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Rencontre au hard discount

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Lue : 909 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/06/2021

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Il était 13 heures 20 quand je suis arrivé au magasin. Je faisais toujours mes courses entre midi et deux, ça me permettait le soir d’être tranquille, et d’aller au sport. Et puis j’appréciais de trouver un magasin quasiment désert.
Je l’ai remarquée au rayon des produits d’hygiène et cosmétiques. Difficile de ne pas la remarquer, d’ailleurs. C’était vraiment une très belle femme. Elle n’était pas parfaite, loin de là, mais elle était vraiment très sensuelle, et très attirante, c’était même sans doute ses imperfections qui constituaient en grande partie son charme. Elle était grande, et plutôt massive, avec des formes pleines, que soulignaient des vêtements très serrés. Sexy en diable, avec un pantalon en cuir ou en simili-cuir très moulant, qui dessinait ses formes sans qu’il y ait aucune ambiguité, et des bottes assorties qui montaient à l’assaut de ses jambes, un chemisier du même gris ouvert sur une poitrine volumineuse enveloppée dans un soutien-gorge noir, un visage bien dessiné, dans des ovales, rehaussé par un maquillage que certains auraient pu penser trop appuyé, ce n’était pas mon cas, et une crinière brune très épaisse.
Il y a des femmes superbes qui ne sont pas attirantes. Dans son imperfection, elle était elle, très attirante. En la regardant, on avait immédiatement plein d’envies, des envies d’homme, sans doute pas très catholiques. Venir prendre sa bouche, glisser les mains sur son corps, la caresser, lui donner du plaisir et en prendre. J’avais la certitude absolue, mais je me trompais peut-être, que c’était le genre de femme que rien ne rebutait. Elle aimait le sexe, elle aimait le plaisir, et tout ce qui pouvait en donner, et elle était prête à se laisser tenter par tout ce qui était nouveau, qu’elle ne connaissait pas, en tout cas, parce qu’elle se disait que cela devait être bon.
J’en serais resté là de mon observation et de mes réflexions s’il n’y avait pas eu l’accident.
Lié à un pot de crème hydratante.
Ce qui s’est passé, c’est qu’elle a voulu attraper un pot de crème hydratante bio. Je revois parfaitement le pot, il était vert, d’un vert d’eau dont je me suis demandé l’espace d’un instant s’il était vraiment bien adapté pour ce type de produit. Un vert qui avait quelque chose de triste. Ca ne donnait pas vraiment envie d’acheter du bio. Et puis je ne me suis plus vraiment posé de questions. J’ai remarqué la catastrophe imminente. Il était proche des pots installés à côté de lui, quelqu’un les avait sans doute dérangés, les gens touchent et ne remettent pas en place, et en le prenant, elle allait faire tomber d’autres contenants du même acabit à gauche et à droite.
J’étais un peu plus loin qu’elle, et j’ai plongé, en même temps que les pots commençaient à partir. Je ne sais pas comment j’ai fait, je ne me sentais pas si habile, à vrai dire, et pourtant je suis arrivé à en ramasser un, puis un autre, et encore un troisième, et a empêcher un dernier de tomber.
J’ai tout remis en place.
Elle me regardait. Vraiment impressionnée, ça se voyait à son regard.
—Hé bé, heureusement que vous étiez là…Sinon, c’était la catastrophe.
Elle a posé le pot de crème hydratante dans son chariot.
—Bon, merci…
On est restés comme ça sur un temps plus long qu’il n’aurait sans doute été nécessaire. Je ne sais pas ce qu’elle pensait et ressentait. Moi je sais ce que je pensais et ressentais. Elle était toute proche de moi, et je percevais le volume de son corps, la chaleur qui émanait d’elle. mais aussi le dessin de ses formes, bien marqué. Et aussi l’odeur d’un parfum fruité qui l’enveloppait, et qui est venu m’envelopper aussi.
—Si vous voulez, si vous avez un moment, je vous paye un café quand on aura fini nos courses.
Le supermarché était effectivement au sein d’un mini centre commercial avec un pressing, un magasin de presse, un autre de fleurs et une cafétéria.
—Je ne dis pas non, j’ai répondu, surpris.
Je ne savais pas où cela me mènerait, mais je passerais au moins quelques minutes avec une jolie femme.
On a continué nos courses. Elle venait de passer à la caisse quand j’y suis arrivé. Elle m’a fait un petit signe auquel je pouvais donner plein de sens, mais sans doute que, tout simplement, elle me faisait comprendre qu’elle me retrouvait devant la cafétéria. J’ai payé, j’ai été charger mes marchandises, je l’apercevais sur le parking, qui regagnait le bloc de commerces. J’ai verrouillé la voiture, et je suis parti vérifier si mon hypothèse était bonne. Elle m’attendait devant la cafétéria, bien déserte à ce moment de la journée. Quand je suis arrivé, elle avait un mouvement que j’ai trouvé érotique, elle ajustait sa botte gauche. Je me suis rendu compte que j’étais tout dur. J’avais envie d’elle, tout simplement.
On est passés par le comptoir, où elle a commandé un chocolat, et moi un café.
—Je vous invite…Vous m’avez évité la catastrophe, la honte totale…J’imagine les pots ouverts, avec la crème se répandant sur le sol…J’aurais été mal à l’aise…Et le regard réprobateur de l’employée qui serait venue nettoyer.
—Ca peut arriver à tout le monde.
—Vous êtes quand même très habile.
On s’est calés sur une banquette, dans le coin gauche de la cafétéria. Elle m’a souri.
—Vous faites vos courses aux heures creuses? , elle m’a demandé.
En même temps qu’elle me posait la question, elle a posé sa main gauche, la droite tenait sa tasse, sur ma cuisse. D’un seul mouvement, elle est venue contre ma queue. Apparemment ravie de constater que j’étais en pleine érection.
—Bon, je vois que je te fais de l’effet. C’est toujours flatteur pour une femme.
-Oui, et oui. Je te trouve très attirante, et oui, je viens faire mes courses aux heures creuses.
Elle était face à moi. Elle a glissé le long de la banquette, pour se retrouver à côté de moi. On était isolés du regard de la serveuse, parce qu’il y avait un palmier dans un pot qui nous masquait, même s’il n’était apparemment pas en bonne santé. Elle avait aussi fait glisser sa tasse de café. Elle m’a défait avec habileté, dégageant ma queue. J’étais tout raide.
—Tu as vraiment une belle queue. J’ai envie d’en profiter. Et déjà de corser le goût de mon café.
Je me suis demandé ce qu’elle voulait dire par là. Elle s’est mise à me masturber, d’abord avec des gestes lents, puis elle a basculé sur des mouvements rapides.
—Si tu jouis maintenant, tu penses que tu pourras encore jouir plus tard? Oh, on verra bien.
Sa caresse vive sur ma chair, me conduisait immanquablement vers l’orgasme. Je n’ai véritablement compris où elle voulait en venir que quand elle a descendu la tasse de café et qu’elle l’a approchée de mon gland, la penchant légèrement. Sa caresse était efficace, et puis c’était vrai aussi que je n’avais pas eu de sexe depuis un moment, et qu’elle me troublait énormément. J’ai joui très vite. Le premier jet de sperme, puissant, est parti en travers de sa cuisse, souillant le cuir d’un trait blanc et crémeux. Elle a réorienté mon gland, dilaté, vers la tasse, et les autres jaillissements sont venus frapper le liquide noir de plein fouet, restant quelques instants à la surface avant de s’enfoncer. Je me suis vidé, jet après jet, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un liquide plus translucide qui a coulé de mon méat et est venu poisser mon gland. Tout en tenant toujours la tasse, elle s’est penchée sur ma queue, et elle a passé sa langue dessus, me nettoyant, jusqu’à ce que la salive ait remplacé les sécrétions sexuelles. Elle a ramassé le trait de sperme sur sa cuisse, l’a récupéré de la langue au bout de ses doigts, avant de goûter le café.
—Hmm…C’est meilleur avec du sperme…
Je n’avais pas débandé, mon excitation au confluent entre désir, insatisfactions récentes, trouble de la voir aussi experte et imaginative, et perspective, j’en étais maintenant sûr de moment sympathiques dans les minutes qui suivraient.
—Quand on aura fini nos boissons, je t’invite chez moi. Je travaille le matin, je suis secrétaire médicale chez un médecin, et j’ai tout mon après-midi pour moi. Je suis seule à la maison. On pourrait passer un moment sympa, elle a proposé, tout en massant doucement ma queue, qui avait perdu un peu de taille, mais qui retrouvait de la vigueur. Si elle avait continué de me caresser, j’aurais sans doute encore joui, mais il valait mieux que je garde mon érection pour des moments plus riches.
—Tu as vraiment une belle queue…Moi tu sais, j’aime le sexe et j’aime les queues…Même si j’aime aussi les filles…Je suis mariée et mon mari n’est plus trop intéressé par les rapports sexuels, même s’il m’aime réellement et sincèrement…On a peut-être des rapports une fois par mois…Le problème c’est qu’on ne fonctionne vraiment pas pareil lui et moi. Moi je voudrais tous les jours, et même plusieurs fois par jour, et puis quelque chose d’inventif, pas toujours la même position.
La frustration me rendait folle. J’ai sauté le pas (elle avalé une autre gorgée de café parfumé au sperme.)avec un menuisier qui était un ami de mon mari et qui était venu poser des étagères chez nous. Mon mari n’était pas toujours là, et je voyais bien qu’il me reluquait. Je me faisais hyper provocante chaque fois qu’il venait, tu vois du style une jupe très courte sans culotte et avec des bas…Il hésitait, alors j’ai pris les devants…J’ai été le chercher pendant qu’il travaillait, j’ai sorti sa queue de son pantalon comme je l’ai fait pour toi et je l’ai pris dans ma bouche tout en me caressant. Il m’a rempli la gorge de sperme, et j’ai joui autant parce que je me caressais le clitoris que parce qu’il a éjaculé dans ma bouche. Je l’ai bu jusqu’à la dernière goutte. Mais ce n’était pas suffisant.En fait, j’étais tellement frustrée et j’avais tellement de moments gâchés à rattraper que je n’avais jamais assez de sexe, et je n’en ai toujours pas assez. J’en voulais plus, ce n’était pas un problème, il était encore bien raide, comme toi maintenant, mais je n’avais pas de préservatif, parce que je ne pensais pas que ça basculerait. Depuis, j’ai toujours ce qu’il faut. Bref, je me suis assise sur lui, mais en le guidant sur ma zone arrière. De la sorte il n’y avait aucun risque…Sentir sa queue aller et venir en moi, forcer le conduit bien serré…Je me frottais le clitoris en même temps…Et puis j’ai commencé à jouir…J’ai eu mon premier orgasme, qui est remonté de mon clito, juste avant que le premier jet de sperme ne vienne taper contre mes parois intimes…J’ai été comme une poupée folle, sur lui, enchainant orgasme sur orgasme, alors que je continuais de me tripoter le clitoris, et que le sperme venait gicler contre mes muqueuses ultra-sensibles, deux points de jouissance qui se rejoignaient.
Ce jour-là, j’ai su que plus jamais je ne m’imposerais une période pareille de frustration sexuelle. Je chercherais le plaisir et je le prendrais partout où je le trouverais.
—Et c’est ce que tu fais actuellement, me semble-t-il.
Elle a terminé son chocolat, puis elle a dit, alors que je finissais moi ma tasse de café:
—Et si on allait chez moi?
Pour mieux me convaincre, au cas où je n’aurais pas été chaud, même si ma queue qu’elle avait eu du mal à reglisser dans mon pantalon disait le contraire, elle a attrapé ma main et elle l’a plaquée contre son sexe. Malgré le barrage du pantalon de cuir, et il y avait sans doute un slip en dessous, j’ai senti le renflement de son sexe, qu’il était ouvert sur sa béance, et aussi une sensation d’humidité, qui disait son excitation.
Je n’avais pas imaginé qu’elle habitait aussi près. L’avenue au bout de laquelle il y avait des commerces se prolongeait jusqu’au coeur de la ville, faisant se côtoyer des maisons, des pavillons, et des commerces, sans grande logique. Elle habitait dans une grande maison blanche, relativement récente, avec un jardin autour très bien entretenu.
Elle avait laissé le garage ouvert. Elle a ouvert le portail à distance, avec une télécommande, et elle s’y est glissée, pendant que je me garais à l’extérieur. Je suis arrivé à pied. Elle descendait ses sacs de courses. J’en ai pris la moitié, ce qu’elle a semblé apprécier, et je me suis glissé avec elle à l’intérieur de la maison. Elle était meublée simplement, agréable et colorée.
Le rapprochement a été immédiat. Le surgelé attendrait un peu, dans le sac isotherme. Elle s’est approchée de moi, et elle est venue chercher ma bouche, en même temps qu’elle attrapait ma main et qu’elle la posait sur ses seins. Je les ai sentis, ronds et chauds contre ma paume, et je me suis glissé dans son décolleté. Ils étaient enveloppés dans un soutien-gorge qui les contenait, et je me suis calé entre les deux tissus pour les caresser doucement, tandis que, plus audacieuse, elle allait chercher ma queue dans mon pantalon, pour la mettre à nouveau à nu. Elle m’a massé doucement. J’étais extraordinairement excité, et je devais me maitriser pour ne pas jouir à nouveau. Je voulais prendre du plaisir avec elle et en elle.
Il y avait un divan tout proche. Elle a glissé dessus et elle s’est mise à me caresser de sa langue et de sa bouche. Elle était habile, courant sur ma chair, restant un instant sur un point, faisant monter mon excitation, puis allant plus loin. J’ai apprécié qu’elle vienne tourner sur mon gland, et tout autant, qu’elle vienne caresser mes couilles, qui étaient chez moi, comme sans doute chez pas mal d’hommes, une zone très sensible.
Elle s’est éloignée de ma queue, basculant en arrière, et elle m’a dit:
—Viens me défaire. J’ai envie que tu t’occupes de ma chatte. Tu crois que c’est possible?
Je tremblais en la défaisant. Il y a toujours quelque chose d’intense quand on glisse vers quelque chose de sexuel pour la première fois. J’ai tendu les mains vers le bouton qui fermait son pantalon, et je l’ai défait, avant de descendre la fermeture éclair.
Dézipper celle-ci a suffi pour libérer une odeur intense et parfumée, celle des sécrétions intimes. Ca m’a tellement excité de la sentir que j’ai lâché plusieurs traits de sperme, sans débander, qui sont venus souiller le cuir du pantalon.
Elle s’est soulevée pour me permettre de descendre son pantalon. J’ai attrapé le cuir, froid, et un rien rugueux au niveau de ses cuisses, et j’ai tiré, la dénudant. Le pantalon a été bloqué par les bottes. J’ai tiré sur le zip qui bloquait celles-ci, et tout est venu. Il ne lui restait que sa culotte.
J’avais imaginé un sous-vêtement plus sexy que la simple culotte blanche qu’elle portait dessous. En même temps, c’était troublant de la voir ainsi gainée par une culotte blanche très collante, dont une grande partie, celle qui collait à son sexe, et à son pubis était sombre d’humidité.
La situation m’excitait tellement que j’avais peur de jouir. J’ai fait de mon mieux pour me reprendre, puis j’ai passé mes index dans les bords du slip, et je l’ai descendu, découvrant son sexe.
J’avais le sentiment qu’avec elle, j’irais de surprise en surprise. Son sexe en était la parfaite illustration. Si on m’avait demandé, j’aurais imaginé sans mal qu’elle s’épilait comme le faisait la majorité des femmes aujourd’hui. Au lieu de cela, à ma grande surprise, j’ai découvert une chatte soigneusement domestiquée, qui s’étirait en dessous de son ventre, sur son pubis, jusqu’à l’ouverture de son sexe, une longue bande, les côtés ayant été nettoyés par un quelconque moyen. Ensuite, la surprise, qui expliquait peut-être qu’elle ait choisi un slip enveloppant, c’était qu’elle était garnie. Son anus s’ornait d’une rondelle de métal d’un violet intense, et de sa chatte sortait un fil au bout duquel il y avait un anneau permettant sans doute d’extirper ce qui était enfoncé en elle.
—J’ai envie que ce soit toi qui me les enlèves.
Je me suis approché d’elle. Tous les hommes sont fascinés par les sexes de femme, et je ne faisais pas exception. Chaque corps, comme chaque sexe est unique, et le sien me faisait envie, avec ces lèvres qui étaient étendues hors d’elle, longues et épaisses, gorgées de sang, je n’en avais jamais vu de pareilles.
J’ai attrapé d’une main l’anneau, tandis que de l’autre, je faisais aller et venir ma main sur ma queue, pour soulager la tension qui était en moi.
La première boule est sortie, ronde et trempée par ses liquides intimes, littéralement dégoulinante. Elle a poussé un petit gémissement, avant d’ajouter:
—J’aime bien me garnir comme ça quand je sors. A chaque pas, j’ai l’impression que je vais jouir, et les gens qui sont autour de moi ne se doutent de rien.
A chaque boule extirpée, elle semblait éprouver plus de plaisir. Ses jus coulaient de son sexe dans un flot continu, venant tremper ses chairs. 
Quand j’ai sorti ce que j’ai pensé être la dernière boule, elle m’a dit:
—Je crois que je vais jouir…
La boule est sortie d’elle, accompagnée d’un crachement de liquide, qui a éclaboussé nos chairs, pendant qu’elle se cambrait et lâchait une sorte de cri monté du plus profond d’elle.
J’avais la série de cinq boules au bout de l’index. J’ai attrapé l’une des boules, et je l’ai parcourue de ma langue, me remplissant de son goût intime, un goût amer, celui de son sexe que je voyais à présent vidé, ouvert, offrant au regard son intérieur.
—Mets une capote, il y en a dans mon sac, je suis toujours prévoyante. Au cas où…Viens me remplir, j'ai envie de sentir une queue en moi qui me fouille bien, et qui crache son sperme…
J’avais sans doute rarement eu autant envie d’une femme qu’à ce moment. Il y avait quelque chose en elle d’aussi fascinant qu’attirant, sans doute simplement le fait qu’elle aime vraiment le sexe. J’ai récupéré un préservatif dans son sac pendant qu’elle décalottait son clitoris et mettait à nu un morceau de chair plus gros que la normale, qu’elle s’est mise à frotter de la pulpe du doigt, ce qui lui a semble-t-il procuré du plaisir.
Le cercle de métal était toujours fiché dans son anus quand je suis venu poser mon gland, enveloppé de latex, contre ses lèvres. On a regardé tous les deux, avec fascination, ma queue glisser en elle jusqu’à ce que mon gland vienne taper contre son utérus, ma verge totalement enveloppée par sa muqueuse chaude. Il y a des partenaires avec lesquelles on éprouve plus de plaisir qu’avec d’autres. C’était totalement vrai pour elle et pour ce moment. Le hasard avait bien fait les choses.
Je l’ai fouillée longtemps. Sa muqueuse me caressait, et j’avais l’impression de grossir en elle. Elle se laissait aller à son plaisir, les yeux mi-clos, ruisselant sur moi, en se frottant le clitoris, qui avait pris du volume, tout autant que mon sexe.
—Je veux que tu viennes plus bas, maintenant que tu es bien gros.
Elle a attrapé le cercle de métal rond, amorce d’un jouet planté dans son anus, et elle l’a extirpé d’elle. C’était l’amorce d’un morceau de métal plutôt renflé, mais qui s’effilait pour mieux pénétrer en elle. Il avait laissé sa muqueuse anale vraiment ouverte, une béance rose qui donnait sur ses intérieurs.
Je suis rentré en elle d’un seul mouvement. Même si elle était ouverte, elle était beaucoup plus serrée par là, et la sensation a été différente, plus excitante sans aucun doute. Je devais faire un énorme effort sur moi-même pour ne pas jouir. J’ai bougé en elle, pendant qu’elle se frottait le clitoris.
J’ai compris qu’elle allait jouir quand elle a commencé à éjaculer, comme un homme l’aurait fait, des jets d’un liquide plus épais et plus parfumé. Des jets qui sont devenus plus copieux, et plus puissants. Elle s’est mise à crier, lâchant un jet ultime, qui nous a trempés, alors que je me laissais aller à ma jouissance, et que mon sperme venait taper contre les parois internes de son canal anal.
Ca aurait pu être un one shot, ça a été tout sauf ça. Il s’était établi une étrange alchimie entre nous, je crois que ni elle ni moi on ne s’attendait à ça. C’est sans doute pour cela qu’elle m’a dit, une fois qu’on a été plus ou moins rhabillés:
—Tu peux revenir quand? J’ai envie de te revoir.
J’avais chaque jour un créneau libre 12 heures/ 15 heures…Et elle ses après-midi de libre. On voulait être discrets, alors je me garais loin, et je venais à pied.
J’avais rarement connu une telle intensité dans un rapport sexuel, un tel rapprochement, et un tel plaisir.
On se parlait à peine. On se retrouvait pour du sexe. Mais on était sans doute plus proches que l’étaient bien des couples.
La surprise de ma vie, je l’ai pourtant eu plus tard dans l’année. Et je ne m’y attendais pas. On travaillait dans une bonne ambiance, et, les beaux jours venus, on s’invitait mutuellement pour des soirées ensemble.
Michel, un de nos collègues, plutôt jovial, nous a invités un mercredi soir.
C’est curieux, parce que, quand il nous a donnés l’adresse, je n’ai pas fait le rapprochement. Bien sûr, c’était la même avenue, mais si j’avais repéré la maison, je n’avais pas fait attention au numéro.
C’est en tournant dans la ruelle, et en me garant que j’ai compris.
Ils nous attendaient à l’extérieur.
—Je te présente ma femme.
Elle était faite belle, une robe de soirée rouge vif qui la mettait en valeur, collant à ses formes. Elle resplendissait.
Elle a gardé ma main dans la sienne un peu plus longtemps qu’elle ne l’aurait du comme un signe de la complicité qui existait entre nous, et qui devait perdurer au-delà de cette soirée.
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Histoire de JamesB

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