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A travers la baie vitrée

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Lue : 2712 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 13/10/2021

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Je m’appelle Jess, et je suis, d’après mes amis, plutôt jolie. J’ai pu m’en apercevoir lors de soirées, ou les homme n’arrêtaient pas de tournaient autour de moi, ou m’invitaient sur des slows langoureux. Je leur faisais comprendre que ça ne m’intéressait pas.
Ce qui ne veut pas dire, que je n’ai jamais eu d’aventures. J’étais même plutôt accro aux grosses et belles queues. Mais avec le temps, je me suis assagie.
Je suis mariée depuis peu à Greg, la trentaine, coureur de jupons s’il en est. Je savais de par ses copains, qu’il avait eu pas mal d’aventures, mais c’était avant le mariage. Je pensais qu’une fois marié, il s’assagirait, et deviendrait un mari fidèle.
Nous étions propriétaire d’un pavillon dans une résidence privé, dans la banlieue parisienne. Grand salon, deux chambres, dont une attenante à une terrasse vitrée. Au dehors, un terrain arboré, avec piscine. Télé surveillance, et gardien qui sert également de concierge.
Tous les vendredis, c’était la sortie entre copains. Il arrivait à Greg, de rentrer à quatre, cinq heures du matin. Je commençais à me poser sérieusement des questions. Mais je lui faisait une confiance aveugle. Cependant, ses performances au lit, commençaient à s’affaiblir. C’était moi qui faisait tout le travail. Je me déhanchais, empalé sur sa queue, pratiquement inerte. Certes, je jouissais, mais comment être satisfaite, quand vôtre partenaire ne participe pas. Je mettais ça sur le compte d’une fatigue passagère.
Un matin, alors qu’il prenait sa douche, il reçoit un message sur son portable. Je ne peux s’empêcher de le lire
« Mon chéri, je te remercie pour cette fabuleuse nuit qu’on a passé ensemble, à faire l’amour. Je te fais de gros bisous...ta Claire qui t’aime...»
Je reçu un choc, mais parvenais à me maîtriser. Il fallait que j’en sache d’avantage, avant de porter un jugement. J’allais interroger ses potes, ses collègues de bureaux. Rien ne fuyait de ce côté.
Quand Greg rentre le matin, vers cinq heures du matin, Je m’étais assoupie sur le canapé. Je n’étais pas rassurée, tans qu’il n’est pas rentré. Il a tiré une couverture sur moi, et allé se coucher à la chambre.
Le lendemain, je ne fais aucune allusion au message. On passait le week-end ensemble à baiser, au lit, dans la piscine. On s’adonnait à des jeux coquins, ou, malgré ce, je prenais énormément de plaisir. Mai lui, était-ce vraiment moi qu’il baisait ?
A force, les sorties du vendredi entre copains, me plaisaient de moins en moins.
La confiance que j’avais envers son pari, s’estompait peu à peu.
Un soir, je décidais d’aller faire un tour à la boite ou il a l’habitude de passer ses soirées. Bien évidemment, je me vêtis de façon à passer inaperçu. Arrivé devant la porte, j’hésitais, puis pris mon courage à deux mains, et rentrais dans le club. Dans un coin, je vis un escalier qui menait au sous-sol, ou il était indiqué « Privé ». Je profitais de l’absence de surveillance, pour m’y engouffrer. Ce fut la stupéfaction. Des couples, pratiquement nus, s’enlaçaient, se caressaient sans vergogne, allongés sur des matelas rouges, des poufs...L’orgie…Contre un mur, une superbe blonde, la robe enroulée à la taille, la culotte à ses chevilles, se faisait chatter par une sculpturale black. Je vit la jeune femme ouvrir grand la bouche, dans un cri de plaisir.
C’est en poursuivant mes recherches, que je découvris mon mari en train d’embrasser une fille, une main enfouie sous sa robe. Cette fameuse Claire, sans doute. Mon mari s’est retourné, ma regardé, mais n’a pas arrêté le geste de ses doigts, sur la chatte de la jeune femme. Je ne pouvais retirer mon regard de cette scène irréelle pour moi. Paralysée, je suivais leur relation sans pouvoir détacher mes yeux de la bite de mon mari, entrain de pilonner la chatte de sa partenaire. Je voulais partir, mais étais retenu par je ne sais quel démon du vice. La jeune femme me regarda, me fit signe de les rejoindre. Je fis non de la tête. Puis elle se pencha sur mon mari, prit sa queue en bouche, et entama une lente fellation. J’en avait assez vu. Je quittait la salle, juste au moment ou Greg éjaculait dans la bouche de la jeune femme. Je la vis soigneusement nettoyer le gland avec sa langue.
Je venais d’avoir la plus grande humiliation de jeune marié. Sous le coup, j’acceptais le verre qu’un homme m’offrit gentiment, et rentrais chez moi.
Je passais la soirée à pleurer, me demandant ce qui avait foiré pour en arriver là. Certainement son passé d’homme sulfureux, qui ressurgissait. Plus j’analysais la soirée, plus je me demandais si ça ne venais pas de moi. Étais-je assez salope au lit. Je revois la scène ou elle avalait le sperme, ou il la sodomisait. Je n’ai jamais accordé de telles faveurs à Greg. Alors...quelque part, n’étais-je pas fautive. Mais cela n’excuse pas tout.
Greg n’a pas pour autant, changer son habitudes. Il rentrais à cinq heures du matin. Je dormait à poings fermé, après avoir pris des somnifères. Le week-end, il ne s’est rien passé, malgré les avances de mon mari. Une mise au point s’imposait.
Greg ne nia pas, que souvent, ces soirées alcoolisées, finissaient au lit avec des salopes en manque se bites. Ce qui revenait à dire, qu’il me trompé.
J’accusais le coup, mais ne voulait rester les pieds dans le même sabot. Je pensais même à me venger, mais j’aimais mon mari, et tenais à rester fidèle.
Petit à petit, lors de soirées entre amis, je fis quelques connaissances, dont certaines étaient très intéressantes, sans toutefois m’envoyer au lit, et passer la nuit à baiser.
Lors d’une soirée, a laquelle mon mari s’était éclipsé, certainement pour rejoindre sa pétasse, je fis la connaissance de Guy, la cinquantaine, très séduisant. Il m’invita plusieurs fois à danser. Nous avons très vite sympathisé. Il me dit très bien connaître Greg, pour avoir travaillé avec lui, mais que ce dernier l’avait fait virer de la société. Quand je lui en demandais la raison, un sourire éclaira mon visage.
En fait, Greg l’avait surpris au lit, avec sa première copine. Le considérant comme son rival, mon mari le fit licencier. C’est a cet instant, qu’une idée germa dans ma tête.
Je fis part de ma situation à Guy, qui ne fut pas surpris de l’attitude de mon mari.
Cette nuit là fut fatale. Pour sortir de brouhaha de la soirée, Guy me proposa de nous éclipser, et d’aller prendre un verre chez lui. Bien évidemment, j’acceptais l’invitation.
Je me repoudrais le nez en vitesse. Il fallait que je sois désirable, et je le fus.
Après quelques bulles de champagne, Guy mit une douce musique de fond. Il prit mon verre des mains, et le posa sur la table basse. Il me prit par la main, et me fit danser. Une minute plus tard, je sentis une main dans le dos, puis le zip de ma robe glisser. Celle-ci finit à mes pieds. Je me retrouvais en string devant un quasi inconnu. La main glissa sur ma hanche, un doigt écarta l’élastique de ce qui me restait de vêtement, et vint se posé sur ma fente qui commençait à suinter. Le doigt vicieux jouais avec mon clitoris, puis pénétrait ma chatte.
Guy m’attira dans sa chambre, me coucha sur le lit, que je trouvais parfait pour un célibataire. Il ôta ses vêtements, s’allongea près de moi, et me couvrit de caresses plus vicieuse les une sue les autres. Je restais prude, mais ne pus m’empêcher de m’empaler sur son énorme bite, qui s’offrait à ma chatte. Mis à part la taille, j’avais l’impression de chevaucher Greg. Ce salaud savait que j’aimais ça. Ses mains tenaient mes hanches, remontaient sur mes seins durcit par le désir. Je me faisais prendre dans tous les sens, je m’offrais sans retenu. Il tentait la sodomie, que je refusais, réservant cet acte pour une soiré bien précise.
C’est cette nuit aussi, que je lui parlait de ma découverte de femme trompée, et que je voulais me venger. Je lui proposais une stratégie, dans laquelle je voulais l’impliquer.
A son regard, je compris que Guy n’était pas contre être le bénéficiaire d’une éventuelle rupture, fut-elle provisoire.
- Que va-t-il dire quand il va me voir...quelle va être sa réaction?
- J’espère qu’il aura la même que celle que j’ai eu, quand j’ai découvert qu’il me trompe.
Guy accepta ma scandaleuse proposition. Le complot prenait corps.
Un soir, vers dix huis heures, je reçu un coup de fil de Greg, m’invitant au restaurant. Bien évidemment, j’acceptais, car sans le vouloir, il rentrait dans mes plans. Sans être un repas de réconciliation, ce ne fut non plus, un repas de rupture. Un dîner en tête à tête plutôt sympa. Tout au long du repas, Greg me couvrit de compliments, de sourire, auxquels je répondais, il me prit la main, me regardait droit dans les yeux. Après le repas, il me proposa de rentrer chez nous, m’assurant une nuit d’amour inoubliable.
Le pauvre, s’il savait…
Nous sommes allés sur la terrasse attenante à la chambre, pour prendre un dernier verre. Alors qu’il était appuyé sur la rampe, je fis demi tour, rentrais dans la chambre, et fermais le baie à clé derrière moi. La fermeture fit se retourner mon mari, qui me souriait à travers la vitre, pensant à une blague. J’allais à la salle de bains, et revint vêtue d’une nuisette transparente. Je m’approchais de la baie, lui lançais un regard provocateur.
- Mais enfin Jess, que vas-tu faire ?
- Tu vas bientôt le découvrir mon chéri
Puis je tournais la tête, l’air surprise, et lui fis signe de na pas bouger, qu’on toquet à la porte. C’est Guy qui m’attendait dans le salon, entièrement nu.
Je revins dans la chambre, en le tirant par sa queue en érection.
Malgré le double vitrage, j’entendais mon mari hurler « Non...pas ça...pas lui». Il devait certainement se remémorait la nuit, ou il a trouvé sa copine, en train de se faire baiser par Guy. Il craignait que ça se reproduise, avec sa femme cette fois.
Je m’amusais a décalotté la bite de Guy, alimentant la rage de Greg.
Mon amant glissa ses mains sous la nuisette, caressait mes seins, ma chatte.
- Tu as vu mon chéri comme il a une belle queue. Je vais bien la sucer, puis je lui demanderais de me la mettre...ça te dérange pas mon amour…hum...
Je me retournais, tombais à genoux, et pris l’énorme queue en bouche. Les coups redoublaient sur la baie vitrée.
Je prenais du plaisir à faire coulisser cette bite entre mes lèvres, et ce devant mon mari. Je me relevais, et Guy en profitais pour faire passer ma nuisette, par dessus ma tête.
Ses mains, d’une incroyable douceur, parcouraient mon corps, caressaient mes seins, ses doigts pénétraient ma chatte, jouaient avec mon clitoris. Il fit signe à mon mari, quand il me demandais de me pencher en avant. Devant la baie, face à Greg, il arborait fièrement sa queue, la présentant à l’entré de ma chatte. Lentement, il la pénétra. Je me tournais vers Greg, les yeux mi-clos, la bouche ouverte, montrant un plaisir non dissimulé. Greg frappa un grand coup, quand j’atteignais l’orgasme. Guy n’avait aucune pitié pour son « rival ». Il jouait avec sa femme, pour son plus grand plaisir...et le mien. Je me mis à quatre pattes, demandais à Guy de me prendre en levrette. Il me plaça de façon à ce que Greg ne perde rien de cette pénétration. Guy tomba à genoux, taquina mon clito de son gland décalotté, puis me pénétra, une main sur la hanche. Il levait son pouce en signe de victoire face à mon mari liquéfié. Celui-ci baissa la tête. Guy le rappela à l’ordre en tapant à la vitre. Il lui fit signe de regarder. Il sortie sa queue, la guida contre mon petit trou. Je me cambrais d’avantage pour recevoir l’offrande.
- Oh oui...que c’est bon putain...vas-y, fais moi jouir...qu’il m’entende crier cet enfoiré.
- T’aimes ma queue...elle est bonne...ça première copine aimait bien l’avoir dans le cul. Et toi, t’aimes ça aussi ?
- Oh oui...vas-y, encules-moi...Je l’ai jamais fait avec lui...mais avec toi, je veux bien... qu’il se rappelle comme sa copine qui criait quand tu l’enculais...
- Oh oui, qu’elle a crié la salope...même mon nom elle criait, comme toi tu vas le faire.
- Oh oui Guy...Guy...encules -moi...fort.. il n’a jamais eu l’occasion de le faire...lui…
« Nooooooonnnnn hurla mon mari».
Il assistait en direct, à ma première sodomie, et ce n’est pas lui qui en avait la primeur, mais bien son rival. Je poussais un râle de plaisir quand je sentis les grosse couilles de Guy, cognaient sur mes fesses. Soudain, il se retira, présenta sa queue contre ma bouche. J’ouvris les lèvres, juste au moment ou il éjaculait, à puissant jets de sperme. Je refermais mes lèvres autour de cet impressionnant calibre, qui me donnait un immense plaisir. Quand on se releva, on se dirigea vers la vitre, à laquelle Guy s’appuya. Il s’accroupit, prit une de mes jambes, et la passa sur son épaule. Dans cette position, ma chatte était entièrement offerte. Il commença à me la lécher, décalotta mon clitoris qu’il excitait du bout de sa langue. Pour ne pas tomber, je m’appuyais à la baie, demandais à mon mari de coller sa main à la mienne. Il cria quand j’atteignis l’orgasme. Puis Guy s’est relevé, ma cloué contre la baie, face à mon mari, et ma encore baiser. Sa source, intarissable, tapissait la baie de sa semence épaisse, à hauteur du visage de mon mari, comme s’il voulait qu’il est sa part de jus dans sa bouche. Impuissant, humilié, mon mari assistait à la scène, sans pouvoir intervenir.
Pendant encore une heure, nous avons enfoncé le clou. Guy tenait à m’enculer une dernière fois, pour que la sodomie de sa femme reste bien encrée dans son esprit. L’humiliation fut totale quand Guy s’approcha de la baie vitré, tenant sa queue bien droite. Il fit signe à mon mari d’appuyer ses lèvres en ventouse contre le vitre, faisant mine d’éjaculer dans sa bouche. Greg cracha, comme s’il avait reçu le sperme dans la bouche.
De désespoir, il se mit à taper sa tête contre la baie, nous suppliant d’arrêter tout ça, qu’il me demandait pardon. Je l’ignorais, et après avoir jouit pour la énième fois, nous nous sommes éclipsés à la salle de bains.
Une fois habillé, Guy et moi sommes allés au restaurant, ignorant totalement mon mari.
Ce n’est quand quittant la résidence, que je donnais le double des clés au concierge, et lui dit que mon mari était coincé sur la terrasse, de le libérer.
Le Dîner se déroula dans une ambiance de fête. Un DJ animait la soirée. Nous n’avons pas arrêtés de danser, nos lèvres prises dans de sulfureux baisers. Des groupes de danseurs gravitaient autour de nous, essayant de décrocher une danse. Il est vrai que j’étais tout en beauté ce soir, désirable en diable. Guy laissait les hommes me prendre par la taille, m’embrasser sur la joue. Je dois avouer que, l’alcool aidant, je devenais vulnérable. Il est clair que Guy n’était pas amoureux de moi. Je m’en aperçus quand un quinquagénaire m’embarqua dans une pièce attenante au bar. Il ne leva pas le petit doigt pour l’en empêcher. De plus, il connaissait l’homme, un habitué du restaurant, il devait aussi connaître ses fantasmes. Quand je réapparus, m’essuyant la bouche, il m’accueillit avec un sourire. Nous sommes allés à l’hôtel, ou Guy avait réservé une chambre. Je refusais la proposition d’emmener un copain avec nous. J’estimais en avoir assez fait pour aujourd’hui. Mais la prochaine fois, qui sait ?
Nous avons fait l’amour, une bonne partie de la nuit. Puis il me ramena chez moi, il était cinq heures du matin, l’heure ou mon mari avait l’habitude de rentrer.
Quand je rentrais, je trouvais Greg assoupi sur le canapé. Sans un bruit, je pris une bonne douche, regagnais ma chambre, et m’endormis.
Je me levais vers midi, et j’ai eu la surprise de voir un copieux petit déjeuner, préparé par mon mari. Il fut déçu, quand il vit que je n’y prêtais pas attention, et me dirigeais vers la salle de bains. Quand je revint, il était assis su le canapé, la tête entre les main.
Quand il me vit, vêtue en tenue sexy, il fut surpris.
- Mais...pourquoi fais-tu ça?
- Pour ça mon chéri, lui dis-je en lui montrant le message de Claire que j’avais transféré.
- Mais enfin ma chérie...est-ce une raison pour te venger comme ça...et là, ou vas-tu ?
- Je vais rejoindre mon amant...ça te pose un problème ?
Je m’apprêtais à quitter l’appartement, quand soudain, je me retournais.
- A oui...autre chose. Des samedis comme celui-ci, il risque d’y en avoir souvent, avec un ou plusieurs mecs peut être. Après, c’est à toi de décider de quel côté de la baie tu veux être. Mais attention, pas toucher, juste mâter. Allez, bonne journée mon amour.
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Histoire de Aurore34

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