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La crevaison

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Lue : 18972 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 10/07/2016

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Je reviens de vacances, seule sans mes enfants et mon mari. Ils reviennent d'ici quelques jours, mon boulot ne pouvant pas attendre. Je suis sur la route, j'ai quitté depuis quelques minutes l'autoroute et il ne me reste qu'une quinzaine de kilomètres avant d'arriver chez moi. Après 5 heures de route, il est temps, car je commence à sérieusement fatiguer. Je suis sur une petite route de campagne, il est minuit passé mais la pleine lune apporte beaucoup de luminosité à la campagne environnante.

Je ne roule pas vite car il n'est pas rare de croiser sur cette route chevreuils et lapins. J'arrive dans un virage et soudain le pneu arrière droit de ma voiture éclate, La voiture tangue un peu mais j'arrive tant bien que mal à rester sur la route. Je ralentie fortement et j'entends le bruit du pneu désormais en charpie...

Je continue quelques dizaines de mètres et réussi à me garer sur un petit chemin.

Je descends de la voiture et constate les dégâts. Il va falloir que je me débrouille et que je change la roue toute seule. A cette heure-ci, je ne risque pas de voir grand monde passer sur cette route...!!

Je vide le coffre et installe mes bagages sur les sièges arrières. J'essaie de trouver le nécessaire pour démonter la roue. Ouf, la roue de secours est gonflée!!

Aucun lampadaire à proximité, je dois me servir de mon téléphone pour éclairer la jante. Après plusieurs tentatives infructueuses, je n'arrive pas à décoincer les écrous. Je suis fatiguée, énervée et ne sais plus quoi faire.

Tandis que je suis entrain de fouiller dans le répertoire de mon téléphone à la recherche du numéro d'une personne qui pourrait venir m'aider, je vois au loin les phares d'une voiture. Elle arrive à vive allure et ne risque pas de me voir. J'ai à peine le temps d'allumer les warning de la voiture, qu'elle passe en trombe à quelques mètres.

Il va donc falloir que je trouve une âme charitable dans mes amis qui se lève en plein milieu de la nuit pour venir me dépanner.

Alors que je m'apprête à composer le numéro, j'entends arriver une voiture de l'autre côté. Elle roule cette fois-ci à allure modérée et semble même ralentir. Je sors de la voiture et effectivement une voiture, la même qui est passée dans l'autre sens il y a quelques instants, s'arrête à ma hauteur.

La vitre s'ouvre.

- Bonsoir Madame. Un soucis?
- Oh oui, gros soucis, j'ai mon pneu arrière qui a éclaté et je n'arrive pas à le changer... vous seriez super sympas si vous pouviez m'aider!
- Avec plaisir, hein les gars, on va aider la dame!?

Je découvre deux autres visages à côté du jeune homme.

Il se gare et les trois hommes descendent de la voiture.
Ce sont trois jeunes gens d'une vingtaine d'années tout au plus.

- Vous avez tout ce qu'il faut me demande l'un d'eux...
- euh, je crois, je vous laisse regarder...

L'un d'eux tient son téléphone pour éclaire la jante, un second tente de déverrouiller un premier écrou tandis que le dernier me fait la conversation.

- vous avez de la chance qu'on ait fait demi-tour, j'ai eu un doute quand on est passé devant...
- c'est super gentil parce que je ne savais pas trop comment faire... je viens de faire 5 heures de route et je ne me voyais pas dormir dans la voiture!
- je vous comprends en plus une jolie dame comme vous seule au milieu de la campagne ce n'est pas très sûr!!

En disant cela, il m'avait regardé des pieds à la tête et je remarquais que celui qui tenait la lampe me lorgnait les jambes. Il faut dire que, de retour de vacances, j'avais conservé mon petit short et que mes longues jambes n'étaient pas la partie la plus moche de mon corps.

En quelques minutes, ils réussirent à démonter la roue crevée et commencèrent à installer la roue de secours.

- vous allez bientôt pouvoir rentrer me dit celui qui se trouvait à côté de moi,
- oui, vraiment merci, je ne sais pas comment vous remercier...

Cette phrase anodine était sortie machinalement mais n'était pas tombée dans l'oreille d'un sourd.

- j'ai bien une idée lança celui qui terminait de resserrer les écrous...

Je fis mine de ne pas avoir entendu...

- arrêtes Gabby... Madame est trop bien pour toi!! chambra le troisième.
- c'est sûr que vous êtes vachement jolie Madame!

La conversation commençait à être gênante. Moi, seule au milieu de nulle part avec trois jeunes hommes que mes charmes semblaient émoustiller, je n'étais pas très rassurée.

- Vous savez on ne se serait pas arrêté si on avait pas vu que vous étiez aussi jolie...
- Vous êtes gentils et je vous remercie de m'avoir aidé mais il va falloir que je rentre, je suis vraiment fatiguée...
- et voilà les gars, je vous l'avais dit, on rend service et on a rien en retour!!! lança le plus petit des trois
- c'est vrai Madame, c'est pas très sympa, nous on s'emmerde à vous changer votre roue au milieu de la nuit et on a qu'un p'tit merci!!
- Je ne comprends pas, qu'est ce que vous voulez... je n'ai pas d'argent sur moi... je veux bien vous laisser mon adresse et vous passez demain. Je vous donnerai un petit quelque chose... ça vous va?
- Qui a parlé d'argent Madame?
- Je ne comprends pas... qu'est ce que vous voulez?

Le plus vieux des trois prit la parole...
- Ce que mes potes aimeraient je crois c'est que vous nous montriez un petit quelque chose pour qu'on fasse de doux rêves cette nuit...
- Comment ça, qu'est ce que vous voulez que je vous montre??

Je ne comprenais rien à ce qu'il voulait et commençait un peu à m'énerver.

- Bah, on a bien vu vos jambes mais j'ai l'impression de que le reste n'est pas mal non plus... alors on aimerait voir un peu plus... vous voyez ce que je veux dire... pas vrai les gars?

Les deux copains acquiescèrent immédiatement.

Je n'y croyais pas, cette trois jeunes voulaient que moi la mère de famille de 40 ans, mariée depuis 12 ans, je me déshabille devant eux pour un simple pneu changé??!!

- Vous rêvez les gars... je ne vais pas me déshabiller devant vous...
- ah bon?? ok, Manu retire la roue de secours, on la laisse se débrouiller!

Immédiatement le Manu en question se saisit de la clé et commença à dévisser un premier écrou.

- Eh non arrêtez,,. soyez pas salaud!!
- C'est vous qui voyez Madame, y'a pas de raison qu'on soit sympa si vous vous l'êtes pas!!!

Je m'avouais vaincue devant leur chantage, je n'avais qu'une envie, rentrer rapidement chez moi.

- c'est bon, qu'est ce que vous voulez que je vous montre ?

Je vis leur air satisfait en m'entendant.

- ah bah voila... vous nous faites plaisir Madame!! Je crois avoir aperçu qu'il y avait du monde au balcon comme on dit... alors mes potes et moi on serait content de voir...
- je vois... vous ne doutez de rien... si c'est ça que vous voulez... mais après vous me laissez repartir... ok??
- parole Madame!! dirent ils tous en coeur.

Je dégrafais mon petit gilet et le posais dans le coffre ouvert de ma voiture. Je fis ensuite glisser les bretelles de mon petit débardeur. Je roulais mon vêtement jusqu'à mes hanches, dévoilant mon soutien-gorge. Les trois garçons avaient braqué leur téléphone sur moi et m'éclairaient avec.

Je passais les mains dans mon dos et fébrilement dégrafais mon sous-vêtements. Je maintenais une main sur celui-ci. Je ne voyais pas le visage des trois garçons mais je me doutais qu'ils attendaient la suite avec impatience.

Je ne les fis pas plus attendre et retirais complètement mon soutien-gorge. Un sifflement fusa dans le silence de la nuit.

- ouahhhh... magnifique, quelle paire de seins !!! lança l'un d'eux.
- merci, bon vous avez eu ce que vous vouliez..
et je remontais déjà mon débardeur.

- pas si vite Madame laissez nous profiter du spectacle!!!
- c'est vrai ça... c'est pas tous les jours qu'on voit une femme aussi jolie...
- vous êtes superbe et vous avez un corps parfait!!
- je suis sûr que vous avez des fesses aussi jolies que vos seins...

J'avais compris leur manège...
- ok... j'ai compris, vous voulez tout voir, c'est ça??!! vous croyez pas que vous exagérez??
- C'est de bonne guerre Madame... on vous a quand même bien aidé sur ce coup là... ça méritait bien une récompense!!
- je vois... bon...

Au lieu de remonter mon débardeur, je l'entraînais vers le bas, empoignant en même temps mon petit short.
Je conservais mes baskets et me retrouvais rapidement devant eux en string.

Cachés derrière les lumières. je ne voyais pas leur visage mais me doutais qu'ils se rinçaient l'oeil!!

- Vous pouvez vous tourner s'il vous plait Madame... demanda timidement l'un d'eux..

Je pivotais sur moi-même et leur dévoilais mes fesses. Mon string devait bien mettre en valeur mes fesses que le sport a rendu fermes et rebondies.

- ah la vache!!! quel cul!! laissa échapper l'un d'eux...
- je suis sûr qu'elle est épilée chuchota un autre...

Je m'impatientais un peu.
- Bon allez vous avez tout vu... maintenant je dois y aller!
- Bah non, on n'a pas tout vu... me dit le plus vieux.

Je savais que j'étais coincée et qu'ils ne me laisseraient pas partir tant qu'ils n'auraient pas tout vu...
Je me retournais vers eux et fis descendre mon string.

- j'en étais sûr; regardes moi ça, ce petit abricot tout lisse...
- Madame, vous êtes magnifique!! votre mari a bien de la chance!!!
- Merci les garçons... maintenant je vais y aller... vous avez eu ce que vous vouliez...
- Merci Madame... en tout cas, on regrette pas de s'être arrêter... moi j'ai jamais vu une femme aussi belle que vous...
- C'est gentil, mais vous en verrez d'autres, vous êtes encore jeune!
J'entendis alors l'un d'eux chuchoter à un autre...
- elle m'a collé une gaule d'enfer... j'en peux plus!!
- moi aussi surenchérit l'autre...

C'était très troublant de les entendre. J'attrapais mes vêtements et renfilais rapidement mon short, ne retrouvant pas mon string et passais mon débardeur, jetant mon soutien-gorge dans le coffre.

- En tout cas, vous avez été sympa, on va faire de beaux rêves après tout ça!!

Je ne répondis pas et essayais de reprendre le contrôle des choses mais je me rendis soudain compte que je ne trouvais plus les clés de la voiture. Je me souvins que je les avais posé dans le coffre avant de sortir les outils pour changer la roue. Elles avaient du glisser au fond de celui-ci.

Je me penchais pour vérifier et les vis au fond du coffre, je dus me pencher davantage et alors que j'allais les attraper, je sentis tout contre moi la présence d'un des gars. Ces mains venaient de me prendre par les hanches.

- qu'est ce que vous foutez lui dis-je sans ménagement.
- désolé Madame, mais en vous voyant dans cette position je n'ai pas pu résister.

Je tentais de me débattre mais dans ma position, je ne pouvais pas faire grand chose.
Il me tira vers lui et je sentis immédiatement la bosse de son sexe se coller contre mes fesses.

- Laissez vous faire, on veut pas vous faire de mal... je suis sûr que ça va vous plaire...
- tu me lâches immédiatement ou je hurle!!!
- vous fâchez pas Madame, en plus, personne ne vous entendra... vous nous avez trop chauffé tout à l'heure...mes potes et moi on bande comme des taureaux!

Je me sens bizarre, furieuse mais également troublée. Je dois réagir, faire quelque chose ou bien je vais me faire violer par ces trois jeunes sur cette route de campagne.

- ok... leurs dis-je... ok... je suis d'accord mais à mes conditions...

Le jeune lâche son étreinte et se recule, me laissant me redresser et lui faire face.

- je vois que me voir à poil ne vous a pas suffit... je veux bien aller plus loin mais je ne suis pas une pute donc je veux bien m'occuper d'un de vous trois mais un seul... les deux autres n'auront qu'à regarder...
Je savais que ça allait mettre la zizanie entre eux. Le plus vieux tenta de s'imposer tandis que les deux autres rouspétaient... Finalement il se tourna vers moi...

- Ok mais on vous laisse choisir!

Les rôles s'étaient inversés et c'est désormais moi qui tenait les rênes.

- Bien... vous m'avez vu nue, à mon tour de vous voir à poil... ça m'aidera sûrement à choisir!
Le plus petit laissa échapper un "salope" qui me fit frissonner.

Il fallut que j'insiste un peu, leur faisant miroiter leur récompense. Finalement, ils commencèrent à se déshabiller. Ils eurent du mal à faire tomber leur caleçon mais je découvris dans la pénombre le corps des trois jeunes gens. Ce déshabillage avait quelque peu refroidi leurs ardeurs et leurs sexes étaient un peu retombés. Je devinais pourtant des attributs fort honorables surtout chez le plus petit des trois qui semblait doter d'une belle verge.
La situation était très excitante. Moi seule au milieu de la nature à 2 heures du matin en compagnie de trois jeunes garçons intégralement nus.

Je les fis mariner un peu et finalement pointais du doigt le plus petit, celui dont le sexe m'avait impressionné.

Il jubilait tandis que les deux autres grognaient de dépit.

Le petit s'avança vers moi, tout nerveux et fébrile. Je le repoussais gentiment et me débarrassais de mon débardeur, faisant jaillir mes seins sous ses yeux.
Il se jeta littéralement dessus, les empoignant fermement. Je vis son sexe se redresser immédiatement et grossir encore.
Il plongea sa tête entre mes seins et les embrassa. Je glissais ma main dans ses cheveux et l'encourageais par ma caresse.
Je sentis ses mains qui dégrafaient mon short. Ce dernier glissa le long de mes jambes jusqu'à mes chevilles. Sa main se glissa entre mes cuisses et empoigna mon sexe humide. Il me caressa maladroitement, glissant un doigt entre mes lèvres essayant de titiller mon clitoris.
J'étais tout aussi excitée que lui d'autant plus que face à nous, dans la pénombre, je devinais ses deux copains qui se branlaient en nous regardant.

Je décidais de passer à la vitesse supérieure et attrapais son sexe gonflé. Ma main peina à en faire le tour. Je le sentais vibrer entre mes doigts.

Je m'accroupis et vins le mettre dans ma bouche. Je ne me reconnaissais pas, moi, la femme mariée, fidèle depuis ma rencontre avec mon mari, j'étais à genoux devant ce garçon, son sexe planté dans ma bouche.

Je m'appliquais sur cette belle queue et lui prodiguais une fellation dont il se souviendrait longtemps. Je mis toute ma science à son service et après 5 minutes de cette caresse, je sentis son sexe gonfler encore un peu.
- oh la vache, je vais jouir... elle me pompe trop bien...

Malgré son avertissement, je gardais son sexe dans ma bouche et je reçu plusieurs jets de sperme. J'avalais le tout sous ses murmures approbateurs.
- Nom de dieu, elle avale tout... putain que c'est bon...

Je le sentais tétanisé entre mes mains. Je finis par le lâcher presque déçue qu'il ait joui si vite. Sa queue retrouvait des mensurations plus raisonnables, dégonflant rapidement.
Je m'essuyais le bord des lèvres et me relevais. Je vis les deux autres garçons, les yeux exorbités, toujours leur sexe à la main. Eux non plus n'en pouvaient plus.
Je m'assis sur le bord du coffre et leur fis signe... J'étais trempée et avais envie de sentir un sexe en moi.

Timidement ils s'approchèrent de moi, leur sexe au garde à vous.

Le plus vieux prit tout de suite la direction des opérations. Il se pencha sur moi. Il voulait embrasser mes seins. Je tendis la main à l'autre. Il s'approcha tandis que son copain suçait mes tétons durcis.

- Viens là, montres moi ta queue...
Je l'attrapais et me penchais un peu pour à son tour le sucer.
Je sentis mes jambes s'écarter et je vis la tête de l'autre plonger entre mes cuisses. Sa langue râpeuse se posa sur mon sexe et commença à me lécher. C'était un peu brouillon mais très agréable...

Je repoussais celui que j'avais en bouche et attirais son copain contre moi. Nos corps basculèrent dans le coffre. Ma tête alla heurter l'arrière des sièges. Ils me tendirent des vêtements mis en boule pour caler sous ma nuque.
Jambes écartées, j'attendais l'assaut final. Il ne se fit pas prier et s'enfonça en moi jusqu'à la garde d'un coup sec.

Je me mis à gémir bruyamment, prenant réellement mon pied.
Cette séance de baise imprévue et complètement surréaliste décuplaient mon excitation et mon plaisir.
Le jeune entre mes jambes se débrouillait très bien, son rythme était parfait et je sentis rapidement un orgasme monté au creux de mes reins. Mon vagin se contracta autour de son sexe et je laissais échapper un long râle de plaisir. C'en fut trop pour mon amant qui se vida au fond de moi. Il se retira et je sentis son sperme s'échapper de mon vagin et couler entre mes cuisses.

Le troisième qui n'avait rien raté de la scène s'approcha de moi pour prendre la place de son copain. J'étais toujours surexcitée.
- attends... tu vas venir derrière moi...

Je ressortie du coffre et me penchais en avant pour prendre appuis sur mes mains, tendant ma croupe vers le jeune homme.
Il était tout intimidé et tout penaud et je dus guider son sexe dans le mien. Il s'est vite enhardi et s'est agrippé à mes hanches, me donnant de grands coups de reins.
A force de faire de grands vas et viens, son sexe est sorti brutalement du mien. Il a essayé d'y rentrer de nouveau mais il était tellement excité qu'il n'y parvenait pas et son sexe glissa deux trois fois sur mon petit trou. Habituée à ce genre de pratique, je ne protestais pas et finalement cela eut l'air de l'intéressé davantage mais sans plus de succès. Autoritairement, j'empoignais sa queue et la dirigeais moi-même vers ma rosette.
Il poussa lentement et s'enfonça tout naturellement dans mes fesses.

- oh putain les gars, je suis entrain de l'enculer lança-t-il à ses potes.

Ces deux copains s'étaient rapprochés et sexe à la main se branlaient en nous regardant.

- quelle salope dit l'un d'eux, elle aime la bite!!!

Ces mots crus m'excitèrent au plus haut point et c'est moi qui me mit à bouger mon corps pour aller et venir sur son sexe. Le pauvre ne résista pas longtemps et se plaqua contre mes fesses en grognant. Je sentis le liquide chaud s'écouler en moi.

- Oh bordel, je lui crache mon jus dans son cul de salope!!!
- à mon tour, laisses moi la place!!!... c'était le petit nerveux qui voulait me prendre maintenant. J'eus à peine le temps de sentir le précédent sortir que son gland poussait sur mon petit trou dilaté. Malgré son calibre, il rentra sans peine en moi. Il me baisa avec force, son bas-ventre claquant sur mes fesses. Son pote vint s'installer assis dans le coffre.
- viens me sucer !!

Je ne me fis pas prier et tandis que le garçon derrière moi continuait d'aller et venir, je m'appliquais sur ce joli sexe qui coulissait entre mes lèvres.

Les mots crus continuaient de fuser entre les trois garçons. Je n'étais plus qu'un objet sexuel entre leurs mains.

Le plus petit derrière moi s'arrêta et je sentis son gros sexe sortir de mes fesses.
- on va te prendre en sandwich, tu vas prendre ton pied.

Je ne réagissais même plus... Il me tira vers lui. Son pote s'allongea par terre et je vins me positionner sur lui. Je sentis le garçon derrière moi me forcer à me pencher sur mon partenaire du dessous. Mon visage était presque contre le sien. Je voyais ses yeux brillants de plaisir et d'excitation. Il me prit le visage entre ses mains et m'embrassa avec fougue, sa langue s'entourant autour de la mienne.

Son copain derrière en profita pour venir glisser son sexe dans mon petit trou. Les deux queues me remplissaient désormais, se frottant l'une à l'autre à l'intérieur de mon corps.

Une vague de chaleur me submergea. Je m'écroulais complètement sur le garçon du dessous. Celui-ci me chuchota dans l'oreille des mots crus...
- t'aimes ça salope.. ça te fait du bien de te faire baiser par des petits jeunes... t'es notre petite pute à nous... on va te baiser jusqu'au bout de la nuit...

Je n'en pouvais plus, je mordais mes lèvres pour ne pas hurler sous les orgasmes successifs qui me traversaient le corps.

Nos corps étaient couverts de sueurs, leurs sexes coulissaient en moi comme dans du beurre...
Derrière moi, il se retira et je le sentis jouir sur mes fesses et le bas de mon dos... son sexe cracha une grande quantité de sperme. Il secoua sa verge en tapotant mes fesses avec puis je sentis de nouveau le troisième larron s'enfoncer dans mes fesses et en quelques mouvements l'un comme l'autre jouir au fond de moi. Je me sentais inondé par leur semence.

Je tentais de reprendre mes esprits... eux aussi. Je me relevais, j'avais les jambes flageolantes et je sentais le sperme couler le long de mes cuisses. Le plus petit s'était assis sur le bord du coffre... il m'attrapa par le bras...

- c'était top... vous êtes incroyable... pas comme les minettes de notre âge...
Je lui fis juste un sourire en ramassant mes vêtements alors que le jour commençait à se lever à l'horizon.

- On va vous laisser nos numéros, si vous avez de nouveau besoin de mécanos!!! dit en souriant le plus vieux.

Je ne répondis pas et renfilais mes vêtements tant bien que mal. Mon string et mon soutien-gorge avaient disparu... tant pis, j'étais morte et n'avais qu'une envie : rentrer chez moi, me doucher et me coucher!!

Le lendemain en rentrant du travail, je reçu un sms d'un numéro inconnu. Je me rendis compte que les trois garçons avaient réussi à récupérer mon numéro la nuit précédente. En ouvrant le sms, je découvris une photo de moi nue. Ils avaient en fait pris des photos et peut être même des vidéos pendant que je m'étais déshabillée mais également pendant nos ébats.

Ils voulaient me revoir et promirent de garder ces photos et vidéos compromettantes pour eux si j'étais gentille. A chaque fois que je les rejoindrais, ils effaceraient un fichier...

J'ai rendez-vous dès demain à l'appartement de l'un d'eux...

à suivre...
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Histoire de LN78

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Commentaires du récit : La crevaison

Le 08/05/2023 - 10:02 par lucrece
C'est toujours agréable les rencontres imprévues, petite veinarde.
Le 24/03/2023 - 17:52 par Al09
Très excitant !
Le 07/02/2023 - 17:59 par Balista
Très bien, mais depuis le temps, la suite promise aurait dû être publiée.
Le 27/09/2021 - 14:02 par Franck 34480
Jolie histoire très bien racontée. Sa lecture m a ramené deux ans en arrière mon épouse ayant subi pratiquement la même chose en rentrant de nuit d une réunion de travail.
Le 07/07/2021 - 17:54 par sizaxe
Un must !

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