les cheveux blonds au carré. Et pour autant que sa tenue un peu large le laisse deviner, de belles fesses bien rondes et une poitrine 95C dans un soutien-gorge renforcé.

Je prends l’initiative de la conversation et m’adresse à Christine:
- On s’est déjà aperçus, par la fenêtre, Lundi je crois…
- Euh oui, c’est ça, ça doit être lundi.
- J’espère que ça ne vous a pas dérangés que je sois toute nue?
- Euh, non, c’est bon, c’est l’été, il fait chaud, et pour se baigner c’est agréable.
- Tiens, puisque vous partez dimanche matin, et nous aussi d’ailleurs…
- Oui?
- Euh, Hélène, tu veux bien qu’on les invite à un barbecue ce samedi soir?
- Evidemment, ça nous ferait plaisir, au moins une fois depuis que tous êtes là.

Rendez-vous est donc pris pour samedi, et même pour la fin d’après-midi pour profiter aussi de la piscine qui fait cruellement défaut dans la maison voisine.
Je profite qu’ils ne sont pas encore rentrés pour leur offrir une vue sur mon cul en me penchant en avant pour prendre mon sac dans la voiture. En effet, Ber vient juste de décider qu’il vaut mieux aller acheter le nécessaire pour le barbecue de samedi maintenant plutôt qu’au dernier moment, surtout que le lendemain commencent les fêtes de la lavande. Du coup, Hélène préfère aller l’aider et surtout elle tient à payer la note. Donc Thomas, Lola et moi faisons le bout de chemin entre les deux maisons à pied pendant que la voiture s’éloigne.

A peine dans le hall, ma fille et moi nous débarrassons de nos vêtements et allons à la cuisine sortir des boissons bien fraiches. Nous revenons avec des verres et deux bouteilles et retrouvons Thomas déjà à poil et déjà dans la piscine. Nous y plongeons aussi après un premier verre.

En me retrouvant à l’extrémité de la piscine, je constate la présence de Christine à la fenêtre. De là, je vois qu’elle est en bikini. je me hausse sur la margelle et m’y assois, jambes ballantes. Lola me rejoint et prend une pose plus sexy, un pied sur la bordure lui faisant ouvrir un peu plus les cuisses que moi. Nous faisons un coucou à la voisine pour lui montrer qu’on l’a bien vue, signe auquel elle répond.

Je mets alors mes mains devant mes seins et fais le geste d’enlever le soutif et la pointe du doigt. Comme la voisine tarde à réagir, je mime à nouveau le geste et cette fois ça porte ses fruits. La voisine dégrafe son haut de bikini et nous dévoile une poitrine un peu tombante en poires mais apparemment assez ferme. Devant le résultat obtenu, j’insiste en mimant cette fois le fait d’enlever le bas. Et pour lui montrer qu’elle ne risque rien du tout, je me mets une main devant les yeux en montrant que le bas de la fenêtre nous masque tout. Lola s’en mêle et m’imite. Du coup, Christine se laisse convaincre et ses gestes montrent qu’elle le fait vraiment. D’ailleurs, pour nous le confirmer, comme nous ne pouvons pas voir en dessous de sa taille, elle nous présente son bas de maillot. Lola et moi l’applaudissons.

A ce moment, Pierre apparait torse nu dans le cadre et je remarque qui n’est pas trop velu sur le torse. Il a l’air de demander des explications à sa femme. Elle lui montre notre présence, à poil dans le coin de la piscine et lui faisant des signes. Et comme je refais le geste d’enlever le caleçon qu’il semble porter, c’est sa femme qui le lui baisse et vient le présenter à la fenêtre. Lola et moi-même poussons alors un peu le bouchon en écartant plus ostensiblement les cuisses tout en levant les pouces pour les féliciter. Puis comme les voisins s’éclipsent, nous plongeons dans l’eau tiède.

Nous ressortons de l’autre côté pour nous installer de part et d’autre de Thomas qui n’a rien perdu de la scène et qui bande dans son transat sans s’en cacher.

Il s’attend peut-être à ce que l’une d’entre elles prenne l’initiative de s’occuper de lui, mais nous l’ignorons royalement. A la place, je m’allonge à plat ventre sur une serviette et demande à ma fille de me passer de l’huile solaire. Celle-ci se positionne à genoux à côté de moi, faisant face à Thomas et commence à m’enduire le cou, les épaules et le dos. Puis elle descend vers mes fesses qu’elle masse un peu avant de passer aux jambes. Enfin, elle revient sur les fesses et cette fois ses doigts s’insinuent dans mon sillon. Elle regarde Thomas en lui souriant et le mouvement de son poignet ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle est en train de branler doucement sa génitrice.

Evidemment, Thomas tient une trique d’enfer devant un tel spectacle et tente de nous rejoindre. mais comme il se relève, Lola lui fait signe de se rassoir. Il obéit mais prend son affaire en main pour se soulager en nous matant. Lola lui fait à nouveau non de la tête et lui mime le fait de seulement regarder sans se toucher.

Au bout d’un moment, je lâche un gros soupir d’aise et propose à Lola:
- Merci ma chérie, tu veux que je te fasse la même chose?
- Volontiers, M,man!

Nous échangeons nos places mais Lola se met sur le dos. Cela ne me gêne en rien pour commencer directement sur les deux melons dont les bouts pointent vers le ciel. Très vite, je me retrouve avec mes doigts sur le clito de ma fille qui remue le bassin à leur rencontre. Thomas fait une nouvelle tentative de branlette mais je le stoppe:
- Non, attends encore un peu, ça va être plus marrant quand ils vont revenir.

Du coup, Thomas s’imagine bien sa mère les surprendre en action et ça lui donne la motivation pour patienter au lieu de se finir sauvagement tout de suite. Pour l’aider à se calmer, et comme Lola a obtenu un petit orgasme, je m’arrête et offre mon anatomie aux rayons du soleil à côté d’elle. Tout redevient calme.

Un moment plus tard, Lola a envie de changer de sens et se fait enduire le dos par mes soins. Mais alors qu’elle va pour s’allonger, nous entendons le bruit de la voiture et je remets son scénario en route. Je me met sur le dos, ma fille à califourchon sur mes jambes qui me tartine le corps d’huile. Je dis à Thomas:
- Maintenant tu peux te remettre en forme et commencer à te branler doucement.

Ber et Hélène ont fini de ranger les courses. Comme ils se met à poil sans monter dans la chambre, elle fait de même et accroche sa robe à la patère de l’entrée. Elle songe qu’il ne lui a pas fallu longtemps pour trouver ça naturel de se mettre nue dès qu’elle arrive à la maison. Comme quoi, on évolue à tout âge.

Lorsqu’ils sortent, elle reste scotchée en découvrant le spectacle: son fils est en train de se masturber dans son transat en regardant Lola masser mes seins avec l’ambre solaire. Avant qu’elle ne réagisse mal, Ber qui a compris ma manœuvre la retient par le bras en lui disant:
- Attends avant de te fâcher, rappelle-toi qu'Anna t’a conseillé une attitude plus cool.
- Oui, je veux bien, mais quand même…
- Allez, vas-y doucement, sois conciliante.

Ils s’approchent donc, mais ça ne fait que ralentir les mouvements de Thomas qui garde sa bite en main. Hélène attaque en regardant son fils dans les yeux:
- Thomas, arrête de te caresser je t’en prie, tu n’es pas seul…
- Mais Maman, je n’y tiens plus, regarde ce que j’ai sous les yeux!

Ber, dont la queue s’est aussi développée entretemps, intervient:
- C’est vrai que ça incite à se faire une petite branlette, un tel spectacle.
- Euh oui, et ça faisait un bon moment que j’essayais de me retenir…
- Oh, je comprends, c’est normal. Mais on ne te blâme pas. Pas vrai Hélène?
- Euh, non, mon chéri, tu n’as rien fait de mal.

Ber s’assied dans un autre transat en empoigne sa tige:
- Tiens, je vais te tenir compagnie, ça me rappellera quand j’avais ton âge!

Et sans plus de préambule, il prend délicatement son prépuce pour le décalotter et se caresse voluptueusement entre trois doigts. Pendant cet échange, Lola et moi nous sommes assises en face d’eux et ne cachons rien de nos intimités. Je commence même à me passer furtivement un doigt sur la fente. Hélène est soufflée, mais elle abdique et nous laisse faire, au point où elle en est. Elle se rend compte qu’elle est même plutôt excitée en fait. Elle en oublie de s’assoir et ne se rend pas compte qu’elle regarde directement son fils faire aller et venir sa main sur sa bite.

Ber donne des conseils à Thomas:
- Non, pas à pleine main, essaie entre les deux doigts et le pouce, comme ça.

Cette scène surréaliste, se branler ouvertement en plein jour devant sa mère, fait monter la sève de Thomas. Ber le voit venir et propose:
- Attention, le premier qui arrive doit un gage au choix de l’autre. OK?
- Euh, OK!

A peine a-t-il fini de répondre qu’il explose le premier, éclaboussant son ventre de larges trainées de sperme. Le calme enfin revenu, il prend une serviette et s’essuie sommairement avant de se lever en disant qu’il va prendre une douche. Ber lui rappelle qu’il lui doit un gage. Dès qu’il disparait à l’intérieur, Hélène dit à Ber:
- Dis, je veux bien être cool, mais là c’était un peu chaud, non?
- Allons, tu aurais préféré le culpabiliser?
- Non, mais il y a bien un juste milieu, je pense.
- Oh, je parie que ça t’a fait mouiller, ose me dire le contraire.
Euh, tout de même, c’est mon fils…
- En attendant, si tu venais me sucer pour m’aider à conclure?
- Euh, là, devant ta fille?

Lola lui confirme ce qu’elle a déjà constaté sur son ouverture d’esprit:
- Oh, ne te gêne pas pour moi, j’ai souvent vu M,man le faire.
- Peut-être, mais moi…
- Allez, je sais ce que vous avez déjà fait à trois, alors…

Mais Hélène n’ose tout de même pas, donc je me dévoue et viens tailler une pipe magistrale à mon mari. Hélène voit alors Lola commencer à se caresser le clito en regardant ses parents en action. Elle-même sent ses tétons pointer bien durs et sa fente se tremper, et elle finit par y envoyer deux doigts en exploration.

La soirée se déroule plus tranquillement comme les précédentes jusqu’au moment des digestifs autour de la table basse du salon. Ce soir, les alcools coulent un peu plus que la veille, ce qui vient renforcer les effets du gros apéro et du vin consommé à table.

Thomas et moi sommes dans les fauteuils tandis que Ber s’est calé entre Lola et Hélène dans le canapé en face. Il décide de passer enfin aux choses sérieuses en revenant sur les évènements de l’après-midi. Hélène essaie de raisonner son fils:
- Tout de même Thomas, comment as-tu pu faire ça devant moi?
- Euh…
- Allons, ce n’est tout de même pas moi qui t’ai montré cette façon de se tenir.
- Ben, j’étais trop excité pour m’arrêter.
- Euh oui, je reconnais que… D’ailleurs, Anna et Lola, vous pourriez éviter un peu…

Elle stoppe en me voyant me caresser négligemment un téton. Je lui réponds:
- Voyons Hélène, sois honnête, reconnais que ça t’a excitée.
- Euh non, enfin… Ok, oui, ça m’a fait des choses.
- Alors, tu aurais du faire comme nous et te soulager toi aussi.
- Pas devant mon fils tout de même!
- Et pourquoi pas, ça remettrait les choses à plat et serait plus sain.

Ber intercale dans la conversation:
- Tiens, en y repensant ça me redonne la trique, regardez.

Effectivement, sa bite est bien dressée, le gland dehors. Il me demande:
- Chérie, j’ai pas envie de faire ça tout seul, tu peux m’aider?
- Oh, débrouille-toi, et d’abord regarde si ça gêne pas Hélène.
- Oh, faites ce que vous voulez, j’ai déjà assisté à ça tout à l’heure, alors…

Mais c’est Lola qui lui fait une nouvelle surprise en proposant:
- Si M’man est d’accord, je veux bien t’aider, P’ap!
- C’est ça, ma chérie, occupe-toi de ton père…

Et au grand désarroi d’Hélène juste à côté, elle se met à le masturber sans attendre. En face, je me caresse le clito en ouvrant bien ses cuisses pour qu'Hélène en profite. Thomas ne peut retenir une érection, se remémorant la partie à trois de la veille. Mais il n’a pas le temps de se toucher car j’envoie ma main pour le remplacer dans cette opération tout en m’occupant de mon clito de l’autre main. Hélène oscille entre l’envie de se sauver et celle de se jeter sur la bite de Ber.

Je lui suggère de se laisser aller:
- Vas-y, fais comme nous, je vois bien que tu en meurs d’envie.
- Oui, c’est vrai, j’en ai envie, mais faire ça devant vous tous, et surtout Thomas…
- Allez, ne te gêne pas pour lui, fais lui ce plaisir. Tu veux que ce soit Ber?

Et comme elle hésite encore, la main de Ber vient prendre la décision à sa place en se faufilant entre ses cuisses. Elle a la réponse à sa question quand elle sent que les doigts glissent facilement tellement elle mouille et qu’elle se laisse faire bien que son fils la mate. Elle préfère en profiter plutôt que de s’enfuir et écarte ses cuisses.

Les choses évoluent maintenant assez vite quand j’embouche le gland de Thomas et que Ber demande à Hélène d’en faire de même sur lui. Elle se penche et retrouve Lola qui vient faire ça à deux. Ça ne l’étonne même plus de la voir sucer son père. Ni de voir ensuite son fils se faire chevaucher par moi. Du coup elle se laisse emporter par le tourbillon et reçoit Ber en levrette pendant que Lola la caresse partout. Elle est secouée par l’orgasme le plus violent de sa vie. Et pendant qu’elle se remet, c’est sans plus aucune retenue qu’elle accueille Lola entre ses cuisses pour se faire brouter pendant que son père la prend en levrette à son tour. En face d’elle, son fils lui fait un signe avec le pouce en l’air en lui souriant.

A suivre…
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Histoire de Hannapurna

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