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Grand-mère et petite fille en club de vacances

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 16/06/2023

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‌(Ce texte fait suite au premier épisode "Mère en fille en beachvolley")‌

‌Passer une semaine de vacances en club avec sa grand-mère, voilà ce que peu de filles de vingt ans envisagent et a fortiori pratiquent. Mais malgré sa soixantaine bien avancée, Magali était une mamie tellement moderne que sa petite fille était fière de se montrer en sa compagnie dans ce club de vacances renommé adossé à une plage méditerranéenne. Après un séjour bien agité avec sa mère (voir précédent épisode), elle envisageait un retour au calme avec force participations aux diverses activités de loisirs, notamment nautiques. D'emblée, elle capta les regards par sa blondeur et son physique de sylphide portant admirablement le bikini minimaliste. Les hommes étaient intrigués par cette femme d'âge mûr, menue aux cheveux grisonnants, qui ne la quittait pas d'une semelle, comme un chaperon. Ils furent encore plus surpris quand ils la virent sur la plage très sommairement vêtue d'un bikini à peu près de la taille de celui de la jeune fille, dévoilant un corps certes marqué par l'âge en certains endroits mais au fond pas davantage que des femmes bien plus jeunes.

Quelques célibataires venus dans ce club pour se "taper des meufs" se demandaient déjà quelle stratégie adopter pour contourner la garde rapprochée de ce canon dont ils n'imaginaient pas une seconde qu'elle passerait une semaine dans ce club sans se faire sauter.
Ils finirent par apprendre que la nana s'appelait Lise et la femme Magali et qu'elle était sa grand-mère, "'vachement sympa", il fallait l'admettre, en dépit de l'obstacle qu'elle représentait. Obstacle cependant relatif, comme ils finirent par l'apprendre. Pendant que Lise échangeait quelques balles sur un court de tennis ou partait sur un dériveur, la mamie bronzait à poil dans l'enclos réservé à cet effet, ce qui témoignait d'une incontestable liberté de corps et d'esprit. Elle accompagnait même sa petite fille le soir dans le night club, participant à quelques danses échevelées dans une tenue vestimentaire qui dévoilait les trois quarts de son corps sans le moindre complexe. Elle finissait par se retirer, laissant Lise se défouler entourée de chiens à la langue pendante devant cette fille au corps splendide.

Comme toujours dans ce genre de circonstances, la glace ne tarda pas à se briser et Lise jeta son dévolu sur un trentenaire prénommé Jordan, lequel dressa illico un cordon sanitaire autour de sa conquête qui se manifestait pour le moment à quelques pelles et quelques pelotages.
Arriva forcément le moment où la question de baiser se posa. Lise proposa sa case en un début d'après-midi torride après un déjeuner dans une grande table du restaurant self service où Magali avait observé le manège avec amusement.
- Elle est d'accord, ta grand-mère ? s'inquiéta Jordan.
- Ne t'inquiète pas pour elle, elle ne nous dérangera pas, le rassura Lise, pressée de s'envoyer en l'air avec ce beau brun suffisamment mature pour la faire jouir.

De fait, le jeune couple de circonstance put découvrir leur corps dans toutes ses facettes dans la quiétude torpeur d'une case surchauffée, ce qui les laissa en nage après s'être gavés de sexe. Jordan avait été subjugué par cette fille en mouvement permanent qui lui parlait de sa bite comme une vieille cochonne. Elle baisait tellement bien qu'après une première éjaculation, il remit le couvert rapidement dans l'enthousiasme de sa partenaire au corps de rêve.

Pendant ce temps, Magali s'entretenait au bar avec un couple rencontré dans l'enclos naturiste. L'homme, un quinquagénaire chauve dont elle avait pu apprécier le corps intégralement bronzé et le sexe ferme, lui faisait la conversation sous le regard distrait de son épouse, le genre BCBG, cheveux à mèches blondes, elle aussi bien conservée et visiblement soucieuse de son corps. Bien que l'ayant vue à poil, l'homme déshabillait des yeux Magali, dont la robe d'été baillait sur ses seins libres et découvrait ses cuisses presque jusqu'au slip. Avec son expérience, elle ne tarda pas à comprendre que l'homme, qui se faisait appeler Didier, désirait la baiser sans que ça dérange plus que ça son épouse, prénommée Mylène. Magali avait déjà informé qu'elle ne s'opposerait nullement à une aventure sexuelle de sa petite fille, "c'est de ton âge", lui avait-elle dit. Mais elle ne lui avait pas signifié que si par hasard l'occasion se présentait pour elle de s'envoyer en l'air, elle ne la laisserait pas passer. Elle lui avait juste répondu, au cours d'une de leurs conversations intimes durant laquelle Lise lui avait demandé "si elle faisait toujours l'amour" :
- Non, je ne fais plus l'amour. Je baise.
Lise en était restée comme deux ronds de frite. Elle n'imaginait pas qu'à soixante ans passés, une femme ait encore des besoins sexuels à assouvir. Et encore moins qu'elle pourrait éventuellement les assouvir sur le lieu même de leurs vacances.
*******
L'affaire prit tournure dans l'enclos réservé aux naturistes, où Magali perfectionnait son bronzage intégral. Son dragueur continuait ses travaux d'approche pendant qu'elle prenait le soleil allongée sur le ventre, son petit cul bien en évidence. Son épouse était entreprise de son côté par un chauve tatoué caramélisé de la tête aux pieds et ils papotaient avec ferveur, signe d'une complicité naissante. Magali ne fut donc pas surprise d'entendre son mari, Didier, lui dire à l'oreille :
- Ils vont baiser ensemble.
- Et tu es d'accord ? répondit Magali, qui tutoyait désormais l'homme, à la mode du club.
- On est échangiste et candauliste.
- Ah bon.
De fait, un peu plus tard, le chauve et la femme, Mylène, se levèrent en ramassant leur serviette et en enfilant leur maillot de bain, direction la sortie. Elle dit à son mari :
- On va à notre case.
- Ok chérie, pas de problème.
Magali regarda la femme sortir en ondulant de la croupe, comme si elle était déjà dans son coït. Son mari souriait :
- Elle va passer un bon moment, j'espère, et le gars aussi. C'est une partenaire exceptionnelle.
- Et toi, tu es un bon partenaire aussi ? ne put s'empêcher de demander Magali.
- Cela t'intéresse ?
- Faut voir. Je suis devenue très exigeante avec l'âge.

Magali remarqua que le pénis de Didier commençait à gonfler. Un pénis court mais épais. Prometteur. Une femme qui voit un homme plus jeune qu'elle bander pour elle ne reste jamais indifférente. Depuis que sa petite fille baisait, l'envie lui était venue aussi et elle avait conclu sa toilette matinale en s'enduisant une crème vaginale afin de compenser l'inévitable sécheresse intime pour favoriser un rapport sexuel, au cas où... A force d'être nue avec ce couple, elle baignait dans une atmosphère érotisée. Aussi, quand l'homme lui dit :
- Et si on allait faire pareil chez toi ?
Elle fit mine d'hésiter, se rappela que Lise était sortie en mer pour l'après-midi, et finit par répondre.
- D'accord.

Ils sortirent de l'enclos sommairement vêtus et gagnèrent la case occupée par la grand-mère et sa petite fille. Dès l'entrée, Magali ne fit pas de manière. Elle dégrafa son soutif, baissa son slip et s'allongea sur son lit, observant l'homme faire de même. Elle le connaissait à peine. Elle avait juste échangé quelques propos vacanciers avec lui, tandis qu'ils bronzaient nus, avant qu'il lui avoue être libertin avec son épouse. Il avait clairement envie de la baiser et comme il n'était pas mal fait de sa personne, cette perspective ne lui avait pas paru absurde. Elle n'avait pas eu de rapport sexuel depuis un certain temps, avec un ex de passage, et il ne fallait pas laisser passer l'occasion. Avec lui ou un autre, peu importait au fond, pourvu qu'elle baise.

Son pénis avait pris du volume. Après avoir mis ses cheveux en chignon, elle s'en saisit et le porta à sa bouche, sans façon. La pipe était pour elle le préliminaire indispensable, celui qui la mettait en appétit tout en mesurant la réactivité virile. L'homme la dominait et matait son corps bronzé, ses petits seins en virgule, son ventre légèrement bombé, ses cuisses déjà ouvertes sous son pubis épilé. Elle avait une longue expérience des hommes et elle sentait, aux réactions de sa bite, que celui-là allait bien la servir. Il avait un côté vicelard qui lui plaisait. Peut-être parce qu'elle aussi était vicelarde.
- Baise-moi maintenant, lui dit-elle. Ne me ménage pas, je ne suis pas en sucre.
Et elle s'allongea, cuisses ouvertes et coudes sur le matelas, désormais impatientes d'être traitée en femelle. Elle taquina des orteils la bite horizontale qui allait réveiller ses hormones endormies. Elle avait autant faim de sexe qu'une femme de trente ans plus jeune qu'elle.

De fait, quand il la pénétra, il fut aussitôt stimulé à coups de talons, de griffes, d'exclamations de plaisir. La frêle couche fut très chahutée car ils baisaient vraiment. Magali savourait de tout son cul cette bite épaisse qui satisfaisait sa sexualité de femme mûre. Elle le chevaucha avec ardeur, s'interrompit pour un 69 afin qu'il reprenne son souffle, se relevant parfois pour soupirer de plaisir à l'activité de la langue sur son clitoris, puis se mit à quatre pattes au bord du lit pour qu'il la prenne debout et qu'elle sente bien sa queue.

Les peaux avaient commencé à claquer, elle le sentait bien et le lui disait quand la porte de la case s'ouvrit. Lise et Jordan firent leur entrée, stupéfaits de voir le couple mûr en pleine action. Mamie en train de baiser. Lise ne s'y attendait pas du tout et poussa un cri de surprise. Le couple s'interrompit, tout aussi décontenancé.
- Je croyais que tu faisais de la voile ! dit Magali d'une voix brouillée par l'extase en cours.
- Il n'y avait pas assez de bateaux, alors avec Jordan on a préféré rentrer pour, euhhh, faire ce que vous faites en ce moment.
- Eh bien, faites-le et laissez-nous continuer, riposta Magali, agacée de cette irruption, mais peu encline à renoncer à son coït. Elle avait trop envie d'être baisée.

Une fois de plus, Lise se trouvait dans une situation imprévue, à savoir faire l'amour en compagnie d'un autre couple qui était formé cette fois par sa grand-mère et son amant, et non sa mère et le sien. A croire qu'elle le cherchait. Mais comme dans le cas précédent, l'autre couple refusait de renoncer à ses ébats. Ou bien elle et son boy friend vidaient les lieux, ou bien elle s'allongeait elle aussi. Elle s'allongea, nue en un clin d'oeil, après avoir fait valser ses tongs et baissé short et slip en même temps. Le jeune homme l'imita, surexcité à la fois par sa beauté nue et par la scène érotique qui se déroulait sur le lit voisin.
Car Magali, à genoux en travers du lit à quelques centimètres du jeune couple, s'était retournée vers son amant et lui avait lancé :
- Allez, continue à me donner du plaisir.

De voir le cul du jeune homme remuer entre les belles cuisses de Lise, pénétrée ipso facto, sans préliminaire, donna du tonus au quinquagénaire à la fois acteur et voyeur. Copieusement ramonée, Magali exprima une volée de mots crus où il était pêle-mêle question de bite, de chatte, de couilles (qu'elle palpait par en-dessous) et même de trou du cul quand il fut invité à la sodomiser. Lise n'en revenait pas d'entendre sa grand-mère, sa chère mamie, aussi vulgaire, aussi imprégnée de son coït à quelques centimètres du sien. Leur regard se croisèrent plusieurs fois. Le chignon de Magali s'était défait sous les coups de boutoir qu'elle encourageait de la voix et du cul, ses seins pendants s'agitaient en cadence, si bien que Lise éprouva le besoin d'être prise de la même façon, face à sa grand-mère.
- Encule-moi aussi, dit-elle à Jordan, trop heureux de cette proposition si rare chez les filles de son âge.

Magali et Lise scrutèrent leur visage respectif dans la montée de leur orgasme, échangèrent de nouveaux mots crus, classiques par-delà les générations, communièrent dans le plaisir, rictus aux lèvres en allant chercher la bite à coups de fesses, tandis que leurs partenaires vivaient un moment inoubliable : baiser une grand-mère et sa petite fille dans la même pièce, et avec quelle ardeur, avec quel enthousiasme ! Jordan était tellement excité que si Magali lui avait montré son cul, il y serait entré sans se poser des questions d'âge, tant elle était à l'évidence une baiseuse en or. Mais il ne résista pas à la montée de son sperme et gicla dans le tréfonds de Lise qui avait creusé les reins pour mieux l'accueillir. Didier ne résista pas davantage aux rugissements de plaisir de la sexagénaire, en plein orgasme anal, et les deux couples se désunirent, en sueur, stupéfaits par ce qu'ils venaient de vivre. Magali et Lise s'étreignirent, conscientes qu'elles aussi qu'elles avaient éprouvé une extase totalement inédite qui allait forcément marquer leur vie commune future.
*****
Le séjour touchait à sa fin. Il était réussi pour la grand-mère et la petite fille. La première avait renoué avec le sexe, ce qui l'avait rendue d'une humeur primesautière, comme si elle se réjouissait d'être toujours sexuellement attractive ("pinauculmettable" avait-elle dit à Lise avec son langage trivial, ce qui avait fait rire celle-ci). Néanmoins, elle était un peu secouée physiquement, "faute d'entrainement", avait-elle concédé, et ne chercha pas à renouer avec Didier.

En revanche, celui-ci ne pensait plus qu'à baiser Lise et s'en était ouvert à son épouse, laquelle lui avait proposé un plan à quatre, étant aussi intéressée par Jordan. Celui-ci n'était pas indifférent à cette quinqua encore fraiche, visiblement expérimentée, car il avait révisé ses positions sur les femmes mûres depuis qu'il avait vu Magali en action.
Mais Lise déclina la proposition. Elle ne se sentait pas excitée par ce type et de passer derrière sa grand-mère ne lui disait vraiment rien. En vérité, elle n'était pas disposée à "prêter" son mec (même transitoire) à une femme qu'elle connaissait à peine, comme elle l'avait fait pour le surfeur au profit de sa mère. Elle avait encore envie de Jordan et Magali leur offrit la case pour leur dernier après-midi, pendant qu'elle affinerait son bronzage intégral.
Lise versa une petite larme à l'heure des adieux mais Magali la consola :
- Un de perdu, dix de retrouvés, tu es trop mignonne et trop jeune pour ne te consacrer qu'à un seul homme.
Retrouvant sa mère, elle raconta sa liaison mais omit le passage où elle s'était retrouvée avec sa grand-mère en pleine copulation. C'était un accord entre elles deux : "notre secret".
Néanmoins, elle s'étaient promis de partir à nouveau ensemble l'année suivante. Mais Lise lui avait glissé à l'oreille :
- N'attends quand même pas un an pour refaire l'amour...
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Histoire de Micky

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Commentaires du récit : Grand-mère et petite fille en club de vacances

Le 20/06/2023 - 11:02 par valeriane
j'adore
Le 16/06/2023 - 16:01 par OlgaT
Belle complicité entre générations!

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