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La nuit d'Emma - 1 partie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 17/04/2023

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La nuit d’Emma
1ère partie



Je suis Franco-Américaine. J’ai rencontré mon mari Benjamin sur les bancs de Berkeley, mon université à San-Francisco où il suivait un cursus post Polytechnique. D’amis nous sommes devenus amants et maintenant nous formons un couple heureux et tout fonctionne pour le mieux entre nous. Nous vivons en France et notre travail nous accapare énormément. Nous profitons donc de tous les moments où nous pouvons être ensemble.


Jeunes mariés sans enfant, nous avons toute liberté pour nous exprimer sur le plan sexuel. Nous aimons le sexe, je ne m’en cache pas et nous faisons l’amour dès que nous en avons envie. Cela ne veut pas dire que nous sommes des obsédés sexuels, pas du tout, mais nous sommes jeunes et vivons notre sexualité comme nous l’entendons tant que cela nous est possible de le faire. Nous avons bien conscience qu’un jour cela deviendra plus difficile alors nous en profitons pleinement aujourd’hui.

Une fois par trimestre nous faisons ce qu’il est convenu d’appeler un marathon du sexe. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit de s’offrir une nuit complète de plaisir jusqu’au petit matin. En principe nous nous réservons la nuit du vendredi au samedi matin pour cela.

Comme beaucoup de couples, nous regardons souvent des vidéos érotiques sur les sites pornos car nous voulons à tout prix éviter le piège de la routine sexuelle qui tue toute libido. Nous avons plusieurs sex-toys et produits divers que nous utilisons selon nos envies. Pour des raisons pratiques nous achetons la plupart du temps en ligne mais il nous arrive d’aller dans un LoveStore où nous avons nos habitudes pour être conseillés lorsque nous recherchons quelque chose de spécifique. Tout ceci pour vous faire comprendre que nous ne sommes pas du tout « coincés » et que nous expérimentons beaucoup de choses.

Nous ne nous cachons rien de nos envies ni de nos fantasmes respectifs. Pour les envies, nous les satisfaisons dès que possible, pour les fantasmes nous abordons facilement le sujet. Bien que ce ne soit pas toujours conseillé de les réaliser car on risque d’être déçu par une situation qui nous semblait fantastique de prime abord et qui se révèle somme toute décevante, nous avons quand même décidé d’essayer. Chacun les écrits sur un bout de papier placé ensuite dans une enveloppe à son nom et nous en tirons un au sort. Benjamin en a pris un dans mon enveloppe. Il l’a regardé puis l’a lu à haute voix.

« Participer à un gang-bang avec toi comme spectateur »

Immédiatement je suis gênée qu’il prenne connaissance d’un de mes secrets. C’est très personnel et cela ne m’avait pas traversé l’esprit jusqu’à maintenant. Il n’a pas de réaction particulière mis à part un haussement de sourcil en signe d’étonnement et me dit avec un sourire.

- Il est très particulier celui-là. Mais puisque c’est ce que tu veux, je vais y réfléchir sérieusement.

- Ça ne te choque pas ?

- Non, ça m’excite même.

Au fond de moi-même sa réaction m’a rassurée. Pendant quelques jours nous n’en avons pas parlé puis au bout de dix jours, je lui ai demandé où il en était dans ses recherches.

- Ça se présente plutôt pas mal.

- Ah bon ? Et avec combien d’hommes ?

- Pour l’instant je ne veux rien te dire car ce n’est pas entièrement bétonné. J’attends une dernière confirmation mais j’ai bon espoir.

- Mais tu y assisteras hein ? Je ne veux pas rester seule avec eux.

- Bien entendu, je ne veux rien manquer du spectacle, me dit-il avec un grand sourire.

Une fois dans notre chambre nous avons regardé plusieurs vidéos de gang-bang puis nous avons fait l’amour jusque tard dans la nuit.

Le surlendemain, après avoir dîné, il m’annonça avoir reçu la dernière confirmation qu’il attendait et qu’ils seront en nombre suffisant pour me combler. Étant donné que nous avions décidé que les pénétrations se feraient sans préservatif, il leur avait demandé de se munir d’un certificat médical précisant l’absence d’IST, du SIDA et de la COVID19.

Ils resteront à la maison toute la nuit et pourront profiter de moi à leur guise jusqu’au petit matin. Il me demanda si j’étais toujours d’accord, ce que je confirmai avec un grand sourire.

- C’est prévu pour quand ?

- Vendredi prochain.

- Vendredi prochain ? Mais vous avez votre partie de cartes.

- Ce n’est pas grave. On la reportera, ils n’en mourront pas.

Affamée de sexe, je me suis jetée sur lui et nous avons fait l’amour sur le tapis du salon.

J’ai de bonnes amies rencontrées dans mon club de fitness. Nous nous voyons assez régulièrement et très vite nos maris ont sympathisé. Nous avons toutes et tous entre 24 et 28 ans. Je suis la plus jeune et mon chéri a un an de plus que moi.

Tous les premiers vendredi soir du mois les hommes se retrouvent chez nous pour des parties de cartes qui s’éternisent tard dans la nuit. Il y a Frédéric qui tient un pressing avec son épouse, Matthieu qui est prof de sports et enfin Antoine qui travaille comme peintre dans une société de rénovation immobilière.
Ils sont tous les trois extrêmement sympathiques et nous les aimons beaucoup. Afin d’éviter des problèmes, ils restent cuver à la maison jusqu’au lendemain. Leurs épouses savent où ils se trouvent et sont rassurées de ne pas les savoir sur la route.

Sept jours me séparent maintenant de ce fameux soir où je vais me donner à des inconnus. Je n’arrête pas d’y penser et mon sexe est constamment humide, ce qui ravit Benjamin.

Je stresse un peu car je dois partir à New-York dimanche matin pour mon travail. J’espère avoir fini à temps pour rentrer mercredi prochain dans la soirée comme prévu afin de récupérer du décalage horaire. Avec ce qui m’attend, je ne peux pas me permettre d’être fatiguée vendredi soir.

Mon mari s’occupe de moi avec tendresse. Il est un peu inquiet pour mon déplacement car un séjour dans la « grosse pomme » n’est pas ce que l’on peut appeler de tout repos. Je le rassure en lui promettant de refuser les sorties qui me seront proposées par mes collègues New-Yorkais.

Je suis rentrée comme prévu mercredi. J’ai passé les 6 heures de vol à dormir confortablement installée. Benjamin a été très classe. Malgré mon insistance, il a refusé toute relation sexuelle en m’expliquant qu’il valait mieux que je reste sur ma faim afin d’être performante vendredi soir. J’ai fait semblant d’être en colère mais il a tenu bon.

Enfin ça y est ! On est vendredi soir. Je sors du travail un peu plus tôt que d’habitude. Benjamin n’est pas encore rentré. Je prends une bonne douche et une fois séchée je me parfume des pieds à la tête puis je me dirige vers mon dressing pour choisir ma tenue. Tout d’abord les sous-vêtements. Ne jamais les négliger surtout pour une soirée comme celle qui se prépare bien que je sois consciente qu’ils ne resteront pas longtemps sur moi.

Je me demande comment vont être ces hommes, ces inconnus qui vont venir ici pour me posséder devant mon mari. Grands, petits, gros, minces, beaux, laids, lambda ? Ont-ils l’habitude de ce genre de situation ? Comment mon mari les a trouvés ? Sur quel site ?

Pendant que je me pose ces questions pour lesquelles j’aurai des réponses dans peu de temps, je cherche ce que je peux me mettre et je trouve ce qu’il faut. Un coordonné qui ne cache pas grand-chose de moi étant donné qu’il est presque transparent. C’est le dernier cadeau de mon mari qui vient de rentrer et qui passe la tête dans l’embrasure de la porte.

- Très bon choix mon ange, tu es très belle comme ça.

- Merci mon chéri, j’espère que ça va leur plaire également.

Je suis tellement tendue que je ne reconnais pas ma voix. Il s’en rend compte et vient me prendre dans ses bras.

- Tu sais, si tu as des doutes, ce n’est pas grave. On peut tout annuler.

- J’ai peur de l’image que je vais te donner de moi. Je ne voudrais pas que tu…

- Que je quoi ? Que je ne t’aime plus ? N’aie pas peur. J’ai autant envie que toi de ce qui va se passer cette nuit et ça ne changera en rien tout l’amour que j’ai pour toi. Ce soir, ce n’est pas une histoire d’amour mais seulement une histoire de sexe. Mais je te le répète, si tu veux arrêter, on arrête tout. C’est toi qui décides.

- J’en ai envie c’est vrai mais j’ai peur pour nous deux. Je ne suis plus aussi certaine que…

- Je suis au contraire très fier de toi.

- C’est vrai ?

- Oui mon amour, c’est vrai.

- Quoiqu’il se passe, quoique je dise ou que je fasse avec ces hommes, c’est toi que j’aime et que j’aimerai toujours.

- Moi aussi mon amour, je t’aimerai autant demain. N’aie aucun doute.

Rassurée, je quitte ses bras. Je finis de m’habiller et je passe un top en soie blanche avec un pantalon beige. Je suis fin prête.

- À quelle heure arrivent-ils ?

- Le rendez-vous est à 20 heures. Tu as faim ?

- Non, pas pour le moment. Je crois de toute façon que je ne peux rien avaler.

- Si tu veux grignoter quelque chose dans la nuit, on s’arrêtera. Ce n’est pas un problème. C’est toi qui diriges les ébats.

J’apprécie énormément la sollicitude de mon mari à mon égard. Je sais qu’il ne ment pas lorsqu’il dit que ce qui va se passer n’aura aucune incidence sur notre couple. On ne s’est jamais menti depuis que l’on se connait, il n’y a aucune raison pour que ça commence aujourd’hui mais la situation s’avère un peu scabreuse même si nous la voulons tous les deux.

J’ai la bouche sèche alors que mon sexe ruisselle. Pour la troisième fois je vais dans ma salle de bain pour m’essuyer l’entrejambe tellement je suis excitée. Je regarde la pendulette du salon. Il est presque 20 heures. Une envie subite de faire pipi me prend et je me dirige vers les toilettes lorsque l’on sonne à la grille d’entrée.

Benjamin appuie sur l’ouverture automatique pendant que je quitte la pièce. J’entends des voix d’hommes. Il me semble en compter quatre avec celle de mon mari mais je n’en suis pas certaine. Benjamin m’appelle.

- Mon ange, où es-tu ? Ils sont arrivés et nous t’attendons.

J’essaie de calmer les battements de mon cœur et je me dirige lentement vers le salon. Les voix sont plus distinctes maintenant.

« Ça y est, j’y suis »

Je sursaute en voyant les hommes recrutés par mon mari. Nos trois amis me regardent, la mine réjouie. Benjamin éclate de rire.

- Mon amour, il m’était impossible de te laisser entre les mains, si je peux m’exprimer ainsi, de sinistres inconnus. Lorsque je leur en ai parlé, ils m’ont proposé d’assouvir ton fantasme et j’ai tout de suite accepté car j’ai une totale confiance en eux. Ce soir, ne les considère pas comme nos amis mais des hommes qui vont profiter de toi jusqu’à demain matin comme toi tu vas profiter d’eux.

Je suis stupéfaite de la tournure que prend cette soirée mais à tout bien y réfléchir, Benjamin a raison. Avec des inconnus, la soirée aurait pu déraper alors qu’avec eux je me sens davantage en sécurité.

- Et maintenant, que fait-on ?

- Vous allez commencer par jouer au jeu de l’oie érotique. Il n’y a rien de tel pour faire monter la température.

Nous voilà tous les quatre assis autour de la table à discuter de tout et de rien en attendant le retour de Benjamin. Je connais bien ce jeu et je sais que les gages vont vite nous chauffer les sens. Je regarde ces trois hommes que je connais depuis presque un an, que j’apprécie et qui vont bientôt me prendre toute la nuit avec mon accord.

Pas plus tard que le week-end dernier, les trois couples étaient invités chez nous pour une partie de barbecue – piscine. Et aujourd’hui, je vais me faire baiser par leurs maris. Je réfléchis à la situation que je cherche à analyser. S’ils veulent tromper leur femme, après tout cela les regarde. Ensuite, je ne trompe pas mon mari puisque ce qui va se passer lui plait également. Ce soir, on me sert mon fantasme sur un plateau. Alors d’où vient cette gêne ? Peut-être de ne plus pouvoir regarder mes amies dans les yeux à partir de demain matin !

Benjamin installe le jeu et va s’asseoir dans le canapé pour nous regarder.

- Honneur aux dames, me dit Matthieu.

La partie commence. Pour ceux et celles qui ne connaissent pas ce jeu, si vous voulez pimenter vos soirées coquines, je vous le conseille vivement. Il existe plusieurs niveaux de gages qui vont du plus soft au plus hard. Benjamin a choisi les paquets de cartes avec le dos noir, donc le plus hard.

Très rapidement les vêtements tombent les uns après les autres au gré des gages et nous finissons tous en sous-vêtement.
Il est clair que le jeu a motivé la libido des garçons car la bosse apparente sous leur boxer est significative mais c’est Antoine qui remporte la palme. Un coup de dés de plus et la sentence tombe. Il doit se faire caresser pendant deux minutes par-dessus son slip par le joueur de sexe opposé situé à sa gauche. Ce ne fut pas du tout compliqué de savoir qui allait réaliser son gage. Matthieu a retourné le sablier et je me suis mise au travail.

Quel sexe ! Dur, long et gros. Je n’en reviens pas. J’ai déjà vu les trois hommes en bermuda de bain mais comme ce vêtement n’est pas aussi moulant qu’un boxer, il était difficile de se faire une idée précise. Et puis la situation a commencé à s’épicer.

À mon tour d’avoir un gage. Quelqu’un d’un sexe opposé immédiatement à ma droite devait me masturber pendant une minute. C’est tombé sur Matthieu. Les deux autres compères ont voulu voir comment il s’y prenait et m’ont retiré ma petite culotte pour mieux se rendre compte.

Comme j’avais déjà perdu mon soutien-gorge, je me retrouvais toute nue et à partir de là nous avons laissé ce jeu de côté pour en commencer un nouveau beaucoup plus charnel.

- Allons dans notre chambre décida Benjamin. Nous y serons plus à l’aise.
Une fois arrivés, il m’allonge au milieu du lit, m’embrasse tendrement en me souhaitant une très bonne soirée et regarde nos amis.

- Avant de commencer, je tiens à fixer les règles du jeu. Il est un peu plus de 21 heures, Emma est à vous jusqu’à demain matin 6 heures, si vous tenez jusque-là bien entendu. Vous pourrez lui faire tout ce que vous désirerez et elle pourra vous faire tout ce que vous lui demanderez, dans toutes les positions que vous voudrez, autant de fois que vous le souhaiterez. Vous avez toute la nuit pour cela. Il n’y a qu’une seule condition à respecter, c’est qu’elle soit consentante. Mais il y a une chose qui vous est interdite de lui faire, c’est de la sodomiser.

- Ah bon ? Et pourquoi ? demande Frédéric surpris.

- Tout simplement parce qu’elle est vierge de ce côté-là et je tiens à être le premier à lui faire connaitre cette pénétration lorsqu’elle le décidera.

- D’accord, mais c’est bien dommage, j’aurais bien aimé aller y faire un tour. Elle a un très joli petit cul, ajouta Matthieu.

Benjamin continua.

- Le mot de sécurité est « carburateur ». Dès que vous l’entendrez, je vous demande de cesser immédiatement toute action sur elle. Je sais que je peux compter sur vous.

- Tu le peux, dit Antoine. Nous sommes des gens sérieux.

Je suis bien contente que Benjamin ait fait cette mise au point. Je sais qu’il aimerait me faire connaitre cette pénétration que j’ai toujours refusée jusqu’à présent. Pourquoi ? Je n’en sais pas trop les raisons.

Ce n’est pas par peur de l’éventuelle douleur car je connais mon mari, je sais qu’il peut se montrer extrêmement doux par moment et qu’il ne veut en aucun cas me faire mal. Mais c’est vrai que je suis vierge de ce côté et je veux lui en réserver la primeur. Il ne me reste plus qu’à décider du moment.

Les trois hommes se sont rapprochés du lit et me regardent avec envie. Je suis grande et mince et j’ai les cheveux blonds. Fana de natation et de surf, j’ai de longs muscles avec des cuisses fuselées. Mes fesses sont musclées et aussi fermes que mes cuisses. Ma poitrine est mon point faible, je trouve mes seins trop petits ce qui fait rire Benjamin qui les trouve à son goût.

Les hommes ont du mal à cacher leurs érections. Je me demande bien qui va commencer des trois. Ils se regardent, un peu gênés par la présence de Benjamin qui comprend et qui les rassure.

- Allez-y les amis, n’ayez pas peur, elle est toute à vous et je suis d’accord pour ça. Ne soyez pas timides.

Antoine monte sur le lit et s’allonge à côté de moi. Matthieu fait de même de l’autre côté tandis que Frédéric se positionne devant moi et m’écarte les jambes. Je commence à m’ouvrir. Frédéric et Antoine me tiennent chacun par un genou et m’ouvrent encore plus. Je suis maintenant presque écartelée.

Ils regardent tous mon sexe offert et ma toison blonde épilée façon maillot brésilien. Frédéric à genoux entre mes jambes commence à me caresser l’intérieur des cuisses et remonte lentement tandis que les deux autres s’occupent de mes seins en faisant rouler les tétons entre leurs lèvres.

Frédéric est sur mon minou et deux doigts me pénètrent tout doucement. Je ferme les yeux de plaisir. Avoir trois hommes qui me caressent est une sensation nouvelle et très agréable. Les doigts plantés en moi s’emballent. Frédéric me masturbe d’un mouvement ample qui fait mouche. Son pouce attaque mon clitoris que j’ai de très sensible. Je commence à ressentir cette douce chaleur au fond de mon ventre. Je le regarde et il me sourit.

- C’est bon ?

- Oui, continue comme ça, c’est bien, lui dis-je dans un souffle.

Pour continuer, il continue. Ses doigts me défoncent maintenant avec un bruit humide. Le frottement de son pouce sur mon clitoris se fait plus violent. Ma respiration devient saccadée. Depuis plusieurs jours je ne pense qu’à ce moment où j’aurais des hommes à ma disposition pour me faire jouir autant de fois que je le voudrais alors je ne me retiens pas. Je commence à gémir du plaisir que je sens monter lorsqu’il s’allonge entre mes jambes et remplace son pouce par sa langue. Mon Dieu que c’est bon !

Les deux autres sont toujours sur mes seins et torturent mes tétons. Ça aussi c’est parfait. Mon clitoris est aspiré et la langue frotte le bout du gland. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Mon ventre se creuse au rythme de ma respiration. Frédéric sens que l’orgasme arrive. Il mordille doucement mon clito. Il ne m’en fallait pas plus pour décoller.

Je crie sans retenue. Les autres abandonnent mes seins et me tiennent fermement par les genoux pour me laisser ouverte pendant que Frédéric continue de me lécher durant toute ma jouissance puis lape le plaisir qui coule hors de moi. Je redescends tout doucement de mon nuage. Je prends la tête de Frédéric dans mes mains et je l’attire jusqu’à ma bouche. Il m’embrasse tout doucement, ses lèvres et sa langue sont chargées de mon goût et de mon parfum.

Je regarde autour de moi et j’aperçois mon mari qui me regarde avec un grand sourire que je lui renvoie. On n’a pas besoin de se parler pour se comprendre.

Antoine me fait des bisous dans le cou. Il a les lèvres douces. Placé comme il est, je peux sentir au travers de son boxer la chaleur et la dureté de son membre contre ma cuisse. Je caresse ses fesses. Il se presse davantage contre moi.

- J’ai envie de toi, me dit-il doucement à l’oreille.

Je lui réponds de la même façon.

- Alors prend moi.

Il m’enjambe et vient de positionner entre les miennes. Je passe les mains dans la ceinture de son sous-vêtement que je le fais descendre le long de ses cuisses. Il m’aide à l’enlever. Je regarde ébahie la taille de son sexe.

« Jamais il ne va pouvoir la rentrer. Il va me déchirer »

Il doit se douter de ce à quoi je pense car il tente de me rassurer.

- N’aie pas peur. Je vais être très doux avec toi. Je vais te pénétrer très lentement et une fois au fond de toi, je peux t’assurer que tu vas aimer.

Il se soulève légèrement pour mieux se positionner et demande à ses deux amis de bien m’ouvrir les jambes. Je mets mes mains sur ses fesses et je ne le quitte pas du regard. Je sens la chaleur de son gland contre la peau fine de l’entrée de mon vagin et il s’insinue en moi.

Il est très doux et me pénètre lentement, comme il me l’a promis. Je crispe mes mains sur ses fesses, non pas de douleur mais d’appréhension car une queue comme la sienne, je n’en avais encore jamais vue sauf dans des vidéos pornos.
Il continue sa progression centimètre par centimètre. Je suis totalement dilatée, je ne ressens aucune douleur mais plutôt du plaisir. Je ne savais pas que je pouvais accueillir en moi quelque chose d’aussi gros.

Il ne bouge plus. Je le regarde et il me sourit.

- Je suis au fond.

Je regarde entre mes jambes et je m’aperçois que c’est vrai. Il est tout en moi.

- Tu peux te détendre maintenant.
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Histoire de Emma.C

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Commentaires du récit : La nuit d'Emma - 1 partie

Le 21/04/2023 - 08:18 par DBHB24
Très bon début prometteur d'une nuit inoubliable pour Emma...
Le 18/04/2023 - 22:53 par OlgaT
Emma semble dépasser toutes ses limites!

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