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La haine du voisin 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/06/2023

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Juliette branle George énergiquement sans se poser de questions. Son mari lui ne cesse de regarder Marie, il lui saisit la main, la femme, beaucoup plus réservée que Juliette, se met à trembler de tous ses membres. Paul lui lance des regards amoureux, il pose ses yeux sur le corps fébrile que la femme trop prude tente de cacher avec une main. Paul ne veut pas brusquer Marie, il connait cette femme timide depuis de longues années. Malgré la brouille qu'il y avait entre eux, Lorsqu'ils se croisaient dans le jardin, il lui souriait, elle baissait les yeux, mais son cœur battait la chamade. Les deux ressentaient déjà quelque chose l'un pour l'autre.


George gémit sous les coups de poignets efficaces de Juliette, Juliette est vraiment une femme énergique. Elle cesse de branler l'engin, le décalotte et l'aspire. Marie et Paul regardent le spectacle sans broncher, l'excitation les gage de plus en plus. La verge de Paul se dresse, Marie la regarde avec appréhension, l'engin est bien plus imposant que celui de son Mari. Paul pose la main de Mari sur son mat tendu. Instinctivement, Marie le presse puis sans chercher à comprendre commence à le branler doucement. Ses yeux brillent, son cœur s'emballe. Paul lui caresse la chevelure, il enfonce ses doigts dans les longs cheveux et les triture longuement, en soupirant fortement. À chaque descente de son poignet, Marie décalotte le gland. Ses yeux s'écarquillent à chaque fois que le cèpe est mis à nu. Soudainement un rugissement fait sursauter Paul et Marie, George vient d'éjaculer dans la bouche de Juliette qui continue de sucer le gland, elle veut vider la hampe de son jus et se gaver avec.


Paul relève le menton de Marie avec deux doigts et lui demande tendrement :


-Suce-moi ma chérie, je t'en prie !

Avant d'obtempérer, Marie regarde le monstre qu'elle agite doucement. Elle s'agenouille face à Paul, décalotte totalement le gland, et se met à lui donner de nombreux coups de langue. Paul se cabre de bonheur. Marie ouvre la bouche le plus possible en se déboitant presque les mâchoires, pour engloutir la verge épaisse. Avec maladresse, la femme timide suce comme elle peut. Petit à petit, Marie devient plus audacieuse, tout en savourant le gland, de sa main livre, elle caresse et triture doucement les couilles velues de Paul, qui gémit de bonheur. Paul se cabre et dit en gémissant fortement :


-Arrête mon amour, je vais jouir !

Marie recrache le gland, elle ouvre grand les yeux et agite fermement le mandrin redoutable. Paul se raidit, il grogne en envoyant plusieurs giclées de sperme dans les airs. Marie reste bouche bée devant la violence des jets. Sa main reçoit les retombées de sperme, ses doigts sont englués. Elle regarde avec un certain intérêt la verge secouée de soubresauts. Elle recommence à agiter la hampe hyper veinée, gorgée de sang, elle sent l'engin vivant, battre dans sa main. Elle s'en hardie, lèche le gland et la hampe visqueuse de sperme. Sa langue tourne sur le chapeau qui recouvre le mat, agace le frein un long moment, Paul râle comme une bête. Elle lève les yeux vers lui, le regard qu'il echangent et tendre, lentement Paul l'aide à se relever. Il l'enlace, pose ses lèvres sur les siennes, deux échangent un baiser fougueux qui dure de longues minutes. Les deux amants ont oubliés la présence de leur partenaire légal.


George et Juliette, eux aussi, semblent être seuls sur terre, les deux roulent sur le sol, les caressent qu'ils s'échangent, les font gémir. Juliette est excitée terriblement, elle demande en grognant :


-Prends-moi, George, prends-moi, j'en peux plus, je te veux en moi mon chéri !

George, en bon entendeur, s'exécute. Il prend place entre les cuisses de son amour, et l'embroche fermement. Juliette s'accroche à son amant, en gémissant. La chevauchée peut commencer, George désire tellement cette femme, qui la besogne du mieux qu'il le peut.


Paul, quant à lui, bascule lentement Marie sur le sol, il lui caresse les seins avec un tel tact que seule Marie en connait la douceur, elle ronronne comme une chatte, en fermant les yeux. Les doigts agiles commencent à masser, puis à pétrir les lobes qui se raffermissent sous les doigts experts de Paul. Marie soupir, sa respiration s'accélère. Les doigts qui s'enfoncent dans la chair de ses seins la font geindre de plaisir. Paul n'oublie pas les mamelons, il les roule, les étire si bien que Marie semble défaillir sous les attouchements digitaux de Paul. Elle pâme de bonheur. Ses bouts deviennent énormes, Paul sait y faire le bougre. Marie n'a jamais ressenti cela avec son mari. Il semble qu'elle decouvre seulement, maintenant, les affinités des caresses amoureuses. Elle geint comme une bête blessée. Elle pousse un gémissant plus fort que les autres, Lorsque Paul, lui gobe un mamelon.

Il le suce, le tète avec de plus en plus d'avidité, Marie croit mourir de bonheur, Lorsque son amant passe à l'autre, elle fond, ses yeux s'emplissent de larmes, elle s'accroche à Paul en soufflant fortement. Ses mamelons sont gonflés au maximum, ses seins sont durs comme du béton. Paul délaisse les lobes mammaires, sa bouche parcourt chaque parcelle de peau avant que sa langue fouille le nombril. Marie se cabre, son corps est secoué de frissons qu'elle ne peut contrôler. Elle se cambre lorsque la bouche mielleuse se pose sur sa toison humide. La langue de Paul voyage dans le sillon des grandes lèvres à la recherche de la boule de tous plaisirs, Marie ne peut retenir ses gémissements, elle se cabre en se cramponnant à son amour. Les coups de langue magique, bien dosées, qui assaillent le clitoris font grogner Marie comme jamais, elle ne l'a fait. La tension est trop forte en elle, Marie se cambre et jouit sous les succions incessantes de Paul.



Enfin, il prend place entre les cuisses tremblantes de Marie, il place l'engin que Marie appréhende contre la vulve dégoulinante de cyprine. Marie prend une grande aspiration et serre les dents. Paul pousse, sa bite puissante s'enfonce dans le vagin qu'elle dilate. Pendant la pénétration un peu douloureuse, Marie pousse un long râle continu. Enfin les couilles de Paul viennent en contacte avec sa chatte. Elle s'accroche à lui en geignant, lui s'agrippe à ses hanches. Le va-et -vient devient de plus en plus rapide, le gland large et épais qui frotte contre les parois sensibles, fait gémir Marie, comme elle ne l'a surement jamais fait. Elle sent dans son corps le gland lui raboter les muqueuses. C'est terrible comme sensation, elle se cambre et explose en jouissant fortement. Paul continue de la déglinguer, maintenant, il peut penser à son propre plaisir. Il redouble ses assauts, Marie jouit une seconde fois, elle mord l'épaule de son amant jusqu'au sang. Paul donne une ultime estocade et remplit de sa semence les entrailles de la femme qu'il aime. Ils échangent un baiser de braise, avant de se désaccoupler.


Juliette aussi à eut son compte, elle git haletante, les bras en croix sur le sol. Les verges des hommes gouttent sur le sol. Les Vulves bien travaillées laissent échapper le surplus de semence.


































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Commentaires du récit : La haine du voisin 2

Le 22/06/2023 - 20:47 par OlgaT
Voilà une situation qui s'est complétement inversée, pour le plus grand bonheur des protagonistes!

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