ACCUEIL > Bi-sexuels > Récit : La colocation

La colocation

+109

Lue : 7376 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/11/2015

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je me prénomme Bastien, j’ai 19 ans et entre cette année en école de commerce à Paris. Depuis l’obtention de mon bac, je recherche un appartement en colocation avec mon amie d’enfance Mathilde. On a été dans la même classe depuis la primaire et on s’entend super bien. Entre nous aucune ambiguïté, non pas qu’elle ne soit pas mignonne mais en fait la question ne s’est jamais posée. Entre amitié et histoire de cul, nous avions choisi depuis longtemps. Bref, Mathilde devait entrer en 1ère année de médecine également sur Paris et c’est tout naturellement que nous avions décidé de prendre un appartement en commun pour pouvoir diminuer les frais et profiter ainsi d’un espace plus grand.

Après quelques semaines de recherche, on ne trouvait pas grand-chose jusqu’au jour où on tomba sur un bel appartement dans le 14ème arrondissement. Celui-ci était spacieux et bien agencé, seul hic, le budget était au dessus de ce nous nous étions fixé mais il était tellement sympa que nous avons décidé de déposer un dossier. L’attente fut de courte durée et l’agence nous annonça que les propriétaires nous avaient sélectionnés. Emménagement prévu à la mi-août !

Avec Mathilde, on se dit tout de même que vu la taille de l’appartement et le prix du loyer, on pouvait sans soucis prendre une troisième personne. Dans nos connaissances personne ne nous vint à l’esprit, on décida donc de laisser une petite annonce dans nos écoles respectives dès la rentrée pour proposer la place.

Mathilde et moi nous mirent d’accord sur le fait que nous préférions une fille et que ce serait Mathilde qui la choisirait.

L’appartement couvre environ 70m². En entrant dans celui-ci, on a, sur la droite, la cuisine, petite mais fonctionnelle, à gauche un grand salon puis un couloir en L dessert une première chambre à gauche, puis une à droite suivie des toilettes indépendantes, une salle de bain (avec une grande baignoire !!) et au bout du couloir une troisième chambre.
Mathilde décida de prendre celle-ci tandis que j’occupais la première à côté du salon.

Quelques jours après la rentrée, on eut 5 contacts pour l’appartement. On élimina direct les deux candidatures masculines et je laissais Mathilde recevoir les trois filles. Alors que j’étais en cours, elle m’annonça par texto qu’elle avait trouvé.

Le soir, elle me donna plus d’infos sur notre future colocataire. Elle s’appelle Agnés, 22 ans et est en 3ème année de médecine, elle vient du nord de la France. Elle était en galère d’appartement suite au désistement de sa coloc à la fin de l’année scolaire précédente et elle squattait pour l’instant chez une tante.

Elle souhaitait emménager le week-end suivant.

Le samedi matin, je l’attendais à l’heure convenue en bas de l’immeuble pour l’aider à monter ses affaires. Une petite camionnette arriva et un homme qui devait être son père en descendit. Il me salua et je fis la connaissance d’Agnès. J’étais agréablement surpris de découvrir une très jolie fille. Agnès est blonde un peu plus grande que moi, donc presque 1m80, un joli visage et un corps que je devinais sous des vêtements amples aux formes généreuses. Elle portait un vieux jogging qui ne la mettait pas vraiment en valeur mais qui avait le mérite de ne rien craindre pour porter ses cartons !

Après une bonne heure à monter cartons et valises, toutes ses affaires avaient pris place dans sa chambre. Son père nous salua après avoir pris un café avec nous.

Agnès occupa donc la seconde chambre. Elle était légèrement plus petite que la mienne mais possédait une grande armoire. Mathilde lui donna un coup de main pour défaire ses affaires tandis que je retournais à mes cours, ayant un dossier à rendre pour le lundi.

En fin d’après-midi, Agnès avait pris ses marques et je proposais de préparer à manger. J’adore cuisiner et étais bien décidé à lui montrer mes talents dès ce premier soir. Mathilde prépara un petit apéro. Agnès nous rejoint, elle s’était changé et était beaucoup plus à son avantage. Je ne m’étais pas trompé, elle était plutôt bien roulée. Tandis qu’elle discutait avec Mathilde dans le salon, je l’observais du coin de l’œil tout en continuant à éplucher mes légumes.

Elle avait enfilé un pantalon un peu bouffant mais je devinais de jolies fesses bien rebondies. En haut elle portait un débardeur qui mettait en valeur une taille fine et une très belle poitrine.

En plus d’être jolie et bien foutue, elle était super sympa et ce soir là on parla jusque tard dans la nuit de nos vie respectives. Mathilde et moi avions dès le début de notre colocation, mis noir sur blanc les règles à respecter pour le bien être de tous dans l’appartement. Nous avons donné ces indications à Agnès qui les approuva sans hésiter.

Il s’agissait de règles simples comme par exemple pour l’entretien de l’appartement. Chacun était responsable de l’état de sa chambre, les espaces communs devaient être nettoyés une fois par semaine à tour de rôle (un planning était affiché sur le frigo !), pour les courses, on avait un pot commun pour la nourriture et les produits communs (papier-toilette, produit vaisselle et autres).

Concernant les règles de vie, elles étaient également simples. Petites amies ou petits copains étaient tolérés dans l’appartement mais pas plus d’une nuit par semaine pour éviter les encombrements dans la salle de bain ou dans l’appartement. Ni cigarettes ni drogues à l’intérieur de l’appart. Bref des règles de vie en communauté pour que notre année se passe le mieux possible.

Agnès qui était sportive entraîna Mathilde pour un footing dès le lendemain matin. J’en profitais pour ranger un peu et faire ma part de ménage hebdomadaire. En passant devant la porte entrouverte de la chambre d’Agnès, je ne pus m’empêcher de jeter un œil. Elle avait rangé toutes ses affaires dans l’armoire et dans les tiroirs de la commode. L’un d’eux était mal fermé et je pus apercevoir les dessous de la belle. Une irrésistible envie d’en découvrir davantage me poussa à ouvrir plus largement le tiroir. J’y découvris des dessous de multiples couleurs, soutien-gorges, tangas et string composaient sa garde-robe. Je vérifiais rapidement les mesures et cela me confirma ce que je pensais. Elle faisait un 90D ! Je remis tout cela en ordre dans le tiroir et ne pus m’empêcher de l’imaginer en petite tenue. J’ouvris son armoire afin de découvrir un peu son style de vêtements. Plutôt décontracté, elle avait tout de même des tenues un peu plus « soirée », petite robe noire, bustier ou jupes ainsi qu’une belle collection de chaussures à talon. Coincé entre deux piles de pulls, un objet attira mon attention. Un petit sac en velours avec un cordon brillant. Je l’ouvris et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un vibromasseur couleur inox. Je rangeais rapidement l’objet et le cœur affolé, je quittais la pièce.

Quelques instants plus tard, les filles rentrèrent de leur footing. Je leur préparais un bon petit déjeuner tandis qu’elles allaient prendre une douche à tour de rôle.

Les jours suivants, Agnès hanta mes rêves et plusieurs fois, je me finis à la main en pensant à ses gros seins. Je jouissais dans un kleenex, un peu honteux mais toujours très excité par ma colocataire.

Un jour au détour d’une recherche sur internet, je tombais par hasard sur une offre de télésurveillance. Cela me donna une idée et je poussais un peu plus mes recherches. Je trouvais sur un site spécialisé des micro-caméras wifi. Elle ne mesurait que quelques centimètres et pouvaient facilement se dissimuler. Je décidais d’en acheter 2. Une troisième était offerte. Le week-end suivant, Agnès et Mathilde étaient retournés dans leur famille respective. Je décidais de profiter de leur absence pour installer ces petites caméras.

Je déterminais le meilleur endroit dans la chambre d’Agnès. Tout en haut de l’armoire, il y avait du bois sculpté. A l’aide de ma perceuse je fis un petit trou, le plus discret possible et y installais la caméra. Je fis les réglages de telle sorte que j’avais une vue direct sur le lit et une petite partie de la chambre.

J’installais la seconde dans la salle de bain, derrière la grille d’aération située au dessus de la baignoire et comme il m’en restait une troisième je décidais de l’installer dans la chambre d’Agnès. Je culpabilisais un peu mais l’excitation était plus forte que mes états d’âmes. Je trouvais également un endroit discret dans un coin de la pièce qui me permettait pas d’avoir une vue plongeante sur le lit mais sur presque l’ensemble de la pièce.

Dès le dimanche soir, après le film que nous avions regardé tous les trois, lorsque chacun alla se coucher, je me jetais sur mon pc et branchais mon lecteur. A la manière des services secrets, j’avais sous les yeux mais trois caméras qui filmaient en direct la vie de mes deux colocataires.

Je pus voir Agnès qui s’était réinstallée à son bureau pour lire un bouquin mais c’est sur Agnès que je focalisais mon attention. Elle était entrain de se déshabiller. Malheureusement, elle tournait le dos à la caméra dans sa chambre et je ne pus voir ce soir là que son joli dos et une toute petite partie de ses fesses. Elle enfila une nuisette et se glissa sous sa couette pour lire un peu. Je l’observais un moment excité mais un peu déçu de ne pas en avoir vu plus…

Je jetais tout de même un œil à la chambre de Mathilde et là, surprise, ce que j’avais loupé chez Agnès, c’est Mathilde qui me le montra. Elle s’était déshabillée et était nue dans sa chambre. Elle s’était allongée sur son lit, sur le ventre et pianotait sur son pc. J’avais son joli petit cul en visu. Je devinais sur l’écran du pc qu’elle était sur un site de chat. J’étais un peu surpris, trouvant Mathilde plutôt réservée, je ne l’avais jamais imaginé autrement que très sage. Bien sûr je lui avais connu des petits copains mais je ne l’avais jamais regardé autrement que comme une bonne copine.

Je l’observais un moment, elle avait changé de position et s’était mise sur le côté. Son écran éclairait son visage et son buste et je pouvais très nettement voir sa jolie poitrine. Bien sûr ce n’était pas un 90D mais elle avait tout de même une jolie paire de seins. C’était très excitant de l’observer ainsi et je me surpris à bander fort en la matant. Je me branlais et eu ce soir là une éjaculation très abondante que plusieurs kleenex eurent du mal à contenir !

Ces petites caméras devinrent rapidement une véritable drogue. Je trouvais même le moyen d’enregistrer les images en mon absence. Je pus ainsi découvrir le superbe corps d’Agnès, ses gros seins aux tétons bien dessinés. Je surpris un soir Mathilde qui se caressait toujours en pianotant sur son pc et finalement celle que je pensais être une fille sage cachait bien son jeu. De son côté Agnès était tout le contraire. Je ne la vis pas utiliser son gode et elle dormait systématiquement habillée… à mon désarroi !

Alors que cela faisait déjà 15 jours que j’avais installé ces caméras, je devais rentrer pour le week-end chez mes parents pour l’anniversaire de mon père.

A mon retour le dimanche soir à l’appartement, une fois les filles couchées, je me connectais sur mon serveur et visionnais les images des deux jours. J’eus le droit à un bain d’Agnès, avec la vue plongeante que m’offrait l’emplacement de la caméra. Je la vis se raser sa toison blonde et entretenir son corps qui vraiment ne me laissait pas de marbre !! J’eus le droit aux deux filles s’habillant pour leur jogging hebdomadaire chacune de leur côté, je profitais un cours instant de leurs corps nus.
Après leur footing, je vis d’abord Mathilde entrer dans la salle de bain pour la douche. Elle se déshabilla et je vis alors apparaître à l’écran Agnès qui était également nue. Elles s’enlacèrent et s’embrassèrent. Je n’en croyais pas mes yeux, mes deux colocataires étaient lesbiennes !!!
Elles glissèrent dans le bain, Agnès était au dessus de mon amie et elles continuaient de s’embrasser avec passion. La caméra me renvoyait l’image des fesses rebondies d’Agnès qui dépassaient de l’eau. Elle se redressa et tandis que Mathilde était allongée, jambes écartées, je vis sa partenaire glisser une de ses mains entre ses cuisses et commencé à la branler. Mathilde avait la tête en arrière, les yeux fermés, la bouche entrouverte et semblait gémir. Je n’en revenais pas. Après quelques minutes de ce traitement, Mathilde se contorsionna et je la vis se tendre, relevant son bassin avant de le laisser retomber. Elle venait de jouir !! Elles s’embrassèrent alors tendrement puis se savonnèrent mutuellement avant de quitter la pièce. A mon grand désespoir, je ne les vis plus sur mes écrans et en conclus qu’elles avaient dû aller dans le salon. Elles devaient être nues car je ne les avais pas vues prendre d’affaires. Je fis avancer les vidéos et découvris qu’elles étaient restées prêt d’une heure dans le salon à, j’en déduis, se câliner !
J’avançais les enregistrements de nouveau pour arriver à l’heure du coucher. Je les découvris prendre place dans le lit d’Agnès. Elles se glissèrent sous la couette entièrement nue. Elles s’embrassaient avec fougue. Rapidement, sous leurs mouvements la couette glissa au sol. Elles se mirent en 69, Mathilde dessus. Je les observais se manger le minou, de doigtant. Leur partie de jambes en l’air dura un long moment. Je me branlais en même temps et fini par jouir sur moi.

Dès le lendemain, je décidais d’investir dans d’autres caméras. J’en installais au final 4 de plus, le logiciel ne pouvant en accepter que 6. J’avais désormais une vue sur le salon (la caméra était cachée dans l’angle de la pièce au niveau d’une prise tv inutile), une vue de ma chambre (pour le cas où !!), une vue du couloir (pour voir les allées et venues) et une seconde dans la chambre d’Agnès, faisant face à la première, cachée derrière le radiateur (que j’avais dû démonter entièrement pour accéder à l’arrière !!)

L’appartement était désormais complètement équipé. Malgré ce que je savais des deux filles, rien dans leur comportement ne pouvait laisser penser qu’elles avaient une relation. Pourtant régulièrement même quand j’étais dans l’appart, elles se retrouvaient pour des petits câlins, bisous ou davantage quand le temps le permettait.

De mon côté, je fantasmais de plus en plus sur les deux femmes, me branlant quotidiennement en regardant leur corps. Un samedi soir, alors que Mathilde était rentrée chez ses parents pour le week-end, Agnès et moi étions dans le salon entrain de regarder un film. Elle était dans le canapé tandis que j’occupais le fauteuil à côté. Le film se termina vers 23h et je vis qu’elle s’était endormie. Je n’osais la réveiller et zappais sur une chaîne sport pour regarder les résultats de la journée.
Je regardais le programme jusqu’à minuit passé et alors que j’allais aller me coucher, je zappais une dernière fois et tombais sur un film X… je n’avais pas mis de code parental et les images apparurent immédiatement. Je me retournais vite vers Agnès mais elle dormait profondément et ne se rendit compte de rien. Je baissais le son et regardais quelques instants les images d’une femme prise par deux hommes. J’étais excité par la situation et accaparé par les images lorsqu’Agnès fit une remarque sur la poitrine de l’actrice, me disant que c’était du faux. Je sursautais et bafouillais un peu, ne sachant plus trop où me mettre. Elle me rassura tout de suite et continua ses commentaires sur les images. Elle n’avait pas changé de position et regardait le film x sans gêne et tout naturellement.

Je laissais donc les images défilées et elle me demanda si ce type de film m’excitait. Je lui avouais que je ne trouvais pas cela désagréable à regarder et à ma grande surprise, elle m’avoua qu’elle allait se coucher car cela avait tendance à l’émoustiller et elle ajouta en rigolant qu’elle risquait de me sauter dessus.

Je saisis la balle au bond et lui dit qu’il ne fallait pas qu’elle se gêne. Elle se tourna vers moi, toujours allongé et plongea son regard dans le mien. Je sentais mon cœur s’emballer et taper dans mes tempes. Je décidais de tenter ma chance et je m’approchais d’elle. Elle continuait de me regarder fixement. Je posais mes lèvres sur les siennes et nous nous embrassâmes tendrement, sa langue venant s’enrouler autour de la mienne. Elle glissa sa main dans mes cheveux, me saisissant par la nuque et m’attira davantage vers elle. Je me retrouvais rapidement sur elle. Allongés sur le canapé, j’étais entre ses jambes, mon sexe tendu comme un arc et coincé dans mon boxer tapait contre son intimité. Nous restâmes soudés à nous embrasser pendant un long moment. Elle finit par aventurer ses mains vers mon pantalon. Très adroitement, elle dégrafa la boucle de ceinture et glissa sa main dans mon pantalon. Je sentis rapidement ses doigts entrer en contact avec ma bite qui ne demandait qu’à sortir. Elle eut un petit sourire et sembla étonné en même temps. Il faut dire que la nature m’a plutôt gâté. Je me redressais et retirais mon tee-shirt. Je me dépatouillais comme je pus pour faire glisser le reste de mes affaires. Agnès m’observait et je la voyais fixer mon sexe. Elle le saisit et me branla doucement, découvrant les 23cm de ma queue. Elle ne semblait pas en revenir.

Elle se redressa à son tour et je l’aidais à quitter son sweat, découvrant sa lourde poitrine libre de tout soutien. J’embrassais les deux seins puis l’aidais à retirer son pantalon et son string. Ce corps que j’avais tant observé sur écran était enfin entre mes mains.

Je me relevais et debout à côté du canapé, je lui présentais mon sexe. Elle ne se fit pas prier et commença à me sucer. J’en profitais pour la caresser, découvrant sa petite chatte trempée. J’y fis glisser un doigt puis d’eux. Elle gémissait avec ma queue au fond de sa bouche. Elle se releva alors et me tournant le dos, elle prit appuis sur le dossier du canapé. Un simple « prends moi !» et je me présentais à l’entrée de son vagin. Je la pénétrais lentement, lui faisant sentir chaque centimètre de mon sexe. Elle avait plongé sa tête entre ses bras. Je la saisis par les hanches et me mis à la prendre avec force, donnant de puissants coups de reins. A chacun d’eux, elle gémissait, se retenait de ne pas crier. J’étais surexcité et sentais que je ne pourrais pas me retenir longtemps… Je sentis alors son vagin se contracter et elle laissa un long gémissement s’échapper de sa bouche. Je me retirai rapidement et explosais sur ses fesses. Mon sexe n’arrêtait pas de cracher, je jouissais comme jamais je n’avais joui. Elle resta ainsi, les fesses en l’air. J’allais chercher de quoi l’essuyer.

Elle me remercia et on s’embrassa de nouveau. On but un peu d’eau et on s’endormit dans les bras l’un de l’autre.

Durant les jours suivants, on ne fit aucune allusion à cette soirée. On était même un gêné mais dès que Mathilde était absente, on se bécotait comme des ados, se tripotant.

Je continuais malgré tout à observer mes caméras et vit qu’Agnès était insatiable, tantôt dans mes bras, tantôt dans ceux de Mathilde.
Je me mis à m’imaginer au milieu des deux filles… prochainement je vous raconterai…
109 vote(s)


Histoire de flopro

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La colocation

Le 11/12/2022 - 13:53 par Curieux79
Superbe récit, très excitant

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :