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Jean-Loup et Fatiha partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 29/03/2024

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JEAN LOUP ET FATIHA
partie 1
Il y a des moments qui arrivent toujours, qu'on les redoute ou qu'on les souhaite. Comme ceux de la retraite. Début d'une période de dépression pour ceux qui ont construit leur vie sur l'activité dans un métier, ou au contraire ouverture sur autre chose pour ceux qui peuvent enfin s'adonner à leurs passions.
Jean-Loup, c'était et ç’avait toujours été une figure marquante dans cet immense établissement public. Il avait géré pendant des années le stock, ce qu'on appelait le magasin, aux ateliers, de pièces, de matériel. Une immense caverne d'Ali Baba, et on était sûr, chez lui, de pouvoir tout trouver. L'appareil qui n'existait plus, la pièce dont on avait besoin pour réparer. C'était vraiment impressionnant...Sur des étagères, dans des lignes soigneusement établies, tout était disposé.
Mais il était temps pour lui de partir. Il avait transmis les clefs à son successeur, les clefs du royaume, et il était parti, pour revenir une semaine plus tard. Il avait en effet prévu, en guise d'adieu, un gigantesque buffet dînatoire, qui lui permettrait de rassembler tous ceux qui l'avaient apprécié durant ces années. Et ils étaient nombreux. Jean-Loup avait toujours été d'humeur égale, chaleureux et serviable, et nombreux étaient ceux qui le regrettaient.
La rendez-vous était fixé un vendredi soir sur le coup de dix-huit heures trente.
Il avait posé sur les tables tout ce qu'il avait apporté. Car Jean-Loup était un excellent cuisinier. Sucré, salé. Il y en aurait pour tout le monde. Tout autant que de quoi boire, alcoolisé ou non alcoolisé.
Les gens avaient commencé à arriver.
Il y en avait qui venaient de l'extérieur.
Jean-Loup s'était figé quand il avait vu apparaître Fatiha.
Il n'avait pas pensé la revoir.
Cela faisait quatre ans qu'elle était partie.Elle lui avait fait des reproches qui l'avaient marqué, lui disant qu'il ne faisait rien pour que leur relation s'inscrive dans quelque chose de plus durable. Sans même lui laisser le temps de lui expliquer que son statut familial allait changer dans les jours qui suivaient. Ça avait été particulièrement ironique. Elle partait pour rien, et alors qu'il allait lui donner ce qu'elle souhaitait.
En tout cas, en quatre ans, elle n'avait pas changé. Elle était toujours splendide.
Elle s'était faite particulièrement belle. Mais elle était tout le temps belle. Un simple jean, une chemise suffisaient à la mettre en valeur, à souligner ses charmes, ceux d'un corps épanoui et typiquement féminin.
Ce soir-là il avait une dimension supplémentaire et tous les hommes la regardaient avec désir. Elle portait une combinaison de vinyle ultra-moulante qui collait à ses formes pleines, donnant à voir son corps jusque dans les détails les plus intimes, assortie à
de magnifiques cuissardes plissées avec des talons très hauts qui la grandissaient mais aussi la cambraient. Maquillée, coiffée, ce qui n'était pas forcément le cas dans sa vie de tous les jours, elle était désirable. Et elle le savait.
Elle avait tourné un moment, parlant à de nombreuses personnes, avant de venir enfin se poser devant lui.
Certains avaient à ce moment le regard posé sur eux, qui savaient que Jean-Loup et Fatiha avaient été proches. Se demandant ce qui allait se passer. Le giflerait-elle?
Pourtant, il y avait de la douceur dans son regard quand elle lui avait dit:
--Tu vois, je suis revenue.
--Je n'ai jamais compris pourquoi tu es partie.
--Tu étais marié, à l'époque, et j'étais tellement éprise de toi que je voulais une relation qui soit totalement exclusive. Comprenant que je ne pourrais rien avoir, j'ai préféré partir. Mais pas vraiment la joie au cœur.
Ainsi face à face, ils virent toute leur histoire remonter depuis le premier jour. Ce n'était pas qu'ils n'y avaient pas pensé auparavant, au contraire, ces années de séparation avaient été nourries de souvenirs, mais tout revenait à ce moment précis avec une infinie précision.
Il arrive souvent que deux personnes travaillent dans le même ensemble, mais, si celui-ci est relativement grand, elles ne font que se croiser sans vraiment se regarder, jusqu'au jour où...
Fatiha était agent de laboratoire. C'était aussi une jeune femme ravissante, et cela, pas mal de personnes le remarquaient. Elle n'était pas très grande, mais elle représentait une certaine incarnation de la beauté. Elle avait un visage très bien dessiné, avec de belles lèvres charnues, et des yeux noirs immenses. Et son corps était aussi appétissant, avec des formes voluptueuses. Elle dégageait une grâce certaine, et pas mal de sensualité. Et nombreux étaient les hommes dont les regards glissaient sur elle.
Ce qui contribuait à ce que les hommes la regardent sans aucun doute, c'était que, si elle portait des vêtements très pratiques pour venir travailler, qu'elle recouvrait d'ailleurs souvent d'une blouse, elle y associait souvent un élément qui la faisait désirable, par exemple en assortissant un jean avec des bottes à talon aiguille, un tailleur à des cuissardes, un pantalon à un débardeur sous lequel ses seins étaient nus, voire en portant à l'occasion une tenue osée, par exemple une robe très moulante, un pantalon en cuir, une micro-jupe...Il y avaient des hommes qui, autour d'elle, en était-elle consciente, fantasmaient sur elle, rêvaient sur elle, se masturbaient en pensant à elle, jouissaient en ayant son image au fond de leur cerveau...
Elle se faisait souvent draguer, mais elle était très revêche, et elle remettait vite ceux qui voulaient l'amener dans leur lit.
On ne savait d'ailleurs pas grand chose d'elle, de ses relations intimes. Vivait-elle seule ? En couple ? Certains suggéraient même qu'elle n'aimait que les filles...
Elle travaillait au 3eme étage, agent de laboratoire pour le département de physique.
En descendant les étages, au rdc, on pouvait partir sur la droite, encore deux cent mètres, et on se retrouvait dans l'immense repaire des ateliers. Là, il fallait avancer, partir sur la gauche et il y avait cet immense magasin aux allures de caverne d'Ali Baba.
La jonction entre les deux eut lieu un jour quand la jeune femme se rendit compte qu'un autoclave ne marchait plus. Elle demanda à un techniciens de venir. Celui-ci, après examen, lui tendit deux pièces qu'il fallait changer.
--Il faut aller voir Jean-Loup.
Dans un monde où tout était compartimenté, Fatiha ne savait même pas qui était Jean-Loup. Il lui expliqua.
--C'est quelqu'un de très sympa. Il a tout dans son magasin, et certainement les pièces de remplacement.
Ce fut ainsi, qu'en milieu d'après-midi, Fatiha descendit les trois étages pour se rendre aux ateliers.
C'était une de ces journées où elle était extrêmement sexy. Totalement et intégralement. Elle avait un tailleur rouge, avec une jupe très courte, qui dévoilait des jambes vraiment bien dessinées, sans défaut, gainées de nylon, un top noir en dentelle nettement visible sous la veste et une paire de bottes noires neuves, luisantes, à talon aiguille. Le tout caché sous la blouse, mais là elle avait enlevé la blouse et les talons tapaient contre le dallage. Les regards des personnes qui passaient s'accrochaient à elle. Elle était au sommet du désirable, même si, en s'habillant ainsi elle ne cherchait pas à séduire qui que ce soit. Elle n'était pas dans cette logique. Au contraire, elle aimait se rendre séduisante pour se rendre séduisante, simplement pour affirmer sa féminité et se sentir bien. Ça lui suffisait amplement. Elle avait eu l'occasion de sortir avec pas mal d'hommes, mais avait vite été déçue de constater qu'ils envisageaient de se servir d'elle essentiellement comme d'un réceptacle à foutre, sans même se soucier de son plaisir. Depuis, elle vivait une existence détachée de potentielles relations, profitant du moment et des plaisirs que la vie pouvait lui donner, sans que ceux-ci passent forcément par des hommes.
L'atelier était désert à cette heure de la journée. Les cours avaient surtout lieu le matin.et l'après-midi, c'était une plage de calme.
Est-ce parce qu'il y avait ici un sol dur mais sur lequel ses talons résonnaient moins ? En tout cas, il ne l'entendit pas arriver. Elle par contre, elle entendit bien des grognements sourds, qui l'intriguèrent. Elle se dit qu'il se passait quelque chose dans le magasin. Se demandant quoi. Quelqu'un avait un malaise? Elle comprit plus tard que c'était un malaise d'un type très particulier...
En alerte, elle avança plus doucement, se collant au mur et s'efforçant de faire en sorte que ses talons ne tapent pas sur le sol.
Elle arriva enfin devant l'entrée du magasin dont la grille était ouverte pour un battant.
Et ne fut pas déçue par le spectacle qui lui était offert.
Elle découvrait pour la première fois les ateliers. L'alignement, sur une zone très large, des étagères remplies d'objets très divers et au premier plan, mais un peu décalé en arrière, le bureau du fameux Jean-Loup, encombré d'objets lui aussi. Un PC était posé sur le bureau, et elle voyait l'homme de manière décalée. Il fixait l'écran et sa main allait et venait de manière régulière le long d'une queue en pleine érection qui se dressait contre son ventre, vraiment impressionnante.
Elle se rendit compte qu'elle avait effectivement déjà croisé Jean-Loup, sans réellement l'identifier. Une cinquantaine bien avancée, il portait une superbe moustache soigneusement taillée, qui le faisait ressembler à Tom Selleck. Tout comme l'acteur américain, il était grand, et sans doute avait-il voulu cultiver une certaine ressemblance avec lui en se laissant pousser la moustache, il était athlétique, et on voyait bien que son corps était très musclé. Il maniait régulièrement des haltères sans aucun doute, ou allait à la salle.
Et il avait une queue splendide.
Ce moment fut, pour Fatiha, une sorte de point de rupture.
Elle était arrivée, jusqu'alors, à une sorte d'équilibre, une vie sans sexe, pensant qu'elle était heureuse ainsi, et que cet équilibre pourrait se maintenir à l'infini.
La vue de cette queue en pleine érection fit voler en éclats cet équilibre. En quelques secondes tout fut remis en question. Les symptômes physiques explosèrent littéralement en elle, d'une rare violence, dont elle eut conscience, et qui lui dirent clairement, elle était lucide, qu'elle avait trop longtemps repoussé ses envies de sexe, et qu'on ne pouvait pas vivre sans. Il eut ce point brûlant dans son ventre, qui s'élargit et vint remplir son corps en quelques instants, la manière dont son sexe se dilata, elle le sentit littéralement s'ouvrir, mais aussi ce jaillissement de liquide intime, qui vint tremper son collant, qu'elle portait sans culotte, d'abord un jet, une éjaculation, et ensuite un écoulement continu, abondant, qui la trempa littéralement. Elle songea qu'elle avait heureusement toujours des collants de rechange dans sa voiture. Et que son corps lui faisait comprendre qu'elle avait renoncé au sexe trop longtemps, que c'était un besoin.
Comme guidée par une force qui la traversait, se sentant à la fois étrangère à elle-même et en parfaite harmonie avec ses envies et pulsions, elle pénétra dans le magasin. Jean-Loup fut surpris, autant par son irruption que de voir une aussi jolie fille, il l'avait bien sûr déjà croisée, surgir devant lui. Il y eut un moment de chaos. Il était calé devant son site favori et il regardait des photos pornos. Il avait sous les yeux deux magnifiques blondes qui étaient l'une et l'autre assises sur des hommes qui avaient mis leur sexe dans leur anus, et elles regardaient la caméra en souriant. Jean-Loup aimait se branler en regardant du porno comme pas mal d'hommes, mais il avait une nette préférence pour les photos, car il aimait détailler les détails, les expressions, le dessin d'un corps...
Il eut la sensation bizarre que la fille qui arrivait devant lui sortait d'une de ces photos. Sa tenue était troublante, ces tenues que les porn stars affichaient avant de se dépoiler rapidement, mais aussi, il lui confia par la suite, Fatiha ressemblait à une porn star active pour le moment.
Cette idée, qu' une porn star surgisse du néant pour venir lui rendre visite, le troubla, et lui fit cracher des jets de sperme, sans qu'il débande pour autant.
Fatiha se posa sur le rebord de la table, et lui dit:
--C'est triste de faire l'amour tout seul...C'est bien que je sois là pour t'aider...
Et sans la moindre hésitation, poussée par la frustration, le manque, elle se pencha vers lui pour attraper sa queue et la masturber.
Jean-Loup était déjà bien avancé dans la jouissance, mais il parvint à se retenir. Il voulait profiter de cette main, chaude et douce, qui tournait sur lui, et le caressait avec autant de vigueur que d'habileté. Profiter aussi de la vision qui s'offrait à lui. Cette fille magnifique, gainée par le nylon d'un collant qui galbait des jambes magnifiques, sous lequel elle n'avait pas de slip, laissant voir un sexe bien entrouvert, lèvres gonflées écrasées contre le nylon qui brillait sur une large surface des sécrétions qui coulaient d'elle. Mais le reste était aussi attirant, la beauté de son visage, sa silhouette, mise en valeur par la robe collante...Il se souvenait bien de l'avoir croisée, et de l'avoir trouvée jolie...Sans vraiment la regarder, et c'était bien dommage...Il se rendait compte à présent à quel point elle avait du charme...Elle aurait pu être une porn star sans problème...
La suite le lui confirma. Ce qui se passa entre eux aurait fait une excellente scène dans un porno.
Elle savait masturber, alternant les rythmes pour éviter qu'il ne jouisse, faisant même des pauses.
Il ne devait pas éviter ce qui se passa dans les secondes qui suivirent.
Si Jean-Loup regardait du porno et se branlait, c'était parce que sa vie sexuelle était réduite à néant. Sa femme et lui ne faisaient plus l'amour depuis une dizaine d'années. Il y avait eu un tournant après la naissance de leur deuxième enfant. Jeanne avait été une jeune femme hyper attirante. Elle l'était toujours même si elle avait pris un bon paquet de kilos après la première naissance et ne les avait jamais reperdus.
Il y avait eu ce jour fatal où elle lui avait dit:
--Je ne veux plus qu'on fasse l'amour ensemble. Rassure-toi, je ne vais pas avec un autre homme. Mais le sexe, pour moi, c'est fini.
Il s'était retrouvé seul, alors qu'il avait encore très envie de sexe. Totalement désemparé, il n'avait jamais pensé avoir recours à une autre fille. Pour lui, ça aurait été une trahison. Car il aimait sincèrement son épouse.
Et tout cela volait en éclats aujourd'hui.
Fatiha roula sa jupe à sa taille, donnant encore une meilleure vision de son ventre nettement visible à travers le nylon...La dilatation de son sexe, ouvert sur du rose, une toison bien fournie qu'elle avait choisi de garder mais soigneusement taillée, qui montait verticalement sur son ventre, et une croupe très charnue, comme Jean-Loup les aimait.
Jean-Loup comprit très vite sa stratégie. Elle passa ses jambes de part et d'autre des cuisses de Jean-Loup, de telle manière que son sexe, séparé de celui de l'homme par le nylon, soit en contact avec le sien. Une manière de safe sex, mais aussi un contact diablement excitant, qui prit rapidement forme. Contre son gland, le nylon du collant, agaçant ses chairs, et, au-delà, la chaleur et l'humidité d'un sexe féminin qui en devenait béant.
C'était un moment intense. Ni l'un ni l'autre, chacun dans un processus pas vraiment heureux, n'aurait imaginé connaître un moment aussi fort, aussi troublant. Pour Jean-Loup, c'était quelque chose d'inespéré, que sa femme ne lui aurait pas donné. Qui avait plutôt les contours des pornos dont il se délectait. Pour Fatiha, c'était autre chose encore, un retour à la normale après une longue période sans plaisir d'aucune sorte.
Tenant le membre volumineux d'une main, elle le faisait peser contre son entrejambes, et le promenait contre son ouverture. Elle sentait bien, et ça la rendait à moitié folle, la caresse de l'énorme gland contre son sexe, contre ses lèvres, contre l'intérieur de ses muqueuses qu'il frôlait, contre son gland clitoridien, énorme et tout décalotté, et c'était vraiment très bon...Apparemment sentir les muqueuses de la jeune femme contre lui procurait aussi beaucoup de plaisir à l'homme.
Elle eut envie de tenter quelque chose d'autre. Maîtresse du jeu, elle cala le gland pile au milieu de son sexe que les montées d'excitation avaient fait très ouvert et elle se laissa descendre sur lui. Bien sûr le collant empêchait une réelle pénétration, mais le lycra était très élastique, et le membre rentrait en elle un peu plus à chaque nouveau mouvement, sans le risque de jets de liquide à l'intérieur...C'était bon, mais elle sentait aussi que l'homme allait bientôt jouir, et elle remonta un peu, pour une dernière tactique. Etirant le collant, facile avec l'élasthanne, elle vint en entourer le membre viril qui n'avait pas encore été aussi gros, et elle le masturba. Un torrent de sperme, libéré, spasme après spasme, vint maculer d'un blanc crémeux le nylon sombre. Elle se rendit compte en relâchant la verge que le sperme avait maculé la face interne du collant. Le ramenant contre elle, elle vit que la semence venait maculer de blanc sa toison pubienne. Ça l'amusa et l'excita à la fois, et elle frotta d'une main le nylon contre le buisson sombre, en même temps qu'elle se donnait du plaisir, elle était au bord de l'orgasme, mais elle n'avait pas encore joui, et elle frotta son gros gland clitoridien qui, rempli de sang, lui faisait une sorte de micro-pénis excitant à voir, et jouit en éjaculant, trempant le collant de liquides qui coulèrent à l'intérieur de ses cuisses. Elle pourrait, non seulement changer de collant mais aussi se nettoyer.
Ils se rajustèrent tous les deux, lui rangeant sa queue qui peinait à dégonfler, elle redescendant sa jupe. Le temps de prendre une contenance, et elle lui dit:
--Bonjour, je m'appelle Fatiha, je travaille aux labos du 3eme étage, j'aurais besoin de pièces pour un autoclave. Vous avez ça ?
Elle lui tendit les deux pièces. Difficile d'imaginer que quelques secondes plus tôt, leurs sexes se frottaient.
--Je dois avoir ce qu'il faut. Attendez-moi.
Il disparut à l'arrière...C'était...Fou...Ce rapport inattendu qui l'avait rendue...Si heureuse...
Il revint avec les deux pièces convoitées.
--Vous avez de la chance. Tenez.
--Vous êtes un magicien !
--Vous aussi, vous êtes une magicienne, lui répondit-il, mais elle comprit bien qu'il faisait allusion à tout autre chose, et elle rougit.
--Je vous remercie. Bonne journée.
Leurs regards s'accrochèrent. Mais rien de plus ne fut dit, et elle s'éclipsa.
Elle passa la soirée à se masturber en repensant à ce moment, proche d'elle et en même temps totalement irréaliste. Elle n'avait qu'une envie, retourner voir Jean-Loup. Il y avait eu quelque chose de très fort entre eux. Rien à voir avec ce qu'elle avait connu avant. Elle avait le sentiment qu'il la respectait totalement. Ils étaient sur un même pied d'égalité, et avec un terrain d'entente, le sexe.
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Histoire de JamesB

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