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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/07/2025
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La fille dans la voiture partie 1
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LA FILLE DANS LA VOITURE
partie 1
La vie est sans cesse surprenante, c'est d'ailleurs ce qui fait tout son sel. Ceux qui ne le voient pas sont vraiment aveugles. Moi, tous les jours, je vois quelque chose d'unique, de particulier, de baroque.
Et puis des fois, ça débouche sur quelque chose de VRAIMENT sympa.
Ce début d'après-midi là, je me trouverais sur l'une des deux placettes du village où j'habite. Pas mal de places de parking, et la confluence de pas mal de personnes, qui vont et viennent, dans des activités diverses.
La place était quasiment déserte. Les gens étaient repartis de chez eux au travail, pour ceux qui rentraient.
Il y avait deux véhicules côte à côte.
Moi je venais de chez un ami et je rentrais chez moi.
La place était au confluent de deux rues et d'une avenue.
Ce sont les voix, fortes, qui ont attiré mon attention. J'ai d'abord entendu et ensuite vu. Une voix de femme.
— Tu me dégoûtes au final...Je l'ai bien compris et j'en ai encore la confirmation aujourd'hui. Tout ce qui t'intéresse, c'est de me baiser. Rien d'autre. Aucune affection, aucun sentiment. Et aucun amour.
En face le silence.
La voix de la fille montait. Elle était en colère.
— J'ai été stupide. Je me disais que tu étais susceptible de changer. Et puis au final...Hé ben non...
J'ai débouché sur la placette. Je me suis dit que tout le monde allait en profiter. Elle parlait de plus en plus fort.
C'était une drôle de scène. Deux véhicules arrêtés l'un à côté de l'autre. La femme était face à moi, fenêtre ouverte, l'homme le cul de la voiture vers moi. Ils se regardaient. Lui avec ce qui m'a semblé être de l'indifférence. Il ne répondait rien, et sans doute que ce qu'elle disait était vrai.
L'homme avait une cinquantaine d'années, des cheveux coupés en brosse, un visage sec. La fille bien moins, sans doute un début de trentaine. Et même si elle était toute rouge et qu'elle pleurait, on voyait bien qu'elle était ravissante. Un visage bien dessiné avec de jolis yeux bleus.
— Tu m'aimes pas et tu m'as jamais aimé...
Le type a démarré sans demander son reste. Elle, elle est restée sur place, sous le choc, le visage plein de larmes.
J'ai été ému par cette détresse. Et sans doute aussi, même si je ne l'aurais pas admis sur le moment, attiré par cette fille qui dégageait quelque chose de très fort. Il y a des filles très belles mais absolument pas attirantes, d'autres au contraire qui sont moins parfaites mais d'une rare sensualité. Elle avait les deux, beauté, et sensualité.
Mon regard a plongé dans le véhicule, et je me suis dit que j'avais bien fait de m'approcher. J'en ai pris plein les mirettes. Ca m'a fait un effet...Pfff !!!!
Elle portait un simple tailleur noir, veste et jupe très courte. Mais ce tailleur, elle le valorisait totalement. Sous la veste elle avait juste un soutien-gorge rouge en dentelle, dont les trois quarts étaient visibles, il y avait seulement l'un des trois boutons de la veste qui était attaché. Elle avait des seins haut perchés et très ronds, parfaitement ovales, tellement ovales qu'on comprenait parfaitement qu'ils n'étaient pas naturels, mais ça lui allait parfaitement, et ça ne déparait pas avec une silhouette fine, longiligne, même s'il y avait du galbe et de la forme. Elle avait en particulier des jambes longues, interminables, prises par des bottes noires luisantes, avec des talons aiguille, qui lui arrivaient juste en dessous du genou, pour laisser la place à des bas stay-up qui terminaient leur trajectoire à mi-cuisses, avec de la dentelle élastiquée.
Si elle avait acheté un ensemble, et s'il y avait eu un slip assorti au soutien-gorge, elle l'avait laissé à la maison, perdu, oublié, ou simplement elle n'avait pas voulu le mettre, et avec une jupe déjà très courte, qui était bien remontée sur ses hanches dans le véhicule, elle m'offrait une vision imprenable sur son intimité, les deux fesses bien charnues sur lesquelles elle était assise, coupées en deux par un sillon profond, et un sexe féminin entrouvert, dont sortaient deux lèvres fines et longues, avec sur son pubis, une toison qui disait sa blondeur. J'ai aimé qu'elle ait gardé cette toison, épaisse, mais coupée dans un triangle large, il y avait des hommes qui étaient fans de sexes imberbes, ce n'était pas mon cas.
Elle pleurait, silencieusement, ça dévalait son visage, mais on sentait bien qu'elle évoluait. Il y avait quelque chose de sourd qui la prenait, une sorte de colère.
Je lui ai dit:
— Je suis vraiment désolé pour vous. J'arrivais là, j'ai entendu...
— Ce salaud, elle m'a jeté, avec de la colère dans la voix et le regard, il ne tenait pas à moi...Je m'illusionnais...Comment j'ai pu être aussi bête!
— On en est tous passés par là, je lui ai répondu. On croit que quelqu'un vous aime, avant de se rendre compte que malheureusement, ce n'est pas le cas...Remettez-vous! Tenez, je vous invite à boire un café...Ou un thé, comme vous voulez...
Il y avait un bar sur notre droite, à dix mètres. Et il était ouvert.
— Je suis libre aujourd'hui.
Elle m'a regardé autrement. Il y a eu de la reconnaissance dans son regard.
— Merci, c'est très gentil. Ca me touche.
Elle est descendue de voiture. J'ai eu une belle et nouvelle perspective de son anatomie. Une jambe encore dedans, l'autre dehors, posée sur l'asphalte, un grand écart qui m'a permis de découvrir son intimité, frappée par le soleil de cette belle journée, avec plus de netteté. J'ai aperçu un bout d'intérieur tout rose. Avant qu'elle ne se redresse, mais aussi, quand elle m'a présenté son dos, pour récupérer son sac, un bon morceau de croupe, une croupe pleine, rebondie, et coupée en deux par un sillon profond. Elle a tiré sur sa jupe, mais elle était tellement courte qu'elle ne risquait pas de descendre très bas.
On s'est calés à une table. Il n'y avait que nous. J'ai même douté un instant que ce soit ouvert, mais la serveuse est arrivée, une petite brune qui me connaissait. Je venais parfois prendre un verre en fin d'après-midi pour me changer les idées. Et profiter de ses jeans moulants.
— Vous allez retrouver quelqu'un d'autre, je lui ai dit. Et quelqu'un avec qui vous serez plus en harmonie.
— J'avoue que je ne pense pas à ça pour le moment. Là, je crois que je vais faire une pause.
La fille nous a amenés nos cafés.
— Je crois qu'il va falloir que je repense mes relations. Je succombe trop facilement à un mec qui me plaît, je ne regarde que son physique. Alors forcément, ça part vite en couille. Je devrais prendre plus de recul sans doute. Ne pas succomber tout de suite.
— La capacité de l'homme c'est de changer et de s'améliorer. Enfin pas de tous...
Elle m'a regardé.
— J'habite un peu plus loin. Là, vous voyez la maison blanche, avec les volets roses.
— Je vois bien, oui.
— Ca vous dit qu'on aille faire l'amour?
Je l'ai regardée en m'efforçant de masquer ma surprise.
— Vous croyez que c'est une bonne idée? Enfin, là, vous vous contredisez...
— J'aime le sexe...Je lui ai proposé de me rejoindre parce que j'avais envie de lui et de faire l'amour. Je suis descendue l'attendre. Et puis je l'ai vu et j'ai eu une sorte de révélation. Je me suis dit que non, ce n'était pas possible. Mais j'ai encore très envie de faire l'amour. On ne se connaît pas. Il n'y aura aucun enjeu. On fait l'amour et on ne se revoit plus. Et après, je vais suivre votre conseil, il y aura une longue période d'abstinence.
J'étais un peu décontenancé...Et puis au final, pas tant que ça. Les relations, quelles qu'elles soient, étaient bizarres, et elles pouvaient facilement partir dans un sens ou dans l'autre, très rapidement, sans que l'on sache pourquoi.
On a fini nos cafés. Sans pudeur, mais ça je l'avais déjà remarqué, une fois qu'on a été sortis du café, en se moquant qu'on puisse la voir, elle a soulevé sa jupette et tourné sur elle-même, me laissant admirer ses parties pile et face. J'ai failli lui répondre que je les avais déjà vues, mais sous un autre angle. C'était une belle offrande, et si elle avait pu penser que je n'avais pas de désir, la manière de le faire monter. Mais j'avais envie d'elle depuis que je l'avais contemplée à moitié nue dans le véhicule. Probable d'ailleurs que si elle avait été un peu plus habillée, j'aurais de toute façon eu envie d'elle.
L'appartement, sans doute de location, était meublé simplement.
On a eu, dès la porte refermée, un mouvement de l'un vers l'autre. Moi je suis venu glisser sous sa jupe pour prendre ses fesses à pleines mains, pendant qu'elle plongeait la main dans le pantalon de survêtement pour attraper ma queue et la sortir. Une queue collée contre mon ventre, mais déjà bien dure.
On a trouvé un modus vivendi, avec le lit à côté. On a basculé dessus, tête-bêche. Je trouvais toujours ça formidable qu'on puisse se trouver, un homme une femme, et cette sorte d'harmonie, miraculeuse, aussi bien dans l'envie de faire l'amour que dans le positionnement.
Il y a mille positions pour se mettre tête-bêche. Là on était sur le flanc, en face à face, ma main gauche accrochée à ses fesses, ses jambes ouvertes, elle me donnait ses muqueuses, et je la fouillais, ma langue accrochée à cette vulve dilatée et ruisselante, comme le plus beau des cadeaux qu'elle pouvait m'offrir, un cadeau dont je n'aurais vraiment pas imaginé pouvoir disposer aujourd'hui, à cette heure, alors que je remontais la ruelle serrée et que j'avais débouché sur la place. Son goût sucré me remplissait la bouche, ses liquides intimes étaient abondants, de plus en plus abondants à vrai dire. Je prenais un plaisir fou à la caresser ainsi, allant de ses lèvres toutes étirées à l'intérieur de son ventre, aussi loin que je puisse rentrer, jusqu'à ce gland clitoridien long et fin qui dardait, et qui, d'abord invisible, s'allongeait de plus en plus. Elle, elle me bouffait la queue, avec la même ardeur que je mettais à dévorer sa vulve, en prenant du plaisir, c'était évident, mais avec aussi le désir de m'en donner.
Oui, c'était vraiment curieux. On se connaissait à peine, mais il y avait entre nous, dans ce moment, quelque chose de vraiment intense.
Elle s'est dégagée au bout d'un moment, même si dans l'intensité du plaisir, j'aurais été bien incapable de mesurer ce moment, long, court? Et elle a récupéré une boite de préservatifs. J'étais long et dur, elle était vraiment magnifique et puis je n'avais pas eu de copine ces derniers temps. Elle a fait glisser le préservatif le long de ma queue dans un geste fluide juste après avoir déchiré l'emballage et sorti la rondelle grasse de lubrifiant. Ainsi équipé, j'étais prêt pour rentrer dans son ventre, et c'était ce dont j'avais le plus envie à ce moment, comme, d'évidence, elle avait elle envie de prendre ma queue au cœur de son sexe chaud et doux, de se remplir et de se caresser avec. Elle s'est calée au-dessus de moi, mais en me présentant son dos, et sa croupe, bien charnue, qui me fascinait tout autant que le reste de son corps. Sa position ouvrait ses fesses, laissant voir les plis marqués de son anus au milieu de ses chairs. Tenant fermement ma queue, elle a baladé mon gland entre ses fesses, glissant dans son sillon, me faisant sentir la délicatesse de sa chair la plus intime, mais aussi le dessin de sa muqueuse anale. J'ai pensé qu'elle avait envie de se sodomiser, mais elle a finalement descendu ma queue plus bas, jusqu'à sa muqueuse boursouflée et béante, et elle l'a rentré en elle, l'avalant quasi totalement. Elle s'est faite bouger dessus en gémissant, légèrement penchée en avant, allant et venant, redévoilant puis masquant ma queue, lubrifiant la latex de ses jus qui coulaient autour de sa vulve, sur sa chair, et aussi sur le divan, mais ce dernier, au vu de sa matière, n'aurait besoin que d'un coup d'éponge.
Elle s'est redressée, et c'est toute droite, une position différente pour elle comme pour moi, et donc un plaisir différent qu'elle a bougé sur ma queue.
— Ah, ça fait du bien.
Je ne m'attendais vraiment pas à ce qui est venu juste après. Avec chaque fille on découvrait, et si elle reprochait à son ex-amant de ne penser qu'au sexe, elle n'était pas une oie blanche dans ce domaine. Il est vrai qu'on reproche souvent aux autres ce qu'on fait ou ce qu'on aime faire soi.
Elle a resserré son sexe, les muscles de son sexe plutôt, autour de ma queue, avant de pivoter, dans un mouvement circulaire, et de me présenter sa partie face. Il y a eu un poids contre ma chair, un frottement, inédit qui m'a donné du plaisir.
Face à moi, elle ne l'avait pas encore fait, elle a déboutonné la veste de tailleur et elle l'a faite glisser, avant de dégrafer son soutien-gorge et de m'offrir sa poitrine nue. Leur nudité a confirmé ce que j'avais pu voir de ses seins. Je me suis redressé et je suis venu envelopper les pointes de ses seins, déjà dures, érigées, pour les faire encore plus durcir et s'ériger. Ma queue toujours fichée en elle, enveloppée par cette chair d'une extrême douceur et toute chaude.
Et elle a commencé à comprimer ma queue avec ses muscles vaginaux. Elle l'avait serrée un instant en se retournant, mais là elle était immobile, et c'était une caresse d'une autre dimension. Jamais aucune fille ne m'avait fait ça auparavant, et c'était...Vraiment très bon...Quelque chose de fort, d'intense. Une pression irrésistible et sacrément excitante. J'ai du, dès les premières secondes, lutter pour ne pas jouir. Elle souriait, radieuse, et sans aucun doute bien consciente de l'effet qu'elle produisait. S'interrompant de temps à temps pour que je ne jouisse pas immédiatement.
Elle a repris ses mouvements sur ma queue, se caressant bien avec ma trique à laquelle ses compressions donnaient du volume et de l'épaisseur, comme ça n'avait sans doute jamais été le cas. A caresse inédite, gonflement inédit. Quand elle s'est soulevée pour remettre ma queue à nu, j'ai pu constater que j'étais plus long et plus gros que je ne l'avais sans doute jamais été. J'allais de surprise en surprise, car ça en a été une quand elle m'a dit:
— J'aime jouir par le cul. Plus que par la chatte.
Elle a posé mon gland contre sa muqueuse anale. Je ne sais pas si vous pouvez imaginer la scène, et le contraste. Une muqueuse anale toute rose, qui fermait ses chairs, et qui m'a semblé aussi minuscule que mon gland était énorme. Clairement, je me suis demandé comment ça allait pouvoir rentrer. Je sous-estimais sans doute l'élasticité de sa muqueuse et le fait, évident, que, si elle aimait jouir par le cul, ça voulait dire qu'elle s'était déjà faite prendre par là, et pas qu'une fois, de telle sorte que sa muqueuse avait gagné en souplesse et en élasticité. Elle s'est faite descendre sur la verge, et c'est rentré tout seul, sans même un quelconque frein. Elle m'a avalé sans douleur apparente de sa part, aux trois-quarts. Après, ça bloquait. Et elle s'est mise à bouger sur moi. Oui, apparemment, c'était très bon. Dès les premières secondes, elle a été en plein trip. Ailleurs. Son regard dans un autre univers. Elle dansait littéralement sur ma queue, en même temps qu'elle se frottait le sexe, dans un mouvement circulaire, avec frénésie, masturbant ses lèvres et son gland clitoridien. Un nouveau jus, copieux, épais, blanc, qui ressemblait à du sperme, coulait d'elle.
Et elle s'est mise à jouir. Un moment impressionnant. Elle se tordait, ayant perdu tout contrôle, criant, et éjaculant, des jets puissants qui nous ont éclaboussés et tâchés.
Mais moi, je n'avais pas joui. Elle m'a sorti d'elle, a roulé le préservatif maculé pour accéder à ma queue. Elle a refermé sa bouche dessus et elle s'est mise à frotter mon gland et à tenter de rentrer dans mon méat...Ça aurait pu être un bon début de caresse. C'était en tout cas une excellente fin, et très vite, j'ai perdu le contrôle. J'ai senti l'orgasme monter, un orgasme qui a enveloppé tout mon corps, et dont, alors qu'il arrivait, j'ai su qu'il avait de l'intensité, de la force, et qu'il allait m'envelopper tout entier. J'ai poussé un cri que je n'ai pas pu retenir, et mon sperme a commencé a jaillir. Pas une goutte n'est sortie de sa bouche. Elle avait verrouillée celle-ci autour de ma tige, et elle a fait couler, avec un plaisir évident, ma semence dans son gosier, gardant ma queue bien après mes jaillissements de sperme, profitant des dernières coulures qui sortaient de mon méat, lapant mon gland et insinuant sa langue dans la fente qui le déchirait.
Quand elle m'a laissé enfin sortir de sa bouche, je bandais encore. J'avais encore envie. Difficile de ne pas avoir envie d'une fille comme elle, qui mariait beauté, sensualité, envie de sexe, et habileté.
La vie amène parfois de belles choses. Ce moment avait été très fort, exceptionnel. Inattendu bien sûr. Quand j'avançais dans la ruelle, je ne me doutais pas de ce qui m'attendait sur la place.
Mais là, je sentais bien que le moment était venu, pour moi, de m'éclipser. Il y avait eu un contrat entre nous deux, il avait été honoré.
Elle avait les yeux clos. Est-ce qu'elle s'était endormie ou était-ce une manière de terminer sans heurts.
Je me suis éclipsé. Revenu à mon point de départ en fait, j'ai traversé la placette, à présent encombrée de quelques voitures.
Les jours sont passés, et je n'ai cessé de repenser à ce moment. J'avais eu déjà pas mal de petites copines. Sans lendemain. Mais on avait eu de bons moments. Du plaisir.
Et là, ça avait été...Vraiment très bien. Une fille ravissante, et qui aimait le sexe. Du plaisir, mais à un niveau supérieur.
J'avais envie de la revoir.
Et en même temps, je ne voulais pas violer cet accord tacite entre nous. Un moment, unique.
Mais je me disais que si ça avait été bien une fois, ça pouvait l'être dans d'autres.
On se connaissait à peine, mais il y avait eu tellement de force, de complicité, dans ce moment de sexe...Comme je n'avais connu avant. J'avais envie de retrouver ça. C'était déjà beaucoup. J'avais l'idée que pour beaucoup de couples la complicité dans le plaisir n'existait pas. Ca n'avait d'ailleurs pas été le cas dans mes relations précédentes.
Alors, je suis revenu sur les lieux où on avait fait connaissance. Quinze jours plus tard, quand j'ai été au bout de l'envie et du manque.
Pas de voiture sur la place, j'y étais déjà revenu plusieurs fois.
Et j'ai été à l'appartement.
J'ai frappé à la porte.
Un gars est venu m'ouvrir.
— Ici, ce sont des logements étudiant. Je suis là depuis une semaine. Je ne sais pas qui était là avant. Il faudrait voir avec le propriétaire.
J'avais tellement envie de la revoir que j'ai été trouver celui-ci. Il habitait un peu plus loin dans la rue.
— Oui je vois de qui vous voulez parler. Elle faisait un stage chez un comptable. Elle est partie la semaine dernière.
On ne se reverrait pas.
partie 1
La vie est sans cesse surprenante, c'est d'ailleurs ce qui fait tout son sel. Ceux qui ne le voient pas sont vraiment aveugles. Moi, tous les jours, je vois quelque chose d'unique, de particulier, de baroque.
Et puis des fois, ça débouche sur quelque chose de VRAIMENT sympa.
Ce début d'après-midi là, je me trouverais sur l'une des deux placettes du village où j'habite. Pas mal de places de parking, et la confluence de pas mal de personnes, qui vont et viennent, dans des activités diverses.
La place était quasiment déserte. Les gens étaient repartis de chez eux au travail, pour ceux qui rentraient.
Il y avait deux véhicules côte à côte.
Moi je venais de chez un ami et je rentrais chez moi.
La place était au confluent de deux rues et d'une avenue.
Ce sont les voix, fortes, qui ont attiré mon attention. J'ai d'abord entendu et ensuite vu. Une voix de femme.
— Tu me dégoûtes au final...Je l'ai bien compris et j'en ai encore la confirmation aujourd'hui. Tout ce qui t'intéresse, c'est de me baiser. Rien d'autre. Aucune affection, aucun sentiment. Et aucun amour.
En face le silence.
La voix de la fille montait. Elle était en colère.
— J'ai été stupide. Je me disais que tu étais susceptible de changer. Et puis au final...Hé ben non...
J'ai débouché sur la placette. Je me suis dit que tout le monde allait en profiter. Elle parlait de plus en plus fort.
C'était une drôle de scène. Deux véhicules arrêtés l'un à côté de l'autre. La femme était face à moi, fenêtre ouverte, l'homme le cul de la voiture vers moi. Ils se regardaient. Lui avec ce qui m'a semblé être de l'indifférence. Il ne répondait rien, et sans doute que ce qu'elle disait était vrai.
L'homme avait une cinquantaine d'années, des cheveux coupés en brosse, un visage sec. La fille bien moins, sans doute un début de trentaine. Et même si elle était toute rouge et qu'elle pleurait, on voyait bien qu'elle était ravissante. Un visage bien dessiné avec de jolis yeux bleus.
— Tu m'aimes pas et tu m'as jamais aimé...
Le type a démarré sans demander son reste. Elle, elle est restée sur place, sous le choc, le visage plein de larmes.
J'ai été ému par cette détresse. Et sans doute aussi, même si je ne l'aurais pas admis sur le moment, attiré par cette fille qui dégageait quelque chose de très fort. Il y a des filles très belles mais absolument pas attirantes, d'autres au contraire qui sont moins parfaites mais d'une rare sensualité. Elle avait les deux, beauté, et sensualité.
Mon regard a plongé dans le véhicule, et je me suis dit que j'avais bien fait de m'approcher. J'en ai pris plein les mirettes. Ca m'a fait un effet...Pfff !!!!
Elle portait un simple tailleur noir, veste et jupe très courte. Mais ce tailleur, elle le valorisait totalement. Sous la veste elle avait juste un soutien-gorge rouge en dentelle, dont les trois quarts étaient visibles, il y avait seulement l'un des trois boutons de la veste qui était attaché. Elle avait des seins haut perchés et très ronds, parfaitement ovales, tellement ovales qu'on comprenait parfaitement qu'ils n'étaient pas naturels, mais ça lui allait parfaitement, et ça ne déparait pas avec une silhouette fine, longiligne, même s'il y avait du galbe et de la forme. Elle avait en particulier des jambes longues, interminables, prises par des bottes noires luisantes, avec des talons aiguille, qui lui arrivaient juste en dessous du genou, pour laisser la place à des bas stay-up qui terminaient leur trajectoire à mi-cuisses, avec de la dentelle élastiquée.
Si elle avait acheté un ensemble, et s'il y avait eu un slip assorti au soutien-gorge, elle l'avait laissé à la maison, perdu, oublié, ou simplement elle n'avait pas voulu le mettre, et avec une jupe déjà très courte, qui était bien remontée sur ses hanches dans le véhicule, elle m'offrait une vision imprenable sur son intimité, les deux fesses bien charnues sur lesquelles elle était assise, coupées en deux par un sillon profond, et un sexe féminin entrouvert, dont sortaient deux lèvres fines et longues, avec sur son pubis, une toison qui disait sa blondeur. J'ai aimé qu'elle ait gardé cette toison, épaisse, mais coupée dans un triangle large, il y avait des hommes qui étaient fans de sexes imberbes, ce n'était pas mon cas.
Elle pleurait, silencieusement, ça dévalait son visage, mais on sentait bien qu'elle évoluait. Il y avait quelque chose de sourd qui la prenait, une sorte de colère.
Je lui ai dit:
— Je suis vraiment désolé pour vous. J'arrivais là, j'ai entendu...
— Ce salaud, elle m'a jeté, avec de la colère dans la voix et le regard, il ne tenait pas à moi...Je m'illusionnais...Comment j'ai pu être aussi bête!
— On en est tous passés par là, je lui ai répondu. On croit que quelqu'un vous aime, avant de se rendre compte que malheureusement, ce n'est pas le cas...Remettez-vous! Tenez, je vous invite à boire un café...Ou un thé, comme vous voulez...
Il y avait un bar sur notre droite, à dix mètres. Et il était ouvert.
— Je suis libre aujourd'hui.
Elle m'a regardé autrement. Il y a eu de la reconnaissance dans son regard.
— Merci, c'est très gentil. Ca me touche.
Elle est descendue de voiture. J'ai eu une belle et nouvelle perspective de son anatomie. Une jambe encore dedans, l'autre dehors, posée sur l'asphalte, un grand écart qui m'a permis de découvrir son intimité, frappée par le soleil de cette belle journée, avec plus de netteté. J'ai aperçu un bout d'intérieur tout rose. Avant qu'elle ne se redresse, mais aussi, quand elle m'a présenté son dos, pour récupérer son sac, un bon morceau de croupe, une croupe pleine, rebondie, et coupée en deux par un sillon profond. Elle a tiré sur sa jupe, mais elle était tellement courte qu'elle ne risquait pas de descendre très bas.
On s'est calés à une table. Il n'y avait que nous. J'ai même douté un instant que ce soit ouvert, mais la serveuse est arrivée, une petite brune qui me connaissait. Je venais parfois prendre un verre en fin d'après-midi pour me changer les idées. Et profiter de ses jeans moulants.
— Vous allez retrouver quelqu'un d'autre, je lui ai dit. Et quelqu'un avec qui vous serez plus en harmonie.
— J'avoue que je ne pense pas à ça pour le moment. Là, je crois que je vais faire une pause.
La fille nous a amenés nos cafés.
— Je crois qu'il va falloir que je repense mes relations. Je succombe trop facilement à un mec qui me plaît, je ne regarde que son physique. Alors forcément, ça part vite en couille. Je devrais prendre plus de recul sans doute. Ne pas succomber tout de suite.
— La capacité de l'homme c'est de changer et de s'améliorer. Enfin pas de tous...
Elle m'a regardé.
— J'habite un peu plus loin. Là, vous voyez la maison blanche, avec les volets roses.
— Je vois bien, oui.
— Ca vous dit qu'on aille faire l'amour?
Je l'ai regardée en m'efforçant de masquer ma surprise.
— Vous croyez que c'est une bonne idée? Enfin, là, vous vous contredisez...
— J'aime le sexe...Je lui ai proposé de me rejoindre parce que j'avais envie de lui et de faire l'amour. Je suis descendue l'attendre. Et puis je l'ai vu et j'ai eu une sorte de révélation. Je me suis dit que non, ce n'était pas possible. Mais j'ai encore très envie de faire l'amour. On ne se connaît pas. Il n'y aura aucun enjeu. On fait l'amour et on ne se revoit plus. Et après, je vais suivre votre conseil, il y aura une longue période d'abstinence.
J'étais un peu décontenancé...Et puis au final, pas tant que ça. Les relations, quelles qu'elles soient, étaient bizarres, et elles pouvaient facilement partir dans un sens ou dans l'autre, très rapidement, sans que l'on sache pourquoi.
On a fini nos cafés. Sans pudeur, mais ça je l'avais déjà remarqué, une fois qu'on a été sortis du café, en se moquant qu'on puisse la voir, elle a soulevé sa jupette et tourné sur elle-même, me laissant admirer ses parties pile et face. J'ai failli lui répondre que je les avais déjà vues, mais sous un autre angle. C'était une belle offrande, et si elle avait pu penser que je n'avais pas de désir, la manière de le faire monter. Mais j'avais envie d'elle depuis que je l'avais contemplée à moitié nue dans le véhicule. Probable d'ailleurs que si elle avait été un peu plus habillée, j'aurais de toute façon eu envie d'elle.
L'appartement, sans doute de location, était meublé simplement.
On a eu, dès la porte refermée, un mouvement de l'un vers l'autre. Moi je suis venu glisser sous sa jupe pour prendre ses fesses à pleines mains, pendant qu'elle plongeait la main dans le pantalon de survêtement pour attraper ma queue et la sortir. Une queue collée contre mon ventre, mais déjà bien dure.
On a trouvé un modus vivendi, avec le lit à côté. On a basculé dessus, tête-bêche. Je trouvais toujours ça formidable qu'on puisse se trouver, un homme une femme, et cette sorte d'harmonie, miraculeuse, aussi bien dans l'envie de faire l'amour que dans le positionnement.
Il y a mille positions pour se mettre tête-bêche. Là on était sur le flanc, en face à face, ma main gauche accrochée à ses fesses, ses jambes ouvertes, elle me donnait ses muqueuses, et je la fouillais, ma langue accrochée à cette vulve dilatée et ruisselante, comme le plus beau des cadeaux qu'elle pouvait m'offrir, un cadeau dont je n'aurais vraiment pas imaginé pouvoir disposer aujourd'hui, à cette heure, alors que je remontais la ruelle serrée et que j'avais débouché sur la place. Son goût sucré me remplissait la bouche, ses liquides intimes étaient abondants, de plus en plus abondants à vrai dire. Je prenais un plaisir fou à la caresser ainsi, allant de ses lèvres toutes étirées à l'intérieur de son ventre, aussi loin que je puisse rentrer, jusqu'à ce gland clitoridien long et fin qui dardait, et qui, d'abord invisible, s'allongeait de plus en plus. Elle, elle me bouffait la queue, avec la même ardeur que je mettais à dévorer sa vulve, en prenant du plaisir, c'était évident, mais avec aussi le désir de m'en donner.
Oui, c'était vraiment curieux. On se connaissait à peine, mais il y avait entre nous, dans ce moment, quelque chose de vraiment intense.
Elle s'est dégagée au bout d'un moment, même si dans l'intensité du plaisir, j'aurais été bien incapable de mesurer ce moment, long, court? Et elle a récupéré une boite de préservatifs. J'étais long et dur, elle était vraiment magnifique et puis je n'avais pas eu de copine ces derniers temps. Elle a fait glisser le préservatif le long de ma queue dans un geste fluide juste après avoir déchiré l'emballage et sorti la rondelle grasse de lubrifiant. Ainsi équipé, j'étais prêt pour rentrer dans son ventre, et c'était ce dont j'avais le plus envie à ce moment, comme, d'évidence, elle avait elle envie de prendre ma queue au cœur de son sexe chaud et doux, de se remplir et de se caresser avec. Elle s'est calée au-dessus de moi, mais en me présentant son dos, et sa croupe, bien charnue, qui me fascinait tout autant que le reste de son corps. Sa position ouvrait ses fesses, laissant voir les plis marqués de son anus au milieu de ses chairs. Tenant fermement ma queue, elle a baladé mon gland entre ses fesses, glissant dans son sillon, me faisant sentir la délicatesse de sa chair la plus intime, mais aussi le dessin de sa muqueuse anale. J'ai pensé qu'elle avait envie de se sodomiser, mais elle a finalement descendu ma queue plus bas, jusqu'à sa muqueuse boursouflée et béante, et elle l'a rentré en elle, l'avalant quasi totalement. Elle s'est faite bouger dessus en gémissant, légèrement penchée en avant, allant et venant, redévoilant puis masquant ma queue, lubrifiant la latex de ses jus qui coulaient autour de sa vulve, sur sa chair, et aussi sur le divan, mais ce dernier, au vu de sa matière, n'aurait besoin que d'un coup d'éponge.
Elle s'est redressée, et c'est toute droite, une position différente pour elle comme pour moi, et donc un plaisir différent qu'elle a bougé sur ma queue.
— Ah, ça fait du bien.
Je ne m'attendais vraiment pas à ce qui est venu juste après. Avec chaque fille on découvrait, et si elle reprochait à son ex-amant de ne penser qu'au sexe, elle n'était pas une oie blanche dans ce domaine. Il est vrai qu'on reproche souvent aux autres ce qu'on fait ou ce qu'on aime faire soi.
Elle a resserré son sexe, les muscles de son sexe plutôt, autour de ma queue, avant de pivoter, dans un mouvement circulaire, et de me présenter sa partie face. Il y a eu un poids contre ma chair, un frottement, inédit qui m'a donné du plaisir.
Face à moi, elle ne l'avait pas encore fait, elle a déboutonné la veste de tailleur et elle l'a faite glisser, avant de dégrafer son soutien-gorge et de m'offrir sa poitrine nue. Leur nudité a confirmé ce que j'avais pu voir de ses seins. Je me suis redressé et je suis venu envelopper les pointes de ses seins, déjà dures, érigées, pour les faire encore plus durcir et s'ériger. Ma queue toujours fichée en elle, enveloppée par cette chair d'une extrême douceur et toute chaude.
Et elle a commencé à comprimer ma queue avec ses muscles vaginaux. Elle l'avait serrée un instant en se retournant, mais là elle était immobile, et c'était une caresse d'une autre dimension. Jamais aucune fille ne m'avait fait ça auparavant, et c'était...Vraiment très bon...Quelque chose de fort, d'intense. Une pression irrésistible et sacrément excitante. J'ai du, dès les premières secondes, lutter pour ne pas jouir. Elle souriait, radieuse, et sans aucun doute bien consciente de l'effet qu'elle produisait. S'interrompant de temps à temps pour que je ne jouisse pas immédiatement.
Elle a repris ses mouvements sur ma queue, se caressant bien avec ma trique à laquelle ses compressions donnaient du volume et de l'épaisseur, comme ça n'avait sans doute jamais été le cas. A caresse inédite, gonflement inédit. Quand elle s'est soulevée pour remettre ma queue à nu, j'ai pu constater que j'étais plus long et plus gros que je ne l'avais sans doute jamais été. J'allais de surprise en surprise, car ça en a été une quand elle m'a dit:
— J'aime jouir par le cul. Plus que par la chatte.
Elle a posé mon gland contre sa muqueuse anale. Je ne sais pas si vous pouvez imaginer la scène, et le contraste. Une muqueuse anale toute rose, qui fermait ses chairs, et qui m'a semblé aussi minuscule que mon gland était énorme. Clairement, je me suis demandé comment ça allait pouvoir rentrer. Je sous-estimais sans doute l'élasticité de sa muqueuse et le fait, évident, que, si elle aimait jouir par le cul, ça voulait dire qu'elle s'était déjà faite prendre par là, et pas qu'une fois, de telle sorte que sa muqueuse avait gagné en souplesse et en élasticité. Elle s'est faite descendre sur la verge, et c'est rentré tout seul, sans même un quelconque frein. Elle m'a avalé sans douleur apparente de sa part, aux trois-quarts. Après, ça bloquait. Et elle s'est mise à bouger sur moi. Oui, apparemment, c'était très bon. Dès les premières secondes, elle a été en plein trip. Ailleurs. Son regard dans un autre univers. Elle dansait littéralement sur ma queue, en même temps qu'elle se frottait le sexe, dans un mouvement circulaire, avec frénésie, masturbant ses lèvres et son gland clitoridien. Un nouveau jus, copieux, épais, blanc, qui ressemblait à du sperme, coulait d'elle.
Et elle s'est mise à jouir. Un moment impressionnant. Elle se tordait, ayant perdu tout contrôle, criant, et éjaculant, des jets puissants qui nous ont éclaboussés et tâchés.
Mais moi, je n'avais pas joui. Elle m'a sorti d'elle, a roulé le préservatif maculé pour accéder à ma queue. Elle a refermé sa bouche dessus et elle s'est mise à frotter mon gland et à tenter de rentrer dans mon méat...Ça aurait pu être un bon début de caresse. C'était en tout cas une excellente fin, et très vite, j'ai perdu le contrôle. J'ai senti l'orgasme monter, un orgasme qui a enveloppé tout mon corps, et dont, alors qu'il arrivait, j'ai su qu'il avait de l'intensité, de la force, et qu'il allait m'envelopper tout entier. J'ai poussé un cri que je n'ai pas pu retenir, et mon sperme a commencé a jaillir. Pas une goutte n'est sortie de sa bouche. Elle avait verrouillée celle-ci autour de ma tige, et elle a fait couler, avec un plaisir évident, ma semence dans son gosier, gardant ma queue bien après mes jaillissements de sperme, profitant des dernières coulures qui sortaient de mon méat, lapant mon gland et insinuant sa langue dans la fente qui le déchirait.
Quand elle m'a laissé enfin sortir de sa bouche, je bandais encore. J'avais encore envie. Difficile de ne pas avoir envie d'une fille comme elle, qui mariait beauté, sensualité, envie de sexe, et habileté.
La vie amène parfois de belles choses. Ce moment avait été très fort, exceptionnel. Inattendu bien sûr. Quand j'avançais dans la ruelle, je ne me doutais pas de ce qui m'attendait sur la place.
Mais là, je sentais bien que le moment était venu, pour moi, de m'éclipser. Il y avait eu un contrat entre nous deux, il avait été honoré.
Elle avait les yeux clos. Est-ce qu'elle s'était endormie ou était-ce une manière de terminer sans heurts.
Je me suis éclipsé. Revenu à mon point de départ en fait, j'ai traversé la placette, à présent encombrée de quelques voitures.
Les jours sont passés, et je n'ai cessé de repenser à ce moment. J'avais eu déjà pas mal de petites copines. Sans lendemain. Mais on avait eu de bons moments. Du plaisir.
Et là, ça avait été...Vraiment très bien. Une fille ravissante, et qui aimait le sexe. Du plaisir, mais à un niveau supérieur.
J'avais envie de la revoir.
Et en même temps, je ne voulais pas violer cet accord tacite entre nous. Un moment, unique.
Mais je me disais que si ça avait été bien une fois, ça pouvait l'être dans d'autres.
On se connaissait à peine, mais il y avait eu tellement de force, de complicité, dans ce moment de sexe...Comme je n'avais connu avant. J'avais envie de retrouver ça. C'était déjà beaucoup. J'avais l'idée que pour beaucoup de couples la complicité dans le plaisir n'existait pas. Ca n'avait d'ailleurs pas été le cas dans mes relations précédentes.
Alors, je suis revenu sur les lieux où on avait fait connaissance. Quinze jours plus tard, quand j'ai été au bout de l'envie et du manque.
Pas de voiture sur la place, j'y étais déjà revenu plusieurs fois.
Et j'ai été à l'appartement.
J'ai frappé à la porte.
Un gars est venu m'ouvrir.
— Ici, ce sont des logements étudiant. Je suis là depuis une semaine. Je ne sais pas qui était là avant. Il faudrait voir avec le propriétaire.
J'avais tellement envie de la revoir que j'ai été trouver celui-ci. Il habitait un peu plus loin dans la rue.
— Oui je vois de qui vous voulez parler. Elle faisait un stage chez un comptable. Elle est partie la semaine dernière.
On ne se reverrait pas.
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Commentaires du récit : La fille dans la voiture partie 1
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