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L'inconnu du métro

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 17/10/2022

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Après s’être embrassé et souhaité un bon week-end, mes collègues de bureaux et moi, nous séparons dans la station de métro. Je sais que certains se retrouvaient en famille. Pour ma part, nous avions décidés, mon mari et moi, de se caler devant la télé, et bien évidemment, baiser. Chris, mon époux, est âgé de trente deux ans, moi de vingt neuf.
Enfin, cette pénible journée de travail terminée. J’allais pouvoir rentrer chez moi, me prélasser dans un bon bain moussant, avec un petit verre de vin à la main, gentiment préparé par mon mari. Je sais qu’après, il me fera un bon massage relaxant, que seul lui a le secret...et puis...
Le métro roule lentement, le wagon est bondé, nous sommes serrés les uns contre les autres. Quoi de plus normal, c’est la sortie des bureaux, et l’affluence est danse.
A la station suivante, une foule considérable monte, et très peu descende.
Je pense à la soirée romantique qui m’attend avec mon chéri, et un sourire apparaît sur mes lèvres.
Je suis agrippée à la barre, tout en écoutant une musique douce, que diffuse la radio dans mes écouteurs, lorsque soudain, je sens une main caresser mes fesses, chassant sur le coup, mes agréables pensées.
Je me souviens du fantasme dont mon mari m’avait parlé, et qui consiste à me laisser caresser discrètement dans le métro, malgré toute une foule de voyageurs, et je me souviens lui avoir donné mon accord, et que je me laisserais faire.
Mais là, c’est une autre main que la sienne qui me caresse. Déjà, en pensant à lui, je ressens les premiers effets de l’excitation. Comme je ne bouge pas, cette main inconnu s’invite à continuer. Je reste discrète, ne laissant rien apparaître de mon état, si ce n’est que je sens ma culotte devenir humide dangereusement, et devenir rouge de confusion.
La main s’aventure alors doucement, lentement sur mon ventre, pénètre sous la jupe de mon tailleur. Ma respiration devient saccadée, haletante. Cette main fouilleuse, continue sa lente exploration, laisse la fièvre s’emparer de moi, tout comme mon mari lui même l’avait imaginé. C’est vraiment excitant. Nous sommes seuls, l’inconnu et moi, à savoir ce qui se passe. La chaleur monte d’un cran.
L’inconnu commence innocemment à se coller contre moi, alors que sa main est maintenant sur ma culotte. Je sens son souffle dans mon cou, et sur ma nuque, mais ne me retourne pas. Je tiens à jouer le jeu jusqu’au bout, pour savoir ou il va s’arrêter. Ma bouche est en train de s’assécher. Il m’effleure par dessus la culotte, me caresse doucement, délicatement. Quel salaud, il aime jouer avec moi, et ça m’excite intensément...il le sait.
Enfin, il finit par écarter l’élastique, et un doigt trouve mon petit bouton durcit par le désir. J’écarte un peu les jambes, le plus discrètement possible, pour l’inviter à poursuivre son exploration, tandis qu’il commence à me doigter doucement. Je sens la chaleur m’envahir, c’est doux, précis, torride, et j’adore ça.
Les voyageurs ne s’aperçoivent de rien. Ils lisent, discutent, racontent leur journée au téléphone, ou écoutent la musique, pendant que lui me caresse divinement.
Je sens que ma mouille inonde son doigt, puisque qu’il glisse parfaitement sur mon clitoris. J’éprouve les pires difficultés à retenir ma jouissance, je dois l’avouer. J’ai l’impression que quelqu’un va se rendre compte de ce qui ce passe.
Il m’arrive de fermer les yeux, me laissant aller au plaisir que ce doigt m’apporte.
Je n’aurais jamais imaginer que cela pouvait être si bon, m’exciterait à ce point.
Décidément, cet inconnu me gâte, et si il vient à conclure cette expérience, qui s’avère fantastique pour le moment, je saurais le récompenser comme il se doit. Je dois lutter de toutes mes forces, pour ne pas laisser mon visage se déformer, et ne pas crier de plaisir. Je sens que je deviens rouge, suite à la chaleur étouffante du wagon, mais pas que...Ma respiration s’accélère, je commence à haleter.
Va-t-il aller au bout de ses caresses, ou va-t-il abandonner, à me laissant frustrée, puis disparaître dans la foule des voyageurs.
Je laisse malgré moi échapper un petit gémissement de plaisir, et lorsque deux ou trois têtes se tournent vers moi, je fais mine de fredonner la musique d’un de mes tubes préféré. Heureusement que j’ai cette excuse, sinon, j’aurais eu du mal à me justifier.
Je m’agrippe encore plus à la barre, j’ai les jambes qui flageolent, mes mains sont toutes moites, lorsque tout à coup je sens mon téléphone vibrer, signe que j’ai reçu un message. Je le regarde et constate que mon mari m’a envoyé un SMS. « Je t’aime ».
Du coup, je prends conscience avec horreur que la main qui me caresse et qui me donne tant plaisir depuis tout à l’heure n’appartient pas à mon mari. Mais qu’ais-je fait, ou avais-je la tête. Que faire...crier au viol, alerter quelqu’un ?
J’aimerais tant, mais je suis obsédée par le plaisir que cet inconnu me donne, un plaisir devenu immédiatement malsain, mais mon corps ne m’obéit plus. Il est prisonnier de la volupté, je ne peux plus m’arrêter.
Je suis en train de réaliser le fantasme de mon mari, sans lui.
Je sens son souffle redoubler sur ma nuque, dans mon cou, accompagné d’un léger murmure à mon oreille.
- Je loues dans un petit hôtel face à la prochaine station, ça vous dit de m’y rejoindre.
- Je lui réponds le souffle coupé, que je suis mariée, et que j’aime mon mari.
- Mais une simple aventure n’interdit pas d’aimer vôtre mari.
- Peut-être, poursuis-je, mais je suis une épouse fidèle.
- Justement, tromper vôtre mari, ne peut que renforcer vôtre amour.
Je suis perdue, cette proposition me trouble. Et ces doigts qui fouille mon intimité, ne font rien pour calmer mon envie d’accepter les avances de cet inconnu.
Je ferme les yeux, ma tête posée sur la barre, je réfléchis.
Le désir prend le dessus, je tente de toutes mes forces de ne pas succomber au plaisir qui ne fait qu’accroître chaque seconde, et me pousse vers cet hôtel.
Je me dis que non, je ne peux pas, je n’ai pas le droit.
Je cherche des yeux quelqu’un qui pourrait m’aider, et vite.
Je ne peux pas jouir comme ça, pas devant tout le monde, ce serait affreux s’ils s’en apercevaient. De quoi aurais-je l’air ?
Je vais bientôt arriver à ma station, je dois tout faire pour tenir jusque là. En fait, c’est à cette station que ce trouve l’hôtel, ou l’inconnu me propose de le rejoindre.
Il me faut résister à tout prix. Seulement, le plaisir est toujours plus fort. Mais c’est trop tard, plus je tente de retarder l’inévitable, plus ça devient intense. Je sens le plaisir suprême m’envahir, je tremble, je me mords ma lèvre inférieure jusqu’au sang pour ne pas hurler, mais ce n’est pas l’envie qui m’en manque. Hélas, l’orgasme me ramène à la réalité, je jouis, et prie que cette jouissance silencieuse passe inaperçu.
Mes jambes manquent de se dérober, heureusement que je m’étais agrippée. La main victorieuse finit par se retirer, certainement pleine de cyprine, juste quand nous arrivons à ma station. Je sors de cette maudite rame, rongée par la honte, sans me retourner. De toute façon, si je le faisais, comment le reconnaîtrais-je ?
Mais la curiosité est trop forte.
Je tourne légèrement la tête, et croise le regard de mon inconnu. Il me sourit, je lui réponds. Il est très beau, dégage une certaine virilité, mais pas du genre à agresser des femmes dans un métro en tous cas.
Je sens soudain une attirance pour cette homme qui s’est permis de jouer avec moi dans un coin de wagon, et qui est parvenu à me faire jouir avec ses doigts, que je sens encore rouler sur mon clitoris.
Mon cœur et mon corps passent au vert, crient leur envie. L’humidité de ma chatte, me rappelle pourquoi elle l’est. Je le perds de vue quand il pénètre dans l’hôtel.
Je crève d’envie de le rejoindre. Il représente tout ce dont je rêve, ce brin de folie qui me manque cruellement, et qu’il vient de me proposer, à peine après m’avoir faite jouir.
J’imagine aisément la rencontre en fermant les yeux. Peu de paroles, seulement ses mains parcourant les endroits les plus intime de mon corps, nos regards se toisant, nos bouches subjuguées l’une par l’autre. Ma décision fut immédiate.
Je rentre à mon tour à l’hôtel, demande le numéro de sa chambre au réceptionniste, évoquant que c’est un ami, et qu’il a oublié un dossier dans le métro.
« Chambre vingt huit », me dit-il.
Je frappe à la porte. Il m’ouvre, torse nu, certainement prêt à aller prendre une douche.
Il prend ma main, me fait entrer dans la chambre, referme la porte. Une fois la porte fermée, je sais que je vais faire une énorme bêtise. Il m’embrasse, sans dire un seul mot. C’est un baiser à la fois fougueux et doux, animal et tendre, chaud et frissonnant. Lentement d’abord, ses mains descendent le long de mes flancs, redessinant mes courbes, me faisant frissonner jusqu’au plus profond de mon esprit. Mon corps, collé au sien, partage ce frisson unique, loin de ma vie bien rangée. Il me plaque contre la porte, tout en continuant de m’embrasser et, d’une main relativement habile, retire mon haut. N’étant pas en reste, j’en fis de même et déboutonne sa chemise. Nos peaux se touchent. Et là, l’objet de mon désir le plus fort que j’ai jamais ressenti en toute une vie, est en train de caresser mes seins qui ne peuvent rester insensibles à ses assauts ni à ses caresses buccales. En un rien de temps, il me débarrasse de mon soutien-gorge.
Tout aussi rapidement, ses doigts courent sur ma peau frissonnante, tandis que sa bouche poursuit son parcours. La jupe retroussée, ses mains sur mes fesses, il s’agenouille face à moi. Délicatement, il me fait écarter les jambes et baise de ses lèvres sensuelle, l’intérieur de mes cuisses en prenant bien garde de ne pas trop s’approcher de cette partie de mon corps qui le réclame déjà de manière si affamée. Il aime jouer, m’en a donné un aperçu dans le métro, et j’adore ça. Puis, il m’ôte la dernière pièce de tissu microscopique qui dissimule mon envie pour lui.
D’un simple jeu de langue, de bouche, de doigts, il est devenu le chef d’orchestre de mes envies, les fait monter progressivement, les attise, jusqu’à m’en faire gémir.
Je me rappelle dans le métro, m’être dit que si ses caresses aboutissaient, je le récompenserais comme il se doit. Cette pensée est toujours présente dans mon esprit.
Le pantalon et le caleçon baissés, c’est à mon tour de jouer avec lui et d’après ce que je vois, ses envies sont déjà clairement exprimées. Ma langue se délie tel un serpent, enveloppant le gland, le contournant, le lovant, le goûtant du bout des lèvres, avant-même de le prendre en bouche. Je le regarde, son visage reflète son désir et j’aime l’effet que je lui fais. Par des mouvements de bas en haut et de haut en bas, allant jusqu'au cœur de son intimité, je sens son plaisir monter et qu’il tente de contenir, malgré mes assauts buccaux, de plus en plus gourmands.
Il empoigne ma chevelure et mes yeux le toisent pour davantage de débauche. Son visage se transforme, l’animal en lui se réveille.
Des signes avant coureurs m’ont avertis d’une éjaculation proche. Soudain, de long jets de sperme tapissent mon palais, et ma langue. Je déglutis pour avaler l’épaisse semence. Ma langue s’enroule autour du gland finit de récupérer le reste de son plaisir.
Me relevant d’un coup pour me plaquer contre son corps, son regard devient sombre, sa faim reflète la mienne, je le veux en moi, maintenant, de suite, sans attendre, et de toute évidence, lui aussi. Plaquée toujours contre cette porte, dos à lui, il m’invite à me pencher, relève ma robe, avant de s’immiscer au plus profond de moi. Je sens sa délicieuse intrusion, millimètre par millimètre. Mon corps qui l’a tant réclamé sait l’accueillir. Le corps cambré plus que de raison, je sens chacun de ses à-coups, les implorants de devenir plus fort.
- Tu aimes ça hein ? Me souffle-t-il
J’entends enfin sa voix, alors que j’en connaissais que le murmure du métro. Les premiers mots qu’il prononce, sont un pur délice. Ce semblant de retenue a disparu, le mien aussi.
- Hum...bien sur que j’aime, dis-je dans un feulement…
- Tu en veux plus ?
- Oui...continue...plus fort…
- Pour une femme qui ne veut pas tromper son mari, dit-il d’un ton ironique.
Il accélère la cadence, donne des coups de reins de plus en plus fort, fait surgir mon plaisir grandissant. L’une de ses mains, posées sur mes hanches pour maîtriser le mouvement, se hasarde à venir claquer mes fesses tendues vers lui. Je ne pus retenir un gémissement. C’est à la fois très troublant et excitant. Abandonnée totalement aux sensations que j’éprouve, je sens que nous ne faisons qu’un. Puis, agenouillée face à lui, réclamant mon dû, son dernier râle de plaisir finit dans ma bouche comme une note douce et savoureuse. Adossée à la porte de la chambre, il s’assit près de moi pour reprendre ses esprits.
Haletant après une telle pression, je me sens vidée, épuisée, tandis qu’il en veut encore. Lentement, il me prend dans ses bras, m’entraîne sur le lit. Pendant ce porté, je sens sa queue frapper mes fesses, et il en faut peu pour qu’il me pénètre. Puis il reprend ses douces caresses. Je m’abandonne totalement quand il ôte ma robe, dévoilant entièrement mon intimité. Il se soulève, finit d’ôter ses vêtements, pour lui aussi se trouver impudiquement nu. Je suis en retenue quand nous vois dans nôtre simple appareil.
Voyant ma gêne, c’est lui même qui prend ma main, et la dirige vers son sexe. Instinctivement, ma main se referme sur sa queue, qui ma foi, a gardé toute son énergie. Je la sens se décalotter sous mes doigts, la sens grossir aussi.
Je glisse lentement sur le drap, et la prend en bouche, entame une lente fellation, qui se termine par des jets de sperme envahissant ma bouche. Je le garde en moi, la langue enroulée autour de son gland.
L’inconnu ne reste pas inactif. Ses mains arrêtent les caresses sur mes seins, et une d’elle vient se loger entre mes jambes, sur ma chatte. Je reconnais immédiatement la douceur perçu dans le métro, celle du doigt qui m’a fouiller, qui a doigté mon clito.
Je remonte sur le lit, lui prends la bouche pour un tendre baiser. Je le plaque sur le drap, l’enjambe, et m’empale sur sa bite en érection. Plus de retenue, plus de mari. Mes reins prennent leur vitesse de croisière sur se pieu que je baise. Hélas, mon envie est telle, que l’orgasme est déjà là, puissant. Je le crie en m’écroulant sur son torse, et lui prends la bouche pour un sulfureux baiser.
Cet homme est hors norme, de par sa puissance, et sa créativité, loin des agaceries de mon mari. Il me positionne pour me prendre en levrette. Une simple levrette venant de lui, devient une œuvre d’art. Il passe de ma chatte à mon petit trou, indifféremment. Quand je sens son gland près d’un de mes orifices, c’est moi, qui d’un coup de rein y empale ma chatte, mon petit trou, ou ma bouche. J’y puise toute son énergie, mais il a des ressources, au point que c’est moi qui faiblis.
C’est vautré sur mon dos, en train de me sodomiser, qu’il me demande soudain de me revoir. Je n’hésite pas une seconde, et lui propose un rendez-vous pour le vendredi suivant, à son hôtel. Je prendrais mon après-midi ce jour là.
Cette fin d’après-midi fut torride, elle a poussé mon corps à l’extrême, en a tiré toute l’énergie, lui a fait découvrir des expériences, jamais réalisées avec mon mari. Cet homme a su puiser toute l’énergie de mon corps, jusqu’à l’épuisement. Je voudrais que le temps s’arrête, je m’enroule autour son corps, pour qu’il me prenne une dernière fois.
Je réalisais enfin que je venais de trompé mon mari, que j’avais été infidèle, mais bizarrement, ne le regrettais pas. Après une heure et demie aussi intense, qu’exaltante, je quittais l’hôtel rapidement, pour rentrer chez moi.
C’est sur le trajet que je reçois un SMS. C’est mon mari qui s’inquiète de mon retard. Je lui répondis que j’arrivais, qu’il y avait eu un problème de rame de métro.
Je lui avais promis en rentrant du bureau, à un moment de folie charnel. Mais comment le regarder en face après ce que je venais de vivre, et m’offrir comme je me suis offerte à l’inconnu du métro. Quitte à simuler, je décide quand même à lui donner ce que le lui ai promis.
Je marche à toute vitesse, et heureusement, au bout de quelques instants, j’arrive à nôtre immeuble. Je me précipite, me sens honteuse, coupable, salie, souillée. Mon mari est là pour m’accueillir avec notre petit baiser habituel, mais mes yeux sont remplis d’une fièvre intense, excité par ma relation sulfureuse d’avec mon bel inconnu.
Je laisse tomber mon sac à main sans même me déshabiller et je me précipite sur lui. Je l’embrasse comme une damnée, comme si j’étais partie une éternité. Il ne comprend pas ce qui se passe. Je lui fais vite comprendre que j’ai une envie folle de son corps, de ses mains, de sa queue tout entière en moi. Mais je dois faire attention de ne pas me trahir, d’aller sur un chemin qui éveillerait les soupçons. Ce que j’ai fait cet après-midi à l’hôtel, n’a rien à voir avec les relations classiques que j’ai avec mon mari.
Malgré tout, je joues le jeu, le couvre de baisers. Il y répond, comme je le souhaitais et nous allons sur le canapé du salon. Les fringues volent à travers la pièce, mon chemisier m’est pour ainsi dire arraché, mon corps a besoin qu’il me le nettoie, qu’il le purifie de ce mal, de l’agression dont j’ai été une victime consentante, il est vrai.
Mais y parviendra-t-il. Saura-t-il me faire oublier cet inconnu du métro, qui m’a apporté tout ce que mon mari ne m’a jamais apporté, et ne m’apportera jamais. Pour l’instant, c’est vrai que je ne veux que lui, même si mon esprit est ailleurs, et je dois avouer que ses caresses me font du bien, elles sont tendres, agréables, douces, à l’image de l’amour qu’il me portes, mais l’excitation et l’intensité n’y sont pas. Malgré tout, je le veux en moi, il reste quand même mon mari.
Il me pénètres aisément, je le sens parfaitement en moi. Sa présence me rassure, je l’enlace, le couvre de baisers. Il commence des mouvements lents, circulaires, il sait exactement ce que j’aime. L’aventure du métro me revient, mais il m’aide en me faisant l’amour, à la chasser partiellement de mon esprit. Nous faisons l’amour longuement, tendrement, nous enchaînons plusieurs positions dans une danse amoureuse, sensuelle et complice. J’espérais que mon mari ne décèle pas de changements, dans ma façon d’aborder cette relation, car c’est moi qui prends toutes les initiatives. Il veut me prendre en levrette, mais elle est banale, sans attrait, ne m’apporte rien, si ce n’est une pâle simulation forcée de ma jouissance. Je parviens quand même à atteindre un petit orgasme, mais qui ne sera suivi d’aucun autre.
Mais en tous ça, j’en suis responsable. Je me sens tellement honteuse et coupable.
S’il savait ce qu’il vient de m’arriver…
Non seulement j’ai réalisé son fantasme du métro avec un étranger, mais j’ai passé le reste de la journée dans son lit, à me faire baiser comme une salope.
C’est lorsque je sens enfin sa semence abondante envahir ma chatte, et qu’il se retire de mon corps, que je me sens libérée. Je suis épuisée de cette torride journée.
Nos visages respirent la satisfaction, lorsqu’il me demandes ce qui m’a pris, pour quelle raison je me suis jetée sur lui de cette manière. Je lui mens en prenant son visage entre mes mains et en déposant un doux baiser sur ses lèvres.
« Parce que je t’aime mon chéri ».
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : L'inconnu du métro

Le 20/10/2022 - 15:28 par Pierre le Grand
Félicitation cela me rappelle une de mes histoires mais en mieux car écrite par une jeune femme comme toi qui raconte ce qu'elle a éprouvé. j'avoue que j'ai été excité à te lire. J'aimerai converser avec toi. Écrire à quatre mains...... Pierre le Grand
Le 18/10/2022 - 13:11 par Aurore34
Je remercie les lecteurs, et de leurs encouragements. Il est vrai que ce site nous permets d'exprimer nos fantasmes, et d'en faire profiter. Pour répondre à la question sur ce récit, et après réflexion, je préfère le laisser en l'état. Bisous à tous...Aurore.
Le 18/10/2022 - 08:30 par frcamalu
Je me pose la même question qu ' Olga, @OlgaT , as tu une idée précise de cette éventuelle suite ?
Le 17/10/2022 - 22:40 par OlgaT
Une suite est-elle prévue?
Le 17/10/2022 - 22:08 par frcamalu
j' adorrrrrrrrrr, merciiiiiii , euhhh cela débute doucement et quelle accélération excitante ;) Fred

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