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La dévergondée

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Lue : 76278 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/11/2005

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Cuisses écartées, ventre offert, Géraldine gémissait sous les coups de bite de son amant. Elle ne l’attendait pas en ce dimanche en fin après midi…
Son téléphone avait sonné…il lui demandait s’il pouvait passer.
Tu parles s’il pouvait passer…avec l’envie de fourette qu’elle avait c’était un bon plan.
Chaque jour et même la nuit, Gé sentait sa chatte vivre quasiment indépendamment d’elle, avec des chaleurs et des moiteurs inconnues d’elle un an auparavant.
Baiser…elle aimait baiser…(le vilain mot grossier), mais pourtant chargé de sens et explicite au concret.
Elle était devenue accro de sexe…il lui fallait de la queue pour calmer les envies de sa chatte en chaleur, il lui fallait se masturber avec un godemiché (offert par son amant). Elle y prenait un plaisir teinté, parfois, de frustration. Aussi bien manié qu’il soit, un gode reste un gode et ne remplace un vrai membre d’homme, au gland développé, à la tige large qui vient s’enfoncer lentement dans le ventre.
Ce matin elle s’était faite jouir avec, car sa libido de petite salope lui faisait maintenant se livrer à ces jeux érotiques, sans attendre de savoir ce qui pourrait lui arriver d’autre dans la journée. Elle se l’enfonçait alternativement dans la chatte et dans le cul, jouissant autant de l’un que de l’autre. En faisant cela elle fantasmait sur tout ce qui lui arrivait de bien de puis des mois et qui n’était que justice, eu égard aux problèmes que lui avait causé un connard qui ne la sautait même pas. Pendant ces moments là elle pensait que n’importe lequel des types qu’elle connaissait viendrait-il à sonner chez elle, qu’elle le mènerait dans son lit pour qu’il la saute copieusement.

Là, pour l’instant, elle regardait entre ses cuisses, au niveau de sa chatte la queue qui la pistonnait, en la faisant jouir depuis le moment où elle lui était rentré dans la motte et il n’avait pas fallu longtemps.
A peine rentré, son amant l’avait attrapée pour commencer à la tripoter de partout, glissant ses mains sous sa tunique rouge et fendue, lui empoignant bien sa croupe de salope, qui était devenue ronde et ferme au fil du temps.
Les mains lui glissaient de tous les cotés, venant lui caresser les seins, tirant sur les pointes pour les faire grossir…puis, la main gauche descendue sur sa chatte elle avait senti un doigt venir lui ouvrir les lèvres et s’enfoncer doucement dans sa motte en la faisant gémir. Ne restant pas inactive, Gé avait pris dans sa main la bite de ce salaud crapuleux pour commencer un va et vient des plus salaces, car maintenant elle savait branler par plaisir et elle devenait même experte, très experte, en faisant profiter de son dévergondage un copain de travail qui n’en pouvait plus de son envie de lui fourrer sa longue queue dans le ventre.
J-P le savait, elle le lui avait dit…et loin de le foutre en rogne ça l’avait excité, au point de lui faire une séance de baise démoniaque, qui l’avait laissée anéantie sur le lit, les bras en croix, les pointes des seins ayant doublées de volume, les cuisses écartées, la chatte pleine d’un sperme lourd…
Etrange ce mec, qui, tout en disant : « c’est moi qui t’ai faite…ton cul m’appartient…ta motte est bombée grâce à moi…c’est moi qui t’ai rendue salope », ne faisait pas une maladie de ce qu’elle assumait tranquillement, à son rythme, avec un air candide de petite baiseuse qui veut se faire prendre…

Elle branlait son amant, en se laissant tripoter sous toutes les coutures, attendant le moment où il dirait : allez, au lit petite salope, que je te rentre ma queue dans la chatte…tu es trempée…tu coules…tu as envie de ma bite…tu vas jouir avec ma queue de salaud » !!!
Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii elle avait envie…envie de se faire fourrer cette grosse queue, raide, dans la motte, de la sentir lui écarter les muqueuses, de sentir ses cuisses s’ouvrir et son ventre se creuser pour augmenter la pénétration.

Elle savait qu’il fantasmait sur cette main qui faisait grossir sa queue, qu’il imaginait le même geste sur le membre d’un autre…qui, lui aussi, lui avait enfoncé ses doigts dans la vulve…cette vulve coulante qui prenait plaisir à se faire gamahucher par des mains crapuleuses…qui ne reculait plus devant une bite qui avance…elle avait hésité à dire tout ça, mais en constatant les résultats elle se disait qu’elle aurait du le faire avant…


Et là elle y était, allongée sur le lit, où il l’avait amenée après le tripotage dans la salle à manger. Il avait été vite nu, puisque vêtu seulement d’un survêt et d’une chemisette…même pas de slip dessous, ce qui ne l’avait pas surprise quand sa main était allée chercher ce membre qu’elle sentait gonfler contre sa cuisse…quel queutard ce mec…il la faisait de venir dingue de queue, de bite, de baise, de fourette…elle n’avait même plus honte d’assumer sa libido et de le dire, comme : « viens sous la douche avec moi ».
En un rien de temps elle avait remonté son bassin, pour offrir l’entrée de son ventre au membre de J-P, qui s’était enfoncé en elle en poussant un soupir de plaisir, tout en lui cramponnant la croupe. Elle se sentait femelle, prise, pénétrée, investie par ce membre, qui continuait à grossir à mesure que les mains lui tenaient les hanches. Il lui disait qu’elle était « bonne », « salope », « baiseuse », « qu’elle l’excitait », « qu’elle le faisait bander », « fantasmer… », « qu’il se branlait en pensant à elle », faisant gicler sa grosse queue et lui envoyant son sperme sur les seins…
Elle coulait, coulait, sentant monter une houle de plaisir du fond de son ventre…se mettant à jouir presque instantanément, les yeux fermés…pendant que son amant la regardait, en continuant à lui dire qu’elle était un bon coup, qu’elle baisait bien, qu’elle était une jolie salope, bandante, qui aime la bite…Dingue cette sensation…il fallait qu’elle se lâche encore plus, elle le sentait. J-P arrivait à lui libérer la tête et à la faire jouir en lui parlant tout en la défonçant à grands coups de reins…quel salaud, mais quel salaud ce type, avec cette queue qui lui ramonait le ventre en la faisant gueuler de plaisir.
Tout en la limant de plus en plus fort il avait continué à lui parler, en lui glissant sa main sur la chatte, puis en y faisant rentrer un doigt qui était venu s’appuyer sur son clito : « Aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh, salaud, ça m’excite, ça me fait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, tu me fais crieeeeeeeeeer, non, je veux pas…ouiiiiiiiiiiiiiiii, encore, continue…
Il lui avait demandé, voyant son excitation, à quoi elle pensait en se faisant masturber. Elle avait répondu ; « à toi, à ta queue…mais pas qu’à toi »…
Les coups de bite avaient redoublés d’intensité…lui pilonnant la motte.
« Et à qui tu penses hein, petite salope » ?
« A la percée de Georges Bush ».
« Ouais…c’est ça, prends moi pour un débile, fais attention je ne vais plus bander ».
Gé continuait à se secouer sur cette bite fabuleuse, à gémir, à crier, tout en fantasmant à son tour car ça devenait contagieux…et avait lâché : « Germain… j’ai ….. pensé….. à la maiiiiiiiiiiiiiiiin de Germain… ».
« Ouiiiiiiiiii……….qu’est-ce qu’il te faisait ? »
« Je te l’ai déjà dit ».
« Redis-le !!! ».
« Il m’a branléeeeeeeeeeeeee avec ses doigts, dans ma chaaaaaaaaaaatte….oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, il les a enfoncé dedaaaaaaaaaaaaaans, biiiiiiiiiiiiiiien au fond, je jouis, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis…………….
Joignant le geste à la parole, J-P lui avait attrapé le clitoris pour le lui comprimer en le frottant, ce qui l’avait rendue encore plus dingue de plaisir.
« Comme ça, il t’a fait comme ça… ? »
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, comme ça…et moi je le branlais… »
« Tu le branlais, salope ? » « Tu l’as fait juter ? »
« Ouiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ; chaque oui ponctué d’un coup de bite dans cette chatte de petite salope.
« Ouiiiiiiiiiiiii, il m’a fait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, à 7 heures du matin, dans le vestiaire… ».
Les coups de queue avaient redoublés, la faisant crier de plaisir et d’étonnement, à cette chose qu’elle ne croyait pas possible…jouir en sentant une bite dans son ventre, des doigts sur son clitoris, tout en s’entendant dire à l’oreille de son amant, qu’elle avait pris son pied en se faisant rentrer les doigts de Germain dans la motte, qu’elle l’avait branlé, qu’elle avait joui et que oui, elle coucherait avec, car maintenant il fallait qu’elle aille jusqu’au bout.
« Tu me le diras ».
« Non ».
« Si ».
« Pourquoi ? »
« Parce que je veux tout savoir de toi, que ça m’excite, que quand je suis excité tu en profites, tu en jouis, que tu as du sentir que ma queue est encore plus grosse et que je te fais l’amour encore plus fort. Je suis formaté comme ça. »
« Alors je te le dirais peut-être ».
« Non pas peut-être ». « Je dois savoir ».
« Alors je te le dirais, ou j’irais par allusion, comme ça je te dirais sans le dire ».
« Bien, très bien, ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, salope de Géraldine, je vais te payer, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, si ça t’excite et te fais jouiiiiiiiiiiiir je te paierais ». « Putain que c’est bon de s’envoyer en l’air avec toi…tu baises fabuleux, tu baises salope, tu baises pûûûûûûûûûûte, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ââââââââââââââââââââââââââhhhhhhhh !!! »
Et les coups de bite avaient repris, défonçant toujours plus forts la motte de la jolie et sexy Géraldine qui continuait à crier : « fais moi jouiiiiiiiiiiiiiiiir, ouiiiiiiiiiiiiiiiii, encore…je te laisse partir que si tu me fais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir.
J-P se retirant, lui avait glissé un doigt dans la chatte et un autre dans le cul, pour la limer bien à fond, comme en double pénétration…et elle avait recommencé à jouir, jouir, jouir…sous les doigts d’un salaud qui lui faisait faire ce dont elle ne se serait jamais crue capable…elle se sentait presque pute avec lui, tout en ne l’étant pas, mais l’idée la faisait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir.
Quelle dévergondée !!!
Vivement qu’il revienne lui mettre son membre dans le ventre, elle aurait encore des choses à lui dire, des bien salopes, des biens bandantes, des comme il aime de manière à en profiter et jouir encore et encore et toujours.

Posté par Simorgh sur l'ancienne version du site (http://histoires.intimes.free.fr)
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Histoire de simorgh

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