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La nuit d'Emma - 3 partie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 25/04/2023

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La nuit d’Emma.
3ième partie


Je me suis de nouveau allongée sur le lit. Antoine me demande de me mettre en levrette. En voyant son sexe dressé, décalotté au gland violacé qui me fait penser à un gros champignon, à nouveau une chaleur annonciatrice de plaisir envahit mon bas ventre. À la vue de son engin mon vagin se lubrifie rapidement.

« Je le veux en moi, tout au fond. Je veux me faire prendre par cette queue »

Je prends la position demandée.

- Mets-toi au milieu du lit, me dit-il.

Je recule un peu de façon à me positionner là où il le souhaite. J’écarte les jambes et je me cambre. Mes seins touchent les draps. Je suis offerte à la vue des garçons, ouverte, les fesses écartées, prête à me faire pénétrer par cette colonne de chair. Comme je leur tourne le dos, je ne vois pas ce qui se passe mais j’entends une conversation à voix basse sans comprendre ce qui se dit. Soudain je sens le lit bouger. Un frisson parcourt mon dos. J’entends la voix d’Antoine.

- Emma, pendant que je vais te baiser, Frédéric va se mettre en dessous de toi. Il te lèchera pendant que tu le suceras. Une fois que j’aurai joui, il prendra ma place et Matthieu le remplacera à son tour. De cette manière tu seras toujours baisée par un de nous. Tu es d’accord ?

- Quel programme ! Bien entendu que je suis d’accord !

-. Tu veux du sexe, tu vas en avoir, rajouta Matthieu.

Je me redresse pour laisser passer Frédéric sous moi puis je reprends la position demandée. Frédéric se cale bien afin d’avoir mon sexe à hauteur de sa bouche et sa queue accessible par la mienne. Pendant ce temps Antoine me caresse doucement les fesses.

- Tout va bien pour vous deux ? demande-t-il.

- C’est bon ! On peut y aller ! lui répond Frédéric

Les mains d’Antoine quittent mes fesses. Son sexe est à l’entrée de mon vagin. Je sens la chaleur de son gland. Il avance un peu tout en poussant. J’ai l’impression d’être écartelée. Doucement, il me pénètre. Je sens mon vagin s’étirer au maximum pour le recevoir. Frédéric se met au travail et commence à me lécher.

Entre la sensation liée à la pénétration du sexe d’Antoine et la langue de Frédéric sur mon clitoris, je me détends petit à petit. Mon vagin s’ouvre davantage et Antoine peut s’enfoncer sans douleur. Rassurée de ce côté-là, je baisse la tête et prend Frédéric dans la bouche. Son gland est sec. Je le mouille avec beaucoup de salive afin que ma caresse soit bien douce. Je lui caresserais bien les couilles en même temps mais j’ai besoin de mes deux mains pour résister aux coups de reins d’Antoine qui s’active dans mon dos. Je ne ressens aucune douleur, rien que du plaisir.
Soudain je pense à Frédéric qui doit avoir une très belle vue de là où il se trouve.
J’apprécie les mouvements réguliers d’Antoine. Il me baise avec force mais toujours sur le même rythme. Il sort presque entièrement de moi pour mieux me posséder ensuite. Frédéric a adopté le même rythme qu’Antoine. Et pendant ce temps, je gémis, la queue de Frédéric toujours dans ma bouche. J’essaie de le prendre en totalité mais c’est impossible. Elle est trop longue. À un moment, son gland touche ma glotte. J’ai un haut le cœur. Je ne veux pas lui vomir dessus. Je limite un peu sa pénétration.

Les deux garçons me possèdent admirablement bien. Je sens les prémices d’un orgasme. Je ne cherche pas à le retenir. Antoine m’a dit qu’ils allaient tous me prendre, alors pourquoi me retenir ? Antoine garde le rythme. Il n’en a pas changé depuis qu’il est en moi. Un vrai métronome. J’entends ses testicules claquer contre mes fesses. Le plaisir monte inexorablement dans mon ventre. Frédéric a changé de technique. Il me caresse avec les doigts maintenant. Je me dis que c’est pour laisser reposer un peu sa langue. Mon clitoris est revenu dans son antre mais bien lubrifié par la salive, Frédéric tire sur la peau du capuchon et le fait ressortir.
Sa langue remplace de nouveau ses doigts. Entièrement décalotté, mon clitoris est à la merci de ses caresses. Il l’aspire et le fait rouler entre ses lèvres avec sa langue. J’ondule des hanches sous cette caresse sublime. Je ne suis pas loin d’exploser. Ses dents remplacent ses lèvres et il mordille très légèrement mon petit bouton.

Je me redresse subitement. Des éclairs passent dans mes yeux. J’ai la respiration coupée. Je crie encore une fois mon plaisir immense. Mon sexe se liquéfie littéralement. Je sens ma cyprine couler entre mes cuisses. Frédéric la lèche consciencieusement. Mes jambes tremblent. Heureusement qu’Antoine me soutient par les hanches sinon je me serais écroulée sur Frédéric. Il continue de me baiser sur le même rythme. Frédéric a repris ses caresses avec la langue. Mon clitoris est toujours sorti. Je ne le vois pas mais je le sais. Il est extrêmement sensible et je lui suis reconnaissante de ne pas trop s’y attarder pour le moment.

Je retrouve petit à petit le contrôle de ma respiration et reprend Frédéric dans la bouche. Il semble apprécier mon traitement. Il est toujours aussi dur. Le rythme diabolique de la queue d’Antoine, le claquement de son ventre contre moi, son souffle dans mon dos, le bruit humide que fait son sexe lorsqu’il me pénètre, ses mains qui me tiennent fermement les hanches, la langue de Frédéric qui tourne autour de mon clitoris et sa queue dans ma bouche font un cocktail érotique détonnant. Un autre orgasme se présente mais cette fois c’est grâce à Antoine.

Son souffle devient plus fort. Je l’entends grogner dans mon dos. Il accélère son mouvement. Il rentre et sort à grande vitesse, cognant le fond de mon vagin avec brutalité. Frédéric, de là où il est placé le voit et comprends que son copain n’en a plus pour longtemps. Mon souffle est court. Je libère Frédéric pour pouvoir respirer par la bouche. Le nez ne suffit plus. Je sens les ongles d’Antoine rentrer dans ma peau de mes hanches. Il est à bout.

- Vas-y ! Défonce-moi ! Plus fort ! Baise-moi ! Oui, j’adore ! Continue comme ça !

Je lui cris tous les mots qui excitent un homme dans ces moments. J’aime beaucoup parler pendant l’amour. J’adore ces échanges pendant le sexe qui peuvent prendre la forme de ce que l’on appelle communément des « dirty talk », une expression qui décrit le vocabulaire cru utilisé au lit dans le but de stimuler le désir et l’excitation. Comment j’appelle un pénis ? Une queue et les testicules des couilles. Je n’en ai pas du tout honte.

Pour m’exciter et exciter Benjamin quand je parle de mon sexe, c’est le mot « chatte » que j’utilise. J’aime bien parce que ça veut tout dire, en fait. Ça peut être la vulve, le vagin ou le clitoris, ça englobe tout. C’est vrai que c’est souvent tourné vers la vulgarité mais dans ces moments précis où l’on se présente nu devant l’autre, plus rien n’est vulgaire. Pas plus la vue que les mots. J’ai remarqué que cette forme de communication a de nombreux effets positifs chez moi. Parler pendant l’acte sexuel m’amène autant au plaisir que le simple acte lui-même. Je trouve qu’on ne peut pas aimer le sexe si on n’en parle pas.

Je n’ai pas toujours été comme ça. C’est Benjamin qui une fois encore m’a initiée. Avant lui, je ne disais rien, j’étais totalement passive, j’attendais que ça se passe, on aurait presque pu entendre une moucher voler et puis il est arrivé et tout a changé. Grâce à lui je me suis rendue compte qu’en fait, pour avoir du très bon sexe, il faut vraiment parler, il faut vraiment demander ce que l’on veut à son partenaire et lui dire comment on le veut. Alors maintenant je ne m’en prive plus. Lorsqu’il me fait l’amour ou qu’il me baise, je prends énormément de plaisir, je le lui dis et je le crie pour notre plus grand bonheur à tous les deux.

Un dernier coup de reins et je sens son sperme frapper l’intérieur de mon vagin. Cette sensation me fait jouir à mon tour. Frédéric continue de me torturer délicieusement le clitoris. L’orgasme est fulgurant, imprévisible. Il est tellement fort que j’éjacule moi aussi. Frédéric lèche mon plaisir. Je sursaute chaque fois que sa langue touche mon bouton. Je sens Antoine se retirer doucement et m’embrasser le dos.

- Tu as été merveilleuse, me dit-il.

- Toi aussi Antoine, lui dis-je essoufflée, toujours à quatre pattes, lui tournant le dos.

Frédéric quitte sa position sous moi et vient se placer dernière, prêt à me baiser à son tour. Je sens encore les pulsations de mes muscles intimes. Que c’est bon de jouir avec une telle intensité. Je vois Matthieu se glisser sous moi. C’est reparti. Je n’ai droit à aucun répit.

Les garçons veulent me baiser non-stop. Je ne sais pas comment ils font pour bander autant. Je suis contente de les exciter à ce point. Je n’en reviens toujours pas mais vu leur assiduité, je commence à croire sincèrement à l’envie que je suscite auprès d’eux. Je ne suis pas encore redescendue de mes précédents orgasmes que les deux mecs recommencent. Frédéric se présente à l’entrée de mon vagin. Je le sens mais je n’ai aucune appréhension, surtout après Antoine. La place est faite. Et en effet, elle est largement faite. Il pénètre en moi d’un seul coup de reins. Violent et sauvage. Son gland cogne mon utérus. J’aime !

J’écarte les jambes au maximum pour lui donner plus de liberté de mouvement. Son rythme est infernal. Son sexe me masse délicieusement en frottant tout le long du vagin, Pendant ce temps, Matthieu me lèche à la perfection. Je sens mon clitoris regrossir. Il ne va pas tarder à ressortir de la protection de son capuchon. Matthieu s’en rend compte et l’aide un peu avec ses doigts. Ça y est ! Il est de nouveau à l’air libre. Je tremble du plaisir que ça va me procurer. J’ai tellement joui et je suis dans un tel état d’excitation que la moindre caresse ou pénétration un peu plus forte que les autres vont m’envoyer illico faire un tour au septième ciel.

J’ai la queue de Matthieu dans la bouche. Je le suce goulûment. Ma salive coule le long de son membre. Je vois les muscles de ses cuisses se crisper sous ma caresse. Il ne va pas tenir encore longtemps si je continue de cette façon. Je calme le jeu en ralentissant. Il se détend et continue de me caresser de sa langue. Il est très doué. Mon sexe n’est que plaisir. Une fois de plus, je suis heureuse d’être l’objet de toutes les attentions de la part de ces hommes. Depuis le début de la soirée, mon minou ruisselle. L’odeur de ma cyprine mélangée à celle du sperme envahit la chambre.

La langue de Matthieu ne bouge plus. J’entends un bruit que je n’arrive pas à analyser, puis je sens de nouveau les mains de Matthieu se fixer sur mes cuisses et sa langue me fouiller le sexe. Je sursaute en sentant l’odeur de menthe qui exacerbe mon clitoris. Un air frais le caresse. C’est Matthieu qui souffle dessus. Ça fait du bien, beaucoup de bien.

Frédéric continue de me pénétrer. Ses coups de reins sont plus violents qu’au début. Que c’est bon ! Soudain, il change de technique et ondule des hanches. Il suffit d’un rien pour déclencher une jouissance. Celle-là arrive d’un seul coup. Je relève la tête, stoppant net la pipe que je fais à Matthieu pour crier une nouvelle fois mon plaisir. Frédéric continue de s’activer vigoureusement dans ma chatte tandis que Matthieu me lèche toujours. Je ne peux en aucun cas continuer de le sucer. Il faut que mon plaisir se calme d’abord. Je reçois des décharges électriques dans tout le corps. En appui sur mes bras tremblants, je tente vainement de reprendre mon souffle. Mon cœur bat très vite. Je transpire. Je suis certainement toute rouge mais quel pied j’ai encore pris.

;Frédéric continue de me baiser comme si rien n’était arrivé. Mon corps n’est plus que plaisir. Sentir ces deux hommes qui s’activent sur moi, en moi, pour moi, est un véritable enchantement. Frédéric est un bon baiseur lui aussi. Il tient la distance. Je sens la langue de Matthieu lécher mon capuchon. Mon clito est juste en dessous, totalement découvert, à la merci de ses doigts, de sa langue, de ses lèvres, de ses dents. Sa langue le frôle. Je sursaute. Je n’ai pas fini de me remettre du dernier orgasme qu’un autre se prépare, je le sais.
Il descend un peu et mordille mes grandes lèvres gonflées de désir. Les tenants bien serrés entre ses dents il tire dessus tout doucement au début puis de plus en plus fort Je gémis. Je ne sais pas si c’est de douleur ou de plaisir. Certainement des deux à la fois. Mais il s’en fiche et continue avec mon autre lèvre puis avec les petites. Il remonte vers mon clitoris. Je me contracte.

Mon corps est toujours parcouru par des vagues de plaisir de mon dernier orgasme et bien que je n’aie pas totalement repris pied, les deux hommes continuent de profiter de moi sans vergogne. La langue stoppe de nouveau. En attendant qu’il se remette au travail, je savoure la queue de Frédéric qui me pénètre toujours aussi sauvagement. La langue reprend du service. Je me contracte à nouveau. C’est pour maintenant, c’est certain. Ses lèvres se posent très délicatement sur mon clitoris et l’enserrent.

Je suis tétanisée. Tout doucement les lèvres de Matthieu s’entrouvrent et frottent mon petit bouton sur toute sa longueur. Je trouve cela très agréable. Subitement il l’aspire de toutes ses forces et le masturbe en le faisant glisser entre ses lèvres serrées. Rien qu’avec ce traitement, je suis déjà partie dans un monde parallèle de plaisir. Des milliers d’aiguilles me transpercent le sexe. Une fois de plus je ne peux plus respirer. Je me cambre au maximum sous l’effet de la jouissance et je hurle encore et encore, Frédéric toujours en moi.

Matthieu continue sa masturbation. Je sens un liquide glacé et piquant se répandre sur mon clitoris. Immédiatement l’éclair et le tonnerre se déchainent en même temps dans mon sexe qui explose. Les deux garçons me soutiennent pour ne pas que je m’effondre. La queue de Frédéric toujours plantée en moi continue son va et vient. Je n’arrête plus de jouir. Un spasme en entraine un autre. Je n’ai même plus la force de crier. Des gémissements sourds sortent de ma bouche entrouverte. Un filet de bave s’en échappe. Le massage de mon vagin par le sexe de Frédéric continue de plus belle. Matthieu fait rouler mon clitoris entre ses lèvres serrées. Sa langue le lèche, ses dents le frôlent.

Il déclenche en moi des ondes de plaisir plus fortes les unes que les autres. Je ne savais pas que l’on pouvait atteindre un tel niveau de jouissance. Je sens le sexe de Frédéric grossir dans mon fourreau brûlant et humide. Il jouit à son tour. Je n’arrête pas de crier. Matthieu continue sa caresse. Sa main remplace sa langue et il me frotte la chatte avec force. À chaque fois que ses doigts passent sur mon clitoris, je reçois une décharge dans mon sexe. Je suis totalement à sa merci. Je ne veux pas qu’il s’arrête. Je veux encore jouir.

- Encore ! Continue ! C’est tout ce que je peux lui crier dans un souffle.

Plein de bonne volonté, il s’exécute. Frédéric est sorti de ma chatte. Je suis sur les genoux, la tête dans mon oreiller, les cuisses ouvertes, Matthieu sous moi en train de me caresser le clitoris. Il décide de changer de technique et le coince entre deux doigts qu’il fait glisser comme s’il le masturbait. Je crie. Il ne s’arrête pas. Je crie maintenant en continu. Mon sexe dégouline sur la figure de Matthieu. Je n’ai plus Frédéric pour me soutenir, je lui tombe dessus. Il remplace ses doigts par sa langue et ses dents. La pression est forte mais j’aime trop. Je me cambre et je hurle sous l’orgasme dévastateur qui m’emporte de l’autre côté du miroir.

Lentement Matthieu s’extirpe de dessous moi et m’embrasse tendrement.

- Je ne t’ai pas fait mal ?

« Mal ? M’avoir fait mal ? Mais j’aimerai avoir toujours mal comme ça ».

Je fais non de la tête. Je lui souris. Il semble rassuré. Je sais que tous les hommes m’ont regardé jouir. Mon mari arrive la queue dressée et me demande d’ouvrir la bouche. Je m’exécute et il y déverse des jets de sperme qui coulent sur mes lèvres et mon menton. Il presse son sexe pour en faire sortir le reste et m’en badigeonne les lèvres que je lèche avidement. Je retrouve son goût si particulier que j’adore. Il s’assoie sur le lit à côté de moi et me caresse doucement la poitrine.
Mes tétons sont dressés. Je suis en nage. Il se lève, va dans notre salle de bains et ramène une serviette de toilette et un verre d’eau. Je me jette sur le verre et le bois d’un seul coup. Je baisse la tête et je regarde mon vagin. Il n’est pas encore totalement refermé, le trou qu’il forme est du diamètre du sexe de Frédéric, le sperme de mes deux derniers amants s’en écoule lentement en formant une tâche humide sur le drap.

- Encore un s’il te plait.

Il se lève et revient avec mon verre que je vide aussi vite. Je m’essuie la figure. Je
me lève, mes jambes sont un peu flageolantes.

- Où vas-tu ? me demande mon mari.

- Prendre une douche.

- Ah non ! disent les trois copains. Reste comme ça.

- Quoi ? Vous êtes certains ?

- Tout à fait. On te veut comme ça.

- Mais je ne suis plus du tout propre maintenant, avec tout ce que vous m’avez envoyé.

- Justement, nous on aime ! Il est hors de question que ton minou sente le savon. Seulement l’odeur du sexe et elle seule.

- Comme vous voulez.

Je retourne m’assoir sur le lit.

- Vous n’avez pas soif ? demande Benjamin.

- Si ! Tu as des bières ?

- Oui. Je vais les chercher.

- Ramène des yaourts ou des compotes. Je veux manger quelque chose de frais, dis-je à mon tour.

- Bien sûr mon ange. Je reviens tout de suite.

Je me suis relevée pour entrouvrir la fenêtre afin d’avoir un peu d’air frais.

- On va te laisser te reposer un peu, le temps que tu manges, dit Matthieu.

J e le regarde. C’est mon chouchou. Il est calme, timide (enfin je le pensais jusqu’à ce soir) et possède une jolie petite gueule. Il est bien moins beau que mon mari mais des trois amis, c’est celui que je préfère physiquement.

- Je l’espère bien, je n’en peux plus.

Mon mari revient avec un panier rempli de bouteilles de bière, de deux bouteilles d’eau et de mes compotes et yaourts qu’il pose sur le lit. Il a rajouté quelques fruits. Rien de tel pour reprendre des forces. Je me jette sur une bouteille d’eau et j’en bois un bon tiers au goulot sans respirer. J’entreprends d’ouvrir un yaourt aux fraises.

- Chéri, tu as pensé à une petite cuillère ?

Il me regarde tout penaud d’avoir oublié ce couvert très pratique pour manger un yaourt ou une compote.

- Laisse tomber, dit Frédéric, hilare. Nous avons tous quelque chose qui peut très bien remplacer une petite cuillère dit-il en prenant son sexe à pleine main.

- Je vois bien ce à quoi tu penses, dis-je assez intéressée par cette proposition. Pourquoi pas ? Viens !

Je m’assoie au bord du lit avec mon yaourt dans une main. Frédéric s’approche et se place entre mes jambes. Tous les hommes ont débandé et leurs sexes pendent mollement. Je prends le sien, tire sur le prépuce pour décalotter le gland et le plonge jusqu’au fond dans mon pot de yaourt aux fraises.

- C’est froid, me dit-il.

- Il sort du frigo ! Et pour l’instant je ne te demande pas de bander.

J’avance ma tête et je suce sa queue enduite de yaourt. Ma langue passe lentement sur son gland et dans tous les replis de la peau.
Le résultat ne se fait pas attendre longtemps. Je sens la rigidité revenir. Je le replonge jusqu’au fond du pot et je déguste à nouveau son sexe enduit de yaourt en prenant tout mon temps. Son érection devient sérieuse.

- Quelqu’un d’autre ?

Les deux autres copains arrivent. Je recommence l’opération jusqu’à ce que le pot soit vide. Je déguste de la même manière un pot de compote puis me relève et vais fermer la fenêtre. En passant je remarque mon mari et Antoine en grande conversation dans le couloir. J’entends Benjamin dire que c’est une excellente idée et qu’il va chercher tout ce qu’il faut. Je n’y prête pas attention et retourne m’asseoir sur le lit entre Matthieu et Frédéric.

- Tu es une femme vraiment super, me dit Frédéric en m’embrassant dans le cou.

- C’est vrai, je confirme, renchérit Matthieu en m’embrassant également.

Je regarde l’heure. Il est un peu plus d’une heure.

- On n’en a fait que la moitié, me dit Matthieu. Il nous reste encore presque cinq heures pour nous occuper de toi. Ne t’inquiète pas. Nous allons encore te montrer de quoi nous sommes capables. Tu vas être comblée et ce n’est pas qu’une image.

Pour appuyer ses dires, il pose ses lèvres sur mon sein gauche et commence à le caresser avec sa langue. Frédéric fait de même de l’autre côté. La grosse heure qui vient de s’écouler m’a permis de me remettre de mes émotions et de récupérer. Je suis totalement prête pour de nouvelles aventures sexuelles. Leurs mains caressent mon dos et l’intérieur de mes cuisses. Je sens mes tétons se raffermir sous leurs coups de langue. Ils s’arrêtent ensemble et me demande de m’allonger sur le lit.

Placés chacun d’un côté de moi ils m’embrassent à tour de rôle pendant que leurs doigts torturent mes tétons humides de leur salive. Les deux autres mains caressent l’intérieur de mes cuisses en remontant tout doucement vers l’entrejambe. Un frisson hérisse ma peau, j’ai la chair de poule. J’ai bien conscience que la partie recommence. Mon vagin est presque sec.
Le sperme qui a séché et l’absence de stimulation ont eu raison de la lubrification naturelle. J’espère qu’ils vont s’en rendre compter avant de me pénétrer. Les doigts glissent des deux côtés de mes cuisses. Ils arrivent au bas de mon sexe, remontent sur les grandes lèvres, les écartent et redescendent vers l’entrée du vagin. Soudains, ils s’arrêtent.

- Tu es trop sèche pour que l’on te prenne maintenant. Laisse-nous faire. On va arranger ça ! me dit Matthieu.

Il se relève, m’écarte les jambes et s’y glisse entre. Frédéric se met au-dessus de moi en position de 69. Mes deux amants commencent alors de me lécher chacun leur tour en humectant ma chatte avec beaucoup de salive. Ils y vont doucement, délicatement. Comparé à la fureur de tout à l’heure, ce traitement est des plus agréables. Je me laisse faire, je suis bien, la position est confortable et mon sexe se réveille petit à petit. Ils n’ont vraiment pas beaucoup de marge de manœuvre entre eux. En soulevant légèrement la tête, je vois les cheveux de Matthieu entre mes cuisses.

J’essaie de les caresser mais Frédéric me bloque le passage. Je me rabats sur lui. Placé au-dessus de moi, il me suffit de tendre les bras pour le toucher. Je caresse sa poitrine et je vais jusqu’au buisson roux de son pubis. J’ai son sexe et ses testicules en gros plan, à la portée de la bouche et des mains.

Je saisis ses deux boules d’une main. Je repense alors au traitement qu’elles ont eues. Il bande dur maintenant. Il écarte un peu plus les jambes. Sa queue à la longueur impressionnante semble me supplier de la lécher. Je ne me fais pas prier. Je l’enserre de mes lèvres. Elle sent bon. Il a été le dernier à me prendre avant la pause. Je serre plus fort son sexe entre mes lèvres et je le branle d’abord doucement puis de plus en plus vigoureusement.

Je sens son souffle court sur ma chatte. Il grogne de plus en plus fort. Je passe un coup de langue sur son frein. Il gémit et stoppe un court instant. Je serre un peu plus ses testicules qui ont encore un peu durcis. Je tends au maximum le frein et je reprends mes coups de langue sur celui-ci. Il se cambre de plaisir. Une goutte en sort. Je la lèche avec avidité.

Je noie son gland avec ma salive. Il grossit un peu plus et devient encore plus dur. Je sais qu’il est à bout de résistance. Il a complètement stoppé sa caresse sur mon clitoris et savoure ce que je lui fais. Je place mes mains sur chacune de ses fesses. Il se cambre et s’ouvre encore un peu plus. Il prépare sa jouissance. C’est à ce moment que je décide de lui donner l’estocade. D’une main je serre ses couilles et de l’autre j’insère un doigt humecté de ma salive dans son anus. Instantanément il explose dans ma bouche à longs jets de sperme chaud. Sa queue palpite sous la pression du liquide qui vient frapper le fond de ma gorge. Je le bois avec délectation. Je continue de le sucer. Je l’aspire aussi fort que je peux.
Pendant toute la durée de son orgasme, il a crié, la bouche collée sur mon clito. Les vibrations de son cri s’y sont répercutées dessus et j’ai failli jouir à mon tour. Je continue de le pomper jusqu’à la dernière goutte. Je ressors le doigt de son anus et je lui caresse la poitrine. Mon autre main caresse ses couilles dont la peau est maintenant striée, signe de son plaisir. Frédéric commence à reprendre vie. Vue de dessous, sa poitrine monte et descend rapidement, il cherche sa respiration. Un dernier coup de langue sur le gland et je quitte sa queue avec regret. Je la presse un peu et il en sort un mince filet que je me dépêche de lécher. Je ne veux rien perdre de ce nectar masculin. Il m’enjambe et s’allonge à côté de moi, sur le dos, épuisé.
On se regarde. Il me sourit, pose ses lèvres sur les miennes et force l’entrée de ma bouche avec sa langue. Il m’embrasse tendrement.

- Merci, me dit-il. C’était juste merveilleux.

- Alors à charge de revanche, je lui réponds.

- Tu peux compter sur moi !

Pendant ce temps, Matthieu est sorti d’entre mes jambes et nous a rejoints. Il me demande de lui céder ma place. Je ne comprends pas où il veut en venir mais son sourire est tel que je le la lui cède bien volontiers. Une fois allongé, je vois que sa queue est dressée vers le plafond. Son gland est luisant. Je le regarde.

- Je te veux en amazone. Viens au-dessus de moi, me dit-il.
Je me mets à genou et je l’enjambe. Il tient son sexe d’une main.

- Empale-toi dessus, me demande-t-il. Tu ne risques rien. Je t’ai bien lubrifiée.
Je lui fais confiance et petit à petit je glisse sur sa queue. Il a raison. La pénétration se déroule sans problème. Je suis maintenant assise sur son ventre, son sexe bien planté en moi.



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Histoire de Emma.C

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Commentaires du récit : La nuit d'Emma - 3 partie

Le 27/04/2023 - 13:51 par DBHB24
Ils ne laissent aucun répit pour Emma, mais le veut elle cependant tellement la jouissance est grande...
Le 25/04/2023 - 21:45 par OlgaT
Que c'est bon, en effet!

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