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La Nonne

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Lue : 2249 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/09/2018

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Laisses-moi te conter le nouveau fantasme qui m'occupe l'esprit depuis quelques jours et auquel je pense à chaque fois que je me masturbe maintenant:

Dans cette histoire tu aurais le rôle d'une femme pieuse, très pieuse: elle va à l'église tous les dimanche, à confesse, fait du bénévolat, prie tous les soirs avant d'aller dormir... la totale quoi ! Mais elle a un secret, très très honteux, qu'elle n'a jamais confié à qui que ce soit. Cette histoire, c'est l'histoire de sa confession.

Ma grand-mère fait partie de la même paroisse que cette femme et un jour je suis chargé de lui rapporter un objet, livre, ou autre babiole que ma grand-mère lui avait emprunté. J'arrive donc devant sa porte et lorsqu'elle m'ouvre, je peux admirer sa magnifique silhouette de pin-up vêtue d'un petit pull-over avec ce col blanc si particulier aux bords arrondis. Le col est assez serré ce qui met en valeur sa gorge et lui allonge sa nuque. Le pull est assez fin, mais impossible d'apercevoir la moindre trace de ses sous-vêtements, alors que sa poitrine à l'air plutôt à l'étroit, ce qui est très intriguant. Elle porte une longue jupe noire qui descend bien en-dessous du genou, des bas foncés et porte des chaussures à talons très classiques, bords arrondis. Ses cheveux sont très sagement attachés par des barrettes de part et d'autre du front séparant sa chevelure en deux, lissée et glissée derrière ses oreilles, le tout maintenu par une courte tresse. La petite nonne pudique, sainte-ni- touche, pieuse et extrêmement sage et polie a des petites manières bien bourgeoises (petit doigt levé etc...) toujours en train d'ajuster sa tenue et elle a un tic de remettre ses cheveux en place derrière ses oreilles. Et c'est exactement ce qu'elle fait juste après m'avoir dis bonjour pour ensuite me laisser entrer. Je lui donne le paquet et comme elle est très bien élevée, elle est obligée de m'offrir un rafraîchissement et m'invite à la suivre dans la cuisine où elle me servira à boire. Nous discutons adossés à l'un des plans de travail de la cuisine. On parle de choses et d'autres, de la pluie et du beau temps... elle est très fraîche et joviale, très posée mais quasi obsédée par son apparence on dirait. Régulièrement elle pose ses mains juste en dessous de ses seins et aplatis le tissus de son jersey vers son ventre en finissant par pincer le bord de celui-ci pour le tirer un peu plus. Le tissu épouse parfaitement ses courbes et sa poitrine à l'air tellement généreuse, ses larges hanches accueillantes font légèrement tournoyer sa jupe lorsqu'elle se dandine très discrètement à la fin de son mouvement et finis par me jeter à chaque fois un regard perturbant, très légèrement questionnant, comme si elle me demandait si je la trouvais belle mais sans être moi-même sûr que c'est ce qu'elle voulut exprimer. La discussion continue et je lui demande si elle partage sa vie avec un homme. Elle me répondit que non, absolument pas, sa place est auprès du Seigneur, blabla... et que de toute façon elle avait décidé de ne plus jamais côtoyer d'hommes depuis le lendemain de ses 18ans:

- Que s'est-il passé le jour de vos 18 ans? Demandai-je intrigué.
- En fait c'est le soir de mon anniversaire que c'est arrivé...

C'est à ce moment-là qu'elle me confia le secret qu'elle porte depuis ce jour. Elle me raconte ça de manière très détachée, pas froide ni fâchée, mais un peu comme-ci ça ne lui était jamais arrivé. Elle explique qu'après le bon repas d'anniversaire en famille, où le prêtre de sa paroisse était présent, comme il le fait pour toutes ses ouailles qui atteignent la majorité, ils quittèrent tous les deux la maison pour retourner à l'église car elle avait supplié le père de la confesser une dernière fois avant d'aller dormir. Il la conduit jusqu'à son petit bureau et lui propose de boire un peu de vin de messe puisque c'est son anniversaire et qu'elle est majeure, et puis ce n'est que du vin de messe, petit malin de prêtre pervers. Ensuite c'est le black-out, il l'avait évidemment droguée. Après l'avoir complètement déshabillée, il l'avait allongée sur son bureau et bien caressée de partout, ne négligeant pas un seul millimètre de son corps offert à lui. Vu la dose de somnifères qu'il lui a fait avaler, elle n'était pas prête de se réveiller de si tôt. Il a tellement l'habitude le salaud, ces jeunes filles frêles ne font pas le poids...Très habilement, il la retourne de manière à ce qu'elle se retrouve sur le ventre, la tire par les chevilles et dépose ses pieds au sol, elle est maintenant prête à se faire enfiler.
Après lui avoir bien goulûment bouffé le cul et sa petite fente vierge, il la fourra sans relâche. Ensuite, ll la retourna à nouveau pour qu'elle ait les jambes en l'air cette fois-ci ; le père lui maintiens les chevilles d'une main et de l'autre attrape son pieu et lui perfore l'anus juste après lui avoir bien écarté son trou à coups de langue et de doigts. Le vieil homme est un habitué et sait bien qu'il ne faut pas laisser de trace et ne surtout pas blesser ses victimes, alors il prend bien son temps pour lui détendre son petit trou. A chaque fois que son pieu cogne au fond de son anus, la fente de la jeune demoiselle inconsciente libère de grosses quantités de cyprine. Sa fente lisse régurgite continuellement de la mouille tandis qu'il la pénètre agressivement si bien qu'elle se met à éjaculer tellement fort que même le père, qui est un énorme pervers, n'en croit pas ses yeux! Ses pieds baignent dans une flaque de mouille et ça l'excite encore plus, il la bourre tellement vigoureusement qu'elle se met à éjaculer comme une fontaine, il ne la ménage pas et la pilonne encore et encore si bien qu'il se trouve intégralement recouvert de sa mouille qui lui explose au visage, un vrai geyser qui l'enduit des pieds à la tête. Finalement, il éjacule sauvagement tout au fond de l'anus de la jeune demoiselle qui était totalement absente et inconsciente jusqu'à maintenant. Et c'est à cet instant même qu'elle se réveille dans un hurlement de plaisir, son anus se ressert autour du chibre du vieux dégueulasse et l'aspire, l'empêchant de se retirer; il continue à la bourrer encore plus fort et elle continue de lui éjaculer partout à la gueule en le regardant avec des yeux enragés, injectés de sang. Elle le relâche finalement de son emprise au bout de plusieurs longues secondes d'éjaculations discontinues explosant de leurs sexes visqueux. Puis le père tombe à la renverse absolument vidé et totalement inconscient. Elle se lève, se rhabille et s'enfuit de l'église en laissant le père gisant, complètement nu, baignant dans une flaque de sécrétions.
Elle m'explique que la sensation qu'elle avait éprouvée cette nuit là était indescriptible, un mélange de plaisir absolument démoniaque, sensation qu'elle s'était jurée de ne plus jamais expérimenter à l'avenir. Elle me dit qu'après plusieurs années elle a compris en fait que le père était possédé par un puissant démon qui le forçait à violer des vierges le jour de leurs 18 ans, et qu'en fait en la violant elle, et en la faisant éjaculer comme il l'a fait, elle est parvenue à l'exorciser. Elle m'explique que par la suite, elle passa de longues années dans différents couvents et que c'est en fouillant dans les grimoires qu'elle a découvert la prophétie de la Femme-fontaine-exorciste. Et donc qu'à partir de ce moment là, elle avait libéré le père qui, en réalisant les atrocités qu'il avait commis, s'est enfuis et n'est plus jamais revenu dans le village.

Elle raconte du coup que depuis, elle éprouve un dégout absolu pour les hommes qui s'adonnent aux plaisirs de la chair et elle est persuadée que le monde entier, ou tout du moins une grande majorité, est possédée par des démons plus ou moins forts qui les poussent à succomber à ces pulsions perverses. Et elle considère toutes les femmes qui y succombent ni plus ni moins que comme des "petites putes", ce sont ses mots! Plus jamais, depuis ce jour-là, son corps n'a été touché par un autre homme et depuis ce moment-là elle s'efforce de récolter un maximum d'informations sur les tenants et aboutissant de la sexualité humaine, sous toutes ses formes... Elle me confie alors son second secret, en préservant son air imperturbable, sans éprouver de dégout flagrant, ni de gène, son visage ne change pas d'expression, elle a un air presque scientifique: elle me raconte que tous les soirs, après son repas, elle s'installe devant son ordinateur, et passe plusieurs heures à regarder le plus de vidéos pornographiques possible. Peu importe la catégorie, elle regarde de tout. Mais à aucun moment ne se touche-t'elle ni ne se déshabille-t'elle. Depuis ses 18 ans elle n'a plus jamais eu d'orgasme. Elle se l'interdit. Et donc pendant tout ce temps, elle prend des notes très précises, elle analyse tout, et répertorie l'intégralité de ses notes par catégories etc...

- Donc, en fait, si je comprend bien, vous êtes un flacon vivant d'eau-bénite permettant d'expulser les démons qui occupent les corps des gens et ce en leur éjaculant dessus? dis-je d'un air désinvolte, m'étonnant moi-même.

- C'est exactement ça! En fait le démon qui est en vous, se nourrit de votre semence, c'est lui qui force votre corps à en sécréter et le seul moyen de se débarrasser de ce démon est de vider intégralement les bourses de la victime. Mes sécrétions vaginales servent de stimulateur et fixent le démon au sperme de la victime. Plus la quantité de cyprine est importante plus la garantie de lier le démon à la semence humaine est grande. Ensuite il faut absolument s'assurer que les bourses de la victime soient gorgées de sperme, c'est très important! Il faut absolument que la stimulation soit très longue, il faut accumuler le plus de foutre possible, et seulement là, la victime peut éjaculer. Mais il faut que cela se fasse, soit tout au fond de mon anus, qui me permet de maintenir la victime pendant l'exorcisme et de m'assurer que tout le sperme de l'homme quitte son corps, ou bien me recouvrir le visage de sperme, dit-elle avec un large sourire. Parfois il faut même s'y reprendre à plusieurs reprises pour être bien certain que le démon soit partis pour de bon!

-Mais comment savoir si un homme est possédé ou pas ?

- Vous l'êtes tous! Croyez-moi! Tous des petits cochons qui ne pensent qu'à enfoncer leurs gros membres veineux au fond de vulgaires petites chattes gluantes!

Cette fois-ci, son attitude a totalement changé: la phrase qu'elle vient de prononcer était exprimée de façon très salace et perverse, ses babines retroussées, son regard bestial et outré, tel une bête qui chasse, puis dès la phrase finie elle reprend son attitude normale de sainte-ni-touche, coincée du cul et, de nouveau, passe ses doigts dans ses cheveux. Totalement schizo la meuf! Mais tellement bandante, elle me rend complètement dingue! En l'espace de quelques secondes elle est devenue une toute autre femme, comme-ci c'était elle qui était possédée par un puissant démon assoiffé de foutre.
Il doit bien y avoir un moyen d'en être certain? Vous avez développé une technique depuis tout ce temps n'est-ce pas?
Cela va de soi! Cela fait de longues années que j'explore les tréfonds de la perversion humaine. Même si je n'ai jamais eu l'occasion d'expérimenter mes technique, je suis persuadée de leur efficacité jeune homme !

- Et en quoi consiste votre technique de "détection" du démon ? dis-je d'un air un peu moqueur, car j'ai vraiment de plus en plus de mal à croire à son histoire, mais si c'est comme ça qu'elle a décidé de gérer son délire, ainsi soit-il!

- C'est très simple, dit-elle en joignant les mains et en faisant une petite moue pincée, puis un grand sourire en regardant longuement mon entre-jambe, il suffit de dénuder la victime intégralement et de la maintenir debout pour le début de la séance. Ensuite je m'assied sur une chaise face à lui et je dois prononcer plusieurs phrases insultantes et provocantes à l'intention des bourses et du pénis de la victime. Il est même conseillé de cracher sur le membre car toutes mes sécrétions servent de purificateur. Si le sexe de la victime se met à bander, c'est le signe révélateur de la possession démoniaque!

- Ah bon, rien que ça?! et que dites-vous lorsque vous insultez un pénis?
En réalité ces phrases sont adressées au démon, à partir du moment où la séance commence je dois tout faire pour attirer le démon et le forcer à se lier à votre sperme. Tout ce que je vais dire et faire à partir de ce moment-là sera uniquement destiné au démon et pas à vous, ne vous méprenez pas ! Les paroles prononcées peuvent varier, je peux lui dire qu'il est vulgaire et choquant, qu'il est sale et qu'il sent, qu'il est tellement veineux qu'il ressemble au bras de Satan lui-même, que son pouvoir est faible et qu'il n'arrivera jamais à me pénétrer peut importe ses efforts. Tout en lui hurlant ces insanités je lui crache bien dessus pour l'énerver. S'en suit la seconde partie de la séance, où il faut manuellement extraire le démon de votre corps, me dit-elle avec un sourire et un regard d'une perversité sans égal.

C'est alors qu'elle se dirige vers la table, s'approche d'une chaise, et la ramène pour la poser juste devant moi, toujours adossé au comptoir de la cuisine. Avant de s'installer, elle me lance un: "Allez- y! Déshabillez-vous...". Je m'exécute alors qu'elle prend place sur la chaise. En 3 secondes je suis complètement nu, le sexe tendu vers elle qui est assise sur la chaise, les pieds joints, les mains posées à plats, les doigts au bord des genoux, comme une écolière bien docile. Son visage n'a pas réagit à la vue de mon corps complètement nu et mon sexe bandé. Elle laisse échappé un "hum..." de constat, rien de plus.

- Etes-vous prêt mon garçon? dit-elle en levant seulement les yeux vers moi.
- ...
- Je vous préviens, n'essayez même pas de résister, de vous débattre, ou simplement de bouger d'un pouce. Vous devez vous laisser faire complètement. L'immobilité est le secret de l'endurance. Résistez au démon!!

Elle se racle la gorge en posant ses yeux sur mon sexe puis lève sa main gauche et vient sous-peser mes bourses. Elle penche la tête d'un côté tandis que sa main droite se lève, paume vers le bas, tous les doigts refermés à l'exception de son index qu'elle dirige vers mon sexe à la perpendiculaire, et du bout de l'ongle, sous la base de mon gland, elle lève ma verge pour la coller sur mon ventre. Sa main gauche est en train de palper mes couilles et la paume de sa main droite recouvre mon gland, ma verge toujours collée à mon pubis.

- C'est bien vulgaire tout ça! me lance-t'elle d'un regard sévère. Pris en flagrant délit de possession démoniaque!

Elle relâche sa main droite et laisse retomber mon sexe qui rebondit quelques fois arrivé à l'horizontale. Maintenant elle attrape mon gland entre son pouce et son index et oriente ma verge sur le côté. Elle approche son visage et vient coller sa joue sur le haut de ma jambe et son nez juste dans le creux que forme mon pubis et la base de ma queue. Ses lèvres ne touchent pas mes couilles. A la manière d'un aficionado qui hume un cubain, elle fait glisser son nez tous le long de mon sexe en inhalant à pleins poumons pour finir par s'éloigner rapidement et me jeter d'un regard énervé :

- Mais quelle odeur salace, elle sent la bête votre verge !

En soupirant, elle murmure: "salaud...". Au même instant elle crache sur mon chibre puis elle répète le même mouvement qu'avant mais cette fois-ci elle colle sa langue sur la couille la plus proche et remonte sa langue baveuse lentement le long de mon membre gonflé et s'arrête juste avant le gland. Puis pareil mais de l'autre côté, elle change de main, sa droite est sur mes couilles, la gauche pince le gland et le dirige à l'opposé. A la fin de son mouvement, sa main droite serre mes couilles et la gauche enrobe mon gland en étalant bien toute sa salive et me branlant le bout très délicatement. Sa bouche est grande ouverte et elle a sorti sa langue. Tantôt elle sourit avec ses yeux, tantôt elle me jette des regards sauvages. Elle continue de me branler juste le gland et colle sa bouche à mes bourses, leurs crache dessus, gémit, grimace de manière tellement vulgaire que j'ai déjà envie de violer sa gueule. Mais je me retiens, j'admire le spectacle. En me regardant droit dans les yeux, elle a sa main gauche qui enveloppe mes bourses comme-ci elle m'attrapait par le menton, et sa main droit branle lentement mon gland humide. Sa bouche est ouverte, sa langue tendue, elle oriente ma verge vers sa bouche comme-ci j'allais me vider dedans. Puis elle sourit et me fais un clin d'oeil et elle tapote délicatement mon gland sur sa langue puis sur ses joues qu'elle caresse ensuite avec tout mon membre. Une main toujours posée sous mes couilles, elle entreprend ensuite de me donner de grands et longs coups de langue tout le long du dessus de ma queue tout en me masturbant lentement de l'autre main, paume vers le haut en laissant reposer mon chibre dedans. Sa main qui me branlait oriente maintenant ma verge en travers de sa bouche pour qu'elle fasse parcourir ses lèvres tout le long de mon sexe, change de moi puis fait de même de l'autre côté. En terminant, elle laisse échapper un long râle rauque de satisfaction. Elle devient bruyante, ses gémissements emplissent la pièce. Putain qu'elle est bonne!!! Aucune autre femme ne m'avait procuré autant de plaisir, et pour l'instant elle a seulement utilisé ses mains, ses lèvres et sa langue... elle ne m'a même pas encore pris en bouche une seule fois! Toutes les autres se contentent de bêtement pomper et même littéralement sucer, aspirer, on sent bien que la plupart n'aime pas mettre une queue en bouche. C'est toujours une course pour en finir au plus vite en général, elles forcent l'éjaculation ou passent rapidement à autre chose ; alors qu'elle, bordel, elle y mets de toute sa personne. Elle est en train de compiler les meilleures techniques de suceuse de bittes professionnelles. J'ai déjà pu en admirer plus d'une grâce à internet, mais par contre le vivre c'est absolument divin! Son travail de recherche n'a clairement pas été pris à la légère: chacun de ses mouvements, ses regards, sa manière de soupirer, tout a été étudié à la perfection, j'ai l'impression de me faire sucer par les dix meilleures actrices porno réunient en une seule femme, incroyable! Le fait que je sois, selon ses dires, la première queue avec laquelle elle joue, et qu'en plus de ça c'est une petite nonne prude super bandante, putain je vais la pilonner celle-là! Mais pour l'instant je suis bien docile, et me laisse prendre au jeu, le spectacle est fantastique, j'ai des frissons rien qu'à imaginer ce qu'elle me réserve pour la suite...

Jusqu'à présent, sa posture n'avait pas changé d'un poil: toujours impeccablement assise, les genoux et pieds serrés, le dos raide mais légèrement cambré, sa nuque est mobile mais pas détendue, ses gestes sont précis et si ce n'est l'expression de son visage et sa manière de me parler, on ne ressent pas d'excitation dans le reste de son corps.

- Alors, gros pervers! Elle vous plait la p'tite nonne cochonne?! Pas mal pour le moment, hein? dit- elle d'un air bien vulgaire. Il serait temps de passer aux choses sérieuses, n'est-il pas? Vous êtes prêts mes salauds?! Très bien! Je vais, maintenant, gober cette énorme queue qui sent!

Oh putain ça y est! Elle ouvre grand sa bouche, sort sa langue, et dans un râle rauque, elle approche sa bouche de ma queue tendue. Ses mains sont posées de part-et d'autre de mon bassin et elle plonge son regard souriant dans le mien qui est subjugué. Mon gland se retrouve à présent à l'entrée de sa bouche mais sans la toucher. Je deviens dingue, une chaleur envahit ma tête, elle va exploser! Vas-y putain! Bouffe-la! D'un coup, tout au fond, ALLEZ!!! Au moment où je pense qu'elle va engouffrer ma queue dans sa gorge, son regard fond et elle se met à rouler une énorme galoche goulue à mon gland gonflé! Elle gémit la bouche pleine, ses yeux fermés, elle savoure la pointe de ma lance et pousse de petits cris étouffés. Sa langue sort de sa bouche et glisse sur le côté de ma verge, puis de l'autre, sa bave commence à couler sur son menton. Elle a toujours les yeux fermés et prends des inspirations profondes qui font siffler ses narines. Elle râle, gémit, sanglote même tandis qu'elle continue de rouler une pelle à mon gland. Comme elle a ses mains agrippées à mon bassin, ma verge n'est maintenue que par sa bouche habile qui fait danser mon sexe tendu au rythme des balancement de son cou qui devient plus souple. Tellement douée qu'elle parvient à lécher ma queue du gland aux couilles en la laissant reposer en travers de sa bouche, langue sortie. Puis elle remonte, me galoche le gland et fait de même de l'autre côté; c'est clairement la déesse de la pipe celle-là! Au bout de quelques secondes de roulage de pelle bruyant, elle se met à bouger ses mains vers ma queue: la droite glisse de ma hanche et court le long de ma queue pour se caler contre ses lèvres; la gauche vient soutenir mes bourses dans sa paume, son pouce et son index pincent légèrement la base de ma verge dans un délicat mouvement de massage. Superbe! Et là, elle entreprend de me pomper le premier tiers de mon sexe. Sa respiration a considérablement accéléré, ses gémissement se font plus intense et les bruits humides de sa bouche me parviennent lorsqu'elle écarte un peu ses lèvres afin d'aspirer de l'air, de manière très bruyante. Elle se régale la petite chatte! Elle est dans un état d'euphorie grandissant, si bien qu'elle se met à rigoler tout en sanglotant, c'est incroyable! Elle passe par tous les états possibles, ses yeux commencent à s'humidifier, elle rigole puis fait mine de pleurer en me fixant du regard tandis qu'elle donne l'impression que ma queue déborde de sa bouche, l'empêchant d'en absorber d'avantage tout en faisant mine de s'étouffer. Puis d'un coup elle s'expulse en arrière dans un râle de satisfaction. Ses mains continuent de câliner délicatement mon sexe et elle me dit d'un air maternel:

- C'est un bon garçon ça! Monté comme un dieu qui plus est... très, très bien ça... Elle fixe ma verge et ajoute: ne t'en fais pas mon beau, je vais te la bouffer ta grosse bitte bien juteuse!!

Il ne lui faut pas la moitié du quart d'une seconde pour engloutir la totalité de ma queue. Parvenue jusqu'à la garde, elle se cambre afin de pouvoir me regarder d'où elle est. Mon chibre a disparu dans sa gorge, son menton s'écrase contre mes couilles, et ses yeux sont gonflés et humides, mais elle me regarde, péniblement. Puis, à ma grande surprise, elle se mets à sourire de tout son visage, ses yeux ne sont plus du tout gonflés, sa gorge s'est détendue et ses lèvres s'écartent laissant sa langue déborder par le dessous, à un poil de me lécher les couilles. Son dos est creusé et ses mains ont repris leur place de chaque côtés de mon bassin. Ses jambes se sont écartée pour lui permettre de rester dans cette position qu'elle garde à la perfection. Elle se met alors à pomper énergiquement ma verge engouffrée au fond de sa gorge en toussant et régurgitant de la salive. Enfin elle s'expulse de mon chibre en rugissant à pleine gorge, laissant s'échapper de longs filets de baves qui nous relient puis s'éclatent sur sa jupe au niveau de ses cuisses et de ses genoux. Elle ne m'a pas lâché du regard une seconde. Puis, comme sortie d'une transe, elle revient à elle et se re-transforme en sainte-ni- touche; réajuste ses cheveux et sa tenue de ses mains humides en pinçant ses lèvres et poussant un petit cris de souris C'est là qu'elle pose les yeux sur ses cuisses et ses genoux et constate les dégâts. Outrée, elle me lance un regard furieux et crie:

- Mais enfin ça va pas! Espèce de gros dégueulasse, vous m'avez toute souillée!!

Dans un mouvement rapide, précis et très élégant, elle bondit de sa chaise et pivotant sur son pied gauche, elle laisse trainer sa main droite et vient gifler ma queue qui pend à l'horizontale. La violente claque fait danser mon chibre dégoulinant de bave dans tous les sens, le bruit emplit la pièce. Elle a attrapé la chaise par le dossier pour s'éloigner de moi. Elle reste debout, dos à moi, à quelques pas. Elle ramène ses mains en arrière et dézippe sa jupe pour la laisser tomber à ses pieds. Mes yeux remontent le long de ses jambes raides et jointes. Je me délecte en baladant mes yeux sur son porte-jarretelles noir. Par-dessus elle porte une culotte de satin noir très légère qui laisse découvrir de bonnes fesses charnues. Un régal! Sa tête pivote en premier, et par-dessus son épaule elle me jette un petit sourire coquin, et me dit:

- On se rince l'oeil mon chéri? Maintenant que j'ai perdu le bas, il serait temps de me débarrasser du haut, n'est-ce pas?

Elle finit de pivoter mais garde ses pieds joints, si bien que ses jambes se retrouvent croisées et son pubis marqué par sa culotte satinée formant un calice captivent mon regard. Elle soupire de désir et d'un superbe mouvement elle retire son jersey puis, un à un, très lentement, elle entreprend de défaire chaque bouton de son chemisier en commençant par celui du bas, découvrant au fur et à mesure son ventre puis son soutiens-gorge et sa superbe poitrine galbée pour enfin dévoiler son coup qui jusqu'à présent était masqué par son col. Cette petite catin porte un collier formé d'une bande de satin noir très serré auquel pend une petite croix. OH... MON... DIEU! D'un air espiègle, elle se dandine et sourit malicieusement. Elle se rapproche de la chaise, lève le pied qui est le plus près de moi et le pose sur le bord du siège. Elle réajuste son porte-jarretelles, pose son pied à terre, et fais de même avec l'autre. J'ai envie de lui bouffer les cuisses, de me frotter à ses jambes comme un petit chien en rut, me goinfrer de sa chatte... oh la la! Qu'es-ce qu'elle va prendre! Puis d'un mouvement sec et puissant elle pousse la chaise qui glisse sur le côté pour me faire face, bien droite sur ses jambes, elle se penche un peu en avant, ouvre grand sa bouche, sort sa langue et attrape ses seins par en-dessous, comme pour les sous-peser et les fait gigoter.

- Maintenant, finis la rigolade mon vieux! Tu crois qu'avec une bitte comme ça, tu vas me faire céder, tu n'as aucune idée à qui tu as à faire! Je te domine pur et simplement, tu es à ma merci et rien ne te sauvera, mis à part moi! Il est évident que tu n'es pas un démon très puissant, alors soumets-toi! Un autre m'aurait déjà collée par terre pour me sodomiser comme la petite chienne que je suis! Pfff quel manque de conviction... Mais il est vrai que cet humain m'a l'air très vigoureux et possède une grande maîtrise de ses moyens. On va s'amuser... ricana-t'elle.

Elle s'approche de moi en prenant tout son temps, ses talons claques sur le carrelage au rythme de ses hanches qui basculent lourdement de gauche à droite à chaque pas. Son regard infernal plongé dans le mien, elle parvient jusqu'à moi en levant les bras pour passer ses mains dans sa nuque et attraper ses cheveux par derrière comme une lutteuse qui se prépare au combat. Elles se campe pile devant moi, son visage n'est qu'à quelques millimètres de moi, ses seins s'écrasent contre mon torse et ma verge tendue s'est glissée entre ses cuisses et se retrouve collée à ses lèvres voilées par sa culotte satinée. Toujours les mains derrière la nuque, elle se met à gémir profondément et entreprend une danse lascive ondulant son bassin qui lui permet de caresser ma queue contre son sexe dans des mouvements d'une sensualité dingue. Le plaisir est tel que mon visage est anesthésié, comme gelé, si bien que je suis incapable de faire un seul mouvement, je suis subjugué, envoûté. Elle se met alors à lécher ma bouche en continuant de se dandiner, sa langue se promène sur mes lèvres, elle me les lèchouille tout en gémissant de plus en plus intensément. Son regard perçant n'a pas décroché du mien, elle se décale un petit peu en arrière et garde la bouche ouverte, sa langue sortie. Ses bras descendent et ses mains se pose sur le haut de mes pectoraux. Elle rapproche un peu ses coudes de manière à comprimer sa poitrine et la fait gonfler sous mes yeux. C'est alors qu'elle entreprend de s'accroupir en prenant bien soin que mon chibre gonflé soit bien collé à elle et s'assure qu'il caresse son ventre autant que faire se peut. Sa lente descente finit par guider mon sexe, maintenu vers le bas, jusqu'entre ses seins. La tension de mon érection propulse ma verge d'un coup rapide vers le haut et mon gland vient effleurer sa langue habile qui l'empêche de retomber trop fort sur son visage. Mon gland se pose juste en dessous de son œil gauche, le restant de verge collée sur le côté de son nez et en travers de sa bouche, elle laisse sa langue épouser les courbes de mes bourses. Puis, dans un mouvement sensuel, elle fait remonter sa langue qu'elle glisse tout le long de ma queue, en s'assurant de garder la bouche grande ouverte, elle finit par l'engouffrer d'une traite. Elle maintiens cette position de longues secondes, je sens sa langue qui se dandine dans sa bouche et me caresser jusqu'aux couilles. Mon gland, bien au fond de sa gorge trempée, est gonflé à son paroxysme. Ses bras sont tendus et ses mains toujours posées sur ma poitrine. Ses fesses reposent sur ses talons, les jambes bien écartées et l'intérieur de ses cuisses collé à mes tibias. Je ne vois pas son visage qui est écrasé contre mon pubis. Du fait de sa position, elle n'a pas énormément d'amplitude de mouvement, mais ça ne l'empêche pas de me pomper. Je l'entend se gargariser avec ma queue qui lui remplit la gorge, ses gémissements dégoulinants de bave. Putain qu'elle est bonne cette salope ! J'ai envie de mettre mes couilles dans sa bouche, d'attraper son crâne et de lui buriner le fond de la gorge ! Mais je ne bouge pas. J'en suis incapable et puis je n'ai aucune raison de le faire... qu'elle se régale, moi je déguste. Au bout d'un long moment de pompage profond intense, elle se rétracte et laisse ma grosse queue s'extirper de sa bouche comme sortis d'un cloaque visqueux. Haletante, elle bascule sa tête vers moi dans un regard affamé, comme une bête qui, après une longue poursuite, parvient enfin à croquer sa proie, commence à la dévorer à pleine gueule mais est malheureusement contrainte de reprendre son souffle sans quoi sa gourmandise aurait sa propre peau. Après quelques grandes respirations, elle fait glisser ses mains à l'unisson le long de mon buste jusqu'à les placer de part et d'autres de mon pubis, ses paumes se superposent, les pouces glissés sous mes couilles comprimant le large canal éjaculatoire emplit de semence. Mon sexe déjà bandé au maximum, se raidit de plus belle. Elle exerce une pression alternée sur ce canal qui fait danser ma queue et tapote sa langue humide. La moitié inférieure de son visage est en train de fondre de désir, ses narines écartées pour bien sentir les effluves salaces de mon sexe, sa lèvre supérieure donne l'impression de couler, tandis que sa langue assouplie flatte mon gland. Elle laisse ma queue rebondir comme-ça plusieurs fois dans un râle de plaisir profond puis, brusquement, elle gobe ma queue jusqu'aux couilles et s'éjecte en arrière rapidement mais garde le bout de ma queue entre ses lèvres. Elle réitère ce mouvement une dizaine de fois, très rapidement, très profondément, et sans interruption. Une vrai ventouse. Je sens mon sexe se gorger de foutre, c'est incroyable. Je n'arrive pas à comprendre comment je n'ai toujours pas explosé à sa gueule; je sais que je suis endurant mais je n'aurai jamais cru être capable de résister à de pareils supplices, c'est tellement délicieux. Au bout de sa série, elle se retire, inspire une fois à pleins poumons et replonge. A chaque fois qu'elle m'avale, elle expulse violemment des giclées de bave qui commencent à me couvrir le ventre et dégoulinent jusqu'aux genoux. Pour elle c'est pareil, elle en a plein les joues et ça coule le long de son cou jusque dans son bénitier, faisant reluire sa poitrine. Elle m'agrippe fermement la base de ma verge et ses pouces écrasent mon urètre. Elle ne me ménage pas, c'est absolument divin de se faire traiter de la sorte, je n'ai jamais eu ça... putain que c'est bon! Elle ne s'arrête pas et recommence plusieurs fois. Puis elle ralentit, ne me bouffant plus que la moitié de la queue. Elle lève la tête, mon gland est dans sa bouche et sa langue oscille de droite à gauche en caressant cette partie si sensible à la frontière entre la hampe et le début de la couronne du gland. Son regard est vicieusement démoniaque. Très doucement elle glisse une de ses mains dans mon entre-jambe, de manière à avoir son bras entre mes cuisses, le pouce orienté vers elle, tous les autres doigts sont fermement tendus et elle passe le creux de son pouce et tout le long de son index entre mes fesses et pressant bien sur mon anus. Puis elle alterne et se sert de son autre main. Elle les glisse une par une en alternance en frottant bien le long de son index et amplifie le mouvement jusqu'à ce que ce soit son pouce qui touche mon anus. Involontairement je fléchis un peu les genoux sous ses caresses de plus en plus intenses, tandis que sa bouche va et vient encore et encore autour de ma queue avec gourmandise. Je ne sais pas ce qui me prend, je suis possédé, par un démon, par elle, je n'en sais rien mais tout ce que je veux maintenant c'est qu'elle plante l'un de ses pouces tout au fond de mon cul!!! Je n'ai jamais ressentis ça, je m'en fiche complètement... Vas-y, viole-moi! Mais il n' en est rien, elle continue inlassablement à étaler sa bave en glissant consciencieusement ses mains entre mes fesses au même rythme que sa bouche. J'ai l'impression que ça fait des heures que je suis là, je n'ai plus aucune notion du temps, tout se confond, j'ai chaud, je transpire tandis que la nonne s'active sans relâche à me traire la bitte. J'en veux plus ! Toujours plus ! Je ne pense même plus à mon foutre qui va bientôt déborder de mon sexe...

Au bout de quelques instants, elle commence à s'attarder de plus en plus sur ma rondelle qui s'est détendue sous ses caresses. L'un de ses pouces y est collé et le masse vigoureusement, elle n'est qu'à un effort de l'introduire. Elle est ferme mais très délicate, c'est divin. La moiteur de mon entre- jambe, sa bave qu'elle étale, son doigté subtil... elle l'enfonce... un peu plus. Oh putain ! Puis elle le décale et c'est son autre pouce qui vient s'enfoncer juste un peu plus profondément. Je suis électrifié. Elle alterne de plus en plus vite. Ma crâne va exploser. Elle arrête de bouger sa tête, me fixe droit dans les yeux, ma queue est bien calée dans sa bouche baveuse. Ses pouces continuent, eux, à se laisser la place à l'entrée de mon cul en glissant un à un. La chaise qu'elle avait décalée n'était pas très loin, d'un geste elle me fait lever la jambe gauche pour que je pose mon pied dessus. Elle me branle de sa main gauche en décalant un peu mon sexe sur le côté, et de sa main droite elle continue à me masser l'anus du bout de son pouce. Elle approche sa bouche grande ouverte et lèche ma couille amoureusement puis viens la glisser dessous, le long de mon urètre dur comme de la pierre et commence à rapprocher le bout de sa langue vers mon anus. Son pouce doigte doucement mon cul et sa langue caresse le bord. Elle me manipule comme un pantin, je suis comme une poupée entre ses doigts. Elle fait glisser sa langue et remonte le long de ma verge et se remet à me pomper. Elle me crache dessus, me suce, me lèche, elle est douce, puis agressive... Parfois elle grogne, puis juste après elle gémit tendrement. Le spectacle continue encore un peu puis elle se redresse et se campe bien droite sur ses jambes, reculant légèrement. Elle se cambre, sa main gauche soutient mes bourses et la droite branle mon gland tendant mon sexe à l'horizontale. Elle respire fort, gémissant par moment, puis elle ferme les yeux et baisse la tête. Gardant sa bouche grande ouverte, de longs filets de bave tombent les un après les autres du bord de sa langue et s'écrasent sur ses mains agrippées à mon chibre qu'elle branle avec ardeur. Elle gémit de plus en plus fort, la bouche grand ouverte et tout à coup elle s'immobilise complètement. Figée, je l'entend toujours gémir mais ne la voit pas, sa tête est toujours baissée. C'est là qu'elle se met à grogner en serrant les dents. Sa position qui était parfaitement rigide commence à s'affaisser, ses jambes flagellent et elle finit par pousser un long soupir aigu. Venait-elle de jouir ? En tout cas ça m'en avait tout l'air. Elle redresse sa tête et me montre un visage congestionné, affichant un regard coupable.

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Histoire de Edwin87

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