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L'orage se déchaîne

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Lue : 6847 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/10/2012

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Je n’en revenais pas. Payer aussi cher un magnifique chalet sur un site enchanteur au beau milieu d’un parc national, sans même avoir consulté la météo… erreur monumental !

Nous en étions aux derniers préparatifs de notre randonnée pédestre quand le ciel s’est très rapidement assombrit. En moins de 5 minutes, on est passé d’un ciel bleu éclatant à un plafond couvert d’énormes nuages noirs. Presque aussitôt, nous avons commencé à entendre les grondements du tonnerre, nous annonçant que ça n’allait pas être de tout repos. Et le ciel ne croyait pas si bien dire !

Dans un autre contexte, j’adore les orages. Le tonnerre, les éclairs, l’agressivité qui s’en dégagent… À la limite, je trouve que les orages sont, pour ma part, aphrodisiaque ! A chaque fois qu’un orage éclate, il se produit en moi une tempête d’œstrogènes, de progestérones, de phéromones… Ma libido éclate !

Étant dans l’obligation d’annuler notre randonnée, j’ai décidé du moins de m’installer sur la galerie du chalet, un bon verre de vin à la main, pour observer le spectacle météorologique qui s’installait devant moi. M’assoyant sur une pile de coussin, je criai à mon conjoint de venir voir l’orage. Celui-ci étant moins fervent de la température désastreuse, il me rejoignit, sans pour le moins maugréer… Il s’assit derrière moi, le dos appuyé contre le chalet, pour que je puisse ainsi prendre place entre ses jambes et m’appuyer contre lui.

L’air était chaud et humide. On devait frôler les 27 degrés, mais avec l’humidité, encore plus. Une idée mijotait en moi, et je cru que le moment était propice à l’exécuter.

Je pris mon cellulaire pour sélectionner une de mes chansons favorites. Une chanson langoureuse, sexy, légèrement rythmée. Dès les premières notes, je me suis levé pour faire face à mon partenaire. Les yeux pétillants, j’ai commencé à balancer les hanches doucement, au rythme de la musique. Le regard amusé devant moi m’annonçait que le spectacle allait être apprécié à sa pleine valeur. Mes mouvements devenaient de plus en plus langoureux, de plus en plus suggestifs. Mes mains ont commencé à frôler mon corps, à contourner mes seins. Je mordillais ma lèvre inférieure, les yeux clos. C’est alors qu’une fine pluie a commencé à s’abattre sur nous. Le toit du chalet étant très court, la pluie nous atteignait facilement. Rapidement, mes cheveux et mes vêtements furent pratiquement trempés en entier. Je dû me résoudre alors à les enlever !

Je commençai par détacher le bouton de mon capri et l’ouvrir pour laisser entrevoir mes sous-vêtements. Je fis ensuite glisser mon pantalon jusqu’au sol, et le lança par la suite plus loin. Je m’approchai de mon homme jusqu’à ce que ma culotte soit bien en évidence devant ses yeux. Les déhanchements de mon bassin lui permettaient presque de pouvoir la toucher du bout du nez. Lorsque je le vit soulever les mains, dans l’espoir de pouvoir probablement agripper mon postérieur, je reculai, pour faire durer le supplice encore plus. Je lui tournai le dos, me pencha pour prendre ma coupe de vin (plaçant ainsi mon derrière bien en évidence devant ses yeux) et bu ce qu’il restait d’une traite. Je continuai ensuite mon stratagème en agrippant doucement le bas de ma camisole trempé, pour la remonter lentement, sans toutefois dévoiler mon soutient gorge.

Je remarquai que mon partenaire devenait de plus en plus agité et avait de plus en plus de difficulté à tenir en place. M’agenouillant devant lui, par-dessus ses jambes allongées, j’enlevai finalement ma camisole, me dévoilant ainsi en petite tenue. Sur mon corps ruisselait une pluie chaude. Derrière moi, le tonnerre y mettait encore plus de force, et les éclairs semblaient former les lumières d’un stroboscope. Les yeux clos, mes mains ont commencé à parcourir langoureusement mon corps. Je suivais les courbes formées par mes hanches, mes épaules, mes seins. Le regard suppliant, mon homme avait clairement envie de participer lui aussi à l’activité. Je pris alors ses mains pour les frotter à leur tour sur mon corps. Tout en m’empoignant les fesses, il ne put résister à la tentation d’embrasser ma poitrine, de lécher les gouttelettes de pluie qui y coulaient. M’agrippant dans ses cheveux, je lui tirai la tête vers l’arrière pour le forcer à me regarder. Nos lèvres fusionnèrent et nos langues s’entremêlèrent aussi furieusement que l’orage qui se déchaînait derrière nous.

Avant même que je ne puisse m’en rendre compte, d’une main experte il réussit à dégrafer mon soutien-gorge. En moins de deux, il était déjà en train de s’emplir la bouche de mon sein tout en empoignant l’autre d’une manière quasi bestiale. La sensation de sa langue chaude qui encerclait et titillait mon mamelon me plongeait dans un état d’excitation incroyable. La main toujours accroché à ses cheveux, j’introduisis délicatement l’autre à l’intérieur de ma culotte. L’humidité qui y régnait était pratiquement la même qu’à l’extérieur. Mon clitoris déjà gonflé d’excitation ne demandais qu’à être effleuré. Mon homme tira sur ma culotte de sorte que les minces bandes de tissus ne résistèrent pas très longtemps avant d’être littéralement déchiquetées. Me sentant vulnérable d’être ainsi mise à nu, les doigts pris en flagrant délit, je me mis à la tâche pour lui retirer ses vêtements avec empressement.

Nous nous retrouvons donc complètement nu, sous une pluie battante, à soupirer d’excitation. Sans même y avoir touché, je savais que mon homme présentait une érection... du tonnerre ! Mon copain étant maintenant couché sur le dos, je me précipitai à le chevaucher. Son membre dressé fièrement n’éprouva aucune difficulté à me pénétrer. J’adore cette sensation que l’on ressent, lors d’une pénétration. Cette sensation de se faire emplir complètement. J’étais si excité, de me retrouver complètement nue, au milieu d’un orage, à me faire littéralement baiser. Chaque coup de bassin semblait résonner au plus profond de mon corps. La verge de mon partenaire me labourait à une vitesse folle. Malgré la pluie plus fraîche, je me sentais chaude, je me sentais cochonne. Les mains baladeuses qui parcouraient mon corps s’en prirent à mes seins. Mes mamelons durcis d’excitation ne demandaient qu’à être effleurés. Après quelques minutes de déhanchement, toujours plus jouissants les uns des autres, je sentais déjà l’orgasme arriver. Et il n’était pas question d’en finir là.

Je me retirai de la position dominatrice dans laquelle je me tenais pour accroupir mon visage près de cette bite si dure, qui semblait me supplier de lui donner du plaisir. J’introduisis la queue dans ma bouche chaude. Le jus de ma jouissance en avait lubrifié l’entière totalité. Je me mis à sucer mon partenaire, tout en pétrissant le scrotum d’une main. Je léchais, suçais, mordillait. Chaque plainte émise par mon homme me motivait à vouloir lui en arracher encore plus. Le va-et-vient de ma bouche, précédé de ma main accompagnaient les légers coups de bassin, probablement inconscient, de mon copain. Cet exercice n’eut pas à durer tellement longtemps avant que je puisse entende les grognements m’annonçant l’éruption. Je cessai de sucer pour mieux empoigner l’engin et me mis à le branler avec vigueur. Quelques secondes après, tout en regardant mon partenaire dans les yeux, je le laissai m’exploser ainsi au visage. Les jets de sperme chaud me coulaient le long du visage. Le goût de cette jouissance dans ma bouche continuait à exciter mes sens. Croyant l’homme devant moi vidé d’énergie, je me levai debout. Cependant, avant même que je ne puisse voir ce qui se tramait, mon copain se leva lui aussi et me souleva, pour venir m’appuyer contre la rampe de la galerie. Alors que je reposais dans un équilibre précaire, il s’accroupit pour approcher son visage de ma chatte. Je pu ainsi appuyer mes jambes contre ses épaules. La langue humide se mit à explorer les parois de mon vagin, encore lubrifié d’excitation. Il explorait tous les racoins, même les plus profonds, de mon entre-jambe. Sa bouche remonta pour venir aspirer le bouton sensible un peu plus haut. Je me faisais sucer le clito de la même façon dont je venais de lui sucer la bite. Chaque petit coup de langue ne faisait qu’augmenter mon plaisir, annonçant bientôt mon orgasme. Quelques minutes plus tard, la sensation électrifiante de l’orgasme parcouru mon corps et je ne pu me retenir d’hurler mon plaisir. Mon corps parcouru de spasme d’excitation était au 7e ciel.

Mon partenaire me pris dans ses bras pour me déposer sur la pile de coussin. Le regard pétillant, il me jetait un coup d’œil m’annonçant que nous n’en avions pas encore finit.

Nous avons ainsi fait l’amour, deux, trois, quatre fois, jusqu’à ce que le soleil commence à percer la ligne d’horizon. Je n’ai pas besoin de préciser que ce jour-là, peu importe la température, nous n’avons pas été en excursion tel que prévu. Nous avons passé la journée sous les draps, collé l’un a l’autre, à récupérer de l’orage qui s’était déchaîné !
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Histoire de lulus1983

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