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La ferme des étalons 6

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Lue : 4336 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/06/2013

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Julia.

Au cours d’une séance de bronzette sur la pelouse, Julia s’est mise à me raconter ses débuts sexuels. Je l’écoutais :
A la ferme, j’ai toujours vécu au milieu des hommes. Saisonniers ils revenaient souvent d’une année sur l’autre. Très tôt j’ai senti leurs regards mais sans plus, je n’y faisais pas attention jusqu’à une année où il m’est apparu que leurs yeux brillaient de convoitise, je sentais leurs regards me suivre dans tous mes déplacements. Mes formes d’adolescente commençaient à se voir surtout dans mes habits trop justes ! Grand-mère n’y voyait rien et mon oncle pareil, ils ne pensaient pas à me les changer tant que c’était pas usé. Et moi ça commençait à me démanger, enfin tu sais c’que c’est hein…

A cette époque j’étais constamment en jupe déjà courte et comme je grandissais vite mes cuisses attiraient les regards ! Mais y’a pas q’mes cuisses… ma poitrine aussi, pourtant pas encore bien formée à part les tétons qui perçaient le t-shirt… ça les rendait fous !... mais alors mes fesses !... Alors là je crois que si elles avaient eu des yeux elles auraient rougi à longueur de journée !...

De mon côté, comme les employés tournaient autour de la trentaine et étaient souvent de beaux gosses, bien sûr j’avais une attirance pour eux tout en ayant peur de l’inconnu. Une attirance sexuelle très forte qui m’envahissait de jour en jour… et un beau jour, j’me suis décidée à en choisir un parmi les cinq mecs qui rodaient autour de moi. J’ai choisi le plus âgé, enfin il avait que 34 ans mais il m’inspirait confiance. Je l’ai aguiché pendant 2 jours et je me suis offerte un soir, dans la grange. Faut dire qu’il n’avait pas le choix car en plus de l’aguicher par ma tenue et mon allure, assise sur un tonneau, les cuisses relevées et sans culotte sous ma mini-jupe, je l’emmerdais avec des questions lourdement dirigées : « … mais comment tu fais quand t’as pas vu de femme depuis une semaine ?... » Bref, il a été parfait, un dépucelage tout en douceur avec beaucoup d’attention ! Dès le lendemain, je le retrouvais tous les soirs dans sa chambre. Nous baisions tous les jours et j’en redemandais toujours plus si bien qu’en une saison il m’a appris presque toutes les poses du kamasoutra ! c’était de la passion pour le sexe, déjà le début de mon addiction.

Avec lui j’avais plusieurs orgasmes chaque soir. Assoiffée de sexe, j’avais beaucoup de mal à ne pas succomber à la tentation avec les autres. D’autant qu’ils étaient au courant et auraient bien voulu une part du gâteau, comme j’avais perdu mon innocence ils s’attendaient à une fille facile. De plus mes formes mises en évidence par mon allure déhanchée les provoquaient à tout moment, je devais être une nana bien chaude, j’ai dû esquiver pas mal de mains baladeuses !

L’année suivante, en juin, j’attendais impatiemment le début de la saison et surtout mon Raoul. Nos retrouvailles furent chaudes, très chaudes… j’avais de grosses envies de lui et lui profitait à fond d’une jeunette encore plus féminine et presque formée, j’avais seize ans.

Comme tous les soirs je le retrouvais dans sa chambre. Mais cette fois-là, il jouait aux cartes avec deux amis étrangers à la ferme. Il m’a invitée à jouer, c’était un poker. Insouciante malgré ma tenue légère et en compagnie de mon amoureux je n’avais rien à craindre, je jouais donc mon petit côté aguicheuse surtout pour mon Raoul d’autant plus qu’il m’encourageait dans ce sens. Au poker déshabillant, les nanas sont toujours les perdantes, aussi comme je ne voulais pas retirer ma culotte, j’ai accepté le blâme qu’on me soupèse les seins… une fois… deux fois… puis chatouiller les tétons… toujours plus docile je commençais à craquer… et après bien sur j’ai dû enlever ma culotte, alors là ils m’ont gentiment aidée mais c’était pour me chavirer dans le lit… Raoul riait « soit bonne perdeuse, tu dois les payer, ils ont besoin d’une petite récompense… » Ils ne m’ont pas lâchée une minute… de vrais rapaces !... Tu parles, pour eux c’était le super coup !... une ado en chaleur, bien roulée !

Ils revenaient deux fois dans la semaine et moi j’y prenais goût et du plaisir de me faire baiser par les trois mecs ensemble. Ils m’ont offert des petites culottes ainsi qu’un superbe short en jeans, ultra court mais que je ne pouvais pas sortir de la chambre car là les autres m’auraient sauté dessus, déjà qu’en jupe c’était limite.

Là où j’ai compris l’importance de l’attrait féminin sur les hommes c’est lorsque Raoul m’a emmenée à un rendez-vous qu’il avait convenu avec un riche arabe à la ville. Le chauffeur du client est venu me chercher pendant que Raoul attendait dans sa voiture. Arrivée dans la suite de son hôtel, on m’a placée au milieu de la vaste chambre sur une petite estrade tournante, sous la lumière d’un sport, devant une psyché. Le chauffeur m’a retiré mon chemisier, mes seins l’on occupé un bon moment, palpés, malaxés puis étirés dans toutes les directions, comme pour voir jusqu’où ils pouvaient subir malgré la fermeté de leur jeunesse. Je frémissais et une grande excitation m’envahissait tant à l’intérieur de mon corps que sur ma peau. Pendant tout ce temps je devais garder les mains jointes en l’air. L’arabe m’observait depuis son fauteuil. Moi je découvrais l’énorme pouvoir de l’attrait de mes formes appétissantes sur les hommes ! Plus je m’étirais et me cambrais et plus l’image de mon double dans la glace me séduisait sous tous les angles… Le chauffeur déboutonna mon short, l’ouvrit tout en me caressant du bout de ses doigts brûlants... je me trémoussais légèrement, l’excitation s’amplifiait ! Puis ses mains s’arrêtèrent sur mes fesses pour les saisir fermement en les écartant… « … et là ?... » Comprenant la question je lui répondis simplement en me penchant légèrement en avant, offrant ainsi mon cul… « …bien !... »

Ses doigts s’immiscèrent alors entre le bas du short et ma peau et tirèrent fortement pour le faire descendre de mes hanches… puis il arracha ma culotte mouillée, me saisit dans ses bras et me jeta sur le lit comme on jette un vêtement !... L’arabe, la soixantaine, est venu me prendre aussitôt par derrière… encore bien vigoureux le vieux, il ne m’a pas déçue !... puis le chauffeur est venu se servir sous l’œil de son patron qui s’était fait apporter du champagne. J’ai craint un moment que les autres domestiques viennent eux aussi se servir comme cela doit être le cas en pareille situation… mais non… peut-être est-ce à cause de mon âge ?...

Eh bien non, le vieux avait envie de me revoir, ma prestation l’avait séduit, il m’a donné un billet de 100 en plus de l’enveloppe donnée à Raoul ! Avant de partir, le chauffeur a ouvert un tiroir où j’ai pu me choisir 2 strings en soie, super sexy !

Tu vois j’avais vite compris depuis ce jour à quel point mon corps suscitait les convoitises masculines !

Raoul m’emmenait une fois par semaine chez le vieux, ça me changeait des soirées avec ses copains qui profitaient de moi comme d’une pute gratuite et eux ils ne me ménageaient pas !... avec eux c’était hard tous les soirs !...
C a me faisait quand même des semaines bien chargées !

Ah ! Je me souviens chez l’arabe, une fois y’avait déjà une autre fille dans la chambre. Assise, nue sur une table basse, les cuisses ouvertes à presque 180° et sanglées avec du large scotch noir. De beaux cheveux blonds cascadaient sur ses épaules et ses bras attachés dans le dos, elle portait un bandeau sur les yeux ainsi qu’un large collier de cuir bardé d’anneaux en acier, tout comme aux chevilles. Une grande femme habillée de cuir lui assenait de légers coups de cravache. La violente lumière du projecteur écrasait ce corps soumis, l’arabe m’attendait dans la mi pénombre de son lit. Le chauffeur prit son temps pour me déshabiller en me pelotant sagement, l’excitation m’envahissait progressivement. Ils m’ont fait essayer plein de tenues de harem, le vieux prenait des photos à chaque fois que je changeais, ça m’allait super bien ces voiles ultra fin et les culottes à franges. Pendant ce temps la femme s’occupait de la fille qui gémissait. Puis le chauffeur m’a saisie par les bras, derrière, il me serrait fort, et vu l’ambiance j’avais l’impression que ça allait mal se tourner. Le fouet claquait, mon cœur battait fort, l’arabe secoua une clochette, la porte de service s’ouvrit… et dans l’obscurité entrèrent plusieurs mecs, tous à poil. Ils s’avancèrent vers nous, une douzaine, non, plus je crois, ils me faisaient face. Malgré le silence pesant je n’entendais pas leurs respirations mais plutôt les battements de mon cœur et j’étais toujours fermement maintenue. Le chauffeur me poussa légèrement vers la table basse, un filet de lumière enveloppa mes seins bien en évidence face aux hommes avec leurs sexes bandés. Allait-on me jeter en pâture ?... un nouveau spectacle pour le vieux qui était peut-être en défaillance ce soir-là ?... Le fouet claqua, la femme se posta entre la table et moi, sa cravache vint me titiller les seins dont les tétons s’étaient rétractés par la peur mais ils reprirent rapidement forme. La femme s’occupa ensuite de la blondinette, la cravache parcourra le corps ficelé et le fouet claqua sur sa poitrine l’obligeant à se pencher en arrière malgré l’assise inconfortable de ses cuisses écartelées et scotchées sur la table. En fait elle était empalée sur un dildo ventousé sur la table. La cravache tapota frénétiquement les lèvres rougies de la fille pour lui extirper des gémissements. Puis les miennes en insistant sur mon bouton, je me trémoussais, la cravache redoubla ses coups, je croisais les cuisses, le chauffeur tira alors mes épaules cambrant ma poitrine sous le projecteur, la tension montait chez les hommes dont je ressentais maintenant leur souffle tout proche. La forte odeur des sexes impatients amplifia mon excitation, d’autant que la cravache revint se caler entre mes cuisses, quelques coups les forcèrent à s’écarter, elle s’infiltra dans ma fente et remonta très lentement jusqu’au bouton pour le titiller de nouveau. Je me trémoussais mais comme je me retenais de gémir, la femme renouvela le manège jusqu’à ce que je craque !... les hommes se masturbaient, les queues transpiraient leurs odeurs musquées. La cravache alternait entre ma chatte et les lèvres de la fille, nous gémissions maintenant toutes deux en chœur.

La porte s’ouvrit et j’aperçus encore des hommes entrer, ils devaient être une vingtaine, sinon plus, mais je prenais plaisir à la situation. Excitée face à tous ces mâles en rut, mon désir grandissait, nous allions être livrées aux assauts des mâles ! Je n’avais même pas peur qu’ils se jettent tous sur moi. Le fouet claqua, la cravache s’attarda un moment sur la blonde puis revint vers moi avec plus d’insistance. Elle descendait de ma poitrine, explorait mes flans, mon ventre palpitant, dessinait mes cuisses que j’ouvrais et revenait à la charge sur ma chatte qui s’entrouvrait avide de sensations… le chauffeur me cambra encore plus fort comme pour offrir mes seins bien évidence « voilà une belle prise, regardez comme c’est bandant, venez-vous servir ! » la femme utilisa une deuxième cravache, l’une sur mes seins, l’autre sur ma chatte, je gémissais et jouissais comme c’est pas possible ! J’avais chaud, plus la chaleur de tous ces hommes qui s’avançaient encore vers moi… A la dernière seconde l’arabe désigna la table basse. La blondinette, toujours les yeux bandés, fut encerclée pendant que l’arabe m’invita à m’allonger à ses côtés et profiter avec lui du spectacle. Je tremblais de partout, au point où j’en étais il m’aurait fallu un puissant orgasme pour me délivrer de toute cette excitation, mais je devais m’occuper de mon client tout en observant ce qu’on faisait à la blondinette. La femme dirigeait les opérations avec son fouet et sa cravache comme une dompteuse avec ses fauves. Elle les plaçait pour qu’ils aillent se faire sucer, le fouet claquait pour que la bouche s’active avec plus d’ardeur, le fouet claquait pour faire remplacer une queue par une autre et il claquait aussi pour que les participants à 1,5m de notre lit laissent le champ libre à notre voyeurisme. Mon client bandait très fort à la vue de son spectacle et de plus je n’arrêtais pas de lui malaxer son sexe. Il s’est assis sur le bord du lit, admirant le spectacle, je l’ai sucé longuement tout en pensant à la fille qui n’avait pas de répit entre les queues s’engouffrant dans sa bouche. Le fouet claqua sec, relevant la tête je vis les hommes s’écarter de la fille qui repris son souffle bouche grande ouverte, salive dégoulinante. La femme délia les bras puis coupa les larges bandes de scotch libérant les jambes, la fille se décolla du pieu entre ses cuisses, ses lèvres béantes et humides furent immédiatement assaillies par deux petites cravaches dont les extrémités plus fines que les précédentes devaient piquer, en tout cas c’était efficace car je me souviens qu’elle se contorsionnait sans cesse sur la table tout en jouissant. Les hommes revinrent l’encercler mais la femme à l’aide de son fouet maintenait ses troupes pour qu’on puisse voir le spectacle.

Et là quel spectacle !... après qu’elle se soit bien contorsionnée, la femme usa de ses cravaches pour aiguillonner les mâles et les diriger vers leur proie… les premières queues pénétrèrent les chairs excitées de la blondinette qui en était déjà à son deuxième orgasme, je l’enviais, mon corps réclamait du plaisir ! … le sien… le mien… c’était embrouillé mais mon corps tout entier était en proie au désir, mais je devais en donner à l’arabe, j’avais donc les mains occupées, le chauffeur vint à mon secours si j’ose dire et fourra ses deux doigts dans ma chatte brûlante pour me faire patienter. Les halètements de la fille de plus en plus rapides accompagnaient les giclées de foutre qui se succédaient à un rythme soutenu ! Le fouet claqua et là la femme positionna la fille à quatre pattes, poignets attachés sur le bord de la table par les gros bracelets de cuir. Le cul bien relevé accueilli les bites qui n’en sortaient qu’après avoir dégorgé. Pas d’erreur d’aiguillage, la cravache indiquait uniquement la petite rondelle aux bites. En sortant les glands bien évasés giclaient le trop plein de foutre sur les fesses de la belle. Le fion largement ouvert et bien lubrifié rougissait, la fille criait fort dans ses halètements, la femme entraînait la cadence. Puis l’arabe se déchaîna lui aussi sur ma petite rondelle pendant que je me caressais le clito, il m’a fait jouir suffisamment avant d’éjaculer. Assouvie, j’ai continué d’observer la fin de l’hallali sur cette pauvre fille avec tous ces mecs la sodomisant. Lorsqu’ils furent tous passés, elle était à plat ventre sur la table, toujours liée par ses bracelets, les fesses et les cuisses rougies et couvertes de sperme maintenant collé à sa peau. J’étais contente de ne pas être à sa place. La table fut soulevée avec la fille toujours dessus et présentée à l’arabe, il a juste porté un rapide regard sur son cul avant d’ordonner d’un geste qu’on l’a sorte de la chambre. Avec un sourire en coin, il m’a caressé et tapoté les fesses, les a embrassées et m’a prise par derrière dans un dernier élan fougueux. Ensuite je fus remise à la disposition de son chauffeur, bien plus vigoureux, pour une heure « supplémentaire ».

Oui un sacré début ! Dès la deuxième année j’étais devenue complètement accro au sexe. Quand je voyais un mec je le voyais à poil et toujours avec le sexe en érection… même à la télé, un mec debout je le voyais à poil avec sa queue bien bandée !...

Et un soir Raoul m’exempta de baise car il avait une belle surprise pour moi et qu’il me fallait être en forme pour le lendemain. Donc le lendemain soir à 9h il m’emmena dans un chemin, me banda les yeux et me ligota les mains dans le dos, cela m’excitait, il me pelota et débrailla ma tenue mini. Avec une laisse et un collier autour du cou il « promena sa petite chienne » lorsque j’entendis le bruit d’un moteur au bout du chemin. Après les choses allèrent très vite, le bus s’arrêta, tenue en laisse Raoul me traîna jusqu’au fond pendant que j’étais pelotée de tous les côtés et sous les appellations les plus crues d’une bande de jeunes footballeurs !... Je suis « passée à la casserole » en un rien de temps sous les applaudissements, les cris et les éclaboussures de sperme !

A peine reculottée Raoul organisait déjà une prochaine tournée avec le chauffeur qui le payait ! « dimanche prochain c’est des rugbymen, des costauds… ils vont l’apprécier ta salope !... elle est super bandante !...soit à l’heure hein... » Epuisée et titubante, Raoul m’a ramenée à ma chambre en me félicitant, le salaud. J’avais mal, et malgré la fatigue, je n’ai pas dormi de la nuit. Le lendemain j’en ai parlé à mon oncle, il était furieux ! Il a échafaudé un plan avec Jean, le seul en qui il avait confiance, et quand arriva dimanche, ils m’ont dit de faire comme si de rien n’était et qu’ils interviendraient lorsque le car arriverait. J’avais confiance. Arrivée au car rempli de rugbymen en rut, Raoul m’a bandé les yeux, on est montés, je tremblais, les mecs me pelotaient dans le passage jusqu’au fond du car, ils m’ont déshabillée et c’est là que Jean est intervenu avec le fusil de chasse pendant que mon oncle prenait des photos. C’était le silence complet, je suis sortie du bus et Jean a dit au chauffeur de démarrer et de foutre le camp avec son équipe et Raoul. Mon oncle a interdit à Raoul de revenir même pour prendre ses affaires ! On ne les a plus revus depuis, tu parles avec les photos compromettantes… Voilà ça a été un sacré épisode !... Du coup mon oncle ne m’a pas fait la morale mais a fermé les yeux quand j’ai fricoté rapidement avec Jean qui me plaisait bien mais surtout ça le rassurait de me voir avec quelqu’un.
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