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L'inconnu

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Lue : 11217 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/01/2011

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Par un bel après-midi d’hiver, comme tous les jours elle se promenait en raquettes sur un petit sentier en plein milieu d’un bois. Elle le vit s’avancer vers elle. La beauté de la femme l'avait frappé de plein fouet. Tant qu’à lui, c’est son allure de bûcheron costaud et sa démarche nonchalante qui intriguait la femme au plus haut point.

Lorsqu’ils se croisèrent, elle ne put s’empêcher de remarquer le bleu de ses yeux et son sourire radieux. Ils s’arrêtèrent un instant pour parler. Tout en discutant, elle se demanda quel pouvait bien être la différence d’âge entre eux. Il devait avoir au moins 20 ans de moins qu’elle.

Étant une habituée de ce sentier et n’ayant jamais rencontré personne auparavant, elle lui demanda ce qu’il y faisait. Il lui expliqua qu’il avait une petite cabane dans le bois et qu’il n’y venait pas souvent. Soudainement, il avança sa main vers le visage de la femme pour lui retirer un morceau de feuille morte qui devait s’y être posé. Elle sursauta et recula un peu mais la douceur de la main de l’homme la surpris. Ils continuèrent à parler de choses et d’autres. Puis repartirent chacun dans des directions opposées.

Après quelques heures de marche perdue dans ses pensées, belles et douces qui ramenaient à elle l’image de ce bel inconnu, elle ne portait même plus attention aux sentiers qu’elle suivait. Leur rencontre avait réellement perturbée la femme. Des désirs inhabituels étaient nés en elle.

Sans même s’en rendre compte, elle arriva devant la cabane dont il avait parlé. Il sorti et la regarda avec ce petit sourire malicieux. Ils reprirent la conversation. Elle se sentait toute drôle en présence de ce pur inconnu. Il lui dit qu’il venait de préparer du café et l’invita à entrer. Hésitante et craintive, elle fini par accepter. Une fois à l’intérieure, elle devint nerveuse mais la gentillesse de l’homme firent rapidement tomber ses craintes.

Sans même comprendre pourquoi, le simple fait de le savoir si près d’elle l’excitait d’avantage. Lorsqu’il lui servit son café, il posa maladroitement la main sur la cuisse de la femme. Elle sursauta et se raidit. Doucement, il avança son visage près du sien et lui glissa à l'oreille: «vous êtes très belle madame». Ces paroles la déstabilisèrent encore plus. Le soleil haut dans le ciel pénétrait la cabane de sa chaleur. La sensualité et l’intimité était à son comble. Après quelques minutes passé à se regarder tous les deux sans bouger, il lui dit doucement, « laisse toi aller à tes fantasmes. ». Avant même qu’elle ait eu le temps de réagir, il s’était placé à califourchon sur elle et de ses mains avait saisit son doux visage. Lentement leurs lèvres s’approchèrent, se touchèrent déclenchant ainsi un baiser brûlant de passion. Ses mains sournoises s’enfouirent sous la camisole de la femme rejoignant d’un coup ses seins brûlant qu’il caressait adroitement. Leurs lèvres ne s’étaient toujours pas quittées. Le corps de la femme était de plus en plus brûlant sous les caresses expertes de l’inconnu.

Il entreprit de la déshabiller puis lentement la déposa sur une peau d’ours devant le poêle à bois. Tel un robot, elle se laissa faire. Lorsqu’il vint la rejoindre il était nu. Son corps musclé était chaud et doux contre la peau de la femme. Il descendit lentement sur elle et lui dit de fermer les yeux et de se laisser aller. Elle s’exécuta, nourrissant ses pensées de l’image sensuelle qu'offrait son imagination. Il commença à la caresser tout doucement, l'excitation montait en elle. Il effleura de sa main ses seins qu’il caressa avec tellement de douceur qu’elle en tremblait, il lui suça les mamelons déjà durcies encore et encore pendant que sa main descendait plus bas. L’excitation était à son comble.

Elle commença à le caresser dans le cou et sur le dos elle le sentit frémir. Soudainement, sa main experte entra en contact avec sa fente toute humide. Elle frémit. Elle cru qu’elle allait s'évanouir tellement c'était bon. Ses mains douces la fouillait, enfilait ses doigts habiles c’était bon mais ce n'était rien à comparer avec ce qu'il allait lui faire.

Il descendit lentement la bouche sur son ventre tremblant traçant avec sa langue habile une ligne de salive sa barbe de deux jours raclait sa peau fragile, s’attardant à son nombril pour ensuite continuer sa route jusqu’au sexe de la femme qu’il commença à sucer. C'était incroyable, la douceur de la peau d’ours sous son corps brûlant et la chaleur provenant du poêle ajoutait à l’atmosphère déjà érotique de la situation. Elle sentait sa langue profonde en elle Il la suça habilement pendant un bon moment. Le temps semblait s’être arrêté. Elle n'en pouvait plus elle avait envie de sentir sa belle grosse queue à l’intérieure de son vagin en feu. Folle de désir, elle lui demanda de la baiser.

Il lui sourit et s’agenouilla entre ses cuisses ouverte. Elle sentit la tête de son pénis s’appuyer contre l’entrée de son sexe trempé. Avec une extrême douceur il s’enfonça en elle. Elle frémissait, lui martelait le dos, ses jambes entourèrent la taille de son amant. C'était bon il la défonçait comme une bête. Elle criait d’excitation elle atteint l’orgasme qui ne semblait vouloir s’arrêter. Son corps entier sursautait sous le poids de l’homme. Peu de temps après il jouit a son tour. Elle sentait en elle son liquide chaud envahir sa caverne tremblante. Ils restèrent allongés haletant, enveloppés par la douceur du moment.

A sa grande surprise, elle fut la première à reprendre l’initiative. Elle ne se reconnaissait plus elle si timide qu’est ce qui l’avait poussée à de tels actes.

Elle le chevaucha puis lentement se pencha sur son sexe durcit, qu’elle prit profondément dans sa bouche. Elle le suçait avec rigueur pendant qu'il lui massait la chatte. Sentant l’organe de l’homme se contracter dans sa bouche, elle savait qu’il allait bientôt jouir. Rapidement elle s’empala sur la pole rigide et d’un coup se laissa descendre sur son sexe. Deux ou trois descentes sur l’engin de l’homme l’amenèrent dans un tourbillon d’orgasmes qui ne voulaient s’arrêter. Elle sentit à nouveau le liquide chaud de l’inconnue exploser à l’intérieure de sa caverne brûlante. Haletante, son corps nu ruisselant de sueur elle s’écrasa sur lui.
Ils restèrent ainsi un bon moment. Puis lentement elle se leva et se rhabilla. Il était demeuré nu allonger sur la peau d’ours. Nerveusement elle se pencha et l’embrassa une dernière fois avant de le quitter.
Tous les deux étaient engagés et heureux dans la vie. Ils avaient donc convenu que ce merveilleux après midi n’avait jamais existé.
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Histoire de Willyrp69

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