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La femme nue

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Lue : 1614 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/10/2013

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C’est une histoire vraie, un peu arrangée pour une lecture plus facile avec quelques accommodements avec la réalité.

Vers le début du XIX° siècle dans l’Andorre apparait une femme splendide, une fille comme on en fait rarement. Son mari est mort des suites d’une blessure dans une des batailles de Napoléon. Personne ne connait son nom ou son origine. On parle encore dans les campagnes de cette femme nue. Elle divaguait dans les forêts, toujours nue, se cachant pendant la saison froide près des ours. Comme toutes femmes elle avait des besoins basiques. Elle les satisfaisait comme toutes en se caressant, chose peu commune à l’époque (pas comme de nos jours) Pour être totalement satisfaite, elle avait réussi à tailler une branche d’arbre de la forme d’un sexe d’homme. Dès que l’envie devenait trop pressante, elle se plantait ce gode d’avant-garde dans le sexe, au début puis dans les deux orifices, selon ses vœux.

Un berger l’avait surprise pendant qu’elle se masturbait : il la regardait en sortant son engin, en se masturbant aussi. Il était pris dans son plaisir sans la voir elle. Elle voyait une vraie bite, la seule depuis des années. Elle la voulait. Aussi elle se montrait encore plus. Elle arrivait tout près du berger. Elle pouvait la prendre dans ses mains. C’était une nouvelle révélation d’avoir un sexe d’homme dans ses mains. Le berger surpris de cette attaque ne répondant pas ; il se laissait faire. La main n’avait pas perdu son habilité. Elle le branlait pour son plaisir personnel, rien que pour voir le prépuce monter et descendre selon les mouvements de sa main.

Emportée par le désir, par la présence d’un homme, enfin un homme près d’elle, elle se donnait à la queue. Le berger surpris encore de la voir bandait, mais pas encore comme elle l’aurait voulu. Ses anciens reflexes revenaient. Elle se penchait pour lui prendre la queue dans la bouche. Une main tenait le manche, l’autre caressait déjà les couilles, allait plus bas encore à la recherche du fond du garçon. Il ne voulait pas se faire toucher le cul, elle insistait. Sentant le plaisir venir sur son anus, il se laissait faire. La bouche allait et venir sur le vit.

Elle arrêtait tout ce qu’elle faisait pour le faire mettre lui aussi tout nu. Encore rustre le berger acceptait difficilement la nudité, mère de tous les vices. Là, nu, il ne pouvait défendre son intégrité de mâle. Il recevait encore la bouche sur la queue : il savait que certaines femmes aiment sucer cet endroit. Il ignorait personnellement quel plaisir on y ressentait.

Ce plaisir inconnu, nouveau lui faisait tendre son pubis vers l’avant. Il avait ainsi un meilleur rendu. La femme qui n’avait pas eu de sperme dans sa bouche depuis une éternité, pompait sans cesse. Elle recevait enfin le paiement de ce qu’elle venait de faire : une dose remarquable de sperme tout frais dans sa bouche. Elle se régalait de ce gout salé, de l’onctuosité, de la gluance du sperme. Son doigt en entier entrait dans l’anus du pauvre berger qui découvrait la joie du sexe libre.

Mais elle, à part la fellation elle n’avait eu aucun contact particulier. Elle gardait la bite dans la main, elle le faisait encore bander. Elle venait sur lui en se tenant à ses épaules, les jambes serrées autour des hanches de son amant. Elle tenait la queue pour la diriger vers son sexe. Le berger se laissait faire : il n’avait pas besoin d’aller au bordel. En plus il avait une bonne histoire vraie à raconter.

Il sentait sa queue s’enfoncer dans le con de la femme. Il n’était pas vierge, c’était la première fois qu’il sentait si bien une minouche autour de sa queue. Il ne faisait rien, c’est elle qui baisait. Il sentait que le con se resserrait souvent autour de la queue. Il comprenait qu’elle jouissait.

Il lui tenait les fesses, l’encourageait à continuer, chose qu’elle faisait volontiers. Elle devait jouir plusieurs fois, lui un seule monumentale.

Elle revenait sur terre pour prendre encore la queue dans la bouche pour la nettoyer de toutes traces. Encore affamée, elle lui tendait l’autre face de son corps en se baissant. Il comprenait ce qu’elle voulait. Cette fois il n’hésitait plus, sa bite allait directement dans le petit trou. Elle était habituée à la chose grâce à son espèce de gode. Elle écartait les fesses, ouvrait son anus. Lui voyait un cul pour la première foi (les filles du bordel ne donnaient jamais leur cul). Il était maladroit en venant sur elle : il pensait qu’un cul état comme un con, très ouvert, mouillé. Le seul résultat est qu’il se faisait mal à la pine. Elle devait le diriger encore. Là, doucement il entrait dans ce temple de débauche. Il sentait s’ouvrir doucement les muscles culiers. Il sentait surtout le bonheur d’être dans le cul d’une femme disponible pour ça : une rareté à l’époque.

Sa queue prenait son aise dans le rectum, elle allait venait sans refus de la femme. Il sentait son plaisir comme le sien monter doucement. Et là, au-dessus de Vic de Sos, il vidait ses couilles dans un cul.

Ils se sont revu de rares fois. C’est elle qui le trouvait qui cherchait uniquement sa queue, sans jamais l’embrasser, comme les filles du bordel de Foix. Elle vivait toujours nue, rétives à tout vêtements jusqu’à sa mort dans un hôpital ver 1830.
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Histoire de fabrissa

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