L'invitée surprise partie 2

Après une douche bien méritée pour ma femme et Saskia, elles m'ont rejoint sur la terrasse où j'avais préparé l'apéro. Leurs ébats de l'après-midi avait dû leur donner soif vu qu'elles ont enfilées leurs verres à une vitesse hallucinante. Ma femme est rentrée surveiller la cuisson de l'ossobucco de ce soir. Puis je romps le silence.
- alors Saskia comment se fait il que tu aies fait autant de route pour venir nous voir et sans Françoise d'ailleurs ?
Elle me répondit :
- dans mon boulot nous étions 10 à postuler pour devenir manager référent et général. Jusqu'à hier il restait moi et un collègue. Après plusieurs tests mon boss à décidé de m'envoyer sur Lyon pour un stage de renforcement avec un test final.3 jours en présentiel à la Cegid ( entreprise fondée par Jean Michel Aulas ) et 6 jours en télétravail. Si je réussis ce test j'aurais une promotion et donc un meilleur salaire dès septembre.
Je la coupais:
- mais il me semblait que Françoise gagnait très bien sa vie et que vous n'aviez presque même pas besoin que tu travailles.
Après une autre gorgée de rosé elle me dit:
- certes mais depuis la dernière fois où l'on s'est vu il y a eu une pandémie, et Françoise étant hôtesse de l'air elle a perdu son boulot. Donc arrivant en fin de droit il va falloir que je réussisse ce test pour pouvoir continuer à vivre convenablement et pas compter à l'euro près chaque mois.
- à oui c'est sur que en perdant son boulot la donne a changé. Et pourquoi ne t'a t'elle pas accompagné alors?
- son ancien employeur ( Air France), lui a payé à elle ainsi qu'à toutes les personnes sur le carreau et n'ayant pas retrouvé de travail un bilan de compétence au Canada. 7 jours de bilan et 7 jours de détente tout frais payé. D'ailleurs elle vous embrasse.
Ma femme arriva et demanda :
- ça va tout se passe bien?
- oui oui Saskia vient de m'expliquer pourquoi elle est là.

Julie assez espiègle rajouta:
- t'as t'elle réellement tout expliqué ? Elle aurait très bien pu aller à l'hôtel tout frais payé par son employeur et bien plus près de la Cegid en plus. Alors pourquoi nous? Tu lui expliques Saskia où tu veux que je le fasse?
- non c'est bon je vais tout expliquer à Théo. Oui j'aurais pu aller à l'hôtel, mais il aurait fallu que j'avance l'argent avant de me faire rembourser et niveau argent en ce moment c'est loin d'être une période faste. De plus sur la région lyonnaise vous êtes les seules personnes que je connais et je me suis dit que plutôt qu'être seule dans une chambre d'hôtel un peu de compagnie me ferait le plus grand bien. Et enfin vu que je suis hébergée gratuitement en échange de votre gentillesse je serais me montrer assez docile si tu vois ce que je veux dire même avec toi Théo.
Saskia venait clairement de m'annoncer après 3 ans sans la voir qu'elle acceptait de donner son corps contre un toit. Ça fait un peu prostitution. D'ailleurs je protestait :
- ta proposition est très sympathique, mais si tu es notre invitée tu ne dois te sentir obligée de rien du tout. Ta proposition fait un peut prostitution sans vouloir t'offenser.
Julie me coupa la parole:
- la semaine prochaine au cabinet dentaire on va trimer comme des fous de 8h30 à 19h30 avec juste une pause d'une demi heure pour manger, avant la fermeture estivale. Toi tu es en vacances, donc déjà ça te permettra d'être moins seul. De plus et même si j'ai plus de souvenir de ce qu'il s'est passé à Biarritz ( cf la discussion mène au défi ), cet après-midi Saskia m'a fait monter très loin et très haut niveau plaisir. Et en plus nos enfants sont en colonie jusqu'au départ de Saskia. Arrêtes de te poser des dizaines de questions et profite. Vu comment j'ai profité avec Fabrice et cet après-midi je vais pas faire ma jalouse si tu profites de Saskia.
Cette dernière renchérit :
- ça n'a rien à voir avec une quelconque forme de prostitution. C'est un échange de bons procédés, vous m'accueillez, vous me faites à manger, vous me permettez d'être en présence de personnes sympathiques et non seule dans un hôtel, et de plus si ça me permet de jouir c'est tout bonus. Sinon avant mon départ faudra m'expliquer qui est Fabrice.
Sur le ton de l'humour j'ajouta:
- bon et bien si vous êtes toutes les 2 d'accord je suis partant.

Une fois le repas terminé Saskia alla se coucher relativement tôt car le lendemain c'était sa première journée de formation à la Cegid et elle ne voulait pas faire mauvaise impression. Une fois posé sur le canapé et tranquille devant la télé Julie me dit avec un détachement qui m'a laissé pantois:
- cet après-midi, j'avais un plug dans l'anus, un gode dans la chatte et le magic wand qui me stimulait le clitoris. Mais il me manquait une chose, ta bite bien dure au fond de ma bouche.
Ne sachant pas trop quoi répondre vu le ton qu'elle a pris pour m'annoncer cela ( on aurait dit Blanche Gardien en moins comique ). Je lui bafouilla :
- mon sexe est toujours là tu peux le prendre en bouche maintenant si tu en as toujours envie ?
Ni une ni deux Julie se jeta sur moi et m'enleva mon short et mon caleçon. Puis ouvrit la bouche pour me sucer. Une pipe merveilleuse. Elle alternait la profondeur, la vitesse ainsi que la pression de ses lèvres sur mon membre bien dur. Elle jouait aussi de sa langue sur toute la longueur de ma hampe jusqu'à mon gland. La pipe n'a pas durée extrêmement longtemps, je dirais environ 5 minutes, mais entre ce que j'ai vu cet après-midi et les corps parfaits de ces 2 femmes enlacées, la proposition très coquine de Saskia et la délicieuse fellation que je venais de recevoir j'appuya sur la tête de Julie et lui balança plusieurs giclées de sperme dans la bouche. Je lui bloqua la tête durant une trentaine de seconde de façon à ce qu'elle n'en perde pas une goutte. J'étais ravi d'avoir les couilles vident avant d'aller dormir.

Une fois terminée nous sommes aller nous coucher. Ma nuit fut très longue et très reposante. Ça faisait bien longtemps que je n'avais pas dormi d'une traite aussi longtemps. Quand j'ai ouvert l'oeil le réveil indiquait 9h45. Après un petit déjeuner rapide je m'attelais à mes activités de la journée. Déchetterie, jardinage et ponçage plus lasure sur la table de la terrasse. Je n'ai pas vraiment eu trop de temps pour moi donc quelque part heureusement que Saskia et Julie avaient des journées bien remplies aujourd'hui. À 18h45 je passa au japonais prendre des sushis pour le repas du soir. Julie arriva 15 minutes avant Saskia, le temps de passer à la douche. Saskia en fit de même une fois rentrée. Je l'ai vu nue quand elle est allée mettre ses affaires dans la balle à linge avant de revenir dans la salle de bain. Je stoppa net. Je la détaillais de la tête aux pieds comme si je ne l'avais jamais vu. Une minute de pure grâce. Puis Saskia lança :
- ça va le spectacle te plaît ? Mais bon là j'ai transpirée toute la journée et je pue donc une douche ne sera pas du luxe.
Je continua la conversation histoire de pouvoir profiter du spectacle un peu plus longtemps.
- tu ne vas pas me faire croire qu'il n'y a pas la clim à la Cegid?
- elle était en panne aujourd'hui et j'espère qu'elle sera réparée pour la fin de semaine quand je devrais y retourner.
- ok embrasse moi et je te laisse allé te passer sous l'eau.
Saskia me prit la bouche avec une douceur infinie. En me remémorant notre escapade à Biarritz il est vrai que même si je l'avais défoncée je ne l'avais pas embrassée. Le temps de me remettre de ce baiser je rejoignis Julie sur notre terrasse.

Puis Saskia fit son apparition par la porte fenêtre. Sublime avec un petit short en jean ras de cuisses et un débardeur rose. Sans soutien-gorge car on pouvait voir ses seins pointés. La chaleur de la journée s'était dissipée et je dois avouer que le soir c'est parfois limite. Je crois et c'est malheureux pour Julie mais que je n'ai eu ce même regard de béatitude en regardant ma femme. Pour me sortir de cet état second je décida d'aller chercher les sushis au frigo ainsi qu'une bouteille de blanc pour les accompagner. Le repas s'est bien passé et Saskia nous a demandé qui était Fabrice. Le temps que Julie lui explique le pourquoi du comment il était déjà 22h15. Saskia demanda :
- demain est ce que je peux utiliser ton ordinateur pour le télétravail ? J'ai oublié le mien à Biarritz. Quelle cruche j'ai pensé à tout sauf à cela.
Je répondis sur le ton de la boutade même si je le pensais quand même très fort:
- alors pour penser à emporter des petits shorts, des strings tous plus beaux les uns que les autres, des petites nuisettes affriolantes, là ya du monde mais pour ce qui est de penser au principal objet pour ton stage tu l'oublies. Mais bon oui tu peux sans problème.
Le ton de la boutade nous à tous fait sourire.
Saskia demanda à Julie de la réveiller quand elle se lèverait comme ça avec un peut de chance de premier module sera vite terminé. Et j'aurais du temps pour profiter des joies de votre village où de Théo.

Le lendemain matin à mon réveil j'avais la gaule du matin comme on dit. Je me suis réveillé d'humeur taquine et tactile. Après mon petit déjeuner je décida d'aller voir si tout se passait bien pour Saskia dans le bureau. En pénétrant dans le bureau je la voyais s'étirer le cou.
- un petit massage lui proposais je ?
- oui je veux bien, tu te baisseras derrière la chaise quand je serais en visio.
Mon massage commença et elle avait l'air d'apprécier ce moment. Puis je dû me baisser. J'en profitais pour lui masser le dos à travers sa nuisette. Puis je repris le massage de nuque. Mes mains commençaient à se balader sur sa poitrine. Saskia me dit:
- arrêtes tes bêtises dans 3/4 d'heure maximum j'aurais fini et je serais tout à toi.
Mais je bandais vraiment et je souhaitais profiter d'elle maintenant. Je réussis à me faufiler sous le bureau. Malgré cela notre invitée avait décidé de ne pas me faciliter la tâche. Elle se dandinait autant qu'elle pouvait. Pourtant je tentais tout pour avoir accès à son sexe. Ce sexe que je n'ai encore jamais goûté, ni même respirer. Je la couvrais de bisous des pieds jusqu'aux genoux. Pour le moment impossible de remonter plus haut tant elle serrait ses genoux de façon à que je ne me fraye pas un chemin jusqu'à son vagin. Puis une intervention du directeur de stage derrière l'écran m'a bien aidé. En gros pour la dernière demi-heure les candidats allaient tous être en visio et s'échanger des idées sur le comportement à avoir avec un employé récalcitrant à l'autorité mais très compétant. En gros en visio Saskia ne pourrait plus se mettre à bouger comme un ver. Une future manager générale qui n'arrête pas de bouger ça la fout mal quand même. J'étais aux anges, j'ai enfin pu lui écarter les cuisses et passer mes mains sous ses fesses. Je lui ai remonté la nuisette au niveau du ventre. En face de moi il n'y avait plus qu'un bout de tissu cachant cette chatte que je désirais tellement.

Je réussi à passer mes mains sur ses 2 hanches de façon à attraper son tanga orange et à le faire glisser jusqu'à ses pieds. Par contre la bougresse avait refermée ses cuisses. Je réussi de nouveau à lui rouvrir mais cette fois-ci je mis directement ma tête entre ses jambes de façon à ce qu'elle ne puisse plus les refermer. J'eus alors une vue presque divine sur ce petit abricot. Tout lisse, vierge de tout poil. J'aurais pu rester là des heures à regarder cette fente d'une beauté sans pareille. Celle de Julie est très jolie malgré le passage de 2 enfants, mais là c'est une œuvre d'art que j'ai sous les yeux. Je m'approcha et je pus en sentir l'odeur. Une odeur très délicate un ton sucrée. Puis je la goûta d'abord du bout de la langue doucement et délicatement puis de toute ma bouche. Saskia me disait tout bas:
- salaud tu vas me faire mouiller. Par contre je jalouse Julie car tu es vraiment doué.
Je pris le compliment et je continua à lui butiner le sexe. Assez voracement je l'avoue. Je m'appliquais le plus possible afin qu'elle profite un maximum. Et puis je n'avais pas besoin de me forcer, son sexe avait vraiment bon goût. Je sentais sa cyprine sur mes lèvres. Puis je lui dis:
- ta chatte est trop bonne je pourrais passer des heures à te lécher.
Elle répondit presque inaudiblement :
- moins fort, je travaille, et au lieu de parler continue.

Elle avait les jambes toujours bien écartées et s'était avancée sur son siège de façon à ce que j'ai un meilleur accès à son vagin. Elle était tellement avancé sur la chaise que je pouvais aller de son trou du cul à son clitoris juste en remontant la tête. J'avais l'impression que même son anus sentais bon. Puis au bout d'une dizaine de minutes de va et viens je décida de prendre soin de son clitoris. Je jouais avec ma langue en la faisant claquer dessus. Elle sursautait à chaque fois. Son flux de cyprine était maintenant bien plus important qu'au début. Je la sentais soupirer de plaisir. Ça devait être une torture pour elle de ne pas pouvoir crier et hurler de plaisir. Me concernant j'étais à l'apogée de l'extase. Butiner ce sexe si exquis c'était un véritable plaisir. Son clitoris se gorgeant de sang avait doubler de volume et avait changé de couleur. Il devenait plus violacé. Je pris ce clitoris entre mes dents et le mordillant. Saskia pour ne pas crier serrait les dents tout en me disant :
- tu vas me le payer, putain c'est trop bon.
Je jubilais, j'étais à 2 doigts de provoquer un orgasme à la plus belle femme que je n'ai jamais vu. D'ailleurs en parlant de 2 doigts tout en continuant à lui brouter le clitoris 2 de mes doigts s'étaient frayés un chemin dans son sexe. Je continuais à mordiller le clitoris tout en jouant de mes doigts en elle. Elle soufflait un peu comme une femme en train d'accoucher. Je pense que c'était sa technique pour ne pas hurler de plaisir.

Puis la session numérique de Saskia fut terminée. Moi je continuais à la masturber avec 2 doigts. Je les retiras pour les insérer dans son anus. Sans effort ils rentrèrent et je commença un mouvement de va et viens à la même cadence que devant. Saskia pouvait maintenant se laisser aller. Et râlait et hurlait d'extase à chaque va et viens. Elle me dit:
- bouffe moi le cul, attache moi, baise moi humilie moi. J'ai envie de toi Théo.
Ni une ni deux je courras jusqu'à notre chambre pour prendre les menottes. Revenu dans le bureau je voyais Saskia se donner du plaisir avec une bougie qui devait traîner dans un tiroir. Je lui passa les menottes au pied de la table, elle était à 4 pattes la croupe bien relevée. Je lui dévoras l'anus comme un mort de faim. Ensuite je rentra dans sa chatte sans aucun ménagement. À 4 pattes par terre je la baisait vraiment salement. Plus je la défonçais plus elle criait et plus je la secouais fortement. Mon sexe coulissait dans son vagin du gland jusqu'aux testicules. Je sentais à chaque fois où j'étais bien au fond quelques gouttes de cyprine s'écouler sur mes boules. Mon sexe était trempé de mouille. C'est pourquoi je décida de la sodomiser.

Sans vraiment de préparation j'appuya mon gland sur son anneau. Ce dernier s'ouvrit sans aucun mal. Puis je rentrais mon sexe en entier. Elle haletait maintenant ce qui me convaincu d'entamer des aller retour dans son anus. J'étais au bord de l'implosion. Du coup je fis un petit arrêt histoire de ne pas finir si rapidement. Sa réaction ne se fit pas attendre elle me dit sous forme de supplication :
- tu fais quoi? Pourquoi tu arrêtes? Continue bordel j'ai envie de continuer à jouir.
Ce petit arrêt m'a permis de reprendre un rythme régulier et rapide pour continuer à lui donner du plaisir. Plus mes mouvements de bassin étaient rapides, plus sa respiration s'accélérait et elle devenait grossière. Et plus elle était excitée plus je me donnais à fond. Au bout d'une dizaine de minutes j'étais en sueur et même si mon corps en voulait encore mes battements cardiaques avaient eu raison de mon endurance et je m'écroula littéralement sur elle. Il me fallait un peu de temps pour la ramoner à nouveau. Je lui donna les clefs des menottes et elle prit les choses en main. Après s'être détachée elle m'allongea sur le canapé derrière l'ordinateur et se mit à me chevaucher. Je ne sais si c'est la lumière, le jeu d'ombre et de lumière ou tout simplement elle mais à ce moment là je perdais toutes notions de temps et d'espace. Elle si belle et charmante assise et empalée sur mon sexe. Je vivais un moment magnifique. De plus elle ondulait du bassin comme jamais aucune femme n'avait ondulée. Je la voyais se mordiller les lèvres à chaque fois que mon sexe rentrait bien à fond. Je voyais ses seins pointés et j'en profitais pour les caresser et les lécher quand elle se penchait vers moi. Ses études de sage femme avaient dûes servir car par moment je sentais son vagin contracté ma verge encore plus fort. J'étais vraiment pas loin de l'implosion. Elle a alors accéléré ses aller retours sur mon sexe. Je sentais mon sexe se raidir encore un peu plus puis quelques secondes après quelques giclées partir au fond de son trou. Je sentais mes testicules se dégonfler au fur et à mesure que mon sperme la remplissait.

Nous avons refait l'amour dans la chambre cette fois puis après une deuxième session nous avons nous nous sommes endormis l'un contre l'autre épuisés par ces 2 séances de sexe assez intense. On aurait dit un vrai couple s'enlaçant après l'amour pour continuer à partager ce moment magique. Et la semaine avec Saskia n'était en plus pas finie.