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La journée d'un pré-retraité partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 09/03/2024

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LA JOURNEE D'UN PRE-RETRAITE
PARTIE 1


La pièce baignait dans la lumière. A en faire mal aux yeux. Tout le mobilier était blanc, et les baies vitrées, rideaux tirés, laissaient rentrer le soleil de cette belle journée de juin.
Je venais de pousser la porte, et je me retrouvais dans cette pièce immense et luxueuse.
Les deux filles étaient là, totalement nues, à l'exception de bas stay-up, couleur chair pour une, d'un noir plus classique pour l'autre. Elles étaient grandes, la peau blanche, tout en formes, avec des seins et des fesses qui appelaient les mains, la bouche. Pour l'heure, elles se donnaient du plaisir entre elles. Assemblées sur le divan dans un 69 très classique, elles parcouraient la chatte de l'autre de la langue, avec avidité, et tout en gémissant, Il y avait une rousse et une brune, la brune sur la rousse. Elles avaient de magnifiques chevelures, longues et soyeuses, mais aussi gardé un triangle de poils qui confirmait bien qu'il ne s'agissait pas d'une fausse rousse ou d'une fausse brune. Je n'étais pas dans le move actuel, et j'aimais les filles qui avaient une belle chatte, mais aussi qu'elle soit bien taillée.
J'ai profité un instant de la situation, enregistrant tous les détails. Les fesses de la brune, charnues, que sa position ouvrait, laissant voir la profondeur du sillon entre les deux et les plissements de son anus. La rousse avait les mains plaquées sur les fesses blanches et pleines, et elle venait lécher et mordiller les lèvres qui sortaient du sexe dilaté d'excitation. Des lèvres longues, charnues. Quand elle m'a vu arriver, la rousse a glissé ses deux index dans le sexe déjà entrouvert d'excitation, et elle m'a dit :
--Regarde bien.
J'ai regardé. Les parois toutes roses, le sexe ouvert jusqu'à l'utérus.
--Elle a envie d'un membre. Tu pourrais te mettre là. Ou bien plus haut, elle a fait, laissant le sexe se refermer partiellement, pour venir appuyer son doigt sur la muqueuse anale, et y rentrer avec une facilité qui disait qu'elle devait régulièrement se faire pénétrer par là, de manières très diverses. Et elle a continué de lui bouffer les lèvres, en même temps qu'elle venait frotter un gland clitoridien qui s'allongeait de minute en minute, impressionnant.
J'ai choisi de faire le tour de la situation. Je voulais tout voir avant de tenter quelque chose.
J'ai contourné le divan. Regardant le ventre de l'autre fille. Une toison rousse, bien épaisse, bien fournie, un sexe dilaté naturellement, pas besoin de l'ouvrir, des lèvres par contre plus courtes, dessinées différemment... Ce qui la caractérisait elle, c'était qu'elle mouillait abondamment...Une véritable inondation...Ca dégoulinait, de manière vraiment visible, sur ses cuisses, et sur le cuir du divan, le faisant brillant. Une pellicule qui s'étendait.
Ma queue était très dure. Difficile de ne pas les désirer. Elles étaient une sorte d'apex du désir. Je suis revenu à ma position première, et j'ai approché ma queue de la muqueuse anale de la fille. Son vagin était déjà pris par une langue qui la caressait et qui commençait à se glisser à l'intérieur, la faisant gémir de plaisir.
Dans le sexe, rien ne se passe jamais comme prévu. La rousse a délaissé la vulve de la brune, amenant sa langue le long de ma queue. Une langue qui savait caresser. Je ne m'y attendais vraiment pas, et je me suis mis à gémir de plaisir. C'est vraiment très bon et toutes les filles ne se débrouillaient pas aussi bien. Loin de là. Si je n'avais pas su me maîtriser, j'aurais sans doute explosé. Elle est descendue sur mes couilles, a remonté sur mon gland.
--Rentre en elle...Elle adore se faire enculer...Je la connais bien tu peux me croire...
Et elle est revenue sur la vulve dont j'avais contemplé la dilatation pendant qu'elle me caressait. J'ai appuyé mon gland sur sa muqueuse anale et j'ai glissé en elle sans doute aussi facilement que si j'avais pénétré son vagin. C'était toujours bon de prendre une fille par là. Les sensations étaient autres que dans une chatte, c'était plus serré. Je me suis mis à bouger en elle. Sa copine venait d'opter pour une autre tactique, elle faisait aller et venir deux doigts qu'elle avait glissés en elle. Une sorte de pénis rudimentaire, mais efficace. Les doigts c'est souvent très bien pour donner du plaisir. Il y avait en tout cas un bon signal, la mouille qui sortait en jaillissements chaque fois que les doigts revenaient et allaient à fond.
C'est à ce moment-là que je me suis rendu compte que ce n'était pas la réalité, mais un rêve. La conscience du rêve a fait irruption.
Ce n'était pas vraiment un problème, j'aurais pu continuer comme ça, mais comme à chaque fois, il se fragmentait trop vite, et je me retrouvais totalement réveillé, avec la queue raide et douloureuse de désir.
J'ai ouvert les yeux. Sept heures. Le moment de se lever. Ma femme avait déjà quitté le lit pour préparer le petit déjeuner. Dommage. Elle aurait pu au moins me soulager en me masturbant, ou en me prenant dans la bouche. Il y avait entre nous, même si ça faisait longtemps qu'on était mariés, une parfaite entente sexuelle. Et une parfaite entente tout court.
Les rêves avaient commencé à apparaître quatre ans plus tôt, quand j'avais passé cet accord avec la caisse de retraite, qui me permettait, jusqu'à l'âge de la retraite, de toucher une retraite complète, à condition que je ne travaille pas. C'était la possibilité de me reposer, après une carrière pénible, j'avais été chauffeur routier pendant pas mal d'années, par monts et par vaux par tous les temps, et je devais bien l'avouer, j'étais heureux de souffler tout en touchant une retraite pleine, puisque j'avais cotisé très tôt. J'avais mes journées libres, et je pouvais bien en profiter.
Une nouvelle vie sans stress, à se lever un peu plus tard qu'à l'accoutumée, à pouvoir faire une sieste si on avait envie. Et surtout pas mal de temps libre.
Que j'avais vite su comment occuper.
Le hasard, les rencontres, la liberté, mais aussi la conscience chez les autres de cette liberté, et l'envie de venir vers moi qui n'avait pas forcément existé avant.
Je suis parti pour la cuisine. Ma femme préparait le petit déjeuner. Elle s'est retournée vers moi et elle m'a fait un sourire chaleureux.
--Le café est presque prêt. Il y a tout sur la table...
A 59 ans, j'en avais 60, c'était resté une très belle femme, en qui je voyais toujours la femme que j'avais connu quarante ans plus tôt et que j'avais épousée. Contrairement à beaucoup d'autres, elle avait gardé une taille fine, un corps svelte, elle s'entretenait, s’entraînait, elle adorait le sport, et elle savait se faire désirable, avec des tenues sexy.
Là, elle avait passé, elle dormait généralement nue contre moi, un caleçon et un pull lèger.
--C'est plutôt d'autre chose dont j'ai envie pour le moment.
Penchée sur le comptoir, elle lisait le journal sur tablette. Elle aimait le sexe autant que moi, c'était d'ailleurs ce qui nous avait rapprochés, et les années passant, ça n'avait pas changé les choses, au contraire. On aurait dit que, plus on vieillissait, plus on avait envie de sexe.
Quand j'ai attrapé l'élastique du caleçon pour le tirer vers le bas, elle a tendu son cul vers moi, pour mieux s'offrir et pour que je vienne en elle. Elle avait une croupe lourde, très rebondie, coupée en deux par un sillon profond. Juste en dessous, je distinguais parfaitement l'ouverture de son sexe, ses lèvres sorties d'elle. Parfois l'excitation venait très rapidement, et j'ai vu un filet de mouille sortir d'elle, couler le long de ses lèvres pour atterrir sur l'arrière de sa cuisse.
--Fourre-moi, j'ai envie de sexe ce matin.
On était aussi excités l'un que l'autre. Toutes ces années avaient été remplies de moments de sexe inoubliables. C'était l'un ou l'autre qui prenait l'initiative, et il y avait toujours le plaisir au bout.
J'ai posé mon gland gorgé de sang en haut de sa raie, et je l'ai laissé descendre lentement, la faisant gémir. J'appuyais ma queue pour bien sentir le fond de son sillon, et au passage les plissements de sa muqueuse anale. J'ai fait plusieurs va-et-vient, avant de venir appuyer contre sa vulve que ma caresse avait dilatée, la faisant ouverte, mais aussi ruisselante. Je l'ai pénétrée très lentement. Il y avait entre nous une complicité très forte dans le sexe. On connaissait l'autre par cœur, ses réactions, sa manière d'avoir du plaisir, même si cela ne nous empêchait pas d'être surpris. Surtout la jouissance était forte et partagée.
Tout en faisant aller et venir ma verge en elle, frottant contre ses muqueuses, me laissant enivrer par la sensation de sa gaine chaude autour de moi, de ses ruissellements qui lubrifiaient l'action de ma queue, je repensais à ces rêves érotiques qui venaient remplir mes nuits. Ils étaient apparus pile quelques jours après que j'arrête, ils étaient nets, précis, crus, décrivant des situations auxquelles je n'aurais pas forcément pensé. Surtout le schéma était toujours le même. Je ne me rendais pas compte que j'étais dans un rêve, et c'était toujours quand je me rapprochais de la jouissance que le rêve se déchirait et que la réalité s'imposait, cassant ma jouissance et me laissant avec le ventre en feu. Ce n'était pas le problème, il y avait ma femme près de moi.
Sans doute, en tous les cas, que ça avait aiguillonné ce qu'étaient devenues mes journées. J'en avais parlé, un peu gêné, à un pote médecin qui m'avait dit que de tels rêves étaient l'expression d'envies très fortes qui s'exprimaient à présent que j'avais du temps libre. Des envies que même les rapports fréquents avec ma femme n'avaient pu combler.
--Il y a des gens qui ont besoin de peu de sexe, d'autres d' énormément de sexe. A toi de voir dans quelle catégorie tu te classes...
Les mois qui avaient suivi m'avaient permis de me déterminer clairement. Et orienté ma nouvelle existence.
Et pourtant les rêves étaient toujours là, plus chauds, plus intenses que jamais. Différente chaque nuit.
--Je suis entrain de jouir, elle m'a dit.
Comme souvent, elle aimait se frotter, se pincer, se caresser le gland clitoridien, qui, quand elle prenait du plaisir, grossissait de manière impressionnante.
Son corps a été secoué par des spasmes, et elle a éjaculé autour de ma queue, ses jus intimes nous éclaboussant tous les deux...J'ai donné plus d'ampleur à mon mouvement. Elle a poussé un cri plus rauque et plus fort que les autres et s'est immobilisée contre l'élément de cuisine.
On avait nos codes, nos traditions. Elle aimait que je jouisse en elle, sentir mon sperme taper contre ses parois internes et lui donner du plaisir, mais elle aimait aussi venir chercher ma queue quand elle était au sommet de sa dilatation. J'aimais ce moment pour une infinité de raisons, parce que cette caresse me donnait infiniment de plaisir, ma femme savait faire des fellations comme aucune autre, le temps, la pratique, l'expérience, mais quelque chose d'inné aussi, parce que j'aimais la voir me caresser, varier les caresses, coups de langue, faire bouger sa bouche sur moi, mais aussi parce que j'aimais qu'elle laisse couler mon sperme dans sa gorge, et qu'elle vienne ensuite lécher mon gland pour en profiter jusqu'à la dernière goutte.
Quelques rasades de sperme dans son gosier plus tard, elle m'a dit :
--Je fais quelques heures ce matin et cet aprem, je vais faire une rando. Et toi ?
--Comme d'habitude. Tu sais bien que je te raconterai tout. Comme d'habitude.
--On mange ensemble à midi ?
--Je serai sans doute chez Toufik.
--Alors on se verra ce soir.
On a pris notre petit déjeuner ensemble, en discutant de tout et de rien. On avait la chance de s'entendre parfaitement.
Elle adorait les enfants, on en avait eu deux, elle avait fait une carrière d'éducatrice, pas toujours évidente. Elle avait arrêté deux ans plus tôt, mais, comme les enfants lui manquaient, elle en gardait aujourd'hui, en allant chez les gens.
Un baiser et on s'est séparés. Chacun sa trajectoire.
La mienne allait me conduire chez mon ancien employeur.
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Histoire de JamesB

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