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La dépose

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Lue : 1404 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/06/2021

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Cela faisait six mois maintenant que la dépose avait été crée le long de l’établissement scolaire, et c’était sans aucun doute une bonne chose. Ainsi les gens pouvaient stationner quelques instants, voir leur progéniture s’éloigner pour une journée d’enseignement, et repartir, avant de venir le soir récupérer leurs enfants et de les ramener à la maison.
Avant il n’y avait rien, et donc les gens se garaient un peu n’importe où. C’était en particulier dangereux au bord du rond-point qui permettait d’accéder à ce gros bloc qui avait fait son apparition en 2013, à cause du gonflement de la population scolaire. Certains prenaient carrément la minuscule route qui passait devant la bâtisse, et s’arrêtaient en plein milieu, le temps que leurs rejetons descendent, avant de ressortir plus loin.
Moi je n’avais pas vraiment ce problème. En effet, j’accompagnais ma fille unique le matin à pied, et je venais aussi la rechercher en marchant. J’étais divorcé, et c’était obligatoirement moi qui effectuais ce trajet, en sa compagnie. Elle avait beau avoir quatorze ans, je me sentais plus tranquille de l’accompagner.
On bénéficiait d’un aménagement urbain vraiment positif qui faisait que tout le long de la ville, dans sa couronne extérieure, on pouvait se déplacer à pied, sur une voie tracée le long de la route proprement dite. Je passais par là.
Ca s’est vraiment noué un mardi matin.
Juste en face de l’établissement, il y avait une grande surface. Elle ouvrait une demi-heure après que les premiers cours aient commencé. J’avais besoin d’acheter des vis, et comme cette matinée faisait partie des trois matinées par semaine où j’étais libre, je me suis posé sur un banc.
J’avais appris à apprécier les moments simples de la vie. Quand, très simplement, on se pose quelque part, et on profite de la simplicité de la vie autour de soi. La beauté d’un ciel, le vol d’un oiseau qui passe, la structure d’un arbre…J’aimais me laisser aller et profiter des sensations qui pouvaient m’assaillir.
C’est alors que je l’ai remarquée.
Le banc était le long du chemin, et il me permettait d’embrasser dans mon champ de vision à la fois le supermarché, dont je guettais l’ouverture et le bâtiment.
Il restait un véhicule sur les zones de dépose. Un seul. Un véhicule sombre et allongé, plutôt luxueux. Elle était calée devant la roue arrière, et même d’ici, je voyais bien que le pneu était à plat. Elle avait sorti le cric, et elle était occupée à l’installer au point de levage, avec détermination.
Certains personnes restent totalement indifférentes au sort des autres. Je me suis dit que je pouvais l’aider. Ca ne me coûterait pas grand chose.
C’est en m’approchant que je l’ai vraiment reconnue. Je l’avais déjà aperçue plusieurs fois. Elle venait tous les matins amener son enfant. Les deux fois où mon regard s’était posé sur elle, elle était dans la voiture, et j’avais été troublé par ses charmes. Toute cette série de détails qui font qu’un homme remarque une femme. J’avais aperçu une chevelure blonde, coupée court, et un visage aux traits délicats, dont l’harmonie disait la beauté. Elle avait dans mes âges, une trentaine d’années.
Elle aimait faire preuve d’une certaine élégance. Alors que certaines mamans venaient totalement débraillées, en sweat-shirt et pantalon de survêtement informe, les deux fois où je l’avais remarquée, elle était en tailleur jupe veste et l’autre fois, dans une robe longue. D’ailleurs, cette fois-ci, elle était encore dans une robe longue, rouge vif.
Ce qui m’avait vraiment troublé, outre sa beauté, c’avaient été des détails porteurs d’un érotisme certain et d’un trouble qui avait fait que j’avais gardé ces images en moi. D’abord sa robe, qui collait à son corps fin, et aussi la fente, longue, qui coupait le tissu sur le côté gauche, pour faciliter ses mouvements, bien sûr, et laissait voir une jambe gainée du nylon d’un bas, et pas d’un collant, je l’avais clairement compris parce qu’on voyait la jarretière élastique qui permettait de tenir le bas à mi-cuisse. L’autre fois, c’était un tailleur dont la veste s’était ouverte, laissant apercevoir l’étoffe d’un soutien-gorge, et la jupe largement remontée, laissant elle voir un slip assorti, rouge, tendu par le bombement de son sexe.
Je me suis approché jusque la voir de très près. La robe rouge collait à son corps, menu, mais dont le dessin disait indéniablement qu’elle était une femme, et une jolie femme. j’imaginais sans mal une collection de tailleurs, mais aussi des robes dans son dressing, toutes fendues, celle-ci laissait voir du nylon, mais cette fois, c’était le nylon d’un collant, il n’y avait pas d’accroche, et une séparation entre le nylon sombre jusqu’en haut de sa jambe, et la partie culotte, plus pâle.
Elle a tourné vers moi un visage sur lequel la contrariété se lisait nettement.
—J’ai un pneu crevé, et c’est compliqué. Mon cric ne fonctionne pas formidablement bien.
—Je vais vous aider. C’est la première fois que vous crevez?
—Malheureusement, oui.
—C’est une question d’habitude. Quand on a crevé plusieurs fois… C’est malheureusement ce qui m’est arrivé. Je suis devenu un champion. Tenez, laissez-moi la place.
Elle s’est redressée. C’était la première fois que je la voyais de si près, et d’évidence, c’était une très jolie femme. Le genre de femme que l’on pouvait regarder très longtemps sans se lasser. Il y avait en elle quelque chose de très sensuel, et de très gracieux aussi.
—Je crois qu’on va y arriver, j’ai dit en manoeuvrant le cric, il était effectivement très dur à manipuler, c’était un cric en losange, pas le modèle le plus agréable.
Je suis arrivé à soulever enfin la roue. La suite serait plus facile. Elle avait sorti tout le matériel, j’ai donc desserré les boulons.
—Heureusement que nos chemins se sont croisés, elle a dit, alors que je me relevais.
La robe collait à ses hanches, son ventre plat, tissu tendu par deux petits seins plus haut.
—Pour changer la roue, il faut que je récupère celle de rechange. Je suppose qu’elle est dans le coffre. Vous permettez que je regarde?
Elle a dit oui, bien sûr. J’ai ouvert le coffre. Les roues n’étaient jamais localisées au même endroit, selon les modèles, et là, la roue était bien visible, sur la gauche, alors que sur la droite, il y avait les outils qu’elle avait extraits. C’était une galette.
—Il faudra que vous alliez au garage très rapidement. Vous ne pouvez pas rester comme ça éternellement.
Ca s’est bouclé très rapidement. J’ai fixé la roue de rechange, bien vérifié les boulons, et amené la roue crevée à l’emplacement de celle de rechange.
—Voilà, c’est fait. Vous n’avez pas un vieux chiffon ou quelque chose que je m’essuie les mains?
—Je crois qu’il y a des chiffons dans le coffre. Attendez…
Elle a trouvé effectivement un sac avec des chiffons, et elle m’en a tendu un. Je me suis frotté les mains. Ca suffirait jusqu’à ce que je rentre chez moi.
—Je vous remercie. Heureusement que vous étiez là. Je vais aller au garage immédiatement.
On s’est séparés comme ça. Elle était soulagée, et moi heureux d’avoir pu aider quelqu’un…Et d’avoir pu profiter quelques instants de sa brillance…Elle était vraiment très séduisante. Mais pas pour moi.
C’est deux jours plus tard que le second acte s’est joué. Je venais de déposer ma descendante quand j’ai senti une présence près de moi. Je me suis retourné. C’était elle, souriante, dans une robe magnifique, qui soulignait sa silhouette sans failles.
—Je suis bien passée au garage. Tout est rentré dans l’ordre. Je tiens à vous remercier. Je suis bien conscient que si vous n’aviez pas été là…
—Ce n’est pas grand chose, vous savez.
—Vous avez un moment? J’aimerais vous payer un café pour vous remercier.
—Ne vous sentez pas obligée de quoi que ce soit. La satisfaction de vous avoir aidée est largement suffisante pour moi.
Deux minutes plus tard, je montais dans la voiture à ses côtés. Alors qu’elle démarrait, mon regard s’aventurait sur elle. La robe avait nettement glissé le long de ses jambes pendant qu’elle s’installait sur le siège, les lois de la physique, dévoilant des jambes fines mais bien galbées, cette fois avec des bas stay-up gris.
Je me suis demandé si je rêvais, quand je l’ai entendue me dire:
—Mes jambes vous plaisent? Je ne dirai pas non si vous les caressez. Et ce n’est pas uniquement pour vous remercier. Vous avez des mains habiles pour changer des pneus. Je suis sûre que vous caressez très bien aussi.
Je l’ai regardée, alors qu’elle mettait le contact et démarrait. Après tout…C’est quand même avec un peu d’appréhension que je suis venu poser ma main sur son genou.
Je ne l’ai pas regretté. D’abord parce que son sourire disait clairement que cela lui plaisait, et ensuite parce que les sensations m’ont envahi, prenant ma main, puis remontant le long de mon bras, et remplissant mon corps, qui n’avait pas trop vu de formes féminines ces derniers temps. Sa chair était brulante, et sous mes doigts, la sensation électrique du nylon était plus que troublante. On n’a pas roulé très longtemps, en fait pour revenir en centre ville, et trouver un café, mais j’ai pu profiter de cette sensation qui m’a enivré. Peu c’est parfois beaucoup. Même si je n’avais que ça, ce serait déjà bien.
Elle m’a pourtant laissé clairement comprendre que je pourrais avoir beaucoup plus quand on s’est garés, et qu’elle s’est, après avoir coupé le contact, légèrement tournée vers moi. Elle n’a même pas eu au final à retrousser sa robe, parce qu’elle était déjà très haut, simplement à entrouvrir un rien les jambes pour me laisser voir qu’elle n’avait pas mis de slip dessous. En prévision de notre rencontre, ou simplement un départ précipité de chez elle? Elle m’offrait en tout cas une vision bien nette de son sexe, couronné par une toison blond-roux, un renflement coupé en deux par une ouverture dont sortait un bout de lèvre.
—Ca te fait envie? Je te la prête pour te remercier. Tu pourras y mettre ta langue, tes doigts, et ta queue. Ca te tente?
—Dans ce cas…Si on allait chez moi? J’habite à deux cent mètres, et je mets toujours du café à chauffer dans la cafetière pour en avoir quand je rentre…
—Je suis partante, elle a dit, en se glissant hors du véhicule.
On a traversé la place côte à côte pour descendre vers l’étage inférieur de la ville. On était ici dans la zone centrale avec des maisons qui avaient déjà un certain âge et qui avaient toutes été rénovées…Je l’ai faite entrer dans cette grande maison, dont j’occupais l’appartement du deuxième. L’immeuble, à ce moment de la journée, était épais de silence. Il n’y avait plus personne, tout le monde était parti travailler.
C’est sans doute parce qu’elle a perçu cela qu’elle s’est tournée vers moi, dans l’entrée baignée de lumière et qu’elle a remonté de quelques centimètres sa robe, la faisant glisser le long de son corps, pour m’offrir son ventre.
—Viens mettre ta langue sur ma chatte, je peux plus attendre.
Je ne m’étais pas rendu compte que j’avais à ce point envie, je ne l’ai compris que quand j’ai glissé devant elle. C’était le moment, fugace, peut-être une fois unique, où je pouvais profiter d’elle, c’est sans doute pour cela que je me suis mis à caresser ses jambes. J’aimais cette sensation. En même temps, mon regard est remonté sur son sexe. J’aimais aussi que, contrairement à bien des filles, elle ait choisi de préserver cette toison, qu’elle avait certes calibrée en un triangle réduit, mais qui partait un peu dans tous les sens. J’ai passé mes doigts dedans, la caressant, ce simple geste a semblé lui procurer du plaisir, alors bien évidemment ça a été plus fort quand j’ai donné le premier coup de langue le long de la fente encore close. Elle a poussé un gémissement en se cambrant, et son sexe s’est ouvert, lâchant un puissant jet de sécrétions qui a glissé dans ma bouche. J’ai répété ce mouvement de langue dans la ligne de ses lèvres, et elle s’est ouverte encore plus, et elle a mouillé encore plus, inondant ma bouche, en même temps qu’elle s’ouvrait sur sa chair intérieure. Elle a amené ses doigts fins en haut de son sexe pour décalotter son clitoris, dont l’extrémité fine est apparue, qu’elle s’est mise à masturber d’un mouvement circulaire. Elle a eu un orgasme très vite, continuant de se caresser pendant que je parcourais ses chairs de ma langue du mieux que je le pouvais, avec l’espoir de lui donner du plaisir. Elle ruisselait dans ma bouche, et l’ensemble de la situation m’excitait tellement que j’ai dégagé ma queue de mon pantalon pour me caresser et apaiser la tension qui m’habitait.
Elle a joui encore une fois, avant de se dégager.
—Viens, allons chez toi, ce sera plus confortable.
Une volée de marches à monter, et on s’est retrouvés à mon appart. Effectivement, elle a pu le constater, l’odeur du café embaumait les lieux. Je l’ai entrainée dans la cuisine et je nous ai servi deux tasses.
—Au cas où tu te poserais la question, elle m’a précisé, en dégustant le café, je suis une maman divorcée. Mon mari était un gros con, qui passait son temps à me tromper, même si je pense sérieusement que je lui apportais tout ce dont il avait besoin. Voilà. Depuis, je vis seule. Et puis…Et puis voilà, je t’ai aperçu, et je me suis dit que j’avais envie de passer un moment avec toi. Même un seul moment…Ca pouvait valoir le coup…Je ne savais pas trop comment t’aborder…Et j’ai eu ce pneu crevé…Tu vois, je vais te dire quelque chose qui va te surprendre…J’aurais très bien pu le changer toute seule…Mais l’occasion était trop belle…Tu étais là, tu étais exceptionnellement resté. Je pensais bien que tu t’approcherais pour me proposer de l’aide…
Elle a tendu la main vers mon pantalon, ne semblant pas surprise de me trouver bien dur.
—Bon, je vois que je te plais suffisamment pour qu’on puisse envisager quelque chose.
Elle a défait la fermeture-éclair qui empêchait l'accès à ma queue, et elle a été chercher celle-ci dans mon pantalon. Il y avait une joie quasi enfantine sur son visage quand elle l’a fait jaillir à l’air libre. Deux secondes plus tard, elle baladait sa langue dessus, avec une expression extatique, et me procurait un plaisir que je n’avais plus éprouvé depuis longtemps. Car elle savait indéniablement faire une fellation. Je sentais que ma queue coulait comme une fontaine. En même temps, et cela donnait un autre sens à mon plaisir, en s’asseyant sur la chaise toute proche de ses fesses, elle a fait remonter sa robe, mettant son sexe à nu, et elle s’est caressée, sans fausse pudeur, pour se donner du plaisir en même temps qu’elle m’en donnait. Elle a commencé par se frotter les lèvres d’un mouvement libre, avant de ficher deux doigts en elle et de les faire aller et venir. Ses sécrétions d’abord limitées, sont devenues plus abondantes, et elles ont trempé le coussin de la chaise de sombre.
Elle est descendue sur mes couilles et elle les a parcourues de la langue, me procurant du plaisir dans une caresse à laquelle les filles se livraient rarement. J’ai eu un début de jouissance, crachant plusieurs traits de sperme, ce qui l’a poussée à interrompre sa caresse.
—Viens, j’ai envie qu’on se positionne sur un lit.
Je l’ai guidée vers ma chambre. Le lit, défait, n’attendait que nous. Je me suis rapidement déshabillé, pendant que, plus sobre, elle descendait une fermeture-éclair que je n’avais pas remarquée, sur son côté gauche, et laissait la robe glisser à ses pieds. Dessous, en prévision de ce moment, elle ne portait absolument rien, hormis ces bas stay-up qui ornaient ses jambes. Elle a tourné sur elle-même pour m’offrir le spectacle de sa nudité, au cas où j’aurais eu encore une hésitation. Elle avait un corps sans défaut, long et fin qu’il aurait fallu être sacrément blasé pour ne pas désirer. Ses seins étaient rebondis et pointaient leurs tétons tout durs vers moi. Elle a récupéré dans son sac à main un préservatif dont elle a déchiré l’emballage, qu’elle a ajusté au creux de sa main et a fait glisser sur ma queue. Deux secondes plus tard, elle venait se positionner au dessus de moi, et elle se laissait descendre sur ma queue. J’ai senti sa muqueuse gainer mon membre avec une félicité qui n’avait sans doute rien à voir avec la sienne. Elle a eu un sourire extatique, alors que mon gland venait cogner contre son utérus.
—J’ai cru que je pouvais vivre sans sexe. Mais je ne le peux pas.
—Sans doute que moi non plus, je ne le peux pas.
On a pris du plaisir aux frottements mutuels de nos muqueuses, auxquels s’ajoutaient des baisers et des caresses…C’était un de ces moments privilégiés de l’existence, et je n’avais pas pensé, quand on s’était rapprochés le matin, que ça puisse être aussi bon.
Elle a décuplé sa jouissance, ou en tout cas lui a donné une autre dimension en se caressant le clitoris comme une forcenée, finissant par éjaculer autour de ma queue, avant que, moi-même dans les limites je ne jouisse aussi dans le préservatif.
Elle m’a expulsé de son vagin. Le latex était maculé des jets crémeux qui étaient sortis d’elle quand elle avait joui. Elle l’a dégagé avec précaution de sur ma queue. Je me demandais où elle voulait en venir, je n’ai véritablement compris que quand elle a amené le latex près de sa bouche, et elle a méticuleusement lapé le sperme qui s’était accumulé dans le réservoir, en étirant le préservatif.
Elle a doucement resserré sa main autour de ma queue, qui, bien que j’aie joui, était encore toute raide.
—Tu as encore envie? Moi aussi? Je crois que j’ai ce qu’il faut.
Ca m’a fait sourire de la voire extraire une deuxième capote du sac. C’était un sac magique, on pouvait en sortir des préservatifs à profusion. Deux minutes plus tard, elle se calait de nouveau au dessus de moi, mais cette fois, elle me guidait vers sa zone anale. J’ai senti que je glissais dans un conduit plus étroit. Ca faisait longtemps que je n’avais pas sodomisé une fille, et j’avais oublié à quel point ça pouvait être excitant. Elle s’est faite monter et descendre sur moi tout en se frottant le clitoris d’une manière frénétique.
J’avais pensé que ce moment ensemble serait bref, mais on s’est séparés sur le coup de midi. Peut-être parce qu’on était frustrés, le partage de sexe s’est prolongé très tard, jusqu’à ce que, rassasiés, on prenne une douche ensemble.
Je l’ai raccompagnée jusqu’à sa voiture. Silencieux, on était encore dans ce moment de grâce et de proximité.

Ca avait été un bon moment. Je n’aurais d’ailleurs pas imaginé que ça puisse être aussi bon, quand nous étions partis ensemble.
—C’est quand ton prochain matin de libre?
—La semaine prochaine…Lundi…Je suis libre lundi, mardi et jeudi…
—Ca fait trop loin…Et le soir tu finis à quelle heure?
—Tard, 21 heures 30…
—Qu’est-ce que tu dirais si je repassais sur le coup de 22 heures? Je ne resterai pas toute la nuit, mais on aura au moins une heure ensemble. Ca te dit?
—Je suis partant, j’ai répondu.
Je l’ai regardée monter dans la véhicule et s’éloigner. La vie pouvait vous surprendre, mais aussi vous sourire.
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Histoire de JamesB

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