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Mes aventures romaines

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 15/05/2023

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Je suis très enjouée ce soir, mes yeux brillent comme mille saphirs. Au restaurant, chaque bouchée est sucée, caressée avec la langue, et goûtée à travers toutes ses saveurs. La décoration de la salle ainsi que l’ambiance élégante et raffinée me donnent vie et bonheur.
Le dos cambré, je lance mon décolleté à l’assaut de tous les regards alentour. Je suis magnifique et mon sourire est resplendissant.
Enchantée par cette première journée à Rome, Je savoure ce voyage comme une carte postale d’eau turquoise. Ma vie, conforme à toutes banalités masculines, mon existence sans relief m’empêchent d’embrasser la vie comme à mes vingt ans.
Je redécouvre des sensations d’un autre âge, le long de ces ruelles étroites. Une saine chaleur, un ciel bleu, de mystérieuses fenêtres en plus de l’histoire magique et éternelle de cette ville… Je sens le réveil de mes sens.
Attablée face à mon mari, je suis ailleurs. Quelque part dans ce monde antique, mon esprit romantique s’échappe et vagabonde sous le soleil brûlant.
Le souvenir des intonations de la langue italienne fredonne à mes oreilles. Le guide romain avait été merveilleux, notamment à travers ses anecdotes croustillantes, bien que peu vraisemblables. L’entendre réciter son show était à mourir de rire. Ravi de ce public si réactif, il s’engouffrait dans la caricature avec un plaisir qui, bien que payant, n’en était pas moins sincère. Tandis que le verbe était rapide et gaie, son regards, lui, avait par contre un côté beaucoup plus intime et profond envers moi.
Célibataire, il est certain que je me serais laisser séduire, mais il était hors de question que je trompe mon mari.
Légèrement troublée, je faisais un large sourire lorsque mon époux demandait à Alessandro une adresse de restaurant pour emmener sa charmante épouse.
- Charmante femme en effet, sourit le bel Italien en me regardant.
- Tu ne trouves pas qu’il en fait un peu trop cet Alessandro, dit Fred, mon mari,
avec ses regards déplacés et ses allusions de mauvais goût ?
- Mais non, c’est juste un jeu...Oh là, serais-tu jaloux mon chéri ?
Mon mari, un homme alerte au regard de fouine, le sourire au bord des lèvres, est déjà transporté sur sa chaise de restaurant. En effet, après les deux martinis, suivis d’une paire de rosés, il pense que la béquille sera molle pour lui ce soir. Optimiste ou obsédé de nature, il pense mettre à son profit l’humeur radieuse de la femme de sa vie. Envahi par l’excitation de me voir si belle et si épanouie, envahi par sa fierté, et son amour malgré tout, il me prend tendrement la main, quand soudain, je la retire prestement, et me redresse. Incrédule, mon mari comprend pas.
Évidemment, il ne peut pas comprendre et imaginer l’origine de ce bonheur qui m’émoustille par les mots, et le charme de cet Alessandro.
Justement, il entre dans la salle du restaurant et marche dans nôtre direction.
Non, ils ne sont pas fous ces italiens. Ils savent ce qu’ils font avec les femmes qui leur plaisent. Ils savent les approcher sans être envahissants, créer une relation avec rien, charmer en laissant croire aux femmes qu’elles peuvent les repousser. Leur faire croire qu’elles sont toutes belles et uniques à leurs yeux. Ils s’intéressent à elles, deviennent leur confident avant de devenir leur amant.
Mon mari qui sent la situation lui échapper s’inquiète du regard que j’adresse à ce beau brun athlétique. Dans son mouvement pour s’asseoir, la main du bel l’Italien glisse involontairement sur mon dos, faisant ainsi tomber la fine bretelle de ma robe. La douceur et la largeur de sa paume diffusent chaleur et frissons dans ma poitrine. Confuse et gênée, Je le laisse toutefois pendre la petite ficelle le long de mon bras nu. L’étoffe flottante de ma robe laisse alors deviner la naissance de mes seins. Ma poitrine ainsi à dévoilée excite mon bourgeon sous le fin tissu. Quel que soit l’horrible individu responsable de ce début d’effeuillage, j’imagine le parcours de sa langue et de ses lèvres sur mes seins, si seulement je pouvais les lui offrir.
J’ai un léger sourire devant le regard incrédule de mon mari. C’est vrai qu’à bien y réfléchir, la scène est totalement surréaliste. Un presque inconnu vous déshabille face à votre mari et vous appréciez tellement l’aspect sensuel du geste que vous oubliez les règles de la femme fidèle. Alors on fait comme si de rien n’était.
Pour couper court à l’ambiance trop complexe et pesante, Je me dirige au bar, les laissant discuter entre eux.
Du bar, je devine des échanges amicaux, voire complotistes. Je vois même mon mari prendre des notes sur son portable. Si cela ne m’inquiète pas outre mesure, je me pose des questions sur l’attitude de mon époux. Et si j’étais le centre de leur discutions. Je les rejoins quelques minutes plus tard, plus ravissante que jamais.
- Comploteurs ? Vous avez des mines de conspirateurs tous les deux, enfin surtout Alessandro, parce toi mon chéri, c’est plutôt la tête du sacrifié que tu fais. Si c’est pour la bonne cause, mon amour, n’hésite pas, tu seras mon héros.
- Pas du tout, ma chérie, Alessandro me disait qu’il te trouvait très séduisante,
- Extrêmement belle, pouvez-vous dire. Vôtre mari a beaucoup de chance.
Je suis troublée par tant de flatterie, néanmoins, mes pensées et mon imagination, vont vers mon beau transalpin, pour qui je m’offrirais toute une nuit sans retenue.
Nul doute qu’à ce moment-là, mon mari doit me détester un peu. Juste ce qu’il faut pour trouver son courage de héros pour la suite de la soirée.
Je souris jusqu’à la fin du repas de manière éclatante et mon mari en est malgré tout, ému. Il m’aime et il n’y peut rien, il aime sa croix.
- Un dernier verre, propose mon mari.
- Pas pour moi chéri...j’ai assez bu pour ce soir.
- Allez, insiste Alessandro, c’est ma tournée, vous n’allez pas refuser.
- Dans ce cas...je veux bien.
Le retour vers l’hôtel fut, contre toute attente, très amoureux mais un peu titubant. Fred eut bien du mal à me coucher, prise de divagations mystérieuses.
La nuit est comme le jour, la température nocturne reste chaude et devient même étouffante. L’agitation de la journée se dissipe à travers des rêves angoissants, très érotiques. Mes jambes donnent des coups imaginaires, mes muscles se tendent,
je tourne, retourne. L’envie de boire un verre d’eau devient impérieuse, puis je me recouche dans des draps froids de transpiration.
La sensualité ondule également dans mon ventre. Le fin tissu couvrant ma nudité, me caresse lors de mouvements sublimes. Lentement, le bas de mon dos se creuse. Je dors légèrement vêtue par cette chaleur et ne cache guère que mes pieds sous le drap. L’unique bougie, clair-obscure, magnifie ma superbe silhouette. Les yeux grands ouverts, mon mari se noie dans cette beauté trop forte pour lui.
Mes mouvements sont si infimes qu’ils sont difficiles à percevoir. Mon ventre se plaît contre la soie, entraîné par les lentes contractions des fesses. Mes rondeurs imposent leur envie et leur force à l’ensemble de mon corps. Mon mari, tout à son observation relève la nuisette au-dessus de mes reins. Ma croupe, magnifique se révèle éclatante dans son habit de pouvoir. La main de mon mari, prête à toucher le fruit défendu, laisse le temps se suspendre tout seul. Le moment est émotionnel, intense. Sa main effleure mes fesses, puis descend en immisçant quelques doigts volontaires vers l’entre cuisse. Tour à tour, ils survolent ma chatte, mon petit trou. Mes fesses repoussent cette main vicieuse, s’élèvent comme propulsées par le choc de deux plaques tectoniques, mes cuisses d’un côté et le creux de mes reins de l’autre. Le postérieur ainsi relevé s’ouvre à tous les plaisirs.
Les doigts s’attardent autour du petit orifice, appuyant légèrement sur ses plis.
Mon mari ne compte pas son plaisir.
Voir la sensualité de sa femme enfin libérée l’impressionne et renforce son amour.
Il y a un peu de dépit dans ses pensées. Il est en effet rare qu’il ait pu susciter un tel abandon, une telle énergie sexuelle chez sa femme lors de nos relations nocturnes. Ses rêveries sont interrompues par un râle. Un râle profond.
Cela fait près d’une demi-heure qu’un autre homme est dans la pièce et attend son heure. Assis dans l’obscurité, il apprécie avec gourmandise le spectacle de cette femme si vivante et sensuelle. Mais le moment est venu, il le sent.
Alors, lorsqu’ il m’entend murmuré son prénom, il sourit aussi largement que son
« repas » sera copieux. Rêveur à ses heures, il supposait que la rencontre fortuite d’hier matin avec cette belle Française avait laissé quelques ecchymoses de désir dans son cœur de touriste bourgeoise. Je rêve de lui. Mon mari accepte sa défaite face au sourire d’Alessandro.
Prise dans la réalité, je ne me pose aucune question sur la présence de mon guide préféré. J’ai tellement envie de vivre à travers ses sens que je me laisse guider.
- Dans quel état de conscience est-elle, avec cette drogue que nous avons mise dans son verre ? interroge mon mari.
- C’est difficile à dire, c’est très variable mais ce qui est sûr, c’est que toute timidité ou protection est abolie. Raison de plus pour rester près d’elle durant ces quelques heures ou je vais la baiser, elle pourrait courir un risque à rester seule, mais je crois que ce n’est pas dans vos intentions de la laisser seule, n’est-ce pas ? Elle peut paraître consciente, disons plutôt qu’elle sera enfin elle-même.
Mon mari et Alessandro ne savent pas que je suis à demi consciente, certes, mais j’arrive, par bribes, à suivre leur conversation. Sans se méfier, Alessandro poursuit.
- J’ai compris que votre activité sexuelle était extrêmement faible. Avec cette drogue, cela ne créera pas un désir qui n’existe pas, mais cela décuplera et surtout autorisera des pulsions jusque-là refoulées.
C’était donc ça, ils m’avaient forcées à boire, pour me droguer et mieux me baiser. Impassible, Alessandro poursuit son explication à mon mari.
- Elle pourra être totalement lucide et réveillée, elle ne fera que suivre ses envies profondes comme à son habitude. Comme je vous l’ai dit, je saurai réveiller sa sensualité pour mieux vous la réserver, n’ayez crainte, je vous sens encore soupçonneux à mon égard. Elle a envie de se faire baiser, je vous l’ai dit, mais c’est avec vous qu’elle veut faire l’amour. Évidemment n’oubliez pas de bien la baiser comme je vais le faire, lorsque vous lui faites l’amour car tout dépend de vous à cet instant.
- Et quel souvenir gardera-t-elle de cette nuit ?
- Un rêve, elle se souviendra de tout avec tous les détails, de ma queue quand elle va la sucer, quand elle va pénétrer sa chatte, comme elle va crier quand elle va jouir, mais sans imaginer que ses souvenirs appartiennent à la réalité.
Quels salauds, j’ai l’impression d’être leur chose. Je vais me faire baiser par un inconnu, avec le consentement de mon mari. Depuis que j’attends ce moment, sentir la queue de mon guide au fond de ma chatte. Et Alessandro d’insister.
- C’est évidemment l’intérêt de ce produit, il n’induira aucun remords ni gêne. De plus, vous verrez tout de suite si elle vous en parle ou si elle veut garder ça pour elle, caché dans son jardin secret… Rappelez-vous que je vous ai mis en garde.
J’imagine le visage de mon mari, tourner au vert, tandis que je sens une légère humidité envahir ma chatte. J’ai hâte de me faire enfiler.
- Elle peut également non seulement garder ça pour elle, mais également s’en servir comme fantasme lorsque vous ferez à nouveau l’amour. Elle risque de jouir dans vos bras en pensant à moi. Parce qu’évidemment, vous avez compris que j’étais à l’origine de ses débordements sensuels.
- Oui, oui… Je prends le risque, je vous l’ai dit. Et puis, si elle prend du plaisir en pensant à vous, ce sera quand même dans mes bras, c’est moi qui la baiserais…
- Bon, je vois que cette situation n’offre que des doux avantages pour ce qui me concerne. Votre femme est très belle et très touchante dans son désir. Vous allez bien regarder quand je vais la baiser, comme elle va bougeait son cul, avec quelle puissance et quelle envie. C’est maintenant que je dois agir pour qu’elle garde un bon souvenir de son rêve érotique. Souvenez-vous que c’est pour que votre couple soit plus actif sexuellement et donc plus heureux.
- Je m’en souviens, je m’en souviens, n’ayez crainte…
Totalement nu derrière moi, Alessandro s’avance, son calibre fièrement dressé. Il caresse mes fesses, comme pour les prévenir. Plaquant son énorme queue dans le sillon de mes fesses, Alessandro voit mon mari faire presque un malaise en voyant ses mensurations colossales, mais surtout au tableau surréaliste qu’il a devant lui.
Un homme pratiquement inconnu, derrière sa femme le cul relevé, s’apprête à cacher son érection dans son petit trou, encore jamais exploré à ce jour. La photo est émotionnellement intense. Je suis comme hypnotisée par ces mains qui s’agrippe à mes hanches, par ce sexe de vrai mâle que je ressens déjà contre mes lèvres intimes. Je recule mon corps et cherche à l’évidence la pénétration. Mon corps se soulève. Les mains d’Alessandro excitent le bas de mon dos. Les doigts écartés, les fesses offertes, la bouche entrouverte, mon mari ne reconnaît pas l’être aimé.
Le sexe dressé et même légèrement humide de confusion, il s’approche et admire le glaive victorieux qui lime le fond intérieur de sa femme.
De mon côté, je n’ai jamais été aussi consciente de mon énergie. La certitude de vivre mon corps, mon mari humilié par un étalon transalpin ne me gêne pas. Je suis même heureuse de jouir en sa présence. Car l’amour véritable ne jalouse pas, il partage. Mon petit orifice offert comme une fleur se révèle plus féminin que jamais.
Je me retourne, j’ai envie d’aimer cet homme providentiel, de le serrer dans mes bras. Romantique et torride, je désire l’entourer de toute ma tendresse. Les doigts écartés dans son épaisse crinière noire, je me laisse embrasser langoureusement, dans le cou ou sur les seins. Le lent mouvement de la virilité de mon amant se répand dans mon ventre et réchauffe mon cœur. Sentir sous mes mains ce corps musclé et souple m’excite et me rend heureuse. Je mordille son épaule, comme on reprend une petite part d’un gâteau délicieux. Alessandro est si doux et élégant dans sa façon de me sodomiser, qu’une larme perle et illumine mes jolis yeux de petite chatte langoureuse. Un battement de paupières et la petite larme traverse mon visage avant de se perdre dans sa chevelure.
Presque amoureux, Alessandro caresse et profite de mon corps magnifique.
Il embrasse mes bourgeons, pétrit mes seins, doigte mon clitoris. Je cherche mon mari...il est juste à côté de moi. Il me regarde et sourit.
Il me trouve belle, pense ai-je. C’est vrai, je suis belle. Pourquoi ne l’ai-je pas cru pendant toutes ses années ?
Je vois également qu’il souffre. Mais il a l’air heureux de me voir comblée, baisée par un gros calibre, qu’il ne peut m’offrir.
Je lui tends la main et l’attire vers moi. Amoureux jusque dans sa queue, mon mari reprend espoir de me pénétrer profondément. Alessandro, gentleman devant ces retrouvailles, laisse sa place et recule sur le bord du lit. L’union de ces deux époux devant lui le ravit. Pris d’une envie impérieuse, mon mari me retourne doucement, et me pénètre en m’entraînant en arrière pour me prendre en levrette.
Les seins libres et ballants, je goûte sans honte à cette situation si particulière. Les deux hommes sont gentils avec moi, et un élan de bonté m’incite à me libérer de l’étreinte de mon mari pour m’offrir à mon bel italien.
Surpris, alors qu’il pensait déserter les lieux, son sourire d’enfant sage illumine son visage et c’est avec tout son désir qu’il investit ma chatte.
L’état de légère inconscience voluptueuse qui m’enveloppe permet alors la libération de toute la sensualité de mon corps et de mon esprit. Le remplissage de mon sexe par cette queue virile et conquérante me révèle à moi-même. Toute la nuit, j’offrirais ma chatte, mon clito, mon petit trou, ma bouche, toute mon intimité selon son envie, son humeur et ses émotions.
Les deux hommes m’aiment de tous leurs doigts, de toute leur queue.
Tard dans la matinée, je ressent le doux réveil des princes, celui qui poursuit les rêves au-delà de l’inconscience. Bien prise, je me souviens surtout de cette douce sensation d’être comblée et reconnue dans ma sensualité. Bien baisée, ça fait du bien. Je me souvient d’Alessandro, nôtre guide de l’après-midi mais aussi de mon mari. J’en suis sûre,
Il était là et même bien là. L’impression ressentie au moment d’évoquer mon mari me surprend. Je vois une virilité que je ne lui connaissait pas. Et si c’était vrai ? Non, ce n’est qu’un rêve j’en suis sûre et pourtant mon ventre me crie la vérité. J’en ai honte. C’est vrai que ce bel Italien m’a fait chaud dans ma féminité. Juste un fantasme, et puis mon mari présent pendant mes ébats avec Alessandro, c’est ridicule.
Après cette nuit révélatrice, je me sens bien.
Je profite malgré tout de nuits romaines, lors de ce week-end prolongé dans la ville éternelle. Gentiment droguée par mon mari et mon guide italien, qui avait su me séduire le long de nôtre visite, je fus abusée par les deux hommes qui ont profité de ma sensualité révélée. Inconsciente de la réalité de cette relation à trois, que j’imagine avoir rêvée, je découvre de façon puissante et incontrôlée, une chaleur naissante aux creux de mes reins.
Je dois absolument trouver ce guide italien et manœuvrer pour me trouver seule avec lui, sans mon mari. Le rêve de cette nuit m’obsède. Sans aucune crainte, je me laisse conduire par mes pensées, vers l’inconnu. Moi, si timorée habituellement, croit en la vie qui se révèle en moi. Au contraire, à la place de l’érotisme pervers et cérébral qui m’effrayait à mon réveil, je sens physiquement à travers ce rêve l’appel puissant de mon sexe. Pour la première fois de ma vie, je découvre et assume ma
vraie nature. L’ambiance de vacances et le dépaysement transalpin stimulent évidemment fortement mon énergie de femme amoureuse
Par ailleurs, faire-valoir ou véritable partenaire, j’ignore encore quel sera le rôle de mon mari, dont souvent je rejette les avances maladroites. Pourtant, je m’imagine bien vivre une aventure sans lui. Je serai même curieuse de voir sa réaction, alors que je lui raconterai avoir baisé avec un autre homme.
Car il est vrai que mon mari fantasme sur la présence d’un autre amant quand on fait l’amour. Mais la réalité est tout autre, plus violente, plus dangereuse aussi.
En cette fin de matinée, le soleil est déjà haut et la chaleur prend possession des corps. Toujours perturbée par mes impressions brumeuses de la nuit, je regarde mon mari. Je cherche une réponse à travers son regard, une expression ou un changement dans son attitude qui pourrait m’éclairer sur mon rêve de cette nuit.
Sourire malicieux en bandoulière, je décide de déambuler seule le long des ruelles pavées. Emportée par le courant de la foule des touristes, je suis le mouvement général, les yeux mi-clos, signe de ma sensualité naissante.
Cachée derrière mes lunettes noires, j’arbore extérieurement une posture altière et conquérante. La poitrine en avant, le frottement du tissu de ma chemise blanche avec le bout de mes seins, m’envoie des petits stimuli. Agréables bien que légers, ils s’amusent à m’enflammer les bourgeons. Sans soutien-gorge, cette nudité partielle provoque une excitation soutenant ma superbe poitrine. Les seins gonflés de désir tendent mon chemisier, lequel devient rapidement embarrassant. J’ai l’impression d’être épiée par tous les regards masculins que je croisent.
Un étalage ! L’étalage d’un vendeur de livres ambulant. Je regarde, respire, ferme les yeux et appuie mes mains sur l’étal, me penchant ainsi vers l’avant. Les yeux clos, je m’octroie quelques secondes de douceur et d’amour, profitant du contact électrique entre ma chair et le chemisier…
Confuse et rougeoyante, j’ai le plus grand mal à retrouver une contenance. Émotive et les seins presque saillants à travers mon vêtement, je cherche de l’aide, de l’air.
Je rêve de mains masculines sur mes seins. «Tendus pour personne, quel gâchis » me dis-je. Inconsciente de ma posture plus que penchée et de mon environnement immédiat, j’esquisse un petit sourire coquin, remplissant d’aise le bouquiniste rondouillard, ravi devant un tel spectacle. Se croyant faussement autorisé, cet homme me déshabille du regard de façon lente, restant silencieux pour suspendre en vol, et le temps, et son plaisir. Deux beaux seins serrés dans leur bel habit blanc cintré à la taille, et prêt à s’éjecter du décolleté.
Soudain, j’ai la surprise de voir sortir de derrière un paravent de toile, un jeune garçon d’une beauté à couper le souffle. Son regard bleu acier me paralyse.
C’est lui qui reprend le fil d’une éventuelle vente. Me voyant hésitante quant au choix d’un livre, il me propose de passer derrière le paravent, ou se trouvent les plus belles œuvres.
Heureusement que personne ne remarque le sourire légèrement pervers, presque lubrique qu’exprime à cet instant mon beau visage, d’habitude élégant et raffiné, à l’évocation d’une scène des plus farfelues.
Devant les regards ébahis des clients, le jeune vendeur m’entraîne dans l’arrière boutique, ou des piles de livres sont entassées sur des planches posées sur des tréteaux. J’en prends un au hasard, quand le sens des mains se poser sur mes hanches.
- Je suis mariée, dis-je pour le fun….et je ne peux...
Mes seins ont tellement besoin de caresses, que je me cambre pour mieux les faire ressortir. Dans l’état de désir ou je me trouve, il n’y a plus de gêne à m’offrir aux mains de ce jeune vendeur. Je me contracte, espérant qu’il aille plus loin. Mon vœux s’exauce quand je sens ses mains remonter sous mon débardeur, caresser mes seins. Ma poitrine qui me faisait énormément mal, peut être enfin soulager, par les mains pleines d’innocences du jeune garçon. Pendant qu’il fait glisser ma jupe et mon string au sol, j’ôte moi-même le haut.
Les caresses reprennent, douces, dirigées vers les endroits érogènes, qui font encore plus augmenter mon désir.
Je suis entièrement nue, suspendue telle une trapéziste de foire, au tube qui maintient la toile. Je sens son énorme queue glisser entre mes cuisses, pénétrer ma chatte. J’ai peur, en voyant onduler le rideau, qu’il ne s’ouvre, et que des clients ou des passant, me surprennent en train de me faire baiser. Tout ceci n’a pas l’air de gêner mon jeune amant, qui augmente la cadence, près à faire exploser le désir qui couve en moi. Je tords mon cou en arrière pour lui prendre les lèvres, et par ce fait, étouffer le cri de mon orgasme. Puis le jeune garçon orient sa bite vers le petit trou que j’ai tant offert cette nuit. Il est quand même surpris de le posséder aussi facilement. Il va et vient en moi, pour mon plus grand plaisir. J’ai l’impression que sa queue grossit, dans l’antre chaud et serré. Soudain, il se retire, appuie sur mes épaules, tout en me retournant. Sa queue dressée frôle mes lèvres. Je la saisit, la prend en bouche et la suce. Le jeune vendeur arrive à terme, je sens son sperme affluer dans ma bouche, en apprécie le goût de sa liqueur.
Comme Alessandro lors de cette nuit torride, voila qu’à son tour, ce jeune garçon vient de me corrompre. Il me prend dans ses bras, me donne un fougueux baiser, malgré sa semence qui coule sur mes lèvres.
Reconnaissantes, mes lèvres éparpillent, dans le cou du jeune vendeur, mille baisers en cadeau d’adieu.
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Commentaires du récit : Mes aventures romaines

Le 20/05/2023 - 16:38 par valeriane
Oui une suite s'impose
Le 15/05/2023 - 22:51 par OlgaT
Le mari a ouvert la boîte de pandore! Une suite?

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