La colocation 2

Comment réussir à réunir Agnès et Mathilde dans mon lit ? C’était tout la problématique de la situation, j’avais peur de tout gâcher en précipitant les choses et si Mathilde le prenait mal, je risquais de gâcher bien plus que l’ambiance au sein de l’appartement. Pourtant j’en crevais d’envie et la voir presque chaque jour nue sur mon écran me donnait de plus en plus envie d’elle.

Un dimanche soir, après un week-end chez mes parents, j’étais de retour dans l’appartement. Mathilde était dans le salon en train de bouquiner tandis qu’Agnès n’était toujours pas rentrée. Je m’enfermais dans ma chambre, prétextant encore du boulot et ouvrais mon pc. Je commençais à visionner les images du week-end. Déjeuner petit bisous entre les deux filles puis préparation pour leur footing habituel et ensuite retour et douche… bref rien de très extraordinaire. J’avançais de nouveau, les voyant vaquer à leurs occupations puis en fin de matinée du samedi, la sonnette retentie. Je vis Agnès parler à l’interphone puis quelques minutes plus tard, je la vis ouvrir à un homme. Je me souvins soudain que nous avions appelé le proprio au sujet d’un problème de chaudière. Il avait dû demander à un plombier de passer. Le type était entré. Il portait effectivement une besace contenant des outils. Agnès l’accompagna vers le placard contenant la chaudière et le laissa œuvrer.

Quelques minutes après, je vis que l’homme était dans la salle de bain pour vérifier le chauffe-eau. Il trifouilla un peu les tuyaux puis allait ressortir lorsqu’il vit accrocher sur le fil à linge les dessous des deux filles qui séchaient. Je le vis les prendre et regarder les tailles.

Tandis que les filles étaient au salon, je le vis faire le tour discrètement de l’appartement et fouiller un peu à droite à gauche. Il revint enfin vers le salon. Je les vis discuter un moment ensemble, Agnès lui tendit une tasse de café. Ce type semblait très grand, environ 1m90, d’origine africaine, il était plutôt baraqué. Je ne savais pas de quoi ils discutaient mais cela dura un bon moment. Il repartit vers la salle de bain et Agnès le suivit. Je le vis lui montrer quelque chose sur le chauffe-eau. La taille de la salle de bain faisait qu’ils étaient très proches l’un de l’autre. Je vis le black faire un signe vers les sous-vêtements des filles. L’angle de la caméra ne me permettait pas de voir leur visage.

Soudain Agnès empoigna fermement l’entre-jambe du type. Il était très proche l’un de l’autre. Je vis le gars embrasser Agnès qui lui rendit son baiser. Le black lui roulait une pelle terrible, il avait posé ses mains sur ses fesses et la pelotait sans gêne. Pendant ce temps là, Agnès avait fait baisser le zip du pantalon et avait plongé sa main dedans. Je devinais qu’elle caressait le mec. Il dégrafa son pantalon et je vis son sexe jaillir. Agnès le tenait toujours et le branlait. Toujours avec son sexe dans la main, elle le fit sortir de la pièce. Je les vis sur la caméra du couloir. Elle marchait, tenant le gars par le sexe, comme on tient un chien par sa laisse. Ils arrivèrent dans le salon où je vis le visage très surpris de Mathilde. Surpris rapidement remplacée par de l’excitation. Agnès laissa le type s’approcher de Mathilde qui était toujours assise dans le canapé. Elle se retrouva rapidement avec le sexe de l’homme à hauteur de son visage et sans hésiter elle commença à le sucer. L’angle de la caméra ne me permettait pas de voir la scène complètement mais je voyais nettement les mouvements de tête de mon amie et les fesses du black se crisper.

Agnès avait fini de déshabiller le gars et elle embrassait ses épaules et son dos, laissant ses mains glisser sur les fesses musclées du black. Mathilde se laissa glisser dans le fond du canapé et le type l’aida à retirer son haut. Ses petits seins libres de tout apparurent et il les embrassa. Agnès était elle aussi entrain de se déshabiller. Elle l’attira vers elle et l’embrassa, se laissant peloter par les grosses mains de l’homme. Mathilde en profita pour se déshabiller complètement. Je vis bientôt les trois corps nus enlacés. Elles le sucèrent à tour de rôle, s’embrassant parfois fougueusement puis Mathilde se mit en position, fesses dirigées vers le black. Agnès lui enfila un préservatif et il pénétra mon amie.

Leur partie de baise dura plus d’une heure, au cours de laquelle, il prit chaque fille à tour de rôle, tantôt sur elles, tantôt en dessous. Agnès le suçait à chaque fois que le sexe sortait de la chatte de Mathilde. Il finit par ne plus résister et il arracha sa capote, les deux filles se mirent à genoux devant lui et il se branla. Je vis sa bite cracher son sperme sur le visage de Mathilde, Agnès le suça pour le nettoyer et elle embrassa sa copine et lui lécha le visage.

Je n’en croyais pas mes yeux. Je vivais sous le même toit que deux belles salopes et j’étais bien décidé à en profiter très rapidement.

Le week-end suivant, nous étions tous les trois à l’appartement. J’accompagnais les deux filles pour leur footing hebdomadaire puis de retour à l’appartement, comme le temps n’était pas terrible, on décida de se la couler douce. Mathilde proposa de faire des jeux de société. L’idée nous plut. C’était parti pour une partie de trivial que j’emportais haut la main, on discuta ensuite de tout et de rien. Puis Agnès proposa un jeu qu’on lui avait offert. C’était un jeu pour adultes. Je trouvais ça une super idée et me dis que cela pourrait débloquer la situation. Mathilde était également enthousiaste.

Un peu à la manière de action ou vérité, le jeu mettait en avant les pratiques amoureuses, les fantasmes ou positions sexuelles.
Agnès commença et la première question fut pour moi. Je choisissais « vérité ». Et dû avouer, un peu gêné devant Mathilde, que je me masturbais régulièrement. A la question combien de fois par semaine, je répondis que cela dépendait d’elles !!

Agnès et Mathilde rirent. Je posais à mon tour la question à Mathilde qui me répondit qu’elle aimait le faire quand elle avait le temps. Au tour d’Agnès, elle choisit action. Mathilde lui demanda alors de prendre la position qu’elle préférait pour faire l’amour. Agnès mima alors une levrette…

Après plusieurs tours de ce jeu, nos esprits s’étaient considérablement échauffés et les questions et actions devenaient de plus en plus osées. A une action proposée par Mathilde, je me mis en sous-vêtements. J’eus du coup beaucoup de mal à cacher mon excitation. Je vis que Mathilde avait du mal à détourner son regard de la bosse qui déformait mon boxer. J’enchainais sur la même demande pour Agnès et eu la joie de la revoir en sous-tif et string. Pour que nous soyons tous au même niveau, Mathilde fit de même à son tour.

Nous rigolions mais je savais que les deux filles devaient être dans le même état que moi. La question tourna autour de la sodomie. Agnès avoua avoir déjà pratiqué. Mathilde jamais et moi non plus. Agnès avec son petit avantage nous demanda si cela m’excitait. Je lui avouais que ce genre de pratique était effectivement très excitant et j’ajoutais surtout en voyant leurs fesses !!

Agnès se leva alors et revint quelques instants plus tard avec le gode que j’avais découvert dans sa chambre. Elle nous le montra et nous dit que ce serait pour la prochaine action. C’était au tour de Mathilde, à la question action ou vérité, elle choisit avec un air excité action. Agnès lui demanda alors de se mettre à quatre pattes. Elle lui retira sa culotte et écarta largement ses fesses. J’avais sous le nez la petite rosette de mon amie. Agnès posa une petite noisette de lubrifiant qu’elle avait ramené également et elle pénétra Mathilde avec un doigt. Je vis en quelques instants le petit trou s’ouvrir comme une fleur. Agnès y présenta alors le gode et elle l’enfonça lentement. Mathilde ne disait rien, se concentrant sur ses sensations. Moi j’étais comme un fou. Ma bite allait bientôt crever mon boxer !!

Alors que le gode était entré complètement, Mathilde, les dents serrées, me demanda « action ou vérité » ? Je lui répondis action. Elle me demanda alors de remplacer le gode. Je quittais précipitamment mon boxer et m’approchait de son cul. Agnès retira alors le gode et guida mon sexe. Je la pénétrais lentement, forçant un peu pour passer mon gland gonflé. Mathilde était le visage plongé dans les coussins, fesses en l’air, elle tenait ses fesses avec ses mains, les écartant le plus largement possible.
Je continuais ma progression, sentant mon sexe serré dans son fourreau. Je commençais alors de lents vas-viens. Agnès était venue m’embrasser à pleine bouche. Elle avait glissé sa main vers mes fesses et me caressait, ses doigts l’immisçant dans le sillon, titillant mon anus. Elle avait encore du lubrifiant sur son doigt et celui-ci s’enfonça en moi.

La sensation était incroyable, mon sexe planté dans le cul d’une copine, une seconde me pénétrant avec son doigt. Je bandais encore plus, déjà prêt à exploser. Agnès se mit dans la même position que Mathilde et j’avais désormais sous les yeux le cul des deux femmes. Je sortis de l’un pour plonger dans l’autre. Mathilde se retourna et saisit le gode. Elle commença à se pénétrer en nous observant. Elles étaient déchainées et je n’allais pas pouvoir résister longtemps. Je sortis alors du cul d’Agnès et bite à la main, je ne savais pas trop où j’allais pouvoir jouir. Agnès m’attrapa la queue et l’avança vers Mathilde. Celle-ci ouvrit la bouche et tira la langue. Je me branlais au dessus de celle-ci et me vidais avec une puissance que je n’avais jamais connu. Mon sexe cracha une quantité impressionnante de sperme. Mathilde fut surprise et avala en deux fois ma semence. Agnès vint l’embrasser à pleine bouche tout en me branlant pour faire sortir les dernières gouttes.

A partir de ce jour là, nous fîmes ménage à trois. Régulièrement, je me réveillais entre les deux filles, une main sur un sein. Je devins expert en kamasoutra et Mathilde recevait régulièrement ma bite au fond de son petit cul. Elle adorait se faire enculer. L’année passa très vite !!