La cabane en altitude

J’étais sans doute un peu énervée et pleine de frustrations après cette engueulade avec mon mec.
Après 10 ans de couple, il y a des hauts et des bas, comme tout le monde. On s’est mis ensemble à nos 20 ans, et parfois les esprits s’échauffent.
Je suis partie en balade, pour me calmer. J’ai juste eu le temps d’enfiler mon shorty de sport noir et un débardeur blanc, un peu trop échancré et transparent, mais en montagne en pleine semaine à cette époque, je ne vais pas croiser grand monde.
J’attache mes longs cheveux bruns bien lisses en queue de cheval, avant de m’éloigner de la voiture je me regarde dans le reflet de ma vitre, je check ma silhouette fine et sportive, mes jambes déjà bien bronzées avant l’été, mon 90 b un peu trop apparent sans soutien gorge. Mes fesses bien rebondies dans ce mini short qui colle à ma peau.

Il fait très chaud, en cette fin de matinée de juin, j’ai du parcourir 4 bons kilomètres en traversant le départ des pistes et la forêt, je n’ai pas pris d’eau, je ralenti peu à peu, je dois calmer mes nerfs d’une façon ou d’une autre, mais à ce rythme j’ai peur de tomber dans les pommes. Je marque une pause à l’ombre d’une petite cabane, j’ai la tête qui tourne et les genoux fébriles. J’entends quelques pas derrière moi et une voix d’homme, calme et rassurante me demande…

-          Est-ce que ça va ?

Je m’accoude au rebord de la petite fenêtre du mazot, qui sert d’abris l’hiver pour les pisteurs, me tournant vers lui, je vois cet homme, sans doute un peu plus vieux que moi, la trentaine passée… grand, plus grand que moi d’au mois 20 centimètres, il a un dégradé court bien coiffé, châtains clair, aux yeux très bleus, il a un visage aux traits fin, une bouche bien dessinée, grand sportif vu sa carrure imposante, il est vraiment très beau, et me tend sa gourde avec un air protecteur. Je bois quelques gorgées et lui tend son eau en le remerciant un peu gênée.

-          Merci, excusez moi, je dois être un peu fatiguée avec cette chaleur…

-          Ça arrive, si vous voulez on fait demi tour ensemble, il va y avoir de l’orage, il fait très lourd…

Au même moment la pluie commence à tomber en trombe, les gouttes chaudes dégoulinent sur moi, coulent sur mon visage, mon débardeur est trempé, mes tétons pointent on ne voit que ça. l’eau ruisselle sur mon short, tout au long de mes jambes.
Il m’attrape par la main, nous faisons vite le tour du mazot et passons la porte pour nous réfugier de l’orage passager. Cette cabane est toute petite, il n’y a qu’une table en vieux bois, un tabouret rangé en dessous, quatre murs et la petite fenêtre, il fait sombre, les éclairs illuminent la pièce, le tonnerre gronde de plus en plus fort, je sens la chaleur de son corps tout près du mien.

Nous sommes tous les deux dans le silence mais on ne peut pas s’empêcher de se fixer dans les yeux. Je dois lui plaire, comme lui me plaît, il est très sexy. Il est debout devant moi, entièrement mouillé par la pluie qui coule sur ses muscles, l’atmosphère est électrique… je suis assise sur la table, la tête qui tourne encore un peu, et je ne sais pas ce qui m’arrive mais sans un mot j’écarte les jambe subtilement,  tout en le fixant, je cambre mes seins en poire vers lui, pour qu’il admire mes tétons à travers ce débardeur si transparent.

Il s’avance lentement vers moi, pose ses mains sur la table autour de moi, il se penche et murmure dans mon oreille

-          C’est une invitation mademoiselle ?

Sans un mot, j’attrape sa nuque et l’embrasse d’une passion que je n’avais plus ressenti depuis des années…
Ses mains se faufilent sous mon haut, l’une m’attrape la hanche et l’autre remonte très lentement le long de mon ventre, jusqu’à mon téton qui durcit encore plus. Il le titille doucement.

Il embrasse si bien, sa langue caresse la mienne, il marque une pause en me fixant, et enlève mon short brutalement. Mon tanga noir en dentelle est déjà trempé, ce mec me fait un effet dingue. Ses mains parcourent mon dos, ma nuque, il me donne des frissons partout, nos baisers son sauvages, je sens la bosse de son short grossir contre moi pendant qu’il me suçote le cou, il lèche mes seins, mordille mes tétons…

Il se met à genou et écarte un peu mon tanga humide, sa langue agile touche mon clito et je sursaute de plaisir, il commence un va et vient avec sa tête de gauche à droite tout en suçant et soufflant une fois sur deux mon bouton… je suis trempée, je m’agrippe à la table, je sens mon miel couler partout,  il a l’air d’adorer ça … je gigote et me déhanche de plaisir, mes gémissements et ma respiration se font de plus en plus fort, j’ai envie qu’il me prenne, je veux qu’il rentre en moi, qu’il me baise sauvagement.

Il continue de me lécher mais j’ai trop faim de lui, je repousse sa tête de mon entrejambe et le plaque contre le mur. Il enlève son tee shirt pour dévoiler ce torse musclé, ses abdos ultra dessinés, ses épaules bien carrées, il est canon. J’arrache son short de sport et son caleçon, son sexe se dresse immédiatement devant moi, je l’embrasse et frotte mon ventre contre sa queue qui sursaute. A genou devant cet inconnu, j’enfourne son dard dans ma bouche bien profondément, tout en prenant soin de bien lui malaxer, je lèche ses boules et revient pour encore mieux avaler son sexe, il entame un mouvement de bassin qui me confirme qu’il aime ça… il aime la gorge profonde et moi je contiens mes relents quand il touche le fond de ma gorge, la pluie bat de plus en plus fort sur le toit du mazot, je n’ai pas le temps de finir qu’il me relève, et me soulève contre le mur.

Son sexe entre si facilement dans le mien, je suis toute serrée mais si humide, je le sens s’enfoncer de plus en plus, la sensation du frottement de son gros dard bien large contre mes petites lèvres et mon clito est un vrai plaisir. Les éclairs et le tonnerre retentissent, j’ai chaud, je sens l’odeur divine du sexe et de sa transpiration et tout ça m’excite encore plus. Il me soulève si facilement, il est fort, puissant, viril. Je me retourne, il comprend si rapidement, ne perd pas de temps, s’accroche à mes seins tout en enfonçant son sexe plus profond encore dans ma petite chatte.

Je suis debout , mon dos plaqué contre son torse, il pince mes tétons, et descend sa main pour atteindre mon clito, il joue avec, j’ai envie de hurler mon plaisir, il m’attrape la queue de cheval et tire violemment dessus, ma tête part encore plus en arrière, mon cou et mes seins bien tendus, je suis à sa merci, si soumise, j’adore ça. Mon prédateur accélère ses coups de reins qui se font de plus en plus puissants, revient chatouiller mon bouton gonflé de plaisir, je mouille tellement que tout coule le long de mes cuisses, il me baise salement, sans sentiments, avec un désir immense, il veut atteindre l’orgasme et je sens que le mien arrive, ses doigts frottent mon sexe de plus en plus rapidement en accord avec ses coups de reins, je cris de plaisir, la chaleur monte dans mon bassin, ses boules claquent contre mes fesses, mes lèvres et mon sexe se contractent, gonflent encore plus, le frottement de sa bite si large contre les parois de mon vagin devient insurmontable, j’atteins l’orgasme comme jamais, il m’agrippe de plus en plus fort les seins et évacue profondément en moi son liquide chaud, dans un râle de plaisir qui dure quelques secondes. Nos muscles se relâchent et je sens son sexe se décharger encore un peu en moi par de petits à-coups. Je me retourne en le fixant, sans rien dire, la pluie s’est arrêtée, l’orage est passé et il me dit avec un petit sourire en coin

-          Au fait moi c’est Thomas, enchanté.