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La Mezzanine

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Lue : 16619 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 23/10/2009

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Durant mon stage de fin d'études, mon frangin m’avait proposé de crécher chez lui et sa compagne, Nathalie, durant la durée de cette expérience en entreprise. Cela me rapprochait de mon lieu de travail, et en plus, cela me permettait de passer les soirées avec eux. Avec Nath notamment. C’était une véritable bombe sexuelle. Une déesse. Une belle brune au corps svelte et ferme. Par gentillesse, ils m’avaient laissés le lit situé sur la mezzanine, ouverte dans l’appartement, façon duplexe, qui donnait sur le salon. Eux, dormaient dans le clic clac du salon, qui restait de ce fait là déplié en permanence.
Ce soir là, alors que je rentrais un peur tard sachant que mon frangin ne serait pas là ce soir, car il était sorti avec des potes en boîte je me permis de rentrer plus tard, ne sachant si Nath serait rentrée ou non. J’introduisis la clé dans la serrure et ouvris sans faire de bruit. J’entendis alors de petits gémissements de femme.

Arrivant dans la pièce principale, je vis Nathalie, en bas et nuisette blanche, assise sur le lit en train de se caresser les seins, les yeux fermés de plaisir. Elle ne remarqua pas ma présence. Il y avait en effet une porte entre le couloir de l’entrée et le salon. Par chance, celle-ci était restée entrouverte. A la vue d’un tel spectacle sexy, je sentis le sang palpiter tout en mois, et tout particulièrement dans mon pénis qui se mit à gonfler d’excitation à vitesse grand v. Nath portait des bas à la lisière en dentelle blanche, et de beaux talons aiguilles blancs, profilés, mettant en valeur ses jolies jambes fines. Assise sur le lit, le dos cambré, elle se caressait les seins. Je ne pus me retenir de déboutonner mon pantalon et de sortir mon gros chibre pour me masturber à pleine main, et ce avec la plus grande discrétion possible. Pour rejoindre ma mezzanine, je devais forcément entrer dans le salon. Je comptais donc en profiter encore un peu. Ma grosse queue commençait à chuinter de mouille. Le téléphone de nath sonna soudain, l’interrompant de fait dans ses caresses. J’en profitai pour remballer tant bien que mal mon gros chibre en érection totale et j’entrai dans le salon. C’était en fait un simple texto que Nath venait de recevoir.

J’entrai alors dans le salon. Nath s’était allongée sur le ventre après s’être rhabillée, se recouvrant les seins de sa jolie nuisette. Elle me lâcha un bonsoir très sensuel, remarquant immédiatement la bosse de chair dure qui se dessinait sous mon pantalon. Elle me demanda si j’avais passé une bonne journée, et compris à mes balbutiements à quel point elle me troublait, ainsi vêtue. Peut être avait-elle deviné que je l’avais surprise en train de se caresser ? … en tout cas, je bandais comme un âne. Passés ces premiers échanges de convenue, je lui signifiai que je souhaitais monter à l’étage pour me changer après cette dure journée de labeur. Elle alluma aussitôt la télé dès lors que je fus dans les escaliers.

La première chose que je fis une fois à l’étage fut de me foutre à poil. Je me sentais épris d’une pulsion sexuelle démesurée. J’étais complètement à poil, ma grosse bite en érection totale dressée devant moi, prêt à être caressé, mes grosses boules prêtes elles aussi à cracher tout leur sperme. Je me mis à me palucher sans retenue aucune, faisant chuinter ma grosse pine. J’entendis soudain Nath qui me parlait à voix haute à propos de ses projets du week-end qu’elle me proposait de partager avec mon frère. Me rapprochant en l’état de la rambarde qui achevait la mezzanine, ma grosse queue en érection totale, je me penchai et vis Nath qui se tenait allongée sur le lit, tournée vers la télé. Elle avait sa nuisette à moitié retroussée, laissant apparaître ses fesses, qu’elle cambrait lascivement, passant sa main sur le haut de sa cuisse, l’air de rien, un grand sourire aux lèvres. Je vis même son string blanc au niveau même de sa chatte, tant elle m’offrait délicieusement son corps à ma vue. Bandant comme un âne, je reculai d’un pas ou deux afin de pouvoir me saisir discrètement de mon chibre et me palucher en reluquant ses belles jambes et son cul. Après lui avoir fait part de mon avis favorable pour ses projets de sortie du week-end, je me retirai de façon à ce qu’elle attire son attention sur la télé, lui faisant ainsi comprendre que je n’avais plus envie de parler, ayant autre chose à faire. Avec un peu de chance, je pourrais ainsi me palucher en me rinçant l’œil, à son insu. Cherchant un tee-shirt propre à m’enfiler, j’entendis Nath marmoner en bas « il fait chaud ici », suivi d’un bruit de mouvement.

Attendant quelques secondes avant de jeter un œil, prêt à me branler comme un dingue, je vis que Nath avait retirée sa nuisette, se retrouvant les seins à l’air. Allongée en longueur sur le lit, elle matait maintenant la télé. Je vis donc pour la première fois son joli cul, magnifiquement ferme et galbé. Entre ses fesses se tendait son string blanc. C’était la première fois que je voyais les parties aussi intimes d’une femme. Autant dire que je bandais comme jamais. Tout gland dehors, je me mis à me palucher en retenant tant bien que mal mes gémissements de plaisir. Je dus un instant gémir un peu trop fort, à moins que ce fut l’instinct de Nath qui lui fit deviner ce que j’étais en train de faire. Elle tourna la tête directement en ma direction. Comme j’étais quasi accolé à la rambarde pour admirer son corps de rêve, nul doute qu’elle vit ma grosse queue en érection totale entre mes doigts, mon gros gland rose et tendre luisant de mouille. Elle resta me regarder, moi, tétanisé, je ne bougeais plus. D’une voix toute douce, elle m’invita à descendre pour regarder la télé avec elle. « j’arrive ! », lui répondis-je. Paniqué, je pris un simple boxer, que j’enfilai comme je pus, tant je bandais comme de la pierre. En boxer et tee-shirt donc, je descendis la rejoindre. Elle m’excitait plus que tout, je voulais qu’elle le sache.

Arrivant en bas, Nath s’était mise sur le dos. Une jambe repliée sur elle-même, l’autre tendue en l’air, la maintenant ainsi avec ses mains. Arrivant à elle, Nath prit la parole : « Hé au fait ! Tu trouves que c’est joli des bas comme ça avec mes nouvelles chaussures ? C’est classe, non ? ». Moi, je crus que j’allais lui sauter dessus. Mon regard se posa au niveau de son entrejambes. Son string, très échancré, cachait tout juste sa chatte, dont je devinais les lèvres parfaitement rasées et lisses. Son string lui rentrait dans le cul, et une partie des lèvres de sa chatte était apparente. Sa chatte semblait déjà à moitié ouverte de désir. Nath posa son regard quant à elle sur la grosse bosse dessinée par mon chibre. Elle en serra les cuisses de désir. Je ne sais si je répondis à sa question ou non, tant j’étais obnubilé par la beauté de son corps. « C’est moi qui te fait bander comme ça ! » lança-t-elle soudain. J’en avalai ma salive, sans mot dire.

Nath se releva et se mettant à quatre pattes sur le lit, m’offrant son joli cul, elle me dit : « A ce qu’il paraît, c’est mon joli cul qui excite le plus les hommes… viens ! approche ! viens le caresser ! j’ai envie que tu caresses mes fesses ! n’ais pas peur ! ». La pensée de mon frangin disparut rapidement à la vue du joli cul de Nath qu’elle m’offrait en toute sympathie. Elle devait me savoir puceau. Cela devait l’exciter grandement. Ainsi m’initiait-elle aux premières joies du sexe : les sensations du toucher. Je posai ma main droite sur ses fesses, fermes et lisses. Elle me demanda d’approcher, à savoir me mettre à genoux sur le lit. ainsi à côté d’elle, Nath passa sa main gauche sur mon torse avant de plonger celle-ci dans mon boxer et de saisir mon gros chibre. Elle le sortit, le tenant dans sa main, puis baissant mon boxer à mi cuisses, elle se mit à me masturber tout doucement. Je crus halluciner. « J’ai toujours su que tu avais une belle grosse queue ! » me complimenta-t-elle en sentant mes mains parcourir ses fesses à la peau si douce.

« Viens derrière moi, et caresse moi la chatte ! J’en meurs d’envie ! ». Tirant son string sur un côté, elle me présenta sa fente et sa rondelle, sans pudeur aucune, lâchant un gémissement de plaisir lorsqu’elle sentit ceux-ci enfin à l’air libre. Pour la première fois, je vis pour de vrai la chatte d’une femme. Sa chatte était complètement rasée. Pas un poil à l’horizon. Les petites lèvres de sa chatte luisaient de mouille entre les grandes, prêtes à être caressées, explorées. Passant ma main droite sur ses fesses, alors que de l’autre je me masturbais délicatement pour ne pas jouir tout de suite, mon pouce vint fleurter avec sa rondelle, la faisant gémir au passage, avant de toucher puis fendre les petites lèvres de sa chatte pour venir lui caresser la vulve. Au contact de mes doigts caressant sa fente, Nath leva la tête en l’air, les yeux fermés et la bouche grande ouverte de plaisir. Elle les rouvrit ensuite, regardant en ma direction, pour lire sur mon visage à quel point j’étais captivé par la découverte de ses parties intimes. Sa belle chatte semblait chaude et humide. Un vrai délice. Nath m’invita à continuer de lui caresser la chatte, me demandant d’y enfoncer mon pouce, avant de me faire la proposition ultime : « Viens ! Approche toi Cédric, je veux sentir mon gros chibre en moi ! ». N’attendant pas un second appel, malgré le fait que Nath serait un jour ma belle sœur, je me mis bien derrière elle, à genoux sur le lit, et je vins caresser sa belle chatte avec le bout de mon gland, avant de l’introduire en elle. Sentant nos membres se confondent, tous deux râlâmes notre jouissance. Sa chatte était chaude et humide, merveilleuse. Nath quant à elle, sentait mon gros dard s’introduite chaque seconde un peu plus en elle, la remplissant complètement. Posant mes mains sur ses fesses, je me mis à aller de plus en plus profondément en elle. « Hum ! C’est bon ! Continue comme ça ! Je sens si bien ta grosse queue ! » me disait-elle pour me mettre en confiance. Cela dit, je me sentais déjà à deux doigts de l’orgasme. Je serrais ses fesses rondes et fermes entre mes doigts. Mes vingt centimètres venaient maintenant entièrement lui pilonner la chatte. Tous deux prenions notre pied comme jamais. Nos membres étaient littéralement en fusion. Elle, sa chatte dilatée et luisante de mouille. Moi, ma grosse bite plus dure et gonflée que jamais, prête à cracher tout son foutre. Je pris même l’initiative de me retirer d’elle un instant pour venir caler mon gros chibre dans sa raie culière, chose qui nous excita tant l’un que l’autre. la chatte humide de Nath venait maintenant maculer son string blanc de mouille. Je sentais ses fesses s’écraser contre mon bassin. La plus exquise des sensations. Plus dur que jamais, je sentais que j’allais venir d’une seconde à l’autre. Nath s’en aperçut.

Nath me fit signe alors d’arrêter. Elle se releva, se mettant à genoux tout comme moi, et elle baissa son string juste en dessous de ses fesses. « Viens ! cale ta grosse queue entre mes fesses et fais-toi jouir ! Jouis ton sperme chaud sur mes fesses ! j’adore ça ! ». Ses désirs furent exécutés comme des ordres. Je calai aussitôt mon gros dard luisant de mouille entre ses fesses douces, et je me mis à le faire coulisser entre ses fesses de déesse. Nath lut aussitôt le plaisir divin que me procurait ses fesses. De temps à autre, je venais lui caresser sa chatte en fusion avec mon gros gland, histoire de me projeter plus rapidement encore vers l’orgasme. Puis ce fut la glissade de trop. Calant mon gros gland entre ses fesses, je me mis à me vider les couilles dans sa raie culière, faisant gémir Nath au passage de plaisir. Moi, je râlais ma jouissance comme un dingue, sans retenue aucune, tant la sensation délivrée était divine. Une fois l’éjaculation terminée, je me décollai de Nath, ma grosse pine toute luisante de sperme, encore parfaitement gonflée d’excitation. Nath passa une de ses mains entre ses fesses pour récolter mon sperme chaud sur le bout des doigts, avant de s’en délecter du bout des doigts. « Voilà, tu sais maintenant ce que c’est que les joies du sexe. J’espère que tu as aimé. Tu vas en faire jouir une d’une avec la queue que tu as mon beau, je te souhaites bien du plaisir ! Aller, file à la douche, j’y vais ensuite ! ». Ainsi me passa et de termina mon dépucelage. Jamais je ne saurais trop remercier Nath de me l’avoir offert, d’une façon si belle et naturelle, si délicieuse…
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Commentaires du récit : La Mezzanine

Le 26/01/2010 - 10:36 par Decibel
Superbement suggestif ... j'adore ! ;o)

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