L'infidéle 2

Ludovic prépare sa vengeance. Dès le lendemain, il contacte des potes, il est bien déterminé de gaver sa femme de queue, elle qui en est si friande. Les amis acceptent immédiatement, certain, sont ravis de participer à une défonce que Sandrine ne sera pas près d'oublier, là, c'est l'occasion rêvée de la faire gueuler comme le recommande Ludovic.


Ludovic exige que sa femme soit nue avant l'arrivée de ses amis. Stressée, elle se soumet au désir de son mari, mais elle accepte la sanction que l'on va lui infliger. Enfin, ils arrivent, trois hommes et une femme maitresse autoritaire au non d'Olga, entrent dans la maison. La femme porte une valise, elle regarde Sandrine en souriant et dit ironiquement :

- C'est elle qui faut mater, j'ai tout se qu'il faut dans la valise !

Elle l'ouvre, Sandrine écarquille les yeux, des godes monstrueux de toutes tailles, des vibros, des menottes, des pinces à tétons, des pompes vaginales et aussi un martinet, avec plusieurs lanières de cuir très fines pour bien marquer la peau, une badine fine en bambou, fait aussi partie du lot. Sandrine reste sans voix devant tout ce matériel de torture. La femme la fait tourner sur elle-même pour admirer ses formes. Elle lui soupèse les seins, lui frotte les fesses en souriant, elle dit :

-Tu vas être gâtée ma salope, une fois que ses messieurs, on auront fini avec toi, je vais m'occuper de toi, comme tu le mérites, nous sommes au courant de tes dérives pouffiasse !

Les hommes retirent leurs vêtements, les membres mêmes au repos sont impressionnants, Olga, reste pour l'instant habillée. C'est elle qui même les débats. Elle regarde Sandrine méchamment et dit :

-Suces les, bouffe-leur la queue, vas-y, je ne le répèterai pas sale pute !

Sandrine ne peut qu'obéir, elle l'a, promit à son mari. Elle saisit une à une les verges encore molles et les branle doucement. De temps en temps, elle donne un coup de langue sur les glands qu'elle décalotte avec dextérité. Les trois queues se dressent rapidement. L'infidèle s'évertue, en suivant les indications de la maitresse femme, de sucer les bites avec ardeur. Un homme s'allonge sur le sol, la femme ordonne à Sandrine de s'empaler sur sa queue, sans préparation préliminaire avant. Elle enjambe le corps de l'homme, saisit sa queue raide et la dirige vers sa chatte, le gland appuie sur ses grandes lèvres, elle descend encore un peu son corps, les grandes lèvres s'écartent, le gland s'engage dans la gaine pas encore préparée. Sandrine grimace, car la queue du mec et hors norme. Le gland est à peine engagé dans son vagin que qu'Olga appuie de toutes ses forces sur les épaules de Sandrine pour l'empaler totalement sur le pieu monstrueux.

Sandrine pousse un long râle rauque pendant la pénétration brutale. La femme lui demande de faire l'ascenseur. En prenant appuie sur ses mains, elle commence à faire des montées et des descentes sur le manche qui la fait grimacer. Un coup de martinet sur le dos la fait cabrer, elle se plaque contre le torse de son baiseur. C'est le moment pour l'autre homme de lui enfoncer sa bite dans le cul jusqu'aux couilles. Le troisième lui frotte son gland sur les lèvres.


-Automatiquement, Sandrine ouvre la bouche et gobe le cèpe volumineux. La femme maitresse est satisfaite de la bonne volonté de sa soumise. Elle l'encourage même :

-Bouge bien sûr les queues, agite ton popotin, choisis le rythme adéquat, surtout continues de sucer la queue !

Dilatée par devant et par derrière, Sandrine comme à grogner en agitant son bassin, sa bouche fait des merveilles sur le gland violacé, c'est elle qui gicle la première en lui remplissant la gorge de semence brulante. Olga lui lance :

-N'en perd pas une goutte, avale tout, régale-toi salope !

Les deux baiseurs ne la ménagent pas, ils la pilonnent comme des soudards, en terrain conquit. Les râles de Sandrine deviennent bruyants, elle ondule de plus en plus rapidement des hanches, se Cabre et jouit fortement. Les deux hommes donnent des coups de reins violents, à chaque coup de pilon, Sandrine sursaute sur les queues puissantes.
À tour de rôle, les deux types se vident dans ses entrailles, en grognants comme des fauves. Les trois font une tournante, le changement d'orifice se fait plusieurs fois de suite. Tant que les hommes ont de la semence dans les couilles, il la démontent sauvagement. Elle s'abreuve de sperme en avalant sans rechigner. Elle re-jouit sous les assauts redoublés et brutaux des hommes bien déterminer de bien mener leur mission. Les trois hommes lui remplissent encore les trois trous abondamment en grognant comme des fauves en ruts.

Sandrine gémit fortement en jouissant encore une nouvelle fois. Olga recommande aux hommes de recharger leurs batteries en faisant une petite pause en prenant un petit encas, suivi d'une petite pilule bleue pour être plus performant. Sandrine reste un bon moment étendu sur le sol, ses trous béants laissent, échappés le surplus de sperme. Olga regard en souriant, les orifices ouverts. Elle dit en toison Sandrine :

-À nous deux maintenant, là ma salope, tu vas être gâtée, mets-toi sur le dos et ouvres bien les cuisses, je vais m'occuper de ta cramouille de pute, remplit de sperme !

Olga retire ses vêtements, elle se dandine devant Sandrine en souriant, elle dit :

-Tu veux commencer par quel engin, il faut que tu les goûtes tous !

Sandrine regarde les engins du plus gros au plus long, elle fait une moue terrible. Elle désigne du doigt un engin le plus acceptable possible. Olga lui dit :

-Je vais te mettre d'abord en condition ma petite salope jouisseuse !

Elle s'empare du martinet, et fait glisser les fines lanières de cuir sur le ventre et les seins de Sandrine en riant. Elle donne un petit coup bien ajusté sur la chatte. Sandrine se cabre en poussant un petit cri de douleur. Son visage est déformé par un rictus affreux. Un deuxième coup plus puissant lui fait sortir de la gorge un cri terrible. Sa chatte est rouge, les grandes lèvres enflent énormément. Un troisième coup atteint ses seins en les marquant de stries rouges. Olga jette le martinet, les hommes regardent le spectacle avec intérêts, Ludovic jubile de voir sa femme recevoir du martinet. Sandrine soupire en voyant le martinet sur le sol. Mais elle est loin d'en voir terminer avec Olga. Sa chatte, gonflée, lui fait mal.

Olga passe l'étape supérieure, elle demande à Ludovic d'écarter les grandes lèvres de sa femme et de bien les maintenir ouvertes. Elle saisit la badine et commence à tapoter le clito qui rapidement change de couleur, il tourne au violet. Sandrine serre les dents, elle se tortille comme elle peut, de grosses larmes coulent sur ses joues. Les coups deviennent plus violents, le clito est méconnaissable, il est énorme. Enfin Olga cesse de frapper, Ludovic, malgré que sa femme le cocufiait, a mal pour elle. Il appuie doucement sur le bouton déformé par la badine souple, Sandrine grimace en poussant un long soupir. Il est grand temps de passer à autre chose. Olga est une reine de la dilatation, elle prend le gode choisit par Sandrine et le frotte sur les grandes lèvres et le clito douloureux. Sandrine commence à frémir.

Olga pousse lentement sur le gode, les lèvres s'ouvrent, le gland factice s'engage dans le conduit vaginal, en s'enfonçant de plus en plus loin. La douleur est supportable, car l'engin a un calibre acceptable. Avec adresse et un rythme bien contrôlé, Olga commence le va-et-vient. De temps en temps, elle s'amuse à enfoncer le gode complétement dans le ventre Sa Sandrine qui se cabre. La vitesse augmente, la chatte de la soumise se met à lubrifier naturellement le gode. Le ramonage est intense, Les gémissements de Sandrine deviennent des gémissements de plaisirs. Olga veut faire d'elle une jouisseuse hors pair. Elle l'encourage :

-Jouit salope, ne te retiens pas, explose, explose !

Sandrine sous les regards des voyeurs pousse un hurlement et jouit en serrant les dents.

-C'est bien, nous allons changer de calibre, je vais bien te dilater ma chérie, tu vas jouir encore plus fort !