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La fellation de la honte

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 09/05/2023

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J’en ai longtemps voulu à mon mari de vouloir me forcer à des pratiques sexuelles que j’avais, à ce jour, toujours refusées. Ce n’était pas dans ma nature de me partager avec un autre homme, et n’avais jamais envisagé que cela puisse arrivée. D’autant que tout se passait bien sexuellement avec mon époux.
Tout s’est passé à mon insu, en partant en vacances avec des amis. On partait dans un grand monospaces, qui embarquait quatre potes. Sylvain, Jackie, Cédric, mon mari, et moi, Estelle. Nous avion tous entre vingt cinq et trente ans.
Sylvain et Jackie, célibataires, étaient les meilleurs potes de mon mari. Malgré notre mariage, les liens se sont renforcés. Mais ils ne m’ont jamais manqués de respect.
On avait prévu de partir en début de soirée, quand la circulation était moins dense, et que la chaleur était moins forte.
Les valises posées sur le lit, je consacrais mon après-midi à préparer les bagages, quand Cédric, mon mari, sorti de la salle de bain entièrement nu, la bite en érection.
il me propulsait sur le lit et se vautrait sur moi. Étant en train de me préparer, je n’avais pas encore mis de culotte. Aussi ce salaud n’eut aucune peine à me pénétrer. Je dois avouer avoir bien joui.
Voyant mon état, il essaya de remettre au goût du jour, son fantasme. Fidèle à mes idées, je lui dis de ne pas insister. En contre partie, il me demanda de lui tailler une pipe, ce que de part mon éducation, ne faisais jamais.
Je pensais l’avoir convaincu, puisqu’il ne revint plus sur le sujet.
Après avoir chargé les bagages, nous décidons de partir vers vingt et une heures.
Nous avions calculé qu’il y avait au moins, sept heures de route.
La chaleur était tombée en même temps que la nuit. Il faisait très chaud, même en tenue d’été. Je portais une petite robe légère à fleur, et Cédric, un bermuda.
Nos potes Sylvain et Jackie, étaient devant, Cédric et moi étions tous les deux installés à l’arrière. A peine deux kilomètres passés, que la main de mon mari remonte sur mes cuisses. Il était hors de question de me laisser caresser avec nos potes, installé à l’avant. Finalement, il laissa tomber.
Après trois heures de route, j’avais du mal à suivre la conversation. Je me calais contre l’épaule de mon mari, et commençais à m’assoupir.
J’avais eu une journée chargée, entre rangement à la villa, les préparatifs de départ, et pour finir, le coup de queue que mon mari m’avait mis.
Le roulement de la voiture me berçais, me plongeant dans un léger sommeil.
J’étais contente de partir en vacances avec nos amis. On partait en Espagne passer une quinzaine de jours. Il me tardait d’y être.
Cédric se laissa glisser sur la banquette, n’omettant pas, bien sur, de faire une autre tentative sous ma robe. Naturellement, je repoussé l’assaut, et posais la tête sur son ventre. J’étais bien allongée comme ça, c’était très agréable.
Dans la nuit, je commençais à avoir un peu froid, il devait être une ou deux heures du matin. Je tirais ma veste sur mes épaules pour me réchauffer, les bras de mon mari faisant le reste.
Quelques minutes plus tard, la voiture fit une embardée, et s’arrêta dans une aire d’autoroute, pour faire le plein d’essence, et se détendre.
Je sentis mon mari se lever pour lui aussi, faire une petite pause. Je l’adorais, et le trouvais beau sous la lumière des réverbères.
« Et si je lui faisais une petite surprise, me disais-je ».
Je me tortillais tans bien que mal sur le siège, ôtais ma culotte, et fit mine de dormir. Quelques minutes plus tard, j’entendis la portière s’ouvrir. Cédric monta, me souleva la tête pour reprendre sa place sur la banquette. Je me laissais faire, à moitié endormie, et reposais ma tête à la hauteur de son sexe.
Après quelques kilomètres, je sentais sa queue prendre une autre dimension, pourtant, ce n’était pas une caresse, mais un doux oreiller pour moi. Il devait prendre un certain plaisir à avoir ma tête au niveau de son entre jambes.
Je m’en rendis compte, et pour lui montrer toute mon affection, je posais ma bouche sur son short, et commençais à simuler de petite pression sur sa bite, que je sentais grossir. Après quelques caresses bien soutenues, il posa sa main sur ma tête, et me caressa les cheveux. C’était très agréable, et me disais que les vacances allaient être super chaude, entre mon mari et moi.
Après quelques mouvement, je sentais qu’il augmentait la pression sur ma tête, et mes mouvements devenaient de plus en plus appuyés et rapides.
J’entrepris alors de glisser ma main dans son short, pour être en contact direct avec son sexe. Il se laissait faire, bien sûr, et n’attendait que ça. Je sentais sa queue sous mes doigts, je l’enveloppais pour bien la sentir dans ma main. Je sentais l’odeur de sa bite, venir jusqu’à mes narines, une odeur très agréable.
Il faisait des mouvements du bassin, pour m’annonçait son désir de le branler. Dieu merci, heureusement que nous roulions de nuit. Personne ne pouvait voir ce que je faisais à mon chéri. Mais pour assurer mon coup, je déplaçais ma veste, pour me cacher le visage.
Cette sensation était très agréable. Je commençais à le masturber, son membre devenait de plus en plus gros, de plus en plus dur. Je ne sais pas si c’était l’excitation de la situation, mais mon mari était hyper excité. J’avais sa queue qui était maintenant sorti de son short, et se trouvait au niveau de ma bouche.
Je sentis alors une de ses mains, parcourir ma jambe, et remonter sous ma robe. Ces caresse étaient douces. Sa main atteignit mon entre suisses, et il me paru hésitant, et surpris, quand il s’aperçut que je ne portais pas de culotte. Sa main poursuivit son ascension pour atteindre ma chatte toute mouillée. Il passa ses doigts sur mes lèvres luisantes, puis me pénétra d’un doigt, qui n’eut aucune difficulté à entrer.
Je serrais mes jambes pour maintenir ses doigts dans ma chatte.
Il me caressait divinement bien, ce qui, habituellement, n’est pas son point fort. Je sentais un doigt exciter mon clitoris, un autre pénétrer ma chatte en ébullition. Il les enfonçait plus profondément en moi, à chaque va et vient. Il ne m’avait jamais caresser comme ça auparavant. Je sentais son autre main poussait ma tête vers sa bite, pour que je la prenne en bouche. Je n’osais pas le faire, de peur qu’on entende mes succions.
J’avais sa queue appuyée contre mes lèvres, et d’une simple pression de la main, il me força à les écarter. Je cédais, je dois le dire assez facilement au désir de Cédric.
J’ouvris les lèvres, m’avança pour prendre son pieu en bouche. Après tout, sa bite était chez elle, installée bien au chaud. Je fus surprise par sa grosseur, et l’engloutissait qu’à moitié. Celle situation était impensable, mais excitante à la fois. Je maintenais mes va et vient sur le mandrin raide de mon mari, et imprimais une fellation comme jamais il n’avait eu droit.
Chaque fois que j’avalais sa queue, il cambrait son bassin pour venir au plus profond de ma gorge. Je dois avouer que j’avais assez de mal à engloutir son calibre entièrement. Il maintenait une caresse diabolique dans ma chatte, ou il avait rajouter un doigt supplémentaire. J’avais ma chatte ouverte, offerte à ses caresses.
Je sentais son pouce caresser mon petit trou d’un mouvement circulaire. Ce même mouvement doigtait mon clitoris. Il sortit ses doigts de ma chatte, et porta son pouce à ma bouche pour que je le lui lubrifie. J’arrêtais ma fellation, suça le pouce, qu’il plaça aussitôt à l’entrée de mon petit trou. Il replaça deux doigts dans ma chatte, commença progressivement à rentrer dans le plus petit de mes orifices.
C’est à ce moment que j’atteins un terrible orgasme, que je ne pus malheureusement exprimer. Malgré le côté cocasse de la situation, mon mari chéri était parvenu à me faire jouir.
Cette sensation était très agréable, et pour le lui prouver, j’accélérais ma fellation. Je sentais qu’il commençait à bouger son bassin plus rapidement, et me doutais qu’il commençait à prendre beaucoup de plaisir. Je malaxais ses énormes couilles, les faisais rouler entre mes doigts. Une main rejoignais ma chatte, pour m’apercevoir que ma mouille, mélangée de cyprine, coulait entre mes cuisses.
Je repris mes caresses sur ses bourses, avec ma mouille sur mes doigts. Je descendais pour atteindre son petit trou, appuyais d’une façon régulière, pour sentir mon doigt pénétrer son petit orifice. Je ne savais s’il aimait ça, et je le sentais dans la retenue. Ce qui la fait stopper net ses caresses dans ma chatte. La présence des ses potes sur le siège avant, sans doute. Puis il appuya fortement sur ma tête, et commença à envoyer de violents coups de reins. Soudain, il s’arrêta, et je sentis déferler dans ma gorge, de longs jets de sperme. Je sentais ses couilles se vider dans ma bouche.
Je devais tout avaler, car la situation ne permettait pas qu’une goutte se perde sur la banquette. J’avoue m’en être bien sorti, et mon mari était vraiment excité, car il ne m’avait pas habitué à éjaculer autant.
Après un moment, je sentais le calibre de mon mari diminuer. J’enroulais ma langue autour de son gland, avant de le ranger délicatement dans son short. Il sortit ses doigts de ma chatte, et les porta à ma bouche, pour que je puisse les lécher. Ma mouille avait un goût assez sucré, c’était pour moi, une première.
Je m’assoupis, l’estomac bien remplit du copieux nectar de mon mari. Je tombais dans un profond sommeil pour le reste du trajet, pensant à l’impressionnante queue de Cédric dans ma bouche.
L’aube commençait à se lever, j’avais passé une excellente nuit, courte mais excitante de part la surprise d’avoir tailler une pipe à mon mari, dans des conditions peu ordinaire. Je poussais vers le bas de mes jambes, ma veste, pour voir Sylvain et Jackie à l’avant de la voiture. Soudain, je reconnus la chemise de mon mari, à la place du conducteur. Continuant de lever la tête, je m’aperçus que ce n’était pas Sylvain qui était au volant, mais Cédric, mon mari.
Je ne comprenais plus. On ne s’était pourtant arrêté depuis nôtre câlin à l’arrière du monospace. J’étais en pleine réflexion, quand, tout à coup, une pensée me vint à l’esprit. Mon mari avait remplacé Sylvain au volant, lors de nôtre pause détente sur l’aire d’autoroute. D’un ton assez inquiet, j’interrogeais mon mari.
- Depuis quand as-tu remplacé Sylvain.
- Depuis la pause que nous avons fait sur l’autoroute.
- Et après…y a-t-il eu d’autres arrêts ?
- Plus rien, nous nous sommes arrêtés qu’une fois...on est presque arrivé.
Avec horreur, je m’apercevais que je venais de tailler une pipe à Sylvain.
Je commençais à comprendre son excitation d’avoir ma tête contre son sexe, mais surtout d’avoir le volume de sa bite dans ma bouche.
Je n’avais pas le souvenir que mon mari éjaculait aussi longtemps et abondement. Sylvain devait être aux anges et a profité de mon pseudo sommeil, pour se faire passer pour Cédric. J’étais honteuse, je n’osais pas me relever pour voir le regard de Sylvain me dire « Merci » d’un simple coup d’œil. Il savait que je dormais, et avait pris la place de mon mari, et dans l’obscurité, je ne me suis aperçu de rien.
Arrivé pratiquement à la villa, je me suis redressé et ai regardé Sylvain d’un regard assez froid. Il savait qu’il avait profité de la situation, et avait bien compris que pour moi, je tailler une pipe à mon chéri. Je devais être rouge de honte.
En voyant l’attitude de mon mari, je compris qu’il n’était pour rien dans cette histoire, que Sylvain avait lui même eu l’initiative de profiter de l’occasion qui lui était offerte.
On entra dans la villa, Jackie s’empressa de mettre l’électricité. Pendant que Cédric montait les bagages. Je croisais le regard de Sylvain, qui n’osait me regarder.
Il était tard, et pris par la fatigue, nous nous sommes couchés de bonne heure.
Le lendemain, Cédric et Jackie décident, par économie, d’aller faire des courses près de la frontière, ou c’est beaucoup moins cher.
C’est pendant leur absence que Sylvain me rejoint, au moment ou je sortais de la douche, simplement vêtue d’un peignoir.
Il s’approcha de moi, s’excusa de ce qu’il s’était passé. Malgré tout, il m’avouait avoir pris énormément de plaisir, et que j’étais un excellente suceuse.
A ce moment là, je le haïssais d’avoir profité de la situation, mais reconnaissais, moi aussi, avoir pris du plaisir, car ses caresses étaient divinement douces. De le voir devant moi, le torse nu, commençait à m’exciter.
Après mille excuses, que je jugeais sincères, il s’apprêtait à quitter ma chambre, quand je le retint par le bras.
- Attends...reste. Ils en ont pour un bout de temps avant de revenir. Viens t’asseoir près de moi sur le lit.
Sylvain s’approcha lentement. Je décelais de l’inquiétude sur son visage. J’estimais que même une simple fellation était synonyme de tromperie. Rien que pour ça, je reconnus que pendant ce trajet, j’avais fait une infidélité à mon mari.
Alors pourquoi ne pas aller plus loin, satisfaire un désir qui brûlait en moi, depuis cette fameuse fellation. En plus, je ne pouvais chasser de mon esprit, ce calibre qui coulissait dans ma bouche, et s’y était vidé avec abondance. Je pris Sylvain par le cou, et lui donnais un tendre baiser, qu’il prolongea avec plaisir.
On basculait sur le lit, enlacés. Je sentais son sexe frotter contre mon ventre à travers le peignoir. Calmement, il dénoua la ceinture, l’ouvrit. Il fut à peine surpris de m’y trouver entièrement nue dessous. Je reconnus ses mains d’une incroyable douceur, parcourir mon corps. Celles là même qui m’avaient caressées, et fait jouir pendant le trajet. Elles remettaient ça, jouaient avec mes seins, gorgés de désir, mon ventre, puis l’antre chaud de ma chatte, déjà bien humide. Je tirais sur l’élastique de son short, pour lui signifier de le quitter. Apparu alors l’objet de tout mes désirs, celui que j’avais devinais énorme dans l’obscurité de la voiture, alors qu’il baisait ma bouche, et y déposait sa semence. Je le fis mettre sur le dos, pris son sexe en bouche, puis je le chevauchais, m’empalais sur sa queue raide et dure. Puis je me positionnait pour me faire prendre en levrette, ma position préféré, mais que je voulais tester avec une autre queue que celle de mon mari. Je guidais moi même la bite vers mes lèvres intimes. Délicatement, il avançait à coup feutrés dans ma chatte, jusqu’à s’y installer.
Les étreintes vont crescendo. La sensation de mes seins dressés qui s’agitent sous les coups de bites incessant de Sylvain, m’excite au plus haut point. Je sens ses mains rugueuses, avides de mon corps en chaleur épouser les plis de ma peau.
Les yeux rivés sur le lit, je me laisse aller à cette pénétration, dont les assauts torrides m’arrachent les premiers gémissement de plaisirs. Face à moi, un miroir me renvoie l’image d’une femme mariée, heureuse de connaître autre chose avec un autre homme que son mari. Je sens Sylvain jubiler quand j’atteins un puissant orgasme. Et il est annonciateur d’une longue série. Sylvain est un amant formidable, exceptionnel, débordant de créativité, loin des relations à la va vite de mon époux.
Il se relève, présente sa bite au bord de mes lèvres. J’ai compris le message. J’ouvre la bouche, engloutit la queue, qui déjà éjecte sa semence au fond de ma gorge. Je le garde en bouche. Je voudrais que cette éjaculation ne s’arrête jamais, que j’en boive tout le contenu, jusqu’à ce que la source soit tarie.
Nous roulons sue le lit, enlacés, lèvres soudées dans un sulfureux baiser. Je suis épuisée, contrairement à Sylvain qui voulait poursuivre. Mais il se faisait tard, Cédric et Jackie n’allaient pas tardaient à rentrer.
Une fois que Sylvain ce soit retiré à regret, je remplis la baignoire. Mon corps repus avait besoin d’un bon bain, pour évacuer la fatigue de cette intense relation.
Bien sûr, d’un commun accord, on décidait de jamais rien dire de cette aventure à mon mari, ni concernant le trajet, ni de nôtre torride matinée.
Le reste des vacances se passaient normalement, faisant régulièrement l’amour avec mon mari, même si parfois, j’imaginais que c’était la queue de Sylvain qui me pénétrait. Ce qui augmentait mon excitation, et décuplait l’envie de me faire baiser par Cédric.
Les vacances se terminaient, et après avoir mis la villa en ordre, nous avons chargé nos bagages, et avons pris la route. J’étais à l’arrière avec mon mari, mais sur le trajet, l’échange de chauffeur se fit cette fois, entre Sylvain et Jackie.
Des idées coquines traversaient mon esprit. Je posais ma tête sur l’entre jambe de mon mari. Il me caressa les cheveux, me conseilla de dormir un peu, que le voyage allait être long.
Mais que ce serait-il passé, si Sylvain avait pris la place de mon mari ?
A peine assoupie, que déjà mon esprit vagabonder sur d’autres découvertes. Un rêve ou mon corps, inassouvi, réclamait que des mains le caresses. Je me remémorais le trajet aller. Je m’imaginais, simplement vêtue d’un peignoir sur la banquette arrière, en compagnie de Sylvain. Ses mains avides de ma chair, parcourant mon corps, de mes seins aux bouts dressés, jusqu’à ma chatte déjà humide, en quête de nouvelles sensations.
Dans mon rêve, Jackie et mon mari étaient à l’avant, tandis que Sylvain s’installait avec moi sur la banquette arrière. C’était Cédric qui était installé au volant.
A ces premiers mots lâchés, il devait se douter de ce qui allait se passer à l’arrière.
- Sylvain, pourquoi ne baiserais-tu pas ma femme.
- Mais Cédric, c’est ta femme...je peux pas la baiser.
- Si Sylvain, je veux que tu me baise, dis-je pour couper court.
Sylvain s’approcha timidement de moi, n’étant pas sûr des intentions de mon mari.
Celui-ci campas sur sa positions, ce qui encourageait Sylvain à agir.
Il me donna un tendre baiser. Je devinais l’issue du trajet, et décidais de m’y engager, avec le consentement de mon mari.
Je mis une main autour de son cou, et accentuais la baiser. Calmement, Sylvain ouvrit mon peignoir, découvrant mon superbe corps nu dessous. Puis il ôta son short, et pu découvrir, les mensurations colossales de son sexe, que je connaissais bien pour l’avoir calibré entre mes lèvres dans l’obscurité de la voiture.
Nous étions enlacés, embarqués dans de savant préliminaires, de plus en plus précis, dont l’un d’eux m’emmena déjà à l’orgasme. Puis Sylvain s’appuyait au dossier de la banquette, me prit par les hanches, m’obligeait à le chevaucher. C’est là que pour la première fois, que je pu juger de l’énorme impact que son calibre avait dans ma chatte. Car dans mon imaginaire, n’apparaissait pas la torride relation que nous avions eu lorsque Cédric et Jackie étaient allé faire les courses. Seul le trajet aller se projetait dans mon esprit.
-Ouah mon chéri...ralenti, règle ton rétro...regardes la grosse bite de Sylvain enfiler la chatte de ta petite femme...tu dois te régaler de me voir baiser...salaud...attends mon amour, regarde bien.
Je me soulevais légèrement, jusqu’à ce que la queue de Sylvain quitte ma chatte. Je la pris d’une main, et la guidais vers mon petit trou. Mon mari avait les yeux fixés sur le petit miroir, à se demander si j’irai jusque bout. Lentement, je coulissais sur le calibre, et m’y empalais dessus, dans un soupir de plaisir.
- Oh putain...que c’est bon d’avoir un gros mandrin dans le cul...vas-y mon chéri, fais voir à mon mari comme tu encules sa femme...dis lui que je suis bonne.
- Oh oui que t’es bonne, salope...t’aimes la queue toi, hein…
- Surtout quand elles sont grosses comme la tienne...hum, c’est tellement bon.
Je voyais les mains de mon mari se crisper sur le volant, les yeux exorbités.
- Sylvain, mon amour, dis moi quand tu vas venir. Je veux que tu jouisses dans ma bouche, pour faire voir à Cédric comme tu t’es bien vidé les couilles dans la voiture.
Je vais tout avaler et bien te nettoyer le zob.
Sylvain réagissait de plus en plus, et s’installait dans son profil d’amant, qui baisait la femme de son pote, devant lui. Je jubilais, prenais un réel plaisir de me faire baiser par un autre homme que mon mari.
Je me penchais, murmurais à l’oreille de Sylvain. Celui-ci acquiesça de le tête.
- Mon chéri, tu crois que Jackie voudrait participer ? Au prochain arrêt, il pourrait nous rejoindre.Tu pourrais aller à la cafétéria, prendre un café, car nous allons faire des trucs, auxquels il ne vaut mieux pas que tu assistes. Tu pourras prendre tout ton temps chéri...tu peux faire ça ?
Ma nuit avec les deux potes de mon mari fut torride. Jackie était hyper monté lui aussi. Je me suis faite prendre dans toutes les positions, par tout les trous. C’est cette nuit, que dans mon esprit, j’ai connu une première double pénétration. Ces deux salauds se sont amusés avec moi, me faisant jouir à six reprises.
C’est épuisée, les yeux cernés, que mon ami me découvrit en revenant de la cafétéria. De tous mes orifices dégoulinant du sperme que je n’avait pu avaler. A voir le sourire de Cédric, je sentis qu’il était heureux pour moi.
C’est un violent coup de frein qui me tirais de mon sommeil…« Terminus »
Arrivé chez nous, on déposait Jackie, puis mon mari nous déposa, Sylvain et moi, à la villa. Après avoir déchargé les bagages, Cédric ramena le monospace à l’agence de location.
J’invitais Sylvain sur la terrasse à boire une bière. On discutait de ce qu’il s’était passé pendant le trajet aller, et dans ma chambre. Cette fois, il ne s’excusa pas, et m’avoua que pour lui, ces vacances resteraient à jamais gravées dans son esprit.
Après un long baiser, on décidais avec regret, que cette aventure devait rester sans lendemain, et que malgré le plaisir qu’on avait pris, c’était mieux ainsi.
Il me dit alors qu’il allait s’éloigner de moi, quitter la région.
Je parvins à le raisonner, à le convaincre de ne pas prendre une telle décision, que malgré ce qui s’était passé, Cédric et moi avions besoin de son amitié.
Puis, tout bien réfléchi, pourquoi ne pas adhérer au fantasmes de mon mari.
Me partager avec un autre homme...et Sylvain était en l’occurrence, tout désigné.
Depuis, chaque fois que j’ai un rapport avec mon mari, je garde toujours à l’esprit le souvenir de ce puissant calibre coulissant dans ma bouche, sur la banquette arrière d’une voiture, la remplissant de son abondante semence au goût sucré.
Et dire que tout à commencé par une fellation….La fellation de la honte.


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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : La fellation de la honte

Le 21/05/2023 - 17:24 par valeriane
ouah j'adore, vite une suite
Le 09/05/2023 - 22:45 par OlgaT
Excellent! Bel engrenage!

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