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La leçon de tango

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Lue : 1795 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/09/2014

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Pour Elyza, la vie se résumait à son travail, sa famille qui la rendait folle et son chat. Pas de quoi fantasmer… Jusqu’au jour où, sans savoir pourquoi, elle entra dans cette école de danse de salon.

Les danseurs apprenaient le tango. Pendant plusieurs minutes elle fut incapable de bouger, captivée par la sensualité des corps et de leurs mouvements. Elle se rendit à peine compte qu’on lui parlait.
« Mademoiselle ? Etes-vous là pour le cours ? Vous cherchez un renseignement peut-être ? » L’homme qui parlait à Elyza était d’une beauté saisissante. Et son air moqueur ajoutait à son charme. Elle le dévisageait, ne sachant quoi répondre. Grand, musclé sans trop l’être, un bronzage parfait, les cheveux brun foncé et des yeux chocolat.
« Oui, je voudrais m’inscrire. » Dit-elle étonnée par ses propres paroles. Le reste des démarches se fit comme dans un rêve. L’homme au regard chocolat lui dit qu’elle suivrait le cours pour adulte tous les mardi soir de 21h à 23h.

Plusieurs semaines s’écoulèrent et Elyza n’osait pas y aller. Enfin, elle prit son courage à deux mains et y alla. Le cours avait déjà commencé. Elle resta sur le côté. Visiblement le jean-débardeur-basket n’était pas la tenue conforme à la pratique de cette danse. Elle pensait s’en aller mais ses yeux tombèrent sur l’homme à qui elle avait parlé la dernière fois.

Il dansait avec une femme qui, sans aucun doute possible, cherchait à le mettre dans son lit. Sans grand succès puisque « yeux-chocolat » ne se concentrait que sur sa danse. Les yeux mi-clos il faisait bouger sa partenaire, ses mouvements étaient sensuels et fluides, Elyza rougit en regardant ses mains, puis ses hanches, son dos et ses épaules, elle pensait malgré elle aux autres activités qu’un homme comme lui pourrait faire avec autant de plaisir et de sensualité. Les autres personnes présentes se mirent en couple et tentèrent d’imiter ses mouvements. 23h arriva sans qu’Elyza n’y prenne garde. Elle s’esquiva pendant que les autres rangeaient leurs affaires.
« Mademoiselle Night, vous vous êtes enfin décidée à nous rejoindre ! C’est très aimable à vous ! »

Elle se retourna, et vit l’homme sur qui elle venait de fantasmer, les mains posées sur les hanches, un regard moqueur et un sourire sur les lèvres. Pas chaleureux, plutôt celui de prédateur qui s’apprête à fondre sur sa proie.
« Mademoiselle Night, dansez avec moi. »
« Non, merci… Je dois y aller » fut tout ce qu’elle fut capable de souffler.
« Mademoiselle Night, pourquoi vous êtes-vous inscrite à ce cours si ce n’est pour apprendre à danser ? Je ne le dirai qu’une fois, dansez avec moi. »

Elyza posa son sac et l’envoya dans un coin de la salle, le faisant glisser souplement sur le parquet. Elle s’approcha doucement de l’homme, ne sachant à quoi s’en tenir. Elle s’arrêta devant lui. Il l’a dévisageait, il n’aimait pas sa tenue.
« Je m’appelle Lukas. Vous avez beaucoup de retard à rattraper, c’est pourquoi vous danserez avec moi de 23h à minuit. Enlevez vos chaussures, vous danserez pieds nus à défaut de talons. » Les baskets et chaussettes partirent rapidement.
Lukas s’approcha et saisit les hanches d’Elyza.
« Détendez-vous… Le tango est une danse sensuelle, vous ne la danserez jamais en étant aussi coincée. » Il s’approcha d’elle au point que ses seins effleuraient son torse à travers leurs vêtements. Elyza retenait son souffle. Cela faisait longtemps… Trop longtemps…

« Mademoiselle Night, concentrez-vous un peu… »
« Je me concentre » dit-elle, tout en pensant qu’elle le faisait mais sur autre chose que le tango…

Luka commença à la faire bouger, tout doucement, pour lui montrer les mouvements de base. Elle frissonnait, leurs corps étaient l’un contre l’autre et elle avait de plus en plus de mal à se concentrer. Elle lui marcha sur le pied pour la quatrième fois et il s’arrêta.
« Nous allons essayer une autre méthode… » Il alla au fond de la salle et revint avec un bandeau noir qu’il lui mit sur les yeux avant qu’elle ait pu protester.
« Laissez-vous porter par la musique et laissez-moi vous guider » dit-il d’un ton qui ne laissait aucune place à un refus.

Il l’a repris par les hanches, ses bras à elle posés sur ses épaules. Les mouvements reprirent, lentement. Puis elle commença à sentir ses doigts la caresser en même temps qu’il la guidait. Une main se rapprochant de ses fesses, l’autre remontant le long de ses côtes pour venir effleurer ses seins…
« Vous voyez Mademoiselle Night, le tango c’est comme le sexe, il faut vous lâcher… »

Elyza ne répondit rien, elle frissonnait, elle se demandait jusqu’où irait ce professeur si peu conventionnel.

Les mains de Lukas ne bougeaient plus de là où elles étaient placées. Il faisait bouger Elyza et en profitait pour la regarder alors même qu’elle ne pouvait pas le voir. Il avait envie de lui enlever son débardeur, d’enfouir sa tête dans sa poitrine généreuse, de lécher et mordiller ses seins et après... Mais il ne savait pas jusqu’où elle était prête à se laisser aller avec lui, alors il continuait de presser son corps contre le siens, se faisant de plus en plus caressant, de plus en plus pressant, tout en maintenant une certaine douceur. Il se sentait durcir au fur et à mesure qu’elle se laissait aller contre lui. Elle était belle, les joues colorées, le souffle un peu court, la bouche entrouverte. Si seulement il pouvait y plonger sa langue et l’explorer…

Elyza se laissait porter, cet homme l’excitait et elle avait dû mal à le cacher, elle se laissait aller contre lui, totalement désinhibée. Il l’a fit pivoter, en la faisant tourbillonner rapidement et sans savoir comment elle se retrouva collée contre son torse, ses fesses au creux de ses hanches, collées à une magnifique érection. Elle frissonna. La joue de Lukas vint se coller à la sienne, sa main gauche descendit sur son ventre se calant sur sa hanche, la droite poursuivit son chemin juste sous ses seins, son pouce se plaçant entre les deux, il l’empêchait de s’éloigner de lui et continuait de la guider.
« Jusqu’où me laisserez-vous vous guider Mademoiselle Night ? » lui souffla-t-il à l’oreille.

Elle senti sa langue l’effleurer et sursauta. Elle ne savait quoi lui répondre.
« Alors Mademoiselle Night ? » insista-t-il tout en caressant un de ses seins avec le pouce, son menton râpeux dans son cou la rendait folle.
« Je ne sais pas… »

La musique s’arrêta, Lukas s’éloigna d’un pas rapide. Elyza ne bougeait pas, elle risquait de s’écrouler tant la tête lui tournait.
« Cela suffira pour ce soir Mademoiselle Night, vous pouvez partir. » Le ton était froid et cassant, elle ne comprit pas. Elle ôta le bandeau, frustrée et gênée. Plus personne dans la salle, elle rougit en songeant qu’elle venait de s’abandonner totalement à un inconnu, se hâta de remettre ses baskets et fila en courant.

Cette nuit-là elle ne parvint pas à dormir. Même après avoir jouit trois fois elle se sentait encore frustrée, son bas ventre la picotait… Et elle se demandait si elle oserait retourner à l’école de danse après cette soirée.

Elyza y retourna la semaine suivante, plus par défi pour elle-même qu’autre chose. Cette fois-ci elle avait mis une jupe blanche qui lui descendait jusqu’en haut des genoux, des petits talons et son éternel débardeur, rouge avec une bande de dentelle noire juste sous les seins pour les souligner. Légèrement maquillée, ses cheveux aux reflets cuivrés détachés lui chatouillaient le menton. Coupés courts, ils bouclaient naturellement et contrastaient avec ses yeux verts. Elle arriva à l’heure cette fois-ci et rencontra donc les autres participants au cours. Luka la regarda à peine, et elle s’employa à faire de même.

Pendant les deux heures de cours elle dansa avec autant de partenaires que possible, les mouvements de base devenant de plus en plus simple bien qu’ennuyeux en comparaison de ceux de la semaine dernière. Et pendant qu’elle dansait, son esprit s’égarait et repensait au corps de Lukas. A ses mains sur elle, à son sexe qu’elle avait senti contre ses fesses malgré son jean.

C’est ce moment que choisit Lukas pour arrêter la leçon. Les élèves soupirèrent, récupérèrent leurs affaires et partirent.

Elyza, elle, prenait tout son temps. Elle se sentait frustrée, pas une fois Lukas ne s’était approchée d’elle, ne lui avait fait une remarque…elle ramassa son sac et s’apprêtait à partir lorsqu’elle sentit qu’on la tirait vers l’arrière et qu’on lui bandait à nouveau les yeux.
« Qui vous a permis de partir Mademoiselle Night ? » souffla le professeur à son oreille. Il l’a serrait durement contre lui. « Vous avez dansé avec tous les hommes de ce cours, à mon tour maintenant. » Il l’entraîna sur la piste, remit la musique et la danse repris. Cette fois-ci il ne la ménageait pas, comme si il était vexé de l’avoir vu danser avec autant d’hommes. Il accélérait le rythme, elle trébucha et se retrouva dans ses bras. Il l’a rattrapa sans douceur et en la gardant serrée contre lui, lui dit :
« Faites un peu attention Mademoiselle Night, vous avez beaucoup à apprendre pour rattraper les autres ! »

Elyza était électrisée et en colère, elle ne supportait pas d’être traitée de cette façon et en même temps en était excitée, cela la troublait, elle se senti obligée de le provoquer.
« Eh bien apprenez-moi alors ! Quoique… Si vous ne vous en sentez pas capable, je devrais peut-être prendre mes cours ailleurs… » Elle sentait le regard brulant de Lukas à travers le bandeau, ses mains se crispant légèrement sur elle. D’un coup il la retourna, les remettant dans la position de la semaine dernière.
« Voyons voir ce que vous pouvez apprendre… » Et à nouveau ses mains la caressaient, son menton se baladait dans son cou. Sa respiration se faisait haletante mais elle ne se laissait pas faire cette fois, sa main droite passa dans son dos, derrière ses fesses et elle se mit à caresser ce sexe qu’elle désirait depuis une semaine.

Lukas s’amusait beaucoup, cette femme s’avérait bien moins coincée qu’il ne le pensait, et quand elle l’avait provoqué son sexe avait durci d’un seul coup, s’allongeant et grossissant comme jamais. Il l’avait retourné et avait recommencé à jouer avec elle. Elle était en jupe, son membre se nichait aisément entre ses fesses. Que faisait-elle ?! Elle venait d’attraper son pénis à travers son pantalon et le caressait sensuellement. Il ralentit le rythme, un de ses bras la maintenait contre lui au niveau du ventre l’autre descendait sur sa jupe et la remontait pour pouvoir caresser sa jambe puis ses fesses. Elle ne portait qu’un string en coton blanc en dessous, déjà mouillé…

Elyza se sentie transportée puis assise sur une barre de bois, comme tous les studios de danse celui-ci avait l’équipement adéquat pour le travail à la barre. Elle sentie sa jupe remontée par les mains chaudes de Lukas, elle enroula ses jambes autour de sa taille, toujours en musique… La tête de l’homme aux yeux chocolat se nicha entre ses seins. Il râla à cause du débardeur et lui fit enlever. Puis il saisit un de ses seins et commença à l’aspirer dans sa bouche. Elyza gémit, et resserra ses jambes autour de lui…

Son soutien-gorge vola à travers la salle, elle était maintenant à moitié nue, dans les bras d’un homme qu’elle ne connaissait pas et n’aspirait qu’à une chose, que cela ne s’arrête pas... Mais elle fut déçue. Il ne bougeait plus, ne la touchait plus, sa tête touchait le miroir derrière elle, elle avait dû mal à reprendre sa respiration. Lentement elle desserra ses jambes. Elle l’entendit reculer, elle descendit lentement, enleva le bandeau et se rhabilla.
« Je te ramène chez toi, il est tard » dit-il d’une voix rauque.
« Non, je préfère marcher. » Elyza se sentait honteuse, quelle idée elle avait eu de s’inscrire à ce cours puis de laisser cet homme la toucher comme il l’avait fait. Elle se sentie soulever de terre et balancée sur une épaule. Il ne lui laissait pas le choix. Elle avait ses affaires et il l’avait, elle.

Lukas déposa Elyza devant sa voiture, lui disant de monter. Elle ne discuta pas, elle refusait de le regarder et de lui parler. Loin de l’énerver cela l’excitait encore plus. Elle boudait.
Le trajet fut court, le silence étant de temps à autre interrompu par les indications d’Elyza. Elle lui ordonna de s’arrêter, il se gara, elle descendit de voiture, sa jupe révélant le galbe de ses jambes, moulant ses hanches larges et ses fesses rebondies. Il contint un soupir, la regarda claquer la portière.
« Et merde ! »

Elyza entendit une portière claquer derrière elle en même temps que le juron sonore, puis un corps se coller contre elle dans son dos. Elle se raidit, elle ne voulait pas que ça recommence, elle ne voulait plus jouer ce soir, elle se dégagea, trouva ses clefs et entra dans le vestibule de l’immeuble. Lukas la suivit, et l’a repris dans ses bras. De surprise elle avait passé les bras autour de son cou.
« Quel étage ?! »
« Pose-moi. »
« Quel étage Mademoiselle Night ? »
« Pose-moi… Maintenant… »
« Mademoiselle Night, soit vous me répondez soit je vous prends ici-même dans ce vestibule et vous ferai jouir suffisamment fort pour que tous vos voisins soient réveillés. »

Une vague de désir fit trembler Elyza, Lukas attendait une réponse et elle le vit sourire férocement, et commencer à la presser contre lui, à la caresser sous sa jupe, remontant sa main et atteignant son string.
« Dernier étage ! » Dit-elle dans un souffle juste avant qu’il ait pu lui retirer le précieux sous-vêtement.

Lukas ne réfléchissait plus, il voulait cette femme, maintenant. Le trajet en ascenseur lui sembla bien trop long, il voulait la déshabiller, la sentir contre lui la faire jouir… Et recommencer. Il commencerait par la punir d’avoir refusé qu’il la ramène puis de l’avoir provoqué dans le vestibule… La nuit promettait d’être délicieuse…

Elyza ne bougeait pas dans les bras de Lukas, elle avait fermé les yeux, se concentrant pour ne pas s’abandonner et en même temps elle ne sentait plus que son corps contre le sien. Elle remua un peu et il l’a serra un peu plus contre lui, sans la regarder, il fixait l’affichage des étages, ses yeux luisaient et elle crut voir un sourire sur ses lèvres pendant un instant. Enfin ils furent arrivés au dernier étage. Elle lui indiqua automatiquement la porte de chez elle et l’ouvrit une fois devant. Doucement, en prenant le temps de la faire glisser contre son érection, il la déposa sur le plancher. Elle avança, posa ses affaires pendant qu’il entrait sans un mot et refermait la porte.

« Déshabillez-vous Mademoiselle Night » furent les seuls mots qu’il prononça.

Elyza se retourna vers lui, un sourire aux lèvres, et lui fit non de la tête. Puis elle partit en direction de la cuisine, se servit un verre de vin blanc et avança en direction de la salle de bain. Elle le vit dans le miroir, il avait avancé suffisamment pour la garder à l’œil. Tout en lui tournant le dos elle commença à se déshabiller. D’abord les chaussures, puis le string, le débardeur, puis le soutien-gorge. Elle but une gorgée de vin et fit mine de fermer la porte mais il l’en empêcha.

Il ne tenait plus, son effeuillage lent et savamment exécuté l’avait excité au plus haut point. Il s’agenouilla devant elle lentement et lui enleva sa jupe, ses mains la caressant. Il voyait ses genoux trembler, elle avait fermé les yeux et se tenait à ses épaules. Il se releva, et tandis qu’elle entrait dans la douche il se déshabilla. Il regarda autour de lui, attrapa une serviette et entra dans la douche. Elyza avait les yeux fermés sous le jet brulant. Il l’a tourna face à lui lentement, mouilla la serviette et avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit il lui attacha les mains avec au support surélevé du pommeau de douche. Elle était à présent nue, trempée, les bras au-dessus de la tête et entièrement à sa merci… Il la regarda longuement tandis qu’elle le fixait, attendant de savoir quel serait son supplice. Il aimait ses hanches un peu larges et ses fesses, quelques kilo en trop qui faisaient qu’elle était taillée pour le sexe, son ventre aussi, et ses seins, des seins qui lui faisaient tourner la tête… D’après ses estimations, un 95D. Son cou fin, sa bouche rose, qui semblait être le pays de merveilles… Et elle aussi le détaillait, il l’a voyait poser les yeux sur ses épaules, son torse, puis sa verge qui tressauta à cause de la vague de désir qui le submergeait…
« Et maintenant ?! » dit-elle pour le provoquer.
« Maintenant… Voyons voir, je vais commencer par te savonner, mes mains passeront partout sur toi. Puis je te rincerai, et une fois que ce sera fait je te porterai jusque sur ton lit et là je lécherai toute les gouttes sur ton corps, dans le moindre recoin… »

Elyza ferma les yeux, ces paroles l’avaient ébranlée et elle n’était plus qu’un corps remplit de désir. Elle l’entendit ouvrir la bouteille de gel douche, l’eau coulant toujours sur leurs corps, puis il commença à la laver. Commençant par les pieds et remontant lentement le long de ses jambes, se rapprochant de son sexe sans toutefois y toucher... il passa à son ventre, son dos et ses fesses, tournant toujours autour de son sexe sans jamais y toucher à tel point qu’elle en gémit de frustration, ce qui le fit rire.
« Soyez patiente Mademoiselle Night… »
« Et si tu m’appelais Elyza… »
« Non » répondit-il en titillant ses seins, « maintenant écarte les jambes Mademoiselle Night…»
« Commence par m’appeler Elyza… » Son ton était sans appel mais cela ne fit que l’exaspérer, aussi il se rapprocha d’elle et commença à mordiller son cou. Elyza se détendit immédiatement et sentie la main de son amant glisse sur son bas ventre puis contre la moiteur de son sexe. Lentement sa paume pressait son clitoris en des mouvements de va et vient et au moment où elle gémit encore il la souleva par les fesses, la ramenant contre lui. Elle enroula ses jambes autour de sa taille et senti le membre désiré coulisser contre son sexe, puis entre ses fesses lorsqu’il la plaqua contre son ventre. Il s’appliquait à faire de petit mouvement de va et vient tandis qu’il lui lavait les cheveux puis la rinçait, lui donnant un avant-goût de ce qu’il allait lui faire…

Lorsque toute la mousse eut disparu de leurs corps il l’a détacha et la sortie de la douche. Elyza prit une serviette et sortie de la salle de bain. Elle marchait devant lui, se séchant les cheveux, en direction de la chambre. Lukas la suivait, son regard brûlant posé sur ses fesses. La porte de la chambre était ouverte, aussi Elyza laissa tomber la serviette et alla directement allumer les deux bougies colorées posée sur la commode. Elle sorti ensuite une boite du premier tiroir, et de cette boite : un bandeau, des liens de tissus et de l’huile de massage.
« A mon tour Lukas… » Dit-elle en se retournant vers lui. Les yeux mi-clos il l’a laissa approcher puis d’un seul coup la renversa sur le lit, tout son corps pesant sur elle. Il lui prit les liens et l’huile de massage puis lui dit de se mettre sur le ventre. Elle obtempéra et d’elle-même approcha ses mains des barreaux du lit.

Il l’attacha de telle façon qu’elle ne pourrait se libérer par elle-même. Elle le sentait contre elle, il s’était mis à califourchon sur ses fesses, et après quelques minutes elle commença à sentir ses mains bouger dans son dos en caresses sensuelles et chaudes. Il la massait, ses mains passant sur chaque centimètre de son corps… Elle frissonna lorsqu’elle le senti se pencher vers elle, son sexe était enduis d’huile et s’était glissé entre ses fesses en même temps qu’il se penchait pour venir mordiller sa nuque et son épaule. Il passa doucement une de ses mains sous son corps et attrapa un sein qu’il pressa doucement, son autre main appuyé sur le matelas, il bougeait lentement contre elle… Elyza déjà excitée tenta de se libérer… Elle le voulait en elle, pas sur elle… Il l’empêcha de bouger en mettant un peu plus de poids sur elle. Et continua de la torturer délicieusement.

Lukas adorait le corps d’Elyza, il sentait sa température monter au fur et à mesure qu’il la touchait, la caressait. Sa respiration se faisait haletante, elle essaya de se retourner mais il l’en empêcha en pesant de tout son poids sur elle. Il était parfaitement placé pour pouvoir aller et venir entre ses fesses tout en lui mordillant la nuque ou le lobe de l’oreille ou la goûter du bout de la langue. Il la sentait frissonner, il la vit enfouir la tête dans un oreiller et pousser un gémissement étouffé, elle craquait déjà. Etait-elle hypersensible ? Il allait se régaler, la faire crier de plaisir et elle le supplierait pour qu’il l’achève…

Elyza sentait le corps de Lukas peser contre elle alors même qu’il continuait ses mouvements de va et vient entre ses fesses et, même s’il avait l’air de se maîtriser, elle sentait son cœur s’accélérer et sa respiration se faisait de plus en plus hachée. Elle aimait le mouvement de ses hanches et de son sexe, cette main brutale sur son sein et cette langue dans son cou. La tête lui tournait, elle avait presque oublié à quel point ces sensations pouvaient être bonnes… Elle avait la tête enfouie dans l’oreiller, ses gémissements se faisaient de plus en plus fort et elle n’y pouvait rien, elle ne parvenait plus à bouger, ni ses mains liées, ni le reste de son corps bloqué par celui de son magnifique amant.

Elle sentie qu’il bougeait, la main qui tenait son sein remonta le long de son bras gauche et la détacha, puis détacha son autre bras. Il se souleva un peu et elle en profita pour se retourner sur le dos. A peine eut-elle bougé qu’il aspira un de ses seins dans sa bouche, léchant et mordillant son téton qui durcissait de plus en plus, alors qu’elle croyait ne pas pouvoir en supporter davantage il alla s’occuper de l’autre sein et une de ses mains descendit sur son ventre tandis que l’autre retenait les deux siennes au-dessus de sa tête. Il commença par titiller son clitoris avec le pouce puis glissa sa main plus profondément pour enfin insérer un doigt puis deux en elle, en même temps qu’il mordillait son sein. Il bougea à peine en elle qu’Elyza connu le premier orgasme de cette nuit… Il resta en elle pendant tout le temps ou son corps trembla de plaisir, ses muscles pelviens se contractant anarchiquement autour de ses doigts.

Luka souriait, cette femme était vraiment facile à faire jouir et ce n’était que le début… sa bouche descendait sur son ventre, il y passait la langue ou parfois les dents, la faisant frissonner, il avait lâché ses mains et elle lui caressait les cheveux à présent. Arrivé à son pubis il commença par l’embrasser tout doucement, en descendant mais sans aller là où elle le voudrait. Enfin, il se décida à y aller lorsque dans un gémissement elle lui dit : « je t’en prie… ».

Tandis que ses doigts s’agitaient lentement en elle, sa langue alla titiller son clitoris lui arrachant un cri de plaisir… Il eut envie de la frustrer et se releva.
« Bien Mademoiselle Night, nous arrêterons là pour ce soir ! »
« Non ! » cria Elyza. Elle refusait que cet homme joue ainsi avec elle et son désir. Il était à genoux sur le lit, et en se relevant brusquement elle leur fit perdre l’équilibre, ils tombèrent sur le tapis moelleux posé au pied du lit. Elle posa les mains sur ses bras et s’y appuya de toutes ses forces. Il était nu sous elle il ne bougeait pas un muscle et la regardait, gourmand. Il l’avait agacé et sans attendre quoi que ce soit de sa part elle s’empala d’un coup sur son sexe dressé. Celui-ci avait une belle taille et un diamètre un peu large pour elle qui n’avait pas fait l’amour depuis un moment, aussi elle ne bougea plus pendant un moment, laissant à son corps le temps de s’adapter… Lentement elle fit jouer ses muscles autour de lui et commença lentement à bouger. Il laissa échapper un gémissement étouffé et serra les poings, elle voyait qu’il ne tiendrait pas longtemps, il ne s’attendait pas à ce qu’elle soit aussi étroite. Elle commença donc par de petit mouvements de va et vient et les allongea au fur et à mesure, toujours avec lenteur, en serrant ses muscles internes chaque fois qu’elle remontait… Elle le sentait se crisper de plus en plus sous elle et il les fit basculer de sorte qu’il se trouvait à nouveau au-dessus.

Lukas savait qu’il ne tiendrait plus longtemps, Elyza était vraiment étroite et l’enserrait tout entier. Il était à nouveau au-dessus d’elle et ne bougeait plus. Il risquait d’éjaculer d’un moment à un autre. La tête dans le cou d’ELyza il tentait de reprendre sa respiration, de se concentrer, et il reprit les mouvements qu’elle avait entrepris, plus courts mais plus forts, elle se rendit vite à lui et finit par jouir après lui avoir demandé d’aller plus vite. Il continua un moment mais les spasmes d’Elyza associés à ses aller-retours eurent raison de sa verge, il jouit en elle et aucun d’eux ne bougea pendant un moment, leurs corps entremêlés reposant sur le tapis.

Elyza venait de jouir une seconde fois, elle se sentait bien et en même temps une vanne venait de s’ouvrir en elle. Elle voulait jouir encore et dans toutes les positions possibles. Elle s’attarda un moment sous le poids du corps de Lukas et finit par remuer, ce qui fit réagir son sexe qui se dressa à nouveau… Ils étaient couverts de son miel et de son sperme. Elle le regarda mais il avait encore les yeux fermés. Elle allait pouvoir faire ce qu’elle aimait le plus au monde…

Doucement, elle posa sa langue sur sa verge et la lécha de haut en bas. Le membre tressautait et trahissait l’excitation de son amant aux yeux chocolat. Elle recommença puis la saisit de sa main gauche. Elle pencha la tête et la mordilla doucement sur le côté et alors que Lukas ouvrait les yeux, elle l’engloutit.

Elle ne bougeait plus et lui non plus, seule sa langue jouait maintenant sur la partie extrêmement sensible, sous le frein, et sur le gland, le léchant, tourbillonnant dessus. Elle retira sa bouche très lentement et reposa son sexe sur son bas ventre. Elle entreprit de le lécher à petits coups de langue jusqu’à ce qu’il soit entièrement débarrassé des dernières traces de leurs ébats. Elle se leva et alla chercher l’huile de massage.

Lukas vit Elyza se mettre à genoux au-dessus de lui, de l’huile de massage plein les lèvres, ferma les yeux et se laissa emporter par le tourbillon de sensations lorsque ses lèvres se posèrent sur sa verge. Elle l’embrassait tout doucement, le léchait encore et l’huile de massage rendait les sensations plus douces, plus fluides, il ne tiendrait pas longtemps. Elle le prenait dans sa bouche, et l’engloutissait, puis remontait et recommençait pendant que sa langue explorait chaque recoins de son membre. Il senti ses mains sur ses bourses, elles aussi étaient enduites d’huile de massage… Il grogna, elle était particulièrement douée avec sa langue et épuisait sa résistance… Il voulait jouir en elle…
« Même pas en rêve ! » Dit-elle « Préviens-moi avant de craquer. »

Elyza voyait qu’il ne se retiendrait plus très longtemps, raison pour laquelle elle l’avait prévenu. Elle se senti attirée d’un coup vers son corps. Il lui tirait les bras en avant. Il se redressa et l’assis sur lui. Leurs sexes s’emboitèrent. Il se rallongea en l’emmenant contre lui. Et pendant qu’elle remuait au-dessus de lui il lui mordillait les seins et lui caressait les fesses, les pétrissaient pour lui dire d’aller plus vite, de se laisser encore aller… Et jouit en elle à nouveau… Elle en était encore loin mais lui bandait encore, elle l’excitait en même temps qu’elle le faisait jouir. Elle le vit incapable de bouger pendant quelques minutes et dieu sait comment il finit par se relever, tout en la gardant contre elle, il l’a plaqua contre un mur et la prit avec sauvagerie. Sa tête reposait dans le cou de Lukas, elle lui mordit l’épaule pour ne pas crier trop fort mais elle ne put s’en empêcher, de nouveau la tête lui tournait, son corps était en coton, et lui continuait de venir en elle, insatiable, les mains posées sur ses hanches, son torse la plaquant contre le mur, elle avait à peine la force d’enrouler ses jambes autour de lui, elle était partie dans un orgasme toujours plus puissant.

Il l’a voyait jouir et voulait continuer de la prendre, c’était si bon d’être en elle… Aussi bon qu’il l’avait imaginé au studio de danse la première fois qu’il l’avait vu, et plus encore, elle restait très étroite et s’il n’avait plus aucun mal à aller et venir en elle, la pression sur son sexe tendu le faisait frémir à chaque coup de boutoir, elle jouissait et lui ne voulait plus s’arrêter. Il la faisait maintenant crier de plaisir, ses jambes fatiguaient mais il ne lâcherait pas. Encore et encore il la pénétrait, la laissant s’abandonner à sa jouissance, il sentait qu’il allait bientôt la rejoindre dans son plaisir. En quelques coups de reins, il y parvint s’accrochant au montant de la porte d’une main, la retenant de l’autre… Il avait enfin obtenu ce qu’il voulait, elle était à lui, elle frissonnait contre lui… Il se lassait de ce jeu. Après quelques instant à l’embrasser doucement dans le cou, il l’a porta dans son lit, l’embrassa sur le front et ramassa ses vêtements tandis qu’elle s’endormait, repu.
« A la semaine prochaine Mademoiselle Night. »

Le lendemain matin, Elyza trouva dans son courrier sa lettre de mutation. Deux jours après elle partait. Les cours de tango étaient finis pour elle se dit-elle encore courbatue mais enfin satisfaite.
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Histoire de Minuy

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