ACCUEIL > Hétéro > Récit : L'occasion

L'occasion

+35

Lue : 14776 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 27/01/2012

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

L’occasion : Occasion perdue, à tout jamais, sans recours, sans rattrapage possible, cela viens de m’arriver et je ne m’en remets pas, je ne m’en remettrais jamais. Quand j’y pense je ressens un mal être jusqu’au fond de mes entrailles, j’enrage car tout est de ma faute, uniquement. Il aurait suffit de quelques mots pour que tout soit bien ! Si je les avais prononcés qu’en serait-il aujourd’hui ?


Cela avait commencé simplement comme bien des aventures à leur début. Un soir je m’étais arrêté à une station service proche de mon domicile pour vérifier la pression des pneus de ma voiture. Je devais attendre mon tour ; devant moi une jeune femme commençait à promener le tuyau d’air comprimé de roue en roue. Eclairée par mes phares mis en veilleuse j’avais tout le temps de l’observer pour cette occupation d’habitude masculine.


C’était un belle jeune femme, assez grande, elle s’y prenait bien et mon attente serait de courte durée, ce qui tombait bien car j’étais pressé. Elle était jolie, un beau visage encadré de longs cheveux sombres, son corps masqué par un ample manteau d’hiver.

Comme cela m’est déjà arrivé la roue arrière droite posa quelques problèmes ; manifestement la pression ne montait pas et la belle faisait en vain maint aller et retour entre la roue et le poste de commande. Désolée elle me regardait comme pour s’excuser.
Je sortis de ma voiture pour lui proposer mes services
« Je veux bien, merci » me dit-elle soulagée


Nous étions accroupis proches l’un de l’autre, je pris le flexible en lui frôlant la main pour le maintenir bien en place et éviter les fuites. Elle retourna au poste de commande et quelques instants plus tard elle revint vers moi, radieuse, sourire aux lèvres.
« Merci, oh oui merci ! » me dit elle en me regardant gentiment. Elle était magnifique, typée, un regard de braise ; Je lui glissais :

« Vous n’auriez pas des origines marocaines par hasard ? »

Son visage s’illumina, elle me sourit découvrant ses magnifiques quenottes

« Si ! Pourquoi ? »

« J’ai de la famille au Maroc, ma fille, mes petits enfants »

« C’est bien vous y allez souvent ? »

« Une fois par an »

« Cela vous plait ? »

« J’adore ce pays ………le vôtre……celui de vos parents ? »

« Presque…… celui de mes grands parents »

« Je connais beaucoup de Marocains, je les estime beaucoup ! »

« Merci ! Vous êtes très gentil ! »


Ce fut tout, elle monta dans sa voiture et me fit place pour la mienne. J’étais en train de m’occuper de mes roues quand sortant de l’ombre elle m’apparut, s’avançant vers moi, son visage expressif sondait le mien

« Voulez vous mes coordonnées ……….? »

« Pourquoi ? »

« Pour mieux vous remercier de votre gentillesse, pour…….. »


Elle avait l’air gênée en me parlant comme pour s’excuser de sa demande
« Ce n’est pas la peine, j’ai fait cela de bon cœur, je suis gentil par nature et seule vous ne pouviez vous en sortir »

« Et bien bonsoir…….merci …..dommage ! »


Elle disparut et c’est à partir de cet instant que j’éprouvais une immense frustration qui me taraude encore, de plus en plus fort. Pourquoi avoir dit non, que voulait-elle me dire ? Voulait-elle me revoir ? Pourquoi ? Quel imbécile j’étais, mais c’était trop tard, moi qui adore ce genre de relation je l’avais laissée s’évanouir à jamais, je le sentais.


A chaque fois …….. non, pas à chaque fois, mais constamment…… à tous moments, je me rabâche ce que j’aurais du dire et que je n’ai pas dit : ceci par exemple :

« Oui ce serait bien de pouvoir se joindre…… »….

Alors elle m’aurait donné un numéro, une adresse où se retrouver, ou se joindre !

J’aurais pu dire aussi :
« Le plus simple c’est par émail….vous avez Internet ? …….oui…..alors c’est simple……faites pierredlg….vous vous rappellerez ?......dlg comme ‘’ de la garde ‘’, c’est mon nom…mon aïeul était mousquetaire du roi… enfin je crois ! »


Voilà ce que j’aurais du dire et aujourd’hui je saurais ce que cette beauté attendait de moi et peut être serions nous heureux, des amis ! des amants ! Plus peut être !


Quand plein d’espoir, des fantasmes se bousculant déjà dans ma tête j’aurais eu le temps de lui préciser ’’arobas sfr.fr ‘’ avant qu’elle ne disparaisse. Depuis je vous l’ai dit, je ne vis plus, moi qui fantasme beaucoup, vous le savez, je ne peux me faire à l’idée de ne plus voir cette jeune femme et quand j’imagine jusqu’où cette rencontre aurait pu nous mener je souffre au plus profond de mon être.


Pour me réconforter je m’invente des consolations, en vain : j’imagine que cette rencontre aurait pu être néfaste : n’était ce pas une rabatteuse pour des nuisibles, des barbares qui m’auraient détruit ?……..avec son visage si pur ce ne pouvait être cela et je recommençais à souffrir……une escorte girl alors qui n’en voulait qu’à ma fortune ? Me connaissant je me serais peut être laissé faire, elle était si belle, si désirable…….une belle jeune femme qui voulait simplement me remercier, parler avec moi de son pays d’origine, c’est déjà mieux……mais le pire c’est quand je m’imagine quelle avait simplement envie de moi.


Pour diminuer ma frustration j’ai eu l’idée d’écrire cette histoire de vous la raconter , de vous prendre à témoin…..et si comme nous chers lecteurs la belle inconnue, fantasmait elle aussi sur nos histoires coquines, si elle se branchait sur le site, si dans cette histoire que j’écris elle se reconnaissait et venait me rejoindre d’un clic ; indirectement elle a mon adresse ;


Déjà j’imagine nos retrouvailles, heureux tous les deux de ce miracle, dans les bras l’un de l’autre, son manteau qui s’ouvre, ses seins qui pointent sur ma poitrine, son ventre plaqué sur le mien, elle m’offre ses lèvres aux senteurs de miel, oui elle a envie de moi, oui elle aussi à souffert de me perdre………


J’atterris de mon rêve je suis seul, je ne suis pas prêt d’oublier cette déconvenue, cette occasion perdue, perdue à tout jamais. Cela dure depuis des mois, j’en souffre encore, heureusement le site, vos histoires, vos commentaires, vos messages m’aident à estomper cette souffrance qui m’étreint à chaque fois que je passe devant la station service, j’y jette toujours un coup d’œil. Femmes ! Qui fantasmez comme je fantasme, ne m’abandonnez pas !
-------------------

Cette voiture verte à la pompe, cette jeune femme qui regarde le compteur…… je freine brusquement, je fais une marche arrière…..je descends…..je m’approche…….nos regards se croisent …….elle aussi doit fouiller dans ses souvenirs, nous nous sommes vus si peu et la nuit……. Pour moi c’est elle….je lui sourit……elle réalise, je suis près d’elle.

« C’est vous ? » me dit-elle

« Oui, je croyais vous avoir perdue, mais vous êtes là »

« Oui heureuse d’être là…….vous savez je multiplie les passages ici dans l’espoir de vous retrouver, vous ne me repousserez pas cette fois ? »

« Non, cent fois non…..si vous saviez comme j’ai regretté, l’autre fois »

« Pourquoi ? »

« Parce que vous me plaisez terriblement »

« Moi aussi vous me plaisez, j’ai toujours rêvé de rencontrer un bel homme gentil…. C’est si rare !»

« Comment faisons-nous ? Vous avez le temps ? »

« J’ai tout mon temps, je suis libre comme l’air »

« Vous me suivez, ici ce n’est pas, comment dirais je….tranquille »

« Oui arrêtons nous dans un endroit….calme…. pour bien profiter de notre première rencontre ! »


Elle me suivait, quelques dizaines de mètres derrière moi…..où aller ? J’en avais une petite idée…..une idée folle.


La nuit était tombée, j’entrais dans le vaste parking arboré de cet hôtel de grand standing, nous y serions bien pour parler, pour nous découvrir, pour nous raconter………J’allais au plus loin, à l’abri sous les chênes centenaires, elle se gara près de moi et je compris que c’était à moi de la rejoindre. Je m’installais à ses côtés, elle toujours au volant, moi sur sa droite. Nous étions émus tous les deux.

« On s’embrasse ? Tu peux m’appeler Sofia» me dit-elle

« On le mérite bien, moi c’est Pierre» dis je en me penchant vers elle

« Oui nous avons assez perdu de temps » me dit-elle en m’offrant ses lèvres

« J’ai cru que l’on ne se reverrai jamais, j’en étais malade »

« Pourquoi ? »

« Parce que j’ai fantasmé…….. déraisonnablement »

« Tu imaginais quoi,………que l’on baisait……avoue ?

« Je l’avoue…..oui ……j’imaginais ton corps que je n’avais pas vu……tes fesses….ton…. »

« Et alors j’étais bien…..je t’ai plu dans ton fantasme ? Moi aussi je t’ai envisagé ……mais là je vais voir, te sentir……te découvrir……pour de vrai !.......tu veux ? »


Alors elle ouvrit sa bouche sur mes lèvres et tout en mettant sa langue elle posa sa main sur moi, sur mes genoux, elle remonta entre mes cuisses. Je sentis la caresse de ses doigts au travers de mon pantalon, sur mon sexe et tout le temps de son baiser elle s’appliqua et n’eut aucun mal à le faire grossir. Penché sur elle je découvris ses seins en glissant ma main sous son manteau, des seins comme on en rêve, gros, ronds et fermes, cela eut l’air de lui plaire.


Savamment sa main avait franchit le premier obstacle et je sursautais quand elle me saisit la verge encore entravée par mon boxer. La caresse était beaucoup plus précise, sa main virevoltait entre mes cuisses nues et passait du sexe à mes couilles qu’elle empaumait. Ces caresses indirectes que j’adore me firent me tendre davantage, ma verge dressée, décalottée, mais à l’étroit dans mon slip.


Elle appréciait mon sexe, je l’aidais en lui facilitant la tâche, en me relevant légèrement je fis glisser mon pantalon et mon slip sur mes cuisses mettant ma bite et mes couilles à l’air, elle était bandée, dressée, en ordre de bataille…..sa main me repris sans obstacle cette fois.

« Si je m’attendais ! » me dit-elle « Elle est énorme ! »
« Elle te fait peur ? »

« Au contraire, j’ai toujours fantasmé sur une queue comme celle là, comme la tienne…….bien grosse, bien dure, et si lisse……..mon instinct ne m’a pas trompée……j’ai deviné que tu étais un bon coup »

« Ah bon ! Tu vois çà toi ! »

« Oui c’est le don de celle qui aime baiser, tu as déjà du en rencontrer……ne mens pas……. »

« Comme toi……non….si belle…..si directe……mais tu as raison, je suis un bon coup…… »


Alors elle recula son siège et se penchant sur moi elle me dit :

« Tu veux ? »


Si je voulais ! J’ouvris bien mes cuisses pour l’aider à me prendre. Je sentis sa main entourer mon pieu, le saisir, l’envelopper de ses doigts fuselés, à la base au ras de mes génitoires, se fermer sur lui et avec sa bouche absorber la partie de ma hampe qui dépassait en me suçant par des aller et retours vertigineux. Elle s’y prenait bien, elle aimait faire ce geste, ce cadeau, cela se sentait. A cet instant je n’étais plus qu’un sexe Tout mon être tendu émigrait dans cette bouche avec cette langue qui m’affolait.


Je dus me forcer à réagir, moi aussi je voulais la découvrir et le lui caressais les genoux, ils étaient bien ronds, ses cuisses aussi ; ma main remontait vers sa source en caressant la douceur de sa chair nue, je reculais le plus possible le moment où je découvrirais sa chatte en passant de l’intérieur, d’une cuisse à l’autre, en m’attardant dans les fossettes de l’aine, si sensibles, au ras de ses fesses.


Sofia commença à onduler sous mes caresses, elle s’ouvrait le plus possible malgré l’incommode position ; une plainte sortait de sa bouche pourtant occupée, elle se retira en se relevant, sa main toujours serrée sur ma verge lubrifiée, mais quand enfin le bout de mes doigts se refermèrent sur les grosses lèvres de sa chatte elle poussa un petit cri et m’abandonna pour être toute au plaisir qui semblait l’inonder.


Elle portait une petite culotte fantaisie, sa douceur me fit penser à du satin, elle était déjà mouillée ; avec un de mes doigts frôlant le pli de cette frêle protection j’explorais le ruisseau de sa vulve en en suivant son cours de bas en haut et de haut en bas, longuement en enfonçant d’un doigt la soie de ce faible rempart dans sa faille ouverte , délicatement. Puis je lui pris ses lèvres en bougeant mes doigts serrés sur elles je les décalais l’une contre l’autre en d’onctueux glissements. Je n’eus aucun mal à m’insérer sous sa culotte assez ample et pour la première fois je pris connaissance de son sexe, nu, offert, ruisselant, vivant.


Je fis aller doucement mes doigts dans sa plaie ouverte, Elle avait un clitoris respectable, il devait être sensible car il était déjà tout gonflé. Sofia devait être bien car elle bandait, son clito tout érecté émergeait de son petit capuchon et quand je le pris délicatement entre deux doigts pour le décalotter tout son corps d’un coup se tendit en un cri. Dans la fièvre elle avait repris mon sexe et me branlait énergiquement.


Ma main bien à l’abri sous sa culotte lui rendait la politesse c’est ainsi que nous étions tous les deux à faire monter notre plaisir en nous masturbant elle avec sa main serrée sur mon chibre et moi avec deux doigts en elle enfoncés jusqu’à la garde. Nous n’allions pas pouvoir résister longtemps, je me penchais sur elle et je l’embrassais dans le cou.


« Pierre ! Baise-moi ! J’en ai trop envie…..je veux sentir ta grosse queue en moi….je n’en peux plus……mes seins me font mal tant ils sont durs…… »

« Moi aussi je veux te baiser ……comment faire ?...... nous méritons mieux que cette voiture même si elle est confortable…….tu as le temps ? »

« Le temps ! Oui pourquoi ? »

« Tu as la nuit ?

« Que veux-tu dire ? »

« Si tu veux on passe la nuit ensemble…. A l’hôtel !»

« Je n’ose y croire ! Y penser même ! Oui j’ai la nuit…..la nuit avec toi…..avec ta grosse queue…….bien lisse……baiser……baiser enfin…..Va voir si il y a une chambre pour nous……va vite…..et reviens me chercher……. je deviens folle…..folle de toi mon Pierre. »
------------------------------


Un quart d’heure plus tard, je revins la chercher, Sofia comprit à mon regard que nous avions notre chambre. Elle riait en sortant de sa voiture en un écartèlement de ses cuisses, elle se précipita dans mes bras. C’est la première fois que nous étions enlacés ainsi, debout, collés l’un contre l’autre, son manteau ouvert. Elle m’offrit sa bouche et je sentis son ventre onduler sur le mien.


Nous firent maintes haltes sur le chemin qui mène à l’hôtel, serrés l’un contre l’autre, impatients, on s’embrassait à pleine bouche, nos regards fiévreux sous la clarté des lampadaires ; nos mains baladeuses, moi sur ses seins sur ses fesses ; elle, vérifiait la raideur de ma verge sa main passée dans mon pantalon encore ouvert, on riait comme des enfants……’’j’étais heureux comme un italien quand il sait qu’il aura de l’amour et du vin’’


Devant la porte de notre chambre nous étions tous les deux tremblants, la porte se referma sur nous, la chambre était magnifique, il y régnait une douce chaleur, la lumière savamment tamisée, le lit accueillant, son manteau, mon parka volèrent dans la pièce.

« Pierre, prends moi tout de suite, j’en ai trop envie ! »
« Comme çà ? »

« Oui on s’amusera après ! »


Sofia le buste penché face au lit m’offrait ses rondeurs mises en valeur par sa posture. Elle m’encouragea quand je relevais le pan de sa robe découvrant ses fesses masquée par son adorable parure noire, elle s’ouvrit écartant ses cuisses quand je m’approchais ; elle poussa un petit cri quand passant une main en arrière elle sentit ma verge et mes génitoires que j’avais extirpées en hâte de ma braguette ; elle poussa un feulement quand elle sentit s’écarter sa culotte et mon gland se présenter au bord de ses lèvres intimes.

« Défonce-moi ! » me cria t’elle


Moi aussi j’étais au bord de la fusion, les fesses de Sofia étaient splendides, bien rondes, fermes, ouvertes, profondes. Guidé d’une main je présentais mon dard par dessous ses splendeurs, mon gland dressé trouva naturellement son chemin et comme Sofia le voulais je m’enfonçais en elle d’un coup, bien à fond ; alors les mains libres je les mis autour de sa taille et je lui pistonnais la vulve, doucement d’abord puis comme elle m’en priait en gémissant de plus en plus fort de plus en plus vite, mon ventre claquant ses fesses.


Je la tenais aux hanches maintenant, je lui écartais les fesses pour aller plus profond en elle, je me penchais ma poitrine sur son dos et en glissant mes mains sous son corsage et je lui pris les seins, ils étaient nus, bandés, je pris chaque téton bien formé rond et dur entre mes doigts en les allongeait en tirant dessus.


Sofia haletait à chaque coup de boutoir, elle m’encourageait à aller plus fort, plus vite, elle avait passé une de ses mains entre ses cuisses et je sentis sa main à portée de ma verge, elle se massait énergiquement le clitoris, le délaissant par moment pour happer mon membre au passage mais c’est quand elle me prit les couilles que moi aussi je partis en vrille.


Sofia jouissait depuis longtemps quand je la rejoignis dans le plaisir, je sentis mon sperme monter des profondeurs, ramoner ma hampe avant l’explosion au fond de son vagin. Sofia poussa un hurlement, tout son corps tendu, comme tétanisé, son buste s’écroula sur le lit, tout son corps, ses bras agités frappant la couche, sa croupe en furie. D’un coup je sentis sa chatte se dilater, durcir, se mettre à chanter aussi à chaque introspection ; je souillais ses fesses, j’avais du mal à suivre les mouvements désordonnés de son corps et je devais la maintenir bien serré contre moi mon sexe ancré en elle bien à fond


Au bout d’un moment le calme revint peu à peu, je pus reprendre mes onctueux vas et viens de toute la longueur de mon membre, le gland au bord des lèvres avant de le faire replonger doucement. Sofia ronronnait elle sortait du monde du plaisir extrême pour un bien être intense et quand pantelante elle s’immobilisa je me retirais, elle se retourna couchée sur le dos sur le lit, les jambes pendantes dans la travée du lit, radieuse elle me regardait en souriant :

« Nous avons bien fait de nous revoir……chéri ! »

« C’est à çà que tu pensais quand tu voulais me donner tes coordonnées ? »

« Un peu, mais jamais je n’aurais pensé jouir autant, si longtemps et si fort ! »


Alors je me penchais sur elle entre ses cuisses ouvertes pour baiser sa bouche, nous étions dans les bras l’un de l’autre, moi sur elle en essayant de ne pas l’écraser, ma bouche émigra dans son cou et ce chatouillis la fit hurler de rire, j’avais ouvert son corsage pour lui téter les seins, bouche grande ouverte j’aspirais la chair tendre avant de pincer ses tétons entre mes lèvres. Mais déjà ma bouche était sur son ventre, je caressais son corps avec ma langue, je fouillais son nombril, je mordillais la chair tendre de sa taille, mes mains précédaient ma bouche dans sa descente, la prenant sous les fesses je fis glisser son adorable petite culotte et quand ma bouche arriva entre ses cuisses j’eus la première vision… enchanteresse de sa chatte. Elle était assez poilue mais d’une toison sombre, rase, soignée, bouclée, entretenue, ne cachant rien, montrant tout.


Elle était encore entre ouverte et je voyais distinctement ses petites lèvres en corolles se rejoindre sur le chapiteau de son bourgeon caché dans son petit capuchon. Alors je me penchais sur ses merveilles et fit ce que je fais si bien et que j’aime faire si fort.


Je laissais faire ma langue, car rien ne peut remplacer la délicatesse de sa caresse, je la fis aller et venir en l’insérant entre les lèvres de la déchirure rose. Parti d’en bas je léchais la rosette plissé de l’anus mignon en m’attardant le temps nécessaire à faire glousser Sofia de rire ou de satisfaction pour cette très indiscrète effraction.


Mais c’est au bourgeon d’amour que je réservais tout mon savoir faire avec la pointe de ma langue ou avec mes papilles largement déployées, avec mes lèvres, avec mon nez même ; je n’eus de cesse de voir le plaisir l’envahir, de sentir onduler son ventre à la rencontre de mes caresses, amenant ma bouche en des endroits de sa chatte seuls connus des femmes, là où le plaisir est plus grand encore.


Ses mains me caressaient la tête, les cheveux, attirant mon visage pour que la langue la pénètre le plus profond possible. A ses désirs je mêlais ma science et si par moment je léchais son petit cul s’était pout mieux, en remontant ma bouche, retrouver son petit capuchon que je suçais que j’aspirais entre mes lèvres tout en agitant ma langue dans sa vulve.


Le ventre de Sofia était animé de soubresauts incontrôlés, je la laissais prendre elle-même son plaisir, c’est elle qui en ondulant de la croupe présentait sa chatte à ma bouche, à mes lèvres, c’est elle qui ouvrait ses lèvres intimes sur le pointu de ma langue ; j’étais heureux de voir son visage bouleversé, d’entendre ses gémissements syncopés. Elle avait relevé ses cuisses en appui sur moi pour mieux s’offrir. Avec mes mains je lui caressais l’intérieur de ses cuisses si douces si sensibles et ses fesses écartelées ; je joignis mes doigts à la fête et quand par surprise, avec deux d’entre eux, sous ma langue je la pénétrais Sofia poussa un grand cri, tout son corps arc bouté, tétanisé, englouti dans l’orgasme.


Je me relevais rapidement pour ne pas laisser évader son plaisir mais c’est ma verge, mon gland qui maintenant la fouillaient en labourant ses lèvres

« Pierre ! Baise moi je n’en peux plus, glisse moi ta grosse queue dans ma chatte…. »

« Oui ma chérie moi aussi j’attends ce moment


Mais avant de la fourrer j’avançais mon ventre vers le sien, ma hampe bien calée entre ses grosses lèvres ouvertes et par des petits mouvements de reptation je la faisais aller et venir dans sa plaie ouverte. Sofia elle aussi commença à animer ses hanches, son ventre, c’est elle maintenant qui réglait à sa convenance l’amplitude, l’allure de cette branlette jouissive, son souffle devint plus court, ses narines pincées, les yeux fermés elle repartait vers le plaisir. Elle fit en sorte de bien plaquer mon gland pour qu’il maltraite son clitoris à chaque remontée.


J’avais sous les yeux le spectacle ensorcelant du compas de ses cuisses ouvertes, de son ventre en furie, de ma verge qui labourait sa vulve, de son visage bouleversé par le plaisir et l’ envie, c’était le moment, d’une main je saisis mon membre à la base et quand mon gland passa devant sa grotte je forçais son entrée en m’engageant de quelques centimètres seulement.


Là encore, je laissais faire Sofia, je la laissais faire monter son plaisir à sa convenance, je ne bougeais plus et c’est elle qui par à coup s’empalait sur ma verge en remontant son ventre, en agitant ses fesses. Quel bonheur de voir son désir égal au mien, sa manière de prendre l’initiative en ondulant son bassin, maltraitant ma queue. Je voyais ma verge s’enliser peu à peu dans sa chatte déformée. Un rictus aux lèvres Sofia profitait au maximum du moment, elle poussait des petits cris à chaque avancée, pourtant la partie la plus grosse de ma hampe restait encore à entrer en elle. Sa plainte, ses cris étaient continus maintenant, de plus en plus forts et c’est dans un cri qu’elle s’empala sur moi, bien à fond.


Que c’est beau une femme qui jouit, qu’il est beau son corps nu qui s’agite, qui se relève, qui se tend, qui ondule tordant mon pieu dans son ventre dans sa vulve écartelée. Qu’ils sont gracieux ces bras qui fouettent convulsivement le dessus de lit ; sa bouche haletante grande ouverte et ce regard qui vous transperce, qui vous supplie de prendre le relai et de la rejoindre dans le plaisir.


Alors moi aussi je cédais à cette merveilleuse situation, penchée sur elle je l’avais prise à bras le corps, c’est moi maintenant qui agitait mes fesses pour me vautrer en elle de toutes mes forces, de toute la longueur de mon membre. Sofia hoquetait sous mes assauts, d’une main je caressais un ses seins réservant son téton voisin pour ma bouche.


Elle avait relevé ses cuisses ceinturant ma taille pour me permettre d’aller encore plus profond en elle. J’avais passé ma main libre sous elle, de son dos je l’avais pris sous ses fesses ouvertes, sa raie ruisselait de son miel j’y glissais mes doigts réservant le plus petit pour son petit cul, oui juste le petit doigt, je le sais c’est souvent le point d’orgue d’un baisage réussi, je le fis aller et venir en contrechant des mouvements de mon sexe qui faisait son œuvre par devant.

Sofia poussa un grand cri, avec sa main passée entre nous elle martyrisait son clitoris ; Nous étions serré l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, nos bouches se joignirent grande ouvertes pour un baiser sauvage et c’est dans cette position que l’orgasme nous surprit en même temps, dévastateur, sublime, elle du sentir ma semence éjectée au plus profond d’elle-même avant de remonter sous pression inondant nos ventres de ma liqueur nacrée et de son miel.


Combien de temps restèrent nous ainsi, unis par tous les pores de notre corps ? Je ne saurais le dire, j’étais prostré, recru mais de bonheur ; ce que je sais c’est qu’après l’orgasme le calme revint peu à peu après une longue période de bien être où chacun de nos mouvements faisait renaître le plaisir, chaque caresse nous faisait ronronner, chaque baiser nous faisait frissonner d’un bonheur partagé.
-------------------------


Quand je refis surface, dans le clair obscur de la chambre, allongé nu sur le dos, je pouvais voir dans le miroir de l’armoire le visage de Sofia penchée dans l’arc du compas de mes cuisses entre ouvertes. Elle s’était installée, agenouillée entre mes jambes pendantes dans la travée du lit. De sa main droite elle avait saisi ma verge et ses ongles bien manucurés vernis de couleur magenta faisaient un doux collier vivant sur ma hampe frémissante et bandée à l’extrême. Sa main gauche me malaxait doucement mes génitoires, les prenant par dessous pour bien les mettre en évidence, bien relevées en appui sur le haut de mes cuisses. Elle regardait fascinée mes deux couilles bien séparées dans leur sac et elle s’avança pour les présenter à sa bouche.

« Chéri je vais te remercier du plaisir que tu m’as donné


Nos regards se croisaient sur le tain de la glace, sérieuse, appliquée elle guettait sur mon visage l’effet de ses caresses. Qu’elle était belle ainsi, son buste nu, son cou orné d’une triple rangée de perles, sa boucle d’oreille de diamant, ses épaules graciles, sa bouche pulpeuse, ses seins pointus, dressés auréolés de bistre.


Mon sexe, mes parties luisants de sa salive glissaient, malaxés délicieusement entre ses mains, ses doigts, sa bouche. Sofia s’était relevée et de ses deux mains réunies sur ma verge au ras de mon ventre et sur mes couilles elle présentait mon gland décalotté à ses lèvres, à sa bouche. Gourmande, par des mouvements gracieux de sa tête elle engamait ma hampe de quelques centimètres seulement laissant toute liberté à ses mains de branler ma verge et mes couilles. Que c’était bon ces mains cette bouche qui s’occupaient de moi, longuement, savamment.


Ses mains glissaient sur moi, je voyais mon gland entrer et sortir de l’écrin merveilleux de ses lèvres dans un doux chuintement ponctué de petits gémissements gourmands de satisfaction. J’étais bien ; jamais caresses ne m’avaient fait cet effet. Mon sexe et mes bourses largement lubrifiés de salive translucide se prêtaient bien aux glissements de ses doigts de sa bouche. Jamais je n’avais été aussi gros, aussi raide.


Ce que je vis dans la glace, les sensations jamais connues jusqu’alors me mirent l’espace d’un instant dans le plus grand désarroi ; ouvrant grandes ses lèvres Sofia tout en astiquant ma verge dressée verticale, aspira mes roubignoles l’une après l’autre, incroyablement sa bouche grande ouverte après avoir gobé la première engama la deuxième en s’aidant avec ses doigts pout la faire entrer. Je me sentis aspiré, étiré par le dodelinement de sa tête d’avant en arrière et quand mes œufs s’échappaient de sa bouche dans un bruit de succion c’était pour mieux les reprendre après avoir craché dessus.


La peau de mes bourses tendues, lisse comme la peau de bébé moulait la forme ovoïde de chacune de mes parties. Quand réunies elles remplissaient sa bouche, sa langue avait encore la place de les lécher par-dessous et je ne pouvais m’empêcher de pousser un gémissement de satisfaction en me tendant quêtant ses caresses. Aucun poil ne venait gâcher ces délicieuses introspections.


Jamais on n’avait autant pris soin de moi, de mon plaisir, tout mon être était tendu vers ce visage, cette bouche, ses mains qui m’amenaient vers la jouissance, je devais résister et je n’étais pas au bout de mes surprises. Tout en continuant sa fellation Sofia sortit de son sac posé sur le lit un petit flacon qu’elle déboucha et relevant la tête, bouche grande ouverte, elle y déversa une bonne rasade d’un liquide sirupeux, translucide manifestement aromatisé aux fruits.


Avant de reposer ce flacon elle m’aspergea le membre et les bourses de ce liquide visqueux et odorant, elle en renversa sur ses mains, sur ses doigts et quand elle se remit à pétrir mon service trois pièces luisants et glissants dans la paume de ses mains lubrifiées je crus défaillir tant la caresse pourtant sans ménagement devint irréelle.


Alors ses deux mains croisées, serrées à la base de ma verge et sous mes testicules libérant toute la longueur de ma verge dressée elle se pencha à nouveau sur moi pour me reprendre dans sa bouche. Je compris l’utilité du geste précédent quand mon gland et ma hampe s’enfoncèrent dans sa bouche maintenant lubrifiée. Jamais aucune caresses quelles soient faites par des mains, par une chatte, par un petit cul ne m’avaient procuré cette sensation, c’était comme irréel par la douceur des glissements sur la peau retroussée de ma hampe.


Mais je compris autre chose quand Sofia s’enfonça en moi par des petits aller et retour de plus en plus amples ; jamais encore on avait pu m’absorber entièrement et là peu à peu ma verge disparaissait dans sa bouche arrondie sur ma hampe, il ne restait qu’un ou deux centimètres à l’air, j’étais abasourdi ; en plusieurs fois par des mouvements de tête, les lèvres, la langue s’empalaient de plus en plus loin et je compris que mon gland forçait le fond de sa gorge lubrifiée, cela faisait un drôle de gargouillis, sa bouche sur mon ventre. Quand Sofia se retira elle poussa un cri, un grand « Ahhhhhh…. » Pour aspirer l’air dont elle s’était privée ; triomphante elle était heureuse d’être arrivée à ses fins.


Sans attendre elle avait reprit sa possession, ses caresses, une main refermée sur ma verge qu’elle branlait nerveusement, l’autre enveloppant mes couilles ses doigts aidant à les engamer à nouveau dans sa bouche, elle prenait du plaisir à les ressortir en pinçant ses lèvres pour mieux les reprendre non sans m’avoir inondé de jets de sa salive. Quand elle m’aspirait je pouvais voir la peau de mes couilles étirée moulant l’œuf d’un testicule ? Sofia me suçait à perdre haleine elle respirait un grand coup quand elle se dégageait.


A nouveau elle reprit le bout de ma verge entre ses lèvres avant de s’enfoncer; à fond, je pouvais voir sa langue sortie par-dessous, elle resta en moi plus longtemps que la première fois, je sentais nettement mon gland dans sa gorge, des borborygmes sortaient de sa bouche, ses deux mains sur mon ventre emprisonnant mes couilles en les relevant tandis qu’avec ses doigts elle serrait ma hampe à la base. A plusieurs reprises elle se redressa pour reprendre des bouffées d’air et elle replongeait, m’absorbait d’un coup en descentes vertigineuses après m’avoir inondée de sa salive et des restants d’huile encore présent dans sa bouche, dans sa gorge.


Satisfaite et heureuse pour moi, pour le plaisir que je montrais par mes plaintes, mes cris, les ondulations de mon bassin elle ne s’occupa plus, si j’ose dire que de ma verge qu’elle branlait en d’onctueux va et viens et de mes parties qu’elle aspirait, recrachait pour mieux les reprendre. Mon ventre, ma verge, mes couilles, ses mains, sa bouche, ses lèvres luisaient d’huile parfumée et de salive translucide. J’étais malaxé de toutes parts par ses caresses fermes mais irréelles par leurs douceurs.


Dans mes couilles une alchimie s’était mise en route, je ressentais un bouillonnement intérieur annonciateur d’une tempête, la pression montait par cette succion continue attirant le sang, formant le sperme, je ne pouvais réprimer mon désir, mon plaisir, je ne pourrais résister davantage, agité comme un fou sur le lit. Sofia le sentait, sa victoire approchait, Les yeux fixés sur moi, tout en continuant de me sucer les roubignoles sa main s’agitait rudement sur ma tige en serrant bien ma hampe en faisant aller et venir mon prépuce, recouvrant et décalottant mon gland. Elle sentit venir le moment de mon orgasme, elle sentit monter mon plaisir de mes couilles gonflées à ma hampe bandée.


Et cela éclata, elle comme moi virent le résultat final de ces quelques minutes d’attention et de caresses savantes. Un jet opalin gicla très haut, très fort de l’extrémité de mon gland suivi à chaque branlée d’autres aussi puissants qui montaient et retombaient sur sa main, sur mon ventre, inondant tout. Mes cris encourageaient Sofia qui s’acharnait heureuse du plaisir qu’elle me donnait et que je lui criais. Les dernières gouttes de spermes me laissèrent pantelant, je n’avais plus de force. Je devinais Sofia penchée sur moi qui me nettoyait avec sa langue.


Après ces moments de plaisir inouï, de jouissance jamais égalée jusqu’à notre rencontre. Nous trouvèrent une joie intense d’ouvrir le lit et comme un vieux couple de nous allonger nus tous les deux et de se serrer amoureusement dans les bras l’un de l’autre. Le sommeil nous surprit, je m’endormis mes lèvres dans son cou.
--------------------------------

Si parmi vous, lectrices fidèles celle que j’ai appelée Sofia dans mon histoire mais qui certainement se prénomme autrement se reconnaissait, si elle tenait toujours à me joindre ; en relisant les premiers paragraphes, elle saura comment faire sur le Net. Le hasard peut frapper deux fois, ce n’est pas impossible. A partir de cet instant j’espère…….
45 vote(s)


Histoire de Pierre le Grand

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : L'occasion

Le 22/03/2012 - 17:43 par Julie592
Trop déçue pas de sodomie.ADIEU
Le 17/02/2012 - 17:30 par Pierre le Grand
Ce récit est comme une bouteille jetée à la mer. Qui la ramassera? Qui l'ouvrira? La lira et comprendra mon invitation à parler, à s'écrire, à fantasmer, à s'exciter. Je promets à celle qui me voudra et qui comme moi est cérébrale de bons moments. Cette Sofia que j'attends ce peut être vous !Pour de belles histoires que nous inspireront notre connivence, nos envies, nos fantasmes. Si vous m'avez bien lu et si mes histoires vous plaisent vous savez comment me joindre. Pierre
Le 07/02/2012 - 16:39 par Decibel
Excellente narration d'un fantasme torride ;-)

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :