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La femme de ménage, ma première femme mûre...

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Lue : 2081 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/10/2019

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Après avoir eu la chance de profiter d'une toute jeune femme, voici que j'ai avec plaisir pu profiter cette fois d'une femme mûre....

Je travaille dans une petite entreprise, et tous les soirs vers 16h, une femme de ménage passe faire son travail. Tres gentille environ 55-60 ans (!?), très très mince en haut du corps, mais avec une belle culotte de cheval et des jambes toutes fines.
Plusieurs fois, j'ai fantasmé sur Eliette, mais juste lors de petites masturbations.
Ce jour là, je me suis retrouvé à travailler un peu plus tard en fin de journée. Avant de plier baguage, je jette un œil sur mon Facebook, rien de bien intéressant.
Et puis, pour je ne sais quelle raison je me caresse entre les jambes, je sens ma queue gonfler. En un clic je suis sur un site porno histoire de profiter de cette excitation étant tout seul dans les bureaux.... oups excepté Eliette la femme de menage.
Elle est en bas,... donc pas de problème, je sors ma queue de mon pantalon et entreprends de me masturber doucement. Je mate un film avec une belle black qui se fait prendre par deux mecs bien montés... double pénétration.... humm... je rêvasse...
Et ce qui devait arriver, arriva... je n ai pas entendu Eliette monter les escaliers... elle me surprend les jambes écartées derrière mon bureau, la queue a l'air, les yeux fermés en train de faire de petits vas et viens...
Je ne sais pas combien de temps elle m'a observé, mais quand j'ouvre les yeux, je la vois avec son balai, dans l'encadrement de la porte, bouche bea.
Je la regarde, je deviens tout rouge, je lache ma queue qui reste dressée....
- Je suis désolé Eliette, la journée a été dure, je voulais juste prendre un peu de plaisir, ça peut rester entre nous?
Elle aussi rougit quand elle se rend compte que son regard fixe mon sexe.
Eliette sourit légèrement et reprend ses tâches de nettoyage.
Je me rhabille, range rapidement mon bureau et m eclipse en disant bonne soirée de loin à Eliette. Je suis assez honteux!
Je rentre chez moi, toute la soirée, mes pensées vont vers cette situation incongrue avec Eliette.
J'ai du mal à trouver le sommeil, et bizarrement, je sens mon sexe gonfler sous les draps, je commence à m'imaginer avec Elitte dans mon bureau en train de la chevaucher...! Il ne me faudra que quelques minutes pour jouir à grand coup de giclées de sperm sur les draps...

Le lendemain matin mon esprit est ailleurs, et ce jusqu'en fin d'après-midi vers 15h30, heure à laquelle Eliette ce jour vient commencer a faire le ménage dans le centre.
Je la rencontre à l'extérieur alors que je viens de garer ma voiture sur le parking après une visite chez un client.
Elle m'interpelle de loin, je rougi déjà...
- sais tu que le bouton de la lumière fait de drôle de bruit quand on appuie dessus à l'étage, me dit elle!?
- non je n en suis pas informé, que se passe t'il exactement ?
- viens je te montre.
Aujourd'hui, Eliette est habillée avec une longue robe bariolée. Elle est plate des seins, sa robe tombe droite devant, par contre ses hanches sont bien marquées.

Elle passe devant et je la suis à l'étage dans la salle ou le fameux bouton déconne.
Elle monte les escaliers, jai ses fesses juste devant le visage, j ai envie de lui toucher le cul, ma main s'approche, mais je me retiens, c'est pas correct... et puis avec ce qui s'est passé hier!
On arrive en haut, elle ouvre la porte. Mon cœur palpite à l'idée que j'aurais pu toucher son cul.
Elle me montre le bouton de lumière... en effet, ça fonctionne pas bien!?
Nous sommes que tous les deux, alors j'en profite pour m'assurer que ce qui c'est passé hier, reste entre nous.
- Eliette, je tenais vraiment à m'excuser pour hier, je suis vraiment confus.
Elle prend un air assez timide, et me dit de ne pas m'inquiéter.
Pour la flatter, je lui dit qu'elle est vraiment charmante dans cette robe. Elle me remercie avec un petit sourire, puis tourne les talons pour sortir.
Elle passe à côté de moi, j'en profite pour voir si j'arrive à voir un bout de ses seins par le côté de sa robe, mais à mon étonnement et malgré qu'elle soit très plate elle a mis un soutien gorge noir.

Enfin, je retourne dans mon bureau, la journée se termine. Tous le monde part, j'en fait de même. Je croise Eliette dans les couloirs, je lui dit au revoir, elle me répond sans vraiment faire attention à moi.
Je monte dans ma voiture, mes pensées vont vers Eliette, mon sexe gonfle dans mon pantalon, je m'imagine en train de fouiller sous sa robe et pincer ses tétons... je pars, je fais le tour du quartier avant de me rendre compte que j'ai oublié mon téléphone, un demi tour s'impose.

J'arrive au centre, plus de voiture sur le parking, excepté celle d Eliette! Arrivé à la porte d'entrée, s'est fermé à clé. Pas de problème, je fais parti de ceux qui possède la clé...
J'entre personne à l'accueil, je monte tranquillement les escaliers jusque mon bureau, la porte est ouverte Eliette est sûrement en train de l'entretenir...
L'entretenir oui!? Mais pas mon bureau, plus tôt son plaisir.... elle est assise sur mon bureau face à ma chaise, dos à la porte, les jambes posées sur les accoudoirs, comme si quelqu'un était en face d'elle... moi en l'occurrence.
Sa jupe est remontée jusque ses hanches, elle tient un balai d'une main et de l'autre elle se caresse l'entrejambe....
Dos à la porte, elle ne me voit pas arrivée... je l'observe sans bouger, elle emet de jolies petits gémissements, j'entends sa main produire les frottements... je sens ma queue grandir dans mon pantalon, cette position de voyeur m'excite au plus haut point, je ne suis qu'à trois mètres d'elle, je n'en reviens pas d'assister à ça, mon sexe est de plus en plus dur et je reste la dans l'encadrement de la porte....

Puis, je pense que l'on a tous un jour ressentit cette sensation d'être observé, et je pense que Eliette la ressentit à ce moment précis car, tout à coup, elle s'arrête violemment descend du bureau et se retourne... elle me voit devant elle, elle rougi tout autant que moi. Aucun mots ne sort de nos bouches pendant un temps qui me paraît.... infini... ni elle ni moi ne savont quoi faire ou dire.
Je trouve la force de briser la glace...
- je viens juste chercher mon téléphone. Je suis désolé de te déranger.
Son visage est fermé, elle baisse la tête, j'ai l'impression qu'elle va pleurer.
Alors je m'approche d'elle et lui dit qu'il n y a pas de problème, tout va bien.
Je la sens vraiment très touché de s'être retrouvé dans cette situation, alors je m'approche encore plus d'elle est la serre tout doucement dans mes bras.
Je lui enlace les épaules, elle ne bouge pas.
Dans un premier temps j'ai un peu l'impression de profiter d'elle, mais je sens sa main libre venir s'appuyer sur mon dos ce qui a pour effet de me faire bander une nouvelle fois.
Je lui murmure doucement à l'oreille, qu elle n'a pas a être gênée, que ça ne me dérange pas. Elle me remercie.
Ma queue gonflée dans mon pantalon et tout proche de son ventre, ça m'excite tellement, j'ai l'impression d'être dans une autre dimension.
Mes mains descendent le long de son dos, jusqu'à ses fesses, elle se laisse faire, alors je plisse doucement sa robe vers le haut pour dégager ses fesses.
Ses fesses sont à l'air, je pose mes mains sur ses deux globes, ses hanches sont très large ce qui lui fait un cul énorme par rapport à son corps tout maigre, sa taille est tellement fine.
Je me dégage doucement de notre étreinte, et la retourne contre le bureau. Elle lache son balai et s'étale de tout son long, je n'ai pas besoin d'insister longtemps.
Je défais le zip de sa robe doucement jusqu'en bas, fais coulisser les petites bretelles le long de ses bras, reste plus que son mini soutien gorge noir sur sa peau satinée. On voit ses côtes tellement elle est mince, mais sa peau et douce.
Je continue à faire descendre sa robe jusque ses fesses, puis jusque ses chevilles.
Elle porte une grosse culotte, mon visage est à la hauteur de son jolie cul, elle est tellement large de hanche, c'est une première pour moi, une femme mûre, un cul aussi large...
J'écarte sa culotte et une de ses fesses pour avoir accès avec ma langue à toute son intimité.
Quand ma langue s'introduit dans sa chatte elle gémit, cest le premier son qu'elle emet.
Je descends sa culotte, elle plein de jus, entre sa masturbation et mon cunnilingus tout est lubrifié, même son anus...
J'ai tellement fantasmé sur son cul, que je ne peux m'empêcher de lorgner sur son petit trou et de lui enfoncer mon index préalablement lubrifié et en même temps mon majeur dans son vagin. Les lèvres de son sexe sont énormes.
Je descends mon pantalon avec mon autre main, sors ma queue et l'appuie aussitôt sur sa fente, je la pénètre facilement par la chatte étant tellement humide de plaisir.
Eliette s'accroche au bureau, des cris de plaisirs sortent de sa bouche à chaque va et viens.
Je vais de plus en plus vite et de plus en plus fort au fond de son vagin. Elle gémit de plus en plus fort, ses jambes se mettent à trembler légèrement.... elle est en train de jouir.... je vais profiter de son état de trans pour changer de trou, je suis moi aussi a la limite de la jouissance, je m'approche de son petit anneau frotte un instant mon bout dessus. J'appuie dessus, mon bout se fait comme aspirer par son anus, elle émet un long râle. Je reste un cour instant comme ça avant de recommencer d'abord des petits vas et viens puis je lui enfonce ma queue jusqu'à la garde, je suis dans son cul... s'est tellement bon, je sors et m'enfonce en elle...
Je me penche sur elle pour lui défaire son soutien-gorge, et je passe mes mains sur son torse pour sentir ses tetons. Elle se redresse légèrement pour me laisser le soin de bien la ploter... jusqu'au moment où je lui envoie de grands coups de reins, ma queue et comme sucée par son anus... alors je jouis, je lui envoie cette fois des giclées de sperm dans le cul, je me vide jusqu'à la dernière goutte et ressort avant de débander pour qu'elle sente bien toute ma longueur.
Elle reste allongée sur le bureau un instant. Je me rhabille, je prends mon téléphone, et je me sens gêné, pourtant je ne peux m'empêcher de regarder encore une fois son cul, et son anus dilaté, le sperme qui commence à s'en échapper.
Je me baisse pour lui remettre sa culotte et remonter sa robe et je l'entends me murmurer : merci, c'était très bon, aussi bien que j'aurais pu l'imaginer.

Je fini par partir, et depuis nous avons remis ça trois fois dont une fois ou je les léché assise sur mon bureau et moi dans mon fauteuil afin d'assouvir son fantasme.... je confirme, si besoin en était qu'il n y a pas d'âge pour bien baiser, Eliette en est la preuve vivante.
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