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L'ex bourgeoise 5

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Lue : 4002 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/04/2018

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La demi-heure étant passée, je lui dis : "voilà , tu as eu ta récompense". Elle me répondit "oui Mme, au-delà de mes espérances". Son retour au vouvoiement m'indique qu'elle veut être mon objet et non qu'on soit amantes. Je rentre dans mon personnage en lui disant : "tu en auras d'autres si tu le mérites, va chercher les jouets".

Elle revient mais sans la cravache. Elle l’avait glissée sous le canapé. J'en profite donc pour prétexter une punition. Le lit étant plus confortable, je reste dans la chambre. Je lui fais s'appuyer sur la tête de lit, je m'assois et lui pince un téton de ma main gauche et quand ça commence à être douloureux, je lâche son téton et lui mets un bon coup de cravache, je recommence cinq fois.

Ce jeu est nouveau pour moi. Avant, je ne croyais pas que cela existait ce genre de perversion, je voyais cela comme une caricature, je voyais cela comme un jeu que chacun jouait à tour de rôle, un peu comme une corvée de vaisselle, aujourd'hui, c'est toi, demain, ça sera mon tour, mais je n'imaginais pas que la personne fouettée, humiliée, abusée, y prenait réellement du plaisir.

Sans le savoir, Jean m'a éduquée, et je prends goût à avoir un jouet sexuel, surtout que ce jouet a toutes les qualités qu'il faut. Mme De était déjà une femme que j'enviais étant ado, ensuite c’est une femme, qui, sous ses oripeaux, (c’est ce que je me disais à l'époque, car à vingt ans on pense que celles de cinquante sont des vieilles grands-mères), s'avère être bien conservée.

J'avais vu dans son tiroir à jouets un tube de vaseline. Je le prends et lui dis, "allez, en levrette sur le lit et en travers", tel un toutou elle s'y met. J'enduis sa rondelle et lui mets le chapelet de boules, elle va pour se toucher, je prends la cravache et lui en mets un coup en disant, "sur le lit les pattes, salope", j'attrape son clito pour qu'elle mouille, elle gémit et j'en profite pour lui mettre toutes les boules.

Je lui dis :, "eh bien, tu as du coffre salope, on en met la dedans, y a dû en avoir du passage" (sachant qu'elle a été très attristée du décès de son mari, je n'ai pas été sur le sujet), je lui dis donc : "eh bien, tu n'as pas dû le ménager ton trou de balle, ça a dû y aller les godes, hein putain", titillant son clito pendant ce temps, elle me répond : "oui Mme, j'aime ce que vous me faites".

J'attrape le gode et la pénètre, elle lance un "ouiiii", je l'active, elle veut se toucher, mais je le lui interdis, elle ne peut qu'onduler à son rythme, je m'arrange pour qu'elle ne puisse jouir, et puis au bout d'un moment, je lui dis de se mettre sur le dos, je l'enfourche, mettant mon sexe sur sa bouche, en lui disant, gode toi et suce moi, mais comme ce n'est pas pratique avec ma jambe qui gêne son bras, je lui dis : "attends, c'est moi qui te gode", et je me mets en 69.

Je lui dis, "humm, tu suces vraiment bien putain, tu sais y faire, hoooo salope, tu vas me faire jouir avant toi". J'active le gode, elle s'active aussi de son côté. Nous sommes comme à une compétition, celle qui fera jouir l'autre avant. C'est elle qui gagne. Je retire le gode et je lui bouffe sa chatte pendant qu'elle me boit, elle finit par jouir dans ma bouche aussi.

Après coup, je me dis, que jamais je n'ai vu Jean la sucer. Après avoir joui, je m'allonge sur elle, et lui embrasse les seins. Elle ne me dit pas "je t'aime", mais "je t'adore". Nous avons ensuite été nous rincer, elle a tout rangé le matériel, après ma douche au premier étage, je vais direct au lit, j'entends qu'elle se douche, j'attends.

Au bout d'un certain temps, ne la voyant pas venir, je descends et la vois couchée, je rentre comme chez moi, je vois son air étonné de me voir. La peur au ventre, je m'impose a elle en dominante, j'ai peur qu'elle me dise, "fini de jouer", elle ne dit rien, je lui demande pourquoi elle ne m'a pas rejoint.

"Ho, pardon Mme, je ne savais pas quoi faire, j'avais peur de vous déranger". Mais non, viens lui dis-je, apporte le gode et cravache, on ne sait jamais. En fait, elle apporte le sac plein. Encore sous le coup des orgasmes, nues dans le lit, on se repose un peu, je suis contre elle sur son épaule, elle me caresse les cheveux, un peu comme mère et fille. Je lui dis : on fait une pause, puis on discute un peu sur ce qui nous arrive, elle dit "oui Mme", mais je lui dis, de dire Lucie, le Mme, ça sera pendant le jeu.

Depuis que je lui ai fait le coup du gode coincé dans le canapé, j'étais étonnée que tout ait été si vite,. Elle me dit qu'en plus d'avoir eu "le coup de foudre" le jour de mon installation, elle m'avait remarquée aussi à une kermesse du village, je devais avoir 16 ou 17 ans, que je l'avais troublée avec ma minijupe, qu'elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, car elle n'était pas bisexuelle.

Ensuite, il y a eu le jour de mon arrivée. Elle me raconte qu'elle me guettait le soir quand je descendais l'escalier en chemise de nuit pour venir regarder la télé une dizaine de minutes, elle regrettait qu'ensuite je ne vienne plus. Mais elle ne savait pas que lorsque je ne venais plus, c'était parce que je la laissais seule avec Jean.

Elle ne me parle pas d'être venue dans ma chambre, ni de Jean, elle me dit que lorsque je lui ai montré le gode coincé au canapé, elle n'a pas compris comment cela a pu arriver, mais que lorsque je l'ai pris en main devant elle, elle a été très excitée, mais surtout très contrariée, ne se doutant pas que je deviendrais celle que je suis, une belle fille comme moi avec une femme comme elle, elle prenait mes "avances" pour du foutage de gueule, mais en même temps, elle essayait d'y croire, elle se masturbait tous les soirs en y pensant.

De mon côté, j'étais bien ennuyée pour lui dire que c'était de la voir habillée sexy à la demande de Jean. Je lui invente une histoire dans le sens qu'avant, du temps de l'usine, elle était élégante et que de la revoir là, j'avais déjà cette idée et de voir qu'elle se godait, j'avais décidé de passer à l'acte, car j'avais envie qu'elle soit ma chose, mon esclave sexuelle. Elle m'embrasse, je t'appartiens dit-elle.

La Mme De, public et la Mme De, en privé, ce n'est plus la même. Elle est câline, protectrice, je lui dis, tu feras tout ce que je te demanderais? Elle me redit "oui tout". Voyons voir dis-je... Je me lève, je sors un châle, je lui mets autour du cou, et on va dans la chambre à Jean. La demi lune éclaire un peu le jardin. Je lui dis : "c'est un test, tu sors telle que tu es, tu mets juste des chaussures et tu vas au fond du jardin en marchant normalement, puis tu ne reviens que lorsque j'allumerai la lumière de la chambre".

Elle va pour dire non, mais je la coupe, en faisant la grimace d'un éventuel refus, comprenant qu'elle doit obéir. La gorge serrée, le trou de balle à zéro aussi, elle descend et sort. Les chambres sont éteintes, je la vois en dessous de la fenêtre de ma chambre, puis je vais dans celle de Jean, connaissant l'endroit la nuit pour l'y avoir épiée, le seul endroit à risque, est le devant de la maison.

Je la vois de dos aller au fond du jardin, je vois bien qu'elle est nue. Il fait frais, elle regarde à droite, à gauche, priant que personne ne la découvre, puis elle attend. Comme il fait froid, je ne la laisse que quelques secondes immobile. J'allume la lumière, je contrôle qu'elle revient et je retourne dans mon lit.

Elle revient en disant : me voila Mme. Je lui réponds : bien, petite pute, viens te réchauffer contre moi. Elle ne se fait pas prier, elle frotte nos corps, on s'embrasse, l'excitation la réchauffe rapidement. Les rideaux ne sont pas tirés, je lui dis en retirant les draps : "va t'occuper de ma chatte maintenant, je te laisse libre de choisir comment tu veux me faire jouir, tu as carte blanche".

Je la devine attraper des jouets, et je sens d'entrée le gros gode, je profite. C'est super excitant de commander quelqu'un pour son propre plaisir. Elle me vibre le clito, me pénètre, je gémis sans me retenir, elle me vibre même l'anus par moment. Je comprends pourquoi ensuite, toujours en me le vibrant, elle m'en met un autre plus petit au bord de l'anus.

Je dis, "ho non, pas par là", m'ayant déjà mis un doigt. Elle sait que je dis non pour sauver les apparences, car elle dit, "si Mme, vous allez aimer". Tu sais y faire salope, lui dis-je. Elle me dit : merci Mme. Elle vibre encore un peu, je gémis de plus en plus, elle me retire le petit gode, je dis non, je le sens revenir, mais en fait, c'est le gros qu'elle commence à rentrer.

Je lui dis, "ho non pas celui là". Mon ton n'a rien d'autoritaire, elle me dit : "mais si, Mme, vous allez adorer, regardez Mme, vous écartez même les fesses, pour que ça rentre mieux" . En effet, je facilitais le passage. Une fois rentré bien à fond, j'ai à peine le temps de faire "oufff", qu'elle me suce le clito.

Elle a compris que j'aime être soumise quand je me donne au plaisir, elle joue avec mon autorité, elle sait que je suis à sa merci. Elle retarde mon orgasme, m'en approche et le retient. Je lui dis : "fais moi jouir salope" . Elle me répond : "je m'y emploie Mme", mais je vois bien que ce n'est pas le cas. "Aller putain" lui dis-je. Elle répond, "ho Mme, ce n'est pas digne d'une sainte, ou alors, Mme n'est pas une sainte".

Je dis : "non", elle me répond, "si vous n'êtes pas une sainte, vous êtes quoi Mme". "Vous n'êtes pas une salope tout de même, ni une catin". Je réponds : "si, tu le vois bien que je suis une salope, une gouine aussi". Elle me rétorque :"vous êtes la salope à qui Mme ?". Comprenant où elle veut en venir, je lui dis : "à toi, je suis ta pute, ta salope, fais moi jouir". Elle me bouffe la chatte en prenant le clito par moment, et je pars dans un grand râle de délivrance, je lui serre la tête entre mes cuisses.

Mon orgasme est long, elle me bouffe littéralement, elle se régale de ma jeunesse, elle ne me parle plus, elle aspire tant que j'ondule. N'en pouvant plus au bout d'un moment, je lui cris "assez, assez". Elle s'arrête en me demandant si sa prestation m'a satisfait. Je lui dis que oui, je ne lui parle pas de son arrogance à vouloir me faire dire que j'étais une salope, cela m'a accentué le plaisir.

Elle me dit qu'il se fait tard et qu'il y a les cours demain. Je lui dis de rester dormir. Elle me répond que si elle reste, elle va avoir du mal à résister, et que mes cours risquent d'en pâtir. Je lui dis : "demain matin, je veux le petit déjeuner au lit à telle heure". Elle me répond : "bien Mme, il sera fait comme Mme le désire". Et j'ajoute "et dans la journée, tu iras t'acheter un déshabillé sexy et tu me prendras des bas, pas en boutique mais dans un centre commercial, là ou c'est abordable". "oui Mme" dit-elle.

En fait, le lendemain, elle me montre la tenue qu'elle mettait avec Jean, au cas où, si je fouillais son armoire, ne pas avoir à justifier cette lingerie. Elle me sort même plusieurs soutien-gorge et string ainsi que des bas. Elle n'a pas voulu que je paie, en justifiant qu'elle allait m'arracher mes dessous la prochaine fois.

Je n'aime pas profiter, mais même avec des moyens plus importants qu'en coloc avec Jean, mes finances n'étaient pas terribles, les siens par contre, c'était l'opulence. Elle n'arrivait pas à dépenser la moitié de ce qu'elle touchait en reversions.

Le soir : repos. Même si nous sommes cote à cote à la télé, elle fait le repas, débarrasse, en somme, elle est ma servante. Le lendemain matin, je lui dis d'aller dans un sexe shop, acheter un gode ceinture. Elle fait un "ho", dans le sens qu'elle n'osera pas rentrer. Mais je lui réponds qu'avec tout le matériel qu'elle a déjà, ça ne l'avait pas arrêtée. Ne pouvant pas répondre, elle dit : "oui Mme". Je lui dis : "c'est ça, ou alors, je te ferai traverser la rue comme pour le fond du jardin".

Quand je dis cela, elle ne le montre pas franchement, mais je sais qu'elle craint une telle demande, je sais aussi que ça l'excite. Mais le temps du jeu est une chose, il y a l'image qu'on donne au voisinage, je comprends très bien cela. J'aimerais que Jean me prenne, même de force, mais après, je ne vivrai que dans l'angoisse de croiser quelqu'un qui serait au courant.

Je lui rappelle ce que j'avais décidé, que pour la récompenser, je lui donnais sa demi-heure ou plus, où je me donnais intégralement. En disant cela, elle savait que c'était aussi à moi que je pensais. Je lui rappelle aussi que le soir, je choisis sa tenue, et elle, elle choisit la mienne, qu'en disant cela, je pensais aux dessous.

Le soir après dîner, et après la douche, je lui avais dit de se mettre en déshabillé. Mes affaires quant à moi, sont préparées sur son lit. J'y vois une jupette très courte, plissée, bleu marine, et une chemise à carreaux, culotte et soutien-gorge blanc, des chaussettes blanches aussi et des souliers vernis. Si les premières secondes je ne comprenais pas, tout s'est très vite éclairé... C'est la tenue que je portais à l'époque où mes parents n'étaient pas très modernes, la mode n'était pas dans leurs moyens. Je me suis fait foutre de moi ainsi, je n'étais pas la seule, mais maigre consolation!!!

Je m'habille et la rejoins. Elle me dit : "magnifique Mme". Je lui dis : "sais-tu qu'à une époque, j'étais la risée ainsi". Elle répond : "c'était toutes des idiotes, vous étiez la plus belle, elles devaient rire jaune". Je lui dis : "viens la salope, je vais te punir de me faire porter cet accoutrement ridicule, à genoux devant moi putain". Elle m'obéit. J'ajoute : "que m'aurais-tu fait à l'époque si nous étions comme maintenant"? Elle va pour parler, mais je lui dis : "non, montre le moi, ne me le dis pas, je te laisse commencer par ta demi heure, tient, une heure même".

Elle me caresse les jambes, les cuisses, elle s'approche de mon sexe, mais redescend sa main. "Tu aimes me faire languir?". "oui ma sa….", cela lui a échappé, mais là-dessus, j'ai les mêmes goûts qu'elle. Je lui dis :"pendant cette heure, tu as tous les droits, de me faire faire, de me dire, ne t'interdis rien". Elle ajoute : "même ça"? dit-elle, en me montrant la cravache... J'ai un pincement de lèvres car ce n'est pas mon truc, par contre, la fessée ne me déplaît pas. Je lui dis en grimaçant : "je n'aime pas trop, mais la fessée... pourquoi pas".

Bonne idée dit-elle. Elle s'assoit et me fait mettre sur ses genoux. Je suis en train de découvrir que j'aime être soumise, du moins, lui être soumise, car quand je lui donne "la main", je reconnais là, son ton autoritaire de l'époque, la vraie Mme De.

Mme De n'est pas une imbécile. Avant d'être mariée, elle était enseignante, elle s'est ensuite occupée de l'usine de son mari et elle a fini par la diriger en sous-main. En ce moment même, je me dis que je suis peut-être en train de la perdre, que c'est elle qui va me diriger, l'idée m'excite même. Elle me caresse les fesses, puis un premier coup cingle.

La première chose qui me vient à l'esprit, c'est la honte. Je prends conscience que je lui montre mes fesses et qu'elle me les fesse. Cette honte, au lieu de m'effrayer, m'excite. Elle passe ses doigts sur mon sexe à travers la culotte, elle la découvre toute trempée, accentuant mon excitation. Elle me la baisse ensuite et me remet six autres claques en alternant les cotés.

Je me tiens une main à terre et l'autre sur le canapé, pour rester droite. Elle attrape le gode, et me pénètre avec après l'avoir mis en route. "Alors petite cochonne, c'est bon hein?" me dit-elle. Je lui réponds : "oui Mme sans réfléchir. Je prends une bonne claque sur les fesses en même temps qu'elle retire le gode, et elle me dit : "Mme qui", je lui dis, "Mme de". "Bien petite salope, il va être temps de te dresser" me rétorque-t-elle. Je lui réponds : "Oui Mme De". Elle avait compris que c'était la "châtelaine" qui m'excitait.

Elle entretient comme elle sait le faire, mon excitation prés de l'orgasme, sans l'atteindre. Je me donne entièrement à elle. Je perdais le contrôle, elle le savait, c'était elle qui avait le dessus, aucun homme ne m'avait excitée ainsi et aucune fille non plus. Elle avait l'expérience, mais laquelle, je ne lui connaissais aucune aventure lesbienne.

Le plaisir est tellement intense par moment, que je l'arrête avec ma main. Elle me dit : "Hoo!!! elle se rebiffe la cochonne". Elle sort les deux attaches poignets, et me les fixe devant, puis elle reprend. J'ai les deux mains sur le canapé, j'ondule, mais elle s'appuie pour limiter mon déplacement.

Elle me demande si je veux jouir? Je réponds : "oui Mme De". Elle me redemande plusieurs fois si je veux jouir en ajoutant "salope ou petite pute" à chaque fois. Je réponds : "oui Mme De, la salope que je suis veut jouir". Elle arrête de me goder et m'enfonce le gode dans le cul. Elle me fait mettre en appuis sur l'accoudoir, puis je vois la nouvelle acquisition : le gode ceinture, qu'elle s'attache.

Elle me fait serrer l'anus pour éviter que le gode s'échappe, mais elle a juste le temps de le retenir avant qu'il ne tombe. Elle me le renfile et me pénètre la chatte avec le gode ceinture, empêchant le premier de ressortir, elle me lime un peu puis me dirige vers la table, celle-là même où je la voyais avec Jean se faire bourrer. Elle m'attrape les hanches et me bourre pareillement.

Ne pouvant jouer avec mon clito, le plaisir ne monte que progressivement. Elle me lime et je module ses coups de reins pour prendre le maximum de plaisir menant à l'orgasme. Elle me traite de pute, de truie, de salope, de morue. J'adore cela et dans sa bouche, cela contraste avec celle que je connais. Puis finalement, je me fixe, elle sent que je vais venir et ne bouge plus, puis c'est l'explosion, je hurle de plaisir, je me remue à nouveau et elle aussi.

Quand elle se retire et m'enlève le gode, je me tourne vers elle et je sens le plaisir qu'elle a, à m'en donner. Je passe mes bras à son cou et l'embrasse sur la bouche, je sais qu'elle adore ça et moi également. Après s'être sucé les lèvres et les langues, elle me dit que l'heure n'est pas finie. Je lui dis : "non Mme De". Après m'avoir détachée, elle se met sur l'accoudoir du canapé et me dit : "lèche moi le cul salope".

Je m'exécute aussitôt. Elle me guide... tantôt je lui lèche la rondelle, tantôt la chatte. Elle déguste la caresse puis elle me dit d'enfiler le gode ceinture. Elle me met un plug et me demande de lui mettre le sien. Elle m'enfile des boules et me demande de m'allonger sur le dos, elle vient ensuite s'empaler sur le gode ceinture. Je lui malaxe les seins pendant qu'elle se baise sur le gode.

Les boules m'excitent aussi. Elle me regarde en me disant que je suis belle, puis je vois sa bouche s'ouvrir doucement, ses yeux vaciller, la voilà en route sur le chemin de la jouissance. Cela m'excite, certains hommes disent, qu'il n'y a rien de plus beau qu'une femme qui jouit. Cela, je peux le confirmer.

Se doutant du travail des boules, elle me retire la ceinture et va me sucer. En plus d'une bonne langue, elle a aussi une façon particulière de faire rouler mon clito entre ses doigts. Quand je recommence à vouloir l'arrêter, elle passe ses mains par en dessous de mes cuisses et me tient les mains qu'on a enlacé. Elle me bouffe la chatte, se servant de ses mains qu'elle me tient pour que sa bouche ne se décolle pas de mon entrecuisse.

L'orgasme arrive, j'ondule pour essayer de frotter mon sexe sur sa bouche, mais elle me tient fermement. Je jouis à nouveau. Elle me lâche les mains, je lui attrape la tête pour qu'elle accompagne mes soubresauts. Je suis sur le canapé sans force, elle est assise à terre adossée au canapé, la tête en arrière sur mon ventre, nous reprenons notre souffle.

Cette fois, l'heure est passée. Je lui attache les poignets avec les chevilles en étant à genoux sur le canapé. Je la lèche puis je la gode. Quand elle est prête, j'essaie de lui attraper le clito comme elle me fait, mais je suis moins douée. Une fois qu'elle est bien excitée, je me mets sous elle en 69, et je la gode ardemment attachée comme elle est, elle ne peut que m'embrasser les cuisses et aussi le sexe quand je me place.

De la sentir excitée, ses baisers font que je commence à ressentir une excitation. Avec mes jambes, je me positionne pour qu'elle ait mieux accès à ma chatte. Elle me suce, mais elle jouit bien avant moi. Elle ne se retient plus du tout maintenant, elle hurle comme une truie. Une fois sa jouissance passé et pendant qu'elle se remet, j'ai entrepris de me goder pour soulager le plaisir qu'elle m'avait refait naître.

Une fois remise, elle me regarde me masturber. Cela m’excite d'être regardée. J'alterne entre me goder la chatte et me vibrer le clito. Quand je me vibre, je lui demande de me sucer l'anus et quand je me gode, elle me suce le sexe. Je regrette qu'elle soit encore attachée, mais je n'ai plus le temps d'attendre, le plaisir revient et je jouis. Elle me dit : "qu'est-ce que tu es belle quand tu jouis", et aussitôt retourne me boire.

Je suis affalée sur le canapé et elle a sa tête dessus en étant au sol. Quand j'ai récupéré un peu, je la détache et elle vient me câliner. La salle de bain du RDC a une baignoire en plus d'une douche, elle me propose un bain que j'accepte. Elle m'appelle quand c'est prêt. J'y vais et je lui dis de rentrer dedans et je m'installe devant elle, entre ses jambes.

On s'entend bien, j'ai comme une affection maternelle pour elle et elle me considère comme sa fille en dehors de nos jeux. Elle m'embrasse en disant que je suis sa fille qu'elle n'a jamais eu. On s'oblige à une journée soft entre chaque séance, même si des fois, ça dérape. Le samedi, elle me demande si je veux faire du shopping avec elle l'après-midi, je dis : "oui, pourquoi pas?"

Nous avons traîné et dans un magasin où nous avons trouvé pas mal de choses intéressantes, elle a acheté à tout-va, même certains vêtements où je lui faisais comprendre en essayant de ne pas être blessante, que cela irait très bien sur une fille comme moi, mais pas sur une femme comme elle. Faisant sous-entendre que sur une jeune, ça faisait à la mode, mais pas sur une dame comme j'avais dit. Elle ne m'a pas écouté et je n'ai pas voulu insister.

Étant à côté d'elle, la note m'a fait frémir. Nous sommes aussi allés aux manteaux où elle s'en est acheté deux, dont l'un était plutôt fait pour une fille de mon âge. Puis nous sommes allés acheter des bas, porte jarretelles, string et soutiens gorge. J'achète une paire de bas pour lui remplacer ceux empruntés, elle en achète une dizaine. Elle cherche à me plaire et je ne peux pas lui en tenir rigueur.

Elle prend également trois déshabillés. "Tout ça?" lui dis-je tout bas. Quel plaisir ça doit être de prendre ce qu'on a envie sans compter. On traîne, on flâne et le soir, elle me dit : "on mange au restaurant. Je lui dis : "non, je ne suis pas habillée". Elle me répond :"c'est vrai, vient, on retourne dans la boutique de lingerie, celle la plus prés", et elle me donne ce qu'elle a acheté en me disant : "comme ça, je verrais si ça me plaît". Vu comme ça, je dis : "oui" et je m'habille de la tête au pied.

Elle me dit en sortant : "attend viens". On rentre dans un magasin de chaussures , et en choisit deux paires que j'essaie. Elle n'essaie rien, me disant qu'elle ne retire pas ses chaussures à cause de ses pieds qui ont gonflé. Il y a une paire qui me plaît, et une autre où les talons sont plus pour une soirée que pour marcher, et c'est celle-ci qu'elle me dit de garder pour me les "faire" dit elle.

Je suis un peu gênée... Je suis habillée avec ses affaires, mais il est bon de rêver un peu. Nous dînons, et s'il m'est déjà arrivé de sortir entre copines, bien souvent celles-ci me faisaient honte en public, se comportant dans un restaurant étoilé comme dans un fast-food, là, c'était le contraire. Je me calquais sur elle, ne voulant pas lui faire honte. "Tu es magnifique ma chérie" me dit-elle, et je lui réponds : "je crois que tu as raison, si je mettais cela, j'aurais l'air d'une cruche".

Je lui dis, que je vais donner un coup de fer et qu'ils ne verront pas que je l'ai mise. Elle ne répond pas et on change de sujet. Je profite de l'endroit et d'être ainsi vêtue. A minuit, mon carrosse va se transformer en citrouille, mais ce que j'aurais eu, me fera un souvenir que personne ne pourra me prendre. Le soir, nous faisons relâche, sauf au petit câlin, je me fais câliner et elle me materne, tout le monde est content.

Le matin, petit déjeuner au lit que l'on prend ensemble, car "je l'exige". A ma sortie de douche, elle est au téléphone et je l'entends dire : "ha non, je préfère encore les donner aux Emmaüs". "Qu'y a-t-il?" lui dis-je. Elle me dit que les magasins ne reprennent pas les affaires.

Elle prend un journal gratuit distribué dans les boites aux lettres et écrit, manteau, elle le décrit, et au prix, elle met : 10 francs. Je fais : "quoi? Mais vous l'avez payé vingt fois plus!" Puis elle continue : chaussures 10 francs, tailleurs 15 francs... Elle revend la moitié de ses achats pour une poignée de cerises.

Je vais pour lui dire qu'à ce prix-là, je les lui achète, mais je n'ai même pas le temps de le lui dire, que je me dis que je suis conne. "Ne seriez-vous pas en train d'essayer de me baiser?" Je vais chercher une paire de ses chaussures et la taille est du 40 alors que je fais du 38. Pendant le jeu, je la tutoie et elle me vouvoie, mais en dehors, elle me tutoie et je la vouvoie.

Elle me dit qu'elle a passé son meilleur moment shopping hier, de me voir heureuse d'essayer des vêtements qu'elle avait déjà décidé de m'offrir et me connaissant, elle a employée ce moyen. Je lui indique ma gêne, que je ne suis pas là pour profiter d'elle, de m'héberger est déjà bien. Elle me fait le couplet du genre ou le plaisir d'offrir est plus fort que celui de recevoir, que l'argent qui reste sur un compte est de l'argent triste.

Elle me prend dans ses bras et me dit : "laisse moi me faire plaisir ma petite poupée que je n'ai jamais eue". Je lui rappelle qu'elle a une nièce dans les environs. Elle répond : "oui, elle m'appelle tous les ans, pour me demander si ma santé va bien? Elle se renseigne plutôt si je ne vais pas casser ma pipe de bonne heure, tu l'as déjà vue venir ici". Elle n'a pas tort, elle a mon âge et les fois où elle venait dans leur demeure et qu'on venait jouer ou autre, elle disait que plus tard, tout ça serait à elle.

Mme De, me surprend chaque jour davantage. Nous sommes sur le canapé et je la remercie de sa générosité, je lui dis même, que je ne pourrais pas me justifier auprès de mes parents de tout de ce qu'elle m'a acheté. Elle me dit de dire que c'est pris dans la garde-robe de sa nièce, qui lui a donné pour donner à la croix rouge et que je l'ai autorisé à me servir avant.

Je lui demande si, quand la mère de Jean lui a demandé de l'héberger, si elle a accepté de suite? Elle me dit : "je ne voulais pas, je lui ai demandé qui était la fille qui venait avec lui pour pouvoir dire que je refusais pour elle et non pour leur fils, mais quand elle m'a dit que c'était la fille de (tes parents), sans penser à ce qui arrive, cela a été le contraire. Ton souvenir m'est revenu aussitôt, j'ai eu envie de voir ce que tu étais devenue. Au départ, c'était juste de la curiosité, et puis quand tu es arrivée, j'ai vu que tu étais devenue plus belle que je ne l'imaginais, jamais je n'aurais pensé ce qui nous arrive".

Elle me raconte aussi qu'à l'époque, elle avait peur qu'on remarque son attirance physique pour moi. Alors, elle faisait comme si je n'existais pas, elle avait de mauvaises pensées disait-t-elle. Elle ne comprenait pas ce qui la rendait comme cela, elle n'a jamais eu de rapport bi dans notre village. Comme je me serre contre elle, elle se lève et me dit : "attend". Puis elle se lève et va dans son tiroir prendre un album photo.

Je vois une photo de groupe où je suis en jupette à carreaux et chaussettes blanches, et elle me montre une autre photo, la même, où je suis seule en agrandissement. "Tu m'en veux" me dit-elle ? Je lui réponds : "oui, de ne pas avoir fait ce qu'il faut à cette époque". Elle va pour s'expliquer, mais je lui dis que je plaisante, que je sais maintenant le risque que c'était.

Elle me tend son tailleur et me dit : "rend moi heureuse, je suis triste de ce temps perdu qui ne se rattrapera jamais". Ironiquement, je lui dis : "j'accepte, mais à une condition! Vous restez mon esclave sexuel quand nous serons seules". "Oui Mme" dit elle. "Bon allez salope, c'est toi qui vas m'habiller. On va sortir, on mangera un casse-croûte là où on sera". Elle me retire ma sortie-de-bain et me met mon soutien gorge en me frôlant.

Pareil pour le string qu'elle me rentre dans la raie. Elle me caresse en enfilant les bas sous prétexte de les défroisser ou les tendre, la jupe et le chemisier ensuite. Nous sommes sorties et elle a voulu manger au restau. J'ai accepté, car moi aussi je préfère ça au casse-croûte au pain dur avec du jambon moisi. Je me sentais bien dans ma peau, j'étais sexy sans être vulgaire, et elle était fière d'être en ma compagnie. Il faut dire que même, si je ne l'ai jamais été vulgaire, je n'avais pas vraiment de maintien, ni de verbe. Sortir tous ces mots crus lors de nos jeux, m'obligeait à être plus attentive à mes paroles et compenser en étant le contraire.

Elle savait me reprendre sans être vexante... "Ton dos, redresse le. Ton coude, pas sur la table. Ta main, pas dessous la table. Le : "on peut avoir du pain svp", devenait : "pourrions-nous avoir du pain svp"? Elle était heureuse, elle me faisait passer pour sa fille, là où personne ne la connaissait et sa nièce avec ceux qui savaient qu'elle n'avait pas d'enfant. Le mois passe.

Un soir, en semaine, quand je révisais, elle me complémentait mes cours, ma moyenne avait augmenté. Nos soirées étaient sexe, on se raisonnait. Les soirées câlines, c'étaient tous les jours. Un soir, sans réfléchir, j'attendais un coup de téléphone, et celui-ci sonne. Je décroche et en fait, c'était pour Mme De. Je fais patienter et pose le combiné et je vais l'appeler en cuisine, la hotte fonctionnait. Je lui dis : "maman, c'est pour toi, oups pardon" lui dis-je. Je me sentais mal, je n'osais pas la regarder en face, je restais dans la cuisine pour essayer de trouver une excuse.

Une fois qu'elle a raccroché, je l'affronte en lui demandant pardon en cherchant une excuse, mais elle me dit : "tu viens de me faire le plus beau des cadeaux, et de façon naturelle". Elle me dit, "nous faisons l'amour entre mère et fille, mais l'inceste en moins". Le week-end, elle m'accompagne chez mes parents. Elle veut aller à l'hôtel, mais mes parents sont contre. J'ai alors l'idée de dire : "qu'elle prenne mon lit, et moi je mets un matelas pneumatique par terre dans ma chambre aussi, en mettant un drap punaisé au plafond". Mes parents veulent proposer leur chambre, mais elle dit : "non, votre fille a raison, ça m'ira très bien comme ça".

Ma mère dit : "mais on ne peut pas traiter Mme De, de cette façon". Elle lui répond, "ho vous savez, j'ai vieillie comme tout le monde et la vie nous remet en place, je serais là comme dans un palace". Mes parents remarquent mon changement, ils la remercient pour tout. Elle répond, que c'est elle qui les remercie. Ma mère a frôlé l'infarctus et la honte, quand Mme De l'aide à débarrasser la table en disant de laisser.

Mme De ironise en disant : "j'ai si mauvaise réputation que ça, de croire que je ne sais pas débarrasser une table". Ma mère s'en défend de penser cela. Je l'avais prévenue qu'en soirée, j'allais rejoindre des copines comme à chaque fois que je viens. Elle reste donc avec mes parents, j'ai su plus tard, qu'ils avaient discuté de mes études, Mme De a joué de son autorité naturelle.

En leur disant : "voilà, votre fille aurait voulu faire trois ans de plus", mon père allait dire : "nous savons bien, mais….", "laissez moi finir" dit elle. Elle sort son chéquier et leur fait un chèque de la pension perçue jusqu'alors, ne leur laissant pas le choix. Elle leur dit : "les trois ans, elle les fera sans loyer comme c'est le cas, ni pension, maintenant, j'ai des connaissances dans l'enseignement, je peux un peu faire jouer le piston. Alors voilà, vous donnez ce que vous pouvez, je mets le reste et elle me remboursera quand elle travaillera".

Ma mère a dû lui dire: "mais c'est votre argent". Je sais qu'elle lui a dit : "mais vous avez votre nièce à aider peut être". Ce sur quoi elle a répondu : "ma nièce, si vous voulez, je vous l'échange contre votre fille et je vous donne de l'argent avec", et elle a argumenté encore. Et mon père lui a dit : "et elle, est-elle d'accord"? Mme De répond : "non elle ne le sera pas, car elle n'est pas profiteuse, sauf si vous, vous la poussez dans le même sens que moi".

M'entendant arriver, elle leur dit : "votre fille, c'est quelqu'un de bien, elle mérite ce que je voudrais lui donner". En rentrant, ils parlaient d'autre chose, de l'ancien temps. Je me suis couchée vers 22 heures et eux vers 23 heures. Quinze minutes après, je l'ai ensuite rejoint dans le lit, nous nous sommes caressées, mais sans jouir pleinement, Mme De n'était pas à son aise.

En allant rejoindre des copines, l'une d'elles me dit : "c'est vrai que tu es avec Jean, dans la même maison". Disant cela, de suite elle pense que je couche avec. Je lui réponds que maintenant il a une copine, mais qu'au début, en effet, il était avec nous, Mme De et moi. J'insiste sur le fait que je suis avec Mme De. Jean, c'est le pervers puissance trois, et Mme De, c'est la morale puissance dix, enfin, dans les esprits.

Et c'est là, que celle étonnée, après quelques confidences sur les garçons qu'on connaît, une fois que nous nous retrouvons que toutes les deux, me raconte que sa sœur plus vieille, qui était sans être mariée avec un copain en concubinage, les deux n'étaient pas très fidèles, par la suite, ils apprirent qu'il avait une maîtresse et elle, c'était la même chose.

Un jour, Jean, se trouvant là où il ne faut pas, surprend sa sœur avec un autre de vingt ans son aîné. Sa sœur découvre Jean qui les regarde, elle se rajuste. C'était dans les premiers temps de la relation avec son concubin. Elle essaie de rejoindre Jean en lui disant que ce n'est pas ce qu'il croit. Ce sur quoi il répond en continuant son chemin : "ha bin si ce n'est pas ce que je crois, aucune raison de ne pas le dire à ton copain".

Elle veut répliquer, mais il lui dit qu'il n'a pas le temps, mais qu'elle le rejoigne dans cinq minutes dans un endroit, un vieux lavoir. "Je verrais ce que je vais faire" dit-il. Elle était embêtée, elle ne voulait pas rompre. Elle va l'attendre à l'endroit indiqué, il arrive et elle essaie de l'amadouer en vantant ses qualités qu'il n'a pas. Il répond qu'il veut bien ne rien dire, mais à condition qu'elle soit gentille.

Disant : "voilà, je ne dirais rien, mais quand tu viendras", en même temps, il lui touche et tripote un sein, "tu me laisseras mettre mes mains partout et", comme il joignait le geste à la parole, en voulant passer sous sa robe, elle lui a mis une gifle magistrale qui a failli le faire trébucher et tomber à l'eau.

Comme cela ne l'a pas suffisamment calmé, elle a continué à vouloir le frapper, l'obligeant à prendre la poudre d'escampette. Il devait avoir 16 ans à l'époque et elle, 25 ans quand elle m'apprend cela. Je ne suis pas étonnée intérieurement, je lui dis que sa sœur a eu raison d'agir ainsi. En moi-même, je me dis qu'il est resté fidèle à lui-même, qu'il n'a pas changé.

Quelque part, il n'a pas mis sa menace à exécution, puisqu'on ne l'a jamais su, il a donc gardé cela pour lui. Je me rappelle le comportement de Mme De, la fois où je l'ai surprise au début avec Jean. Une fois la surprise passée, elle s'était enfermée dans sa chambre. En fait, elle réfléchissait à accepter ou non. Jean était tout le contraire des valeurs qu'elle défendait, du moins de ce qu'elle montrait, mais intérieurement, le "Jean" pervers l'excitait.

Elle s'est vite mise à tout accepter : l'éloignement du village l'a rendue plus souple et plus enclin à des jeux lubriques longtemps refoulés. Si je n'avais pas vu ses photos où je suis, je penserais qu'elle m'avait menti sur ses sentiments pour moi, non pas que je sois amoureuse, mais pour notre complicité, elle avait des fantasmes, Jean lui ouvre la porte d'un, elle s'y engouffre.

Si Jean était tombé sur une femme comme la sœur citée plus haut, il ne se serait rien passé, il se serait fait rembarrer. Les photos l'ont mise mal à l'aise en apparence, mais pas le reste. Je suis certaine qu'elle a du mouiller quand elle s'est vue sur les photos et que c'était Jean qui les lui montrait.

Le lendemain midi, Mme De était invitée chez les parents de Jean, qui nous ont dit de venir aussi. Lui n'était pas là, ils savaient qu'il était avec une copine, et comme ses résultats n'étaient pas mauvais, ils étaient contents pour lui. Mme De disait, que de toute façon, le jour où ça n’irait plus avec sa copine, sa chambre est prête. Elle a refait notre éloge à Jean et moi, ils ont reparlés de l'ancien temps, et en partant, c'est là que j'ai compris qu'ils avaient parlé de moi la veille.

Nous sommes reparties en milieu d'après-midi. Le soir au lit, nous avons rattrapé le temps perdu. Souvent elle me fait mettre ma tenue d'ado le soir. Je ne rechigne pas. Je me coiffe même un peu comme sur la photo. Elle ne m'adore pas, elle me vénère.

A suivre.
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Histoire de annizette

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