L'été sera chaud (10)

Samedi 13 juillet 2013

Ce matin, il est déjà tard quand elle émerge. Etant encore un peu dans les vapes, elle va pour enfiler un T-shirt quand elle se rappelle que ce n’est plus de mise depuis hier soir. Elle se pointe donc sur la terrasse toute nue après un rapide passage à la douche. Elle y retrouve tout le monde, à poil évidemment et pas levés beaucoup plus tôt qu’elle puisque nous sommes à peine en train d’attaquer un gros brunch. Elle s’attable et se restaure elle aussi, ayant une de ces faims après les grandes manœuvres de la nuit…

Puis nous nous mettons au soleil pour nous prélasser. Comme il cogne déjà bien, je lui propose de lui passer de la crème solaire sur le dos. Elle s’abandonne à mes mains qui la tartinent du cou aux talons, mais mes doigts font un peu de zèle entre ses fesses et elle le sent. Elle jette un coup d’œil discret alentour et constate que seul Ber nous voit, Thibault étant aussi sur le ventre avec Lola à cheval sur lui bien occupée à l’enduire lui aussi. Elle se laisse donc faire et desserre même un peu les fesses pour me faciliter le passage. J’y sens comme une invite et la branle jusqu’au bout, ne m’arrêtant que lorsque je sens qu’elle a joui, en silence toutefois pour ne pas éveiller les soupçons des jeunes à côté. Puis Lola et moi nous nous sommes passées seules la crème solaire sur le côté face avant de nous mettre dans les transat. Ber comme à son habitude n’a rien mis, sa peau étant plus que tannée.

Même chose un peu plus tard, mais c’est Thibault qui s’occupe de moi et Ber de Lola. La grosse différence, c’est que les deux mecs ne tardent pas à être en érection à force de tripoter l’un sa tante, l’autre sa fille. De son côté, ma sœur est dans un transat qui lui donne une vue de profil sur ces deux queues bien tendues en arc de cercle. Quand ils ont fini, ils se relèvent et viennent s’assoir dans les transats disposés de part et d’autre du sien, lui exhibant en gros plan leurs glands qu’ils ont décalottés au passage. Comme avec Lola nous sommes assez loin sur la pelouse sur nos serviettes, elle demande à voix basse à Ber et à Thibault:
- Dites, les mecs, ça ne vous ferait rien de ne pas me mettre tout ça sous le nez?
- Pourquoi, ton fils et moi on te fait envie?
- Ah, ah! Très drôle. Non, sans rire, vous pourriez au moins essayer de débander.
- OK, Thibault a déjà eu ce problème cette semaine et il a appris une méthode efficace.
- Eh bien, voilà! Alors faites-le.

Et là, avant qu’elle ait réfléchi à ce que ça pouvait être, Ber commence à se branler, vite imité par Thibault. Elle en reste tellement baba qu’elle ne sais pas quoi leur dire. Elle les laisse bêtement s’astiquer la tige juste à côté d’elle sans pouvoir réagir. Elle regarde surtout faire son fils, en se rendant compte qu’elle se le serait bien fait si ce n’était pas lui et qu’ils ne soient pas en public. C’est lui qui vient en premier, giclant loin jusque sur son torse, suivi par son oncle dont l’éjaculation n’est pas moins vigoureuse et abondante. Elle finit par retrouver ses esprits pendant qu’ils s’essuient avec leurs serviettes, et elle profite que Ber s’est levé pour faire ses remarques à voix basse à son fils:
- C’est certain que cette méthode est efficace. Mais tout de même! Thibault, devant moi?
- Quoi, maman, c’est rien. Lola trouve ça normal quand son père le fait. et moi pareil.
- Ah bon? Parce que tu t’es déjà branlé devant ta cousine et ta tante?
- Ben oui, c’est même elle qui m’a dit de le faire pour me sentir mieux.
- C’est certain que si elle t’y a encouragé, tu n’as pas trop résisté, je vois. Et elle?
- Oh, elle aussi, ça lui arrive de se branler, et même Lola. Même que parfois c’est elle qui branle mon oncle pour le soulager.
- Qui, ta cousine?
- Non, ma tante. Mais si Lola est là, ça ne les gêne pas.
- De mieux en mieux!

Sur ce, l’après-midi tirant à sa fin, Ber va préparer le barbecue pour le dîner. mon neveu se lève et va l’aider. Puis c’est Lola et moi qui nous affairons pour sortir les couverts et l’apéritif. Ma sœur me sens un peu abasourdie, aussi elle nous laisse faire puisqu’apparemment nous n’avons pas besoin de son aide. Elle se rend alors compte que l’épisode qui vient de se dérouler l’a excitée car elle est toute mouillée.

Le repas est l’occasion de se calmer, et même après, quand nous finissons la soirée au salon, Thibault ne bande même pas comme hier soir. Il est même le premier à décréter en baillant à se décrocher la mâchoire qu’il va se coucher. Lola a l’air de bailler autant que lui et ne tarde pas à le suivre. Sève se me retrouve donc entre Ber et moi sur le canapé du salon, et tous les deux nous commençons à la caresser. Elle tente de nous calmer:
- Non, pas ici, on risque de se faire surprendre si mon fils revient, ou votre fille.
- Mais non, tu as vu comme ils étaient cuits? Je te parie qu’ils ronflent déjà.
- Allez, profite, prends du bon temps!

Du coup, elle se laisse convaincre, et doit se dire que c’est même un peu plus excitant de penser qu’on peut se faire surprendre. Donc nous relançons les mêmes manœuvres que la veille, mais au salon, ce qui offre plus de combinaisons grâce à la table basse, au canapé et aux fauteuils. Quand elle est bien lancée et après deux premiers orgasmes et une première éjaculation de Ber dans sa bouche, je la chauffe en lui disant d’imaginer que ce n’est pas son beau-frère qui est là, mais son fils. Ça commence à vraiment l’exciter et elle finit par se prendre à ce jeu de rôle. Je lui susurre à l’oreille:
- Oh, zut, ton fils nous regarde!
- Oh le petit cochon, et il se branle en me matant?
- Oui, tout juste. Et maintenant il s’approche parce que je lui ai fait signe.
- Le petit voyou, tu crois qu’il va essayer de me baiser?
- Je pense que oui. d’ailleurs, tu vas vite le savoir.

Là elle sent la main de Ber lui caresser les fesses pendant qu’il lui dit:
- Bonsoir Maman, tu as un beau cul tu sais?
- Je sais, mon chéri. Tu veux lui faire du bien?
- Oui Maman, j’ai une grosse envie de te prendre en levrette.
- Petit polisson! Mais bon, comme c’est demandé si gentiment, tu peux pour cette fois!

En fait, c’est Ber qui assure les dialogues, mais c’est Thibault, qui attendait comme convenu caché dans le couloir et nous matait en se branlant, qui assure la partie physique du scénario. Ce sont ses doigts et non ceux de son oncle qui pendant cet échange s’occupent de caresser la fente de sa mère et maintenant c’est son gland qu’elle sent venir pousser à l’entrée de son vagin, croyant toujours que c’est Ber, qui assure les dialogues:
- Oui, vas-y, prend-moi fort, fiston!

Sur cette demande, il l’embroche d’un coup et se met en mouvement. Elle sent que c’est bon, mais que ce n’est pas comme tout à l’heure. Et elle en a la confirmation quand elle voit Ber apparaitre dans son champ de vision pour lui présenter sa bite à sucer. Elle commence par nous traiter de salauds, mais c’est tellement bon et elle en est à un point où ça ne lui importe plus que ce soit son fils qui la baise. Elle le laisse la pistonner en force tout en s’activant de la main et de la bouche sur la bite de Ber.

Une nouvelle configuration se présente quand ma sœur voit aussi arriver sa nièce. Ber laisse Sève à sa levrette avec son fils pour en faire de même sur sa fille qui s’est déjà installée à genoux, la tête entre mes cuisses. Eh bien, elle en a des surprises aujourd’hui, la mère tranquille! Mais son fils ne tient pas longtemps à ce rythme et il sort de son vagin pour lui arroser les fesses. Elle fait mine de se fâcher un peu pour le traquenard qu’on lui a tendu, mais nous voyons bien tous que c’est juste pour la forme. Du coup, Thibault n’hésite même pas à lui présenter son gland pour qu’elle le remette en forme en le suçant, et elle, pas rancunière, je le gobe illico. Et dès qu’il est à nouveau en érection, c’est l’anus de sa tante qu’il va honorer sous les yeux de sa mère pendant que cette dernière découvre le goût de la petite chatte de sa nièce, son père l’enculant pendant ce temps.

L’apothéose pour elle, c’est quand elle est en train de chevaucher Ber pendant que son fils l’encule et que Lola avec le strapon en fait de même sur moi. Puis elle a une nouvelle surprise quand elle jouit et que ses deux partenaires la quittent. D’abord elle est très étonnée de voir son fils qui vient me prendre en missionnaire accepter le gland que son oncle lui présente et le sucer pendant que sa cousine vient lui investir la rondelle avec son strapon. Et encore plus quand elle laisse la place à Ber qui vient sous ses yeux sodomiser Thibault et lui envoyer tout au fond de son rectum. Ce qui déclenche sa propre éjaculation, qu’il destine au ventre de sa tante.

Ensuite, lorsque nous somme tous vidés, c’est le moment des révélations et nous nous mettons tous à jour des cachotteries réciproques.


Dimanche 14 juillet 2013

Ce matin, c’est encore tard que nous nous levons, mais comme ils ont de la route, c’est juste une petite baise totalement débridée qui s’improvise. Mon neveu s’occupe plus de sa cousine et de moi que de sa mère, mais c’est parce qu’il sait que maintenant, il pourra le faire quand il veut à la maison. Il faudra juste faire attention à ne pas éveiller les soupçons de son père. Puis ils reprennent la route du Nord en nous disant qu’ils attendront moins longtemps la prochaine fois pour revenir faire une petite fête en famille.

A suivre…