Glory hole privé, 2

Dans l'attente du second groupe nous sommes restés au salon où Lucrèce et Raymond n'ont cessé de se caresser et s'embrasser.
Lorsque la sonnette a retentit Lucrèce et moi sommes vite descendus à la cave et avons pris place dans le glory.
Un long moment s'est passé, suivi de voix qui s'approchaient et, pour finir, Raymond nous a rejoint.
Il nous a dit d'un air gêné: "Ils ne sont que 3, dont 2 qui sont venus après-midi".
Moi: "C'est dommage car tu as bien chauffé Lucrèce".
Lucrèce: "J'espère qu'ils sont en forme".
Raymond: "Oui, mais ils demandent plus que cet après-midi, ils voudraient que tu les suces un peu puis désirent te prendre".
Lucrèce: "Me baiser ?".
Raymond: "Euh... oui... mais...".
Moi: "Mais quoi ?".
Raymond: "Ils aimeraient qu'on aille au salon ou dans ma chambre et pratiquer le sm, d'ailleurs ils ont amené du matériel".
Lucrèce: "Je veux bien si Libertin est d'accord aussi, mais quel genre de matériel ?".
Raymond: " Un martinet, des pinces, des bougies et des menottes, des vraies menottes".
Lucrèce, enjouée: "Je suis d'accord, et toi ?".
Moi: "Je veux d'abord voir les gars et, si oui, exigerai que les menottes ne soient pas serrées car une fois Lucrèce avait été blessée aux poignets".
Je suis sorti de la pièce et ai vu les 2 qui étaient venus l'après-midi plus un type énorme (il devait mesurer +_ 1,75 et peser dans les 120 à 130 kgs).
"Voilà qui va plaire à ma chérie, même si il est jeune (52 ans ai-je appris) ce genre de physique lui correspond".

Pour être tout à fait honnête, ce nouveau déroulé me perturbait car je ne m'y étais pas préparé mentalement. Mais au final je ne l'ai pas regretté.

Selon son désir Lucrèce les suça quelques instants dans le glory hole avant que nous ne montions tous les 6 dans la chambre. Là, déjà nue, Lucrèce se laissa menotter (mains devant) et, bras levés, se laissa caresser par nos 3 coquins qui se déshabillaient dans le même temps.
PT1 !! Le "bien en chair" me semblait encore plus énorme nu ! Son ventre ne devait plus lui permettre de voir sa zézette !
Un des hommes lui mis les pinces aux tétons qu'ils s'amusa à étirer pendant qu'un autre la fouettait faisant rosir puis rougir ses fesses. Raymond et le gros la léchaient entièrement.
Lucrèce aime la violence (limitée!), un suintement s'écoulait d'entre ses jambes pour le prouver. C'est moi qui ai dû faire cesser le fouetteur qui mettait trop d'entrain à "punir" le cul de ma femme. D'ailleurs quand elle s'est allongée sur le lit j'ai vu qu'elle y alla doucement pour y poser ses fesses.
Le gros est venu se mettre à genoux à côté d'elle sur le lit et, après lui avoir ôté les pinces, s'empara des bougies qu'il alluma puis en donna une à chacun (sauf à moi).
Si les premières gouttes de cire provoquèrent quelques soubresauts à Lucrèce, la suite fut dantesque. Son corps en était presqu'entièrement enduit des genoux jusqu'aux seins dont le gros recouvrait les tétons. Il les recouvrait puis les dégageait, puis les recouvrait à nouveau et ainsi de suite. Raymond en laissa couler quelques gouttes sur le clitoris, cela fit crier Lucrèce car le mal était trop fort.
Un des 2 autres mecs se faisait sucer et finit par une faciale dont une partie sur les cheveux.
Lucrèce prit alors la parole: "J'aimerai que toi et toi (Raymond et un des hommes) vous me preniez l'un après l'autre. Quand à toi (dit-elle en regardant le gros) je veux que tu sois le dernier et que tu me sodomises".
Le souci c'est qu'on avait pas prévu ça, juste des fellations étaient au programme initialement (je sais, certains diront que même pour une fellation il faut une protection, mais Lucrèce ne veut pas car elle aime avaler) et nous n'avions pas de capotes.
Raymond fut le premier, il ne tarda pas à se vider malheureusement, l'autre vint se mettre à genoux sur le lit et prit les jambes de Lucrèce qu'il passa autour de sa taille tout en demandant à Raymond de glisser 2 coussins sous le bas du dos de ma petite cochonne. D'un coup sec il la pénétra. Ce gars la martela avec force et durant un long moment, Lucrèce eut plusieurs orgasmes résultant de la qualité de cet amant, mais également de tout ce qui s'était passé auparavant.
Le gars s'est alors exclamé "Je vais venirrrr!" et Lucrèce lui a dit en criant "entre mes fesses !".
Il s'est retiré, elle a soulevé ses jambes en écartant ses fesses et il s'est terminé manuellement en projetant son sperme où elle le lui avait demandé.
Avec son majeur elle a répandu la semence autour et dans son petit trou afin de le lubrifier pour faciliter l'introduction de la queue de son enculeur.
Ensuite elle s'est mise à 4 pattes et le gros s'est placé derrière elle (c'est à ce moment-là que j'ai pris conscience que sa queue n'était pas en rapport avec son physique, même si elle avait un beau volume elle n'était pas bien longue).
Le type fut très sauvage et c'est d'un seul coup qu'il l'encula.
J'ai vite deviné que Lucrèce ne prenait qu'1 demi-pied (elle me l'a confirmé par la suite en me disant qu'elle aurait préféré plus de centimètres), mais cela ne l'empêcha pas de lui dire "plus vite... plus fort!
J'ai vu le type se raidir et ralentir, il venait de décharger en elle.
Ils l'ont encore caressée un petit peu, lui ont retiré les menottes, se sont rhabillés puis sont partis.
Raymond, Lucrèce et moi sommes allés sous la douche où j'ai enfin pu me satisfaire avec elle pendant que Raymond parcouru son corps.

Je tiens à préciser que ce n'est sans aucun jugement que j'ai nommé "le gros", mais on ne se souvient vraiment pas de son prénom, milles excuses aux lecteurs en surpoids.

Libertin