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La nuit d'Emma - 4 partie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 25/04/2023

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La nuit d’Emma.
4 ième partie.

Je savoure cette sensation d’être complétement comblée par le sexe dur et chaud de Matthieu. Ma chatte palpite de bonheur. Je veux qu’il me baise, qu’il me défonce, qu’il jouisse au plus profond de moi et qu’il me donne un nouvel orgasme. Je commence à bouger quand il me stoppe en me tenant les hanches.

- Laisse toi faire ! C’est moi qui te baise, pas l’inverse. Penche-toi un peu en avant et pose tes mains sur mes épaules.

Je m’exécute. Son sexe fait un angle dans le mien et son gland frotte beaucoup plus sur mon point G, un peu comme lorsque je suis en levrette. Il démarre doucement. Son bassin se soulève et il me pénètre en me tenant par les hanches. C’est agréable. Il passe soudain subitement à la vitesse supérieure et j’ai l’impression de chevaucher un cheval sauvage, comme dans les films américains.

Son gland me défonce et il m’empale vigoureusement sur son sexe jusqu’à la garde. Pour vous donner une idée, imaginez l’aiguille d’une machine à coudre en pleine action qui monte et descend à toute vitesse. Et bien c’est l’image que j’ai de son sexe qui entre et qui sort de mon vagin.

Heureusement que ce n’est pas Frédéric qui est en moi. Sa queue serait sortie par ma bouche. Le bruit de mes fesses qui tapent sur ses cuisses est pour moi la plus belle des musiques. Je sens son gland frotter mon point G avec vigueur. Au bout d’un instant, la chaleur que je connais bien commence à monter dans mon ventre. Je suis prête pour inaugurer cette seconde partie de soirée avec un nouvel orgasme. Et c’est mon chouchou qui va me le donner. Je suis comblée, si j’ose m’exprimer ainsi.

Il transpire. C’est normal avec le mal qu’il se donne pour mon plaisir. Il serre les dents et me défonce encore et encore, de plus en plus fort. Je ne sais pas qui va jouir en premier à ce petit jeu. Mon vagin est maintenant détrempé. Ma cyprine doit inonder son ventre. Tout d’un coup, je sens deux mains qui m’enserrent les seins. Des doigts me pincent les tétons. Je grogne. Ils sont tordus et tirés comme si on voulait les séparer de mes aréoles. Je gémis de douleur et de plaisir mélangé. J’ai toujours aimé que l’on me torture ainsi les seins. La douleur se transmet à mon sexe et se transforme en milliers d’aiguilles qui me font un bien incomparable.

Jusqu’à présent Matthieu me fixait pour voir où j’en étais dans mon plaisir. Maintenant il a les yeux fermés et sa mâchoire est crispée. Il s’adresse à celui qui se trouve derrière moi.

- Vas-y maintenant !

La main quitte mon sein droit et vient se poser sur ma chatte, la paume ouverte. Elle me frotte. Elle appuie tellement fort sur mon clitoris gonflé qu’il sort de son capuchon. J’en ai le souffle coupé. Heureusement que Matthieu me tient fermement. Je hurle du plaisir fulgurant qui me transperce. Mon sexe et mon ventre explosent. Matthieu continue de me baiser et les doigts inconnus d’écraser mon clitoris. Je ne sais pas combien d’orgasmes j’ai pu avoir. Je regarde Matthieu, hagarde.


Il continue de me défoncer. Je n’ai même plus la force de crier mes plaisirs mais ils sont tous là, présents au plus profond de moi et ils explosent en feux d’artifices plus violents les uns que les autres. Je sais maintenant ce que veut dire l’expression « mourir de plaisir »

Mes bras ne me soutiennent plus. Je m’affale sur la poitrine de Matthieu, sa queue toujours plantée en moi. Les contractions de mes muscles intimes déclenchent son plaisir. Sa tête dans mon cou amorti son cri de jouissance.

La main quitte ma chatte. Je ne cherche pas à connaitre celui qui m’a procuré un tel plaisir. De toute façon, je ne me sens pas la force ni de me relever, ni de me retourner. Il est toujours en moi. Nous restons comme ça quelques instants. Son sperme commence à couler hors de mon vagin mais nous ne bougeons pas. Petit à petit nos respirations se calment. Je me relève à regret et nous nous regardons. Nous sommes tous les deux épuisés mais totalement heureux.

- Alors, me demande-t-il ?

- Fantastique !

Je me dégage lentement hors de lui. Son sexe à moitié bandé est luisant de sperme et de cyprine. Comme je l’avais pensé, son ventre en est tout humide. Je me penche pour le lécher puis je poursuis jusqu’à son sexe que j’avale en entier. Son goût est parfait. Je le nettoie consciencieusement. Je le presse avec ma main pour en faire sortir les dernières gouttes. Avec sa main, il me caresse les cheveux.

- Tu es vraiment une fille fabuleuse. Benjamin a bien de la chance.

Je m’allonge sur le lit, exténuée et en sueur. Mon mari m’essuie doucement le visage, puis tout le corps.

- Je ne t’ai jamais vue jouir avec une telle intensité mon amour. J’ai cru un instant que tu allais t’évanouir de plaisir. Nous t’avons tous regardé.

- Ça a failli, je t’assure. C’était divin. Quelle heure est-il ?

- Presque deux heures. On a encore beaucoup de temps. Tu es toujours d’accord ou tu veux arrêter ?

- Non, il est hors de question que j’arrête. C’est trop bon.

Alors tu vas en avoir autant que tu veux mais avant nous allons te laisser un peu te reposer en profitant quand même de toi, me dit Antoine qui arrive avec un grand sac que je reconnais comme étant celui que nous utilisons pour aller faire nos courses.

Je vois Antoine fouiller dedans et sortir une grande serviette de bain bleue. C’est une de Benjamin. Que veut-il faire avec ? Il me demande de me lever, étend la serviette en travers du lit et me prie de me rallonger dessus, sur le dos. Bonne élève, je lui obéis. Prévenant, il place un oreiller sous ma tête.

- Ce sera plus confortable comme ça, me dit-il avec un grand sourire.

À l’évidence les garçons ont prévu quelque chose. Je ne m’inquiète pas trop. Ce n’est
certainement pas pour jouer aux dominos. Je sens une animation derrière moi. Frédéric vide méticuleusement le contenu du sac sur le lit. Il y a trois pots de confiture d’abricots, trois pots de crème dessert à la vanille, une bombe de crème chantilly.

À cela s’ajoute, trois pots de crème dessert au chocolat, trois pots de compote de pommes, une bouteille de menthe forte poivrée un peu entamée qui est celle que j’utilise pour parfumer certaines de mes plats, des cotons tiges, trois bananes et un pinceau rouge assez large avec des poils en caoutchouc assez rigides que je reconnais comme étant celui dont je me sers pour beurrer mes plats et enfin notre bouilloire. C’est un véritable inventaire à la Prévert.

Matthieu prend la parole.

- Emma, comme je viens de te le dire, nous allons te laisser te reposer un peu après ce que tu viens de subir et nous reposer par la même occasion car nous ne sommes plus en état de bander pour l’instant. Mais nous allons quand même profiter de toi en attendant de redevenir opérationnel. Nous te l’avons déjà dit hier au soir, nous te désirons parce que tu es très belle, appétissante et que tu aimes le sexe. Ta prestation jusqu’à maintenant nous prouve que nous ne nous sommes pas trompés. Et comme tu es appétissante, nous allons maintenant te déguster en tant que dessert. Chacun à notre tour, nous t’enduirons de ces produits et nous te lècherons jusqu’à leur disparition complète de ton corps. Il est formellement interdit de se servir de nos mains. Seule notre langue ou bien notre queue seront utilisées. Nous espérons tous que nous allons te faire jouir beaucoup de fois de cette manière. Mais avant de commencer, nous allons te préparer un peu.

Les garçons décident de l’ordre dans lequel ils vont s’occuper de moi. Je vois s’approcher Frédéric et Matthieu, chacun d’un côté de ma tête. Ils sortent une de nos deux paires de menottes en velours du sac. Ce sont celles que j’ai achetées pour la Saint Valentin afin de faire une surprise à Benjamin. Ils m’attachent les bras en croix à deux lattes du sommier puis se dirigent vers mes pieds. Je pense qu’ils vont faire de même avec eux. J’en frissonne d’excitation.

Antoine s’approche de moi, et se glisse entre mes jambes. Matthieu et Frédéric saisissent chacun un de mes pieds et m’écartent au maximum. Antoine ouvre un pot de confiture. Puis il prend le pinceau. Je le regarde faire, excitée à l’idée que tous les garçons vont me lécher longuement. L’idée est très érotique. L’intermède du pot de yaourt doit y être pour quelque chose.

Je n’ai pas besoin de regarder pour savoir que le spectacle que j’offre à tous est celui d’une femme au sexe béant, entièrement consentante pour subir tout ce qu’ils voudront bien lui faire. Antoine trempe le pinceau dans la confiture et commence à en repartir sur mon sexe. Le froid de la confiture et le frottement du pinceau sur la peau de ma vulve est très agréable et me procure des frissons. Il étale le produit de façon très méticuleuse. Arrivé au clitoris, il replonge le pinceau dans le pot et m’en met une bonne couche dessus. Il continue ainsi sur mes petites et grandes lèvres, tout autour de l’entrée de mon vagin et descend sur mon périnée. Il s’arrête.

- Relevez-lui les jambes.

Mes fesses remontent et s’ouvrent au maximum. Me montrer comme ça, délicieusement
impudique me procure un plaisir évident. Antoine reprend de la confiture et en étale dans ma raie. Il recommence deux fois cette opération. Il doit y en avoir une bonne couche. Il me tarde de sentir sa langue à cet endroit. Il pose son pinceau et les garçons resserrent mes jambes de façon à bien étaler la confiture sur toute la longueur de la raie des fesses et du sexe. Il continue par m’enduire le ventre, les seins et les lèvres. Je redresse la tête pour voir un peu et j’aperçois le trop plein de confiture sortir de mon minou le long du sillon des grandes lèvres. L’image est saisissante et m’excite beaucoup.

Antoine se place au-dessus de moi en 69 et commence à me lécher les lèvres très lentement. Sa langue me chatouille. J’ai le réflexe de bouger la tête. D’une main, il pince la peau de mon Mont de Vénus. Je gémis. Il continue de me lécher les lèvres. Une fois terminé, il m’embrasse tendrement. Sa langue a le goût de la confiture d’abricot. Il poursuit lentement sa descente sur mon corps. Il s’arrête sur mes seins. Sa langue est très douce. Il y enlève toute la confiture. Il fait durer le plaisir. Je sens sa salive qui coule un peu sur ma poitrine. Il entreprend enfin de s’attaquer aux tétons qu’il mâchouille tout en les nettoyants. Très sensible à cet endroit, je ne peux qu’apprécier.

Il en saisit un entre ses dents, tire assez violemment dessus et fait glisser ses mâchoires comme s’il voulait grincer des dents. Le résultat est immédiat. Je me cambre et gémis assez fortement. Il fait comme s’il n’avait pas avoir remarqué ma réaction. Il recommence avec l’autre et obtient un résultat identique. L’effet m’a presque coupé la respiration. Bouche ouverte je cherche à me calmer. Mes seins sont gonflés. Il se dirige vers mon ventre et lape entièrement la confiture qui s’y trouve après avoir enfoncé sa langue dans mon nombril pour le nettoyer.

Placée comme je suis, j’ai une vue imprenable sur ses couilles glabres. Elles sont impressionnantes de grosseur. Elles sont énormes, bien rondes. Gonflées, elles ne tombent pas. Je pose mes yeux sur son sexe qui pend, tout flasque. Comme j’aimerais le faire renaitre à la vie mais cela m’est impossible pour le moment et je me contente de le regarder. Je jette un coup d’œil vers l’entrejambe des deux autres garçons. Le constat est le même. Il va falloir attendre un moment.

Il continue sa progression vers mon pubis. Ses deux copains me tiennent toujours les jambes bien ouvertes. Ils n’en perdent pas une miette. Ça y est ! Mon sexe est maintenant à sa portée. Tout ce qui s’est passé avant était agréable mais la suite devrait s’avérer bien mieux. Pour mieux lécher ma chatte, il s’est avancé. J’ai toujours une belle vue sur ses couilles mais également sur ses fesses ouvertes qui me laissent entrapercevoir son anus. Comme j’aimerais y enfoncer mon doigt, lui masser la prostate comme je le fais avec Benjamin qui adore ce contact et que je fais jouir à la perfection avec cette caresse.

Antoine est enfin arrivé au saint du saint de ma personne. Il commence par mon entrejambe. Ouverte comme je le suis, ma peau fine à cet endroit est tendue. Le contact de sa langue me donne des frissons à répétition. Il tourne autour de mon sexe qui réclame le même traitement. Mon ventre se creuse dans l’attente de la caresse tant désirée. Il frôle les grandes lèvres, j’essaie de me cambrer pour que sa langue exerce une plus forte pression mais il devine mon intention et se recule légèrement.

Il tourne tout autour. Le contact est tellement doux que je pense que c’est la confiture en glissant sur ma peau qui me caresse et non sa langue. Je gémis. Je veux qu’il me lèche maintenant. Il a dû lire dans mes pensées car il attaque violement. Il plaque d’un seul coup sa bouche ouverte sur toute la surface de mon sexe et me lèche avec férocité. Ses dents enserrent toute ma vulve. Elles raclent ma peau. Je me tortille de bonheur. D’un seul coup, il redevient douceur et prend entre ses lèvres mon clitoris qui est très content de ce traitement. Il grossit sous les coups de langue et il ne faut pas longtemps pour qu’il sorte tout seul de sa tanière. Il le nettoie méthodiquement. Je serre les poings sous cette caresse.

Je sais que s’il continue encore un peu, la chaleur que je sens monter dans mon ventre va se transformer en éruption et me faire décoller vers les étoiles. Là encore, il a dû le sentir car il s’arrête net. Je me dis que cet homme connait très bien les femmes et sait comment les amener à l’orgasme. Il change de position et vient se positionner entre mes jambes. Quelques petits coups de langue plus tard, il ne reste plus de confiture sur mon sexe. Il s’empare alors de la bouteille de menthe. Je le vois la déboucher et la pencher pour y plonger un coton-tige qui en ressort bien imbibé. Il referme alors la bouteille et frotte le coton-tige sur tout mon clitoris puis recommence à le lécher. Trente secondes après, je ressens une chaleur incroyable émanent de mon bouton. Il l’aspire, le coince avec ses lèvres et le frotte violemment avec sa langue. Je me cambre au maximum sous cette caresse.

Je décolle en hurlant de plaisir. Il n’arrête pas pour autant et remplace sa bouche par ses doigts. Je suis parcourue de spasmes incontrôlés. C’est aussi bon et violent qu’avec Matthieu tout à l’heure. Sa langue est maintenant dans ma raie et ses doigts toujours sur mon clito. Il n’arrête pas de le frotter rudement. Bouche ouverte, je bave en criant ma jouissance. Ma tête va de gauche à droite, mon ventre se crispe de bonheur. Je sens mon plaisir couler hors de moi. Les spasmes ne s’arrêtent pas. Ils se succèdent à un rythme effréné.

Antoine m’a bien nettoyé la raie et s’attaque maintenant à mon anus. Afin que je puisse savourer cette caresse, il délaisse mon clitoris. Lentement je redescends de je ne sais pas où mais de très haut. Si je pouvais parler, je le remercierais pour ce répit qu’il daigne m’accorder. Heureusement que les garçons tiennent mes jambes. Elles sont parcourues de contractions musculaires involontaires.

Il nettoie le pourtour de mon anus tout doucement, du bout de la langue. Je l’entends avaler la confiture qu’il enlève au fur et à mesure. Il se rapproche doucement mais sûrement de mon petit trou. Sa langue s’y enfonce un tout petit. Après la rudesse des orgasmes, cette caresse est la bienvenue. Elle est douce et reposante. Je reprends tout doucement ma respiration. Il fait entrer et sortir sa langue de mon anus lubrifié par la confiture et bien ouvert par ma position. Il s’y aventure de plus en plus loin. Comme sensation c’est divin. Je me dis qu’un sexe bien dur à cet endroit devrait être bien plus qu’agréable. J’ondule sous cette caresse.

Tout a une fin. Il revient vers ma chatte et lèche le périnée qu’il avait gardé pour la fin. Il repose sa main bien à plat sur ma vulve et commence un mouvement de glissement, léger au début puis de plus en plus fort. Mon clitoris réagit immédiatement à cette pression. Au bout de trois minutes de ce traitement, les orgasmes déferlent de nouveau et explosent. Que c’est bon ! On m’ouvre encore un peu plus. S’ils continuent, mes jambes vont se détacher de mon corps mais le plaisir n’en est que meilleur. Écartelée, je crie en continu.

Antoine insère d’un seul coup trois doigts dans mon vagin et me masturbe férocement. Mon point G ne résiste pas longtemps sous ce traitement. J’éjacule pour la seconde fois de la soirée. Il frotte comme une brute mon clitoris. Pincé, étiré, il envoie des éclairs dans tout mon corps que mon cerveau ne commande plus depuis longtemps. Je ne suis plus que plaisir.

Cambrée, je tire sur les menottes qui attachent mes bras. Je roule de gauche à droite. Les hommes ont du mal à tenir mes jambes écartées. Je sens leurs doigts serrer très fortement mes chevilles. Soudain, mon corps se calme. Antoine s’active toujours sur mon clito et dans mon vagin. Je ne ressens presque plus rien. Je suis dans l’œil du cyclone. Pas pour longtemps. D’un coup je rentre à nouveau dans l’ouragan. Immédiatement, je sais que ce qui s’annonce va être terrible et va dépasser tout ce que j’ai connu jusqu’à présent. Et pour être terrible, ça l’est.

Un flash se produit dans ma tête. Les garçons me diront plus tard que j’avais les yeux révulsés. Tout mon corps est pris par cet orgasme venu d’ailleurs. Je me sens exploser de l’intérieur. Exploser est vraiment le mot qui colle le plus à ce que je ressens. Je me casse la voix tellement je hurle. Je suis un pantin totalement désarticulé. Mon plaisir est si intense que ma vessie se lâche et je fais pipi sur la serviette. La main d’Antoine est luisante de mon urine mais ça ne l’arrête pas pour autant. Je ne savais pas qu’il était possible pour un être humain de jouir avec une telle intensité.

Ils me déposent tout doucement sur la serviette de bain mouillée par mon urine, Antoine retire délicatement ses doigts. Matthieu et Frédéric me détachent. Pendant plusieurs minutes, je ne sais pas où je me trouve. J’entends des voix qui me parlent, des mains qui caressent mes joues et mon front, le frottement d’une serviette sur mon corps. Je respire difficilement, la bouche grande ouverte, cherchant de l’air. Des mains me soulèvent et m’aident à aller jusqu’à la porte fenêtre que l’on ouvre et qui donne sur la terrasse de la chambre. On me soutien jusqu’à la rambarde. Je suis nue mais je me fiche totalement que quelqu’un me voit ainsi. De toute façon personne ne peut nous voir. La maison est cachée par les grands arbres de notre parc.

L’air frais de la nuit me fait du bien. Je le respire à plein poumons. Je savoure cet instant. Je me suis sortie de cet énorme orgasme. Le premier de ma vie d’un tel niveau. Tous les hommes viennent me retrouver. Cinq personnes à poil sur le balcon d’un pavillon cossu d’une banlieue chic de l’Ouest parisien. Je vois d’ici les titres des journaux. Mis à part un vide important dans le ventre, je vais bien mieux maintenant. Nous revenons tous dans la chambre. Mon mari referme la fenêtre et tire les rideaux. Il me prend dans ses bras. Je me colle à sa nudité. Il me tient chaud après la fraicheur de l’air extérieur. Il me regarde, inquiet.

- Tu vas mieux ? Tu n’as pas mal ?

Je le rassure avec un sourire.

- Tout va bien mon chéri. Merveilleusement bien, je t’assure, lui dis-je d’une voix cassée. Ne t’inquiète surtout pas. C’était incroyablement délicieux. Jamais je n’ai connu une telle intensité.

Mes trois amants se rapprochent de moi et me proposent d’arrêter pour ce soir si je veux. Ils ne me connaissent pas. J’adore être baisée. C’est comme ça depuis le début de mon histoire avec Benjamin. Dylan, le premier garçon que j’ai connu, se fichait pas mal de moi. C’était son plaisir à lui qui comptait, pas le mien. Le sexe était devenu très vite une corvée pour moi. À tel point que faire l’amour ne me disait plus rien du tout et je n’y trouvais aucun plaisir. Benjamin a su me délivrer de mes démons, de mes blocages et de mes doutes. Il m’a initiée au plaisir du sexe et m’a fait découvrir que je pouvais avoir des orgasmes multiples. Grâce à lui je me suis découverte sur le plan sexuel. Je réponds que je veux continuer. Ils m’embrassent. Benjamin se dirige vers le dressing de la chambre prendre une nouvelle paire de draps propres ainsi qu’une autre serviette de bain. Une fois le lit refait, je me rallonge sur la serviette.

C’est maintenant au tour de Frédéric de s’occuper de moi. Je vois qu’il est un peu anxieux.

- Ne t’inquiète pas, ma vessie est vide maintenant, lui dis-je en souriant.

Il sourit à son tour.

Antoine et Matthieu m’attachent à nouveau les mains puis viennent à mes pieds, m’ouvrent et me lèvent les jambes. Je me laisse faire. J’ai maintenant l’habitude. Frédéric décide de prendre la compote de pommes. Il en badigeonne mon corps. Comme avec la confiture, le trop plein déborde de mon minou et de mes fesses. Je ne vais pas décrire ce qu’il me fait car c’est similaire à ce que m’a fait Antoine sauf qu’il choisit une technique différente pour s’occuper de mon clitoris. Après l’avoir badigeonné de menthe forte poivrée, il le serre entre ses dents qui raclent dessus dans un mouvement de masturbation tout en léchant le bout avec sa langue. Toutes mes jouissances sont fulgurantes. Je me tortille tellement qu’il a du mal à laisser sa bouche sur ma chatte. Il décide une fois de plus de changer de technique. Il serre mon bouton entre ses doigts et s’amuse à le tordre dans tous les sens tout en me masturbant avec trois doigts dans le vagin.

Le plaisir me dilate tellement que je crois qu’il peut y faire entrer toute sa main mais il n’ose certainement pas. Je ne peux pas compter tous les orgasmes qu’il me procure. Il y en a beaucoup plus qu’avec Antoine mais pas aussi explosif que le dernier. Heureusement car je ne sais pas si je peux en supporter un autre aussi rapproché. Il enlève ses doigts et me laisse respirer. Pendant ce temps, il récupère une grosse banane et l’épluche.

De la pointe, il me caresse les lèvres puis descend vers ma poitrine et effleure mes tétons. Il continue vers mon ventre, rentre la pointe dans mon nombril, continu sur mon pubis et longe mon entrejambe, descend sur mon périnée et entre dans la raie de mes fesses. Mon souffle est court. Cette caresse avec ce fruit ô combien phallique me plait énormément. Il tourne autour de l’anus, passe dessus remonte dans la raie, redescend, remonte ainsi pendant une bonne minute avant de presser la pointe de la banane sur mon anus. Léché plusieurs fois, il est devenu plus souple et la pointe rentre tout doucement de quelques millimètres.

Ça me fait un bien fou. Je me cambre pour lui donner encore plus d’espace mais il la retire et revient vers mon sexe. Il effleure mes grandes lèvres, en fait le tour puis se dirige vers l’entrée de mon vagin et le pénètre. Je gémis de plaisir au contact de la fraicheur relative de la banane qui me possède.de plus en plus profondément. Il me masturbe un bon moment avec. L’image est indécente mais le contact est réellement très agréable. Une fois ressortie, il me caresse le clitoris avec la pointe. Toujours décalotté, il est resté extrêmement sensible et Frédéric le sait. Je me tortille et commence à gémir en continu, bouche ouverte. Il a décidé de faire durer le plaisir. Il alterne les pressions. Il me fait languir. Je ne sais pas à quel moment il va se déchaîner mais il va le faire, c’est certain. À chaque fois qu’il me touche, je me contracte, espérant que ce soit là mais je suis bonne pour attendre la prochaine caresse et ainsi de suite.

Je le supplie de me faire jouir. Il se hisse jusqu’à mes lèvres et m’embrasse doucement. Il recommence sa caresse lancinante. Soudain je sens un contact différent qui s’exerce maintenant sur toute la longueur de mon bouton. Il a coupé la banane et me frotte maintenant avec toute sa surface. Il appuie tellement fort que je la sens s’écraser dessus. Mon sexe accepte cette caresse et met en place le processus de l’orgasme qui se prépare. Avec l’autre morceau, il me pénètre de nouveau et me masturbe rapidement. C’est exactement ce que j’attendais. Je me cambre autant que je peux. Je crie et ferme les yeux. Je vois des éclairs de toutes les couleurs traverser mes rétines. C’est trop bon. Je crois que je baragouine des mots sans queue ni tête.
Je suis ailleurs, loin, très loin de ce lit, dans un endroit que l’on ne trouve que dans le plaisir. Il continue de me caresser durant tout mon orgasme, prolongeant ainsi ma jouissance de plusieurs longues secondes. Je suis en sueur, épuisée mais fantastiquement heureuse. La pression sur le clitoris diminue avant de s’arrêter. Frédéric la remplace par sa langue qui me lèche délicatement tout le sexe et récupère la banane écrasée.

Matthieu remplace Frédéric et continue de me procurer une multitude de jouissances. Je crie beaucoup mais je n’arrive à sortir qu’une sorte de croassement. Mes cordes vocales ont décidé de se mettre en grève. Avec des orgasmes aussi intenses, crier devient un acte réflexe. Mes trois amants font ce qu’ils ont dit. Ils recommencent jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien sur le lit, à l’exception de la bouteille de menthe. J’ai apprécié tout ce qu’ils m’ont fait subir. S’il faut une seule preuve, mes cordes vocales peuvent en attester. J’ai énormément aimé la menthe forte, la banane et le chocolat chaud. Ils ont vidé les pots et fait chauffer le chocolat dans la bouilloire. Devenu plus liquide, il a été répandu sur mon corps. L’effet du chocolat chaud sur le clitoris a été fantastique et a déclenché un orgasme presque du même niveau que celui obtenu avec Antoine. Tous les garçons m’en ont offert de merveilleux. Ils m’ont dégustée ainsi pendant deux heures.

L’accumulation des orgasmes reçus me laisse maintenant dans une sorte d’état de semi léthargie. La chambre sent un mélange de chocolat chaud, de banane et de sexe. Je suis assise, appuyée contre le bois du lit, le corps poisseux de tous les produits étalés dessus. Mes trois amants sont assis en tailleur autour de moi. Ils me caressent doucement les seins, les cuisses et le ventre. Leurs lèvres courent sur mon cou et mes joues. Ces mains sur moi apaisent petit à petit le feu qui brule encore dans mon corps. Je reprends petit à petit conscience. Je suis heureuse.

Je viens de connaitre des orgasmes fabuleux que je ne me croyais pas capable d’atteindre. Bien sûr, Benjamin me fait jouir à la perfection mais là, c’est sans arrêt depuis des heures. Je savais bien que j’étais multi-orgasmique mais je n’avais encore jamais connu ça. Mon regard se pose sur chacun. Ils me plaisent tous. Ils ont su m’amener au-delà d’une simple partie de baise.

Je regarde entre leurs cuisses. Ils bandent fort tous les trois. Je caresse le gland d’Antoine, sa queue bouge un peu. Il écarte les jambes. Ses testicules sont posés sur le drap. Ils paraissent encore plus gros que tout à l’heure lorsqu’il était au-dessus de moi. Je les prends dans ma main. Ils sont doux et durs. Je les griffe doucement avec l’ongle. Il me sourit et écarte davantage les cuisses pour que je sois plus à l’aise. Je les presse un peu entre mes doigts. Il semble aimer car une goutte incolore s’échappe du gland. Je l’essuie avec mon doigt que je porte ensuite à mes lèvres. Je le masturbe très lentement. Ses yeux posés sur moi vont de mes seins à mon sexe à moitié fermé.

- Tu sais ce que l’on voudrait maintenant ?

- Non. Dis-moi.

- Jouir sur toi.

- Jouir sur moi ? Ne vous en privez pas si c’est ce que vous voulez.

- Alors allonge-toi au milieu du lit.

Une fois installée comme Antoine me l’a demandé, il s’approche de moi, m’écarte les jambes et se met à genoux entre elles, face à mon sexe grand ouvert et commence à se masturber, lentement au départ puis de plus en plus vite. Ses yeux ne quittent pas mon entrejambe. Je regarde cet homme s’amener au plaisir en me demandant à quoi peut -il bien penser à ce moment précis.
Soudain je le vois se raidir et j’aperçois le premier jet de sperme quitter son méat et venir s’écraser sur mon sexe béant, puis le second et enfin le troisième. Il continue de se caresser encore un peu, essuie son gland sur mon clitoris et reste là à me regarder. Je sens son sperme chaud couler lentement dans la raie de mes fesses. Matthieu et Frédéric arrivent à leur tour autour de moi. Le premier vient à hauteur de mes seins et le second au niveau de mon ventre.
C’est à eux de se branler maintenant. Une main le long de leur queue et l’autre me caressant les seins et pinçant mes tétons. Le bruit de leurs respirations devient plus audible, ils ferment par moment les yeux, certainement partis dans leurs fantasmes s’ils en ont encore après tout ce qu’ils viennent de me faire.

Je les regarde alternativement. Leur gland disparait entre leurs doigts fermés à un rythme soutenu. Matthieu tire à fond sur son prépuce pour tendre au maximum son frein. Frédéric a délaissé mon sein pour se concentrer sur ses couilles qu’il malaxe avec vigueur. C’est lui qui jouit le premier. Au moment où il geint de plaisir, de longs jets chauds giclent sur mon ventre. Je peux voir les muscles de ses jambes frémir sous son orgasme. Matthieu, fidèle à son habitude, continue de se masturber de plus belle. Il me regarde, je lui souris. Ses mâchoires sont crispées et l’éclat de ses yeux montre que son plaisir est proche. Encore une minute puis il se cambre, rugit sous l’effort et le plaisir conjugués, jouit sur mes seins et essuie son gland sur mon téton. Je suis recouverte du sperme des trois hommes depuis mes seins jusque dans la raie des fesses. Ils me regardent heureux de leur plaisir. Benjamin s’approche de ma figure et jouit sur mes lèvres et mes joues, qu’il s’empresse de récupérer avec son gland pour m’en faire profiter

- Bon, maintenant je vais à la douche.

- C’est hors de question, me répond Frédéric.

- Il a tout à fait raison, renchérit Antoine.

- Tu ne bouges pas de ce lit, m’ordonne Matthieu.

- Ne t’inquiète pas. Nous allons te nettoyer mais à notre façon.

Comme ils n’avaient pas bougé de place, ils s’allongèrent et me léchèrent aux endroits où ils avaient joui. Sentir trois langues récupérer leur propre semence est une image extrêmement érotique. Ce fut un moment très fort sur le plan sexuel. Au bout de quelques minutes, mon corps n’avait plus aucune trace du plaisir des garçons.

Jusqu’à présent ils avaient rempli leur mission avec brio mais ils ont demandé de leur accorder encore un moment de repos pour pouvoir se refaire une santé afin de me posséder encore pendant presque les trois heures restantes. Assis en tailleur sur le lit, Benjamin a allumé la télévision fixée sur le mur en face du lit sur la chaine PornHub et nous avons regardé des vidéos pornos pendant environ 45 minutes en buvant de la bière et en mangeant des gâteaux secs et des fruits. L’ambiance était bon enfant et nous avons tous bien rigolé et puis ils ont retrouvé leur virilité et nous avons pu continuer.

- Je veux vous remercier tous les trois pour les fantastiques orgasmes que vous venez de me donner. Je vais vous sucer chacun à votre tour dans la position que vous voulez.

Je regarde Antoine avec envie. Son engin me fait toujours un peu peur mais j’ai surmonté mon appréhension tout à l’heure, je devrais pouvoir le refaire maintenant.

- Qui commence ?

- Je suis partant, dit justement Antoine.

- D’accord ! Dans quelle position ?

- Faisons un 69. Je veux profiter de ta chatte béante au-dessus de moi.

Il s’avance vers le milieu du lit et s’allonge sur le dos, son sexe rigide collé à son ventre. Les deux autres amis descendent du lit mais restent au bord pour regarder. J’enjambe Antoine et je me mets en position de 69, bien ouverte, offerte aux regards des deux autres garçons et de Benjamin qui se masturbe et qui n’en perd pas une miette. Je dois reconnaitre que j’aime bien cette position car elle est assez obscène et bestiale comme la levrette et c’est ce qui me plait.

Les mains d’Antoine m’ouvrent encore plus les fesses. Je sens son souffle près de mon sexe. Je sais la vue qu’il a de moi et cela aussi me plait. Pour l’agacer je contracte et décontracte mon anus. Je sens ses mains qui m’étirent encore plus les fesses. Il ne veut rien rater du spectacle. Je suis devenue un instrument de plaisirs sexuels presque illimités pour les trois garçons et je découvre que j’aime bien ça.

Je saisis sa queue et je la regarde avant de l’enfourner dans ma bouche. Il n’a vraiment rien à envier aux Africains qui sont réputés pour la taille de leur sexe. J’ai l’habitude avec Benjamin de regarder ce que l’on appelle des « BBC » qui me laissent bien souvent songeuse. Mais là, ce n’est pas une vidéo mais bien la réalité et il est pour moi. Il est vraiment énorme et à sa vue j’imagine aisément les ravages qu’il fait dans mon vagin. Rien qu’à cette pensée mon ventre se tord de plaisir. Vivement qu’il me reprenne avec violence. Mon sexe s’humidifie et de sa position Antoine s’en rend compte.

- Ça te plait d’être dans cette position, n’est-ce-pas ? Ta chatte ruisselle. Je vais te boire.

Et il met ses paroles en pratique. Sa langue lèche sur ma cuisse la cyprine qui s’y trouve dessus puis s’attaque à mon sexe. Elle s’insinue dans mon vagin et récupère mon liquide intime. Il me semble que sa langue est aussi grosse que sa queue tellement je la sens partout. Je me tortille sous ses caresses.

- Tu ne m’oublie pas quand même.


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Histoire de Emma.C

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Commentaires du récit : La nuit d'Emma - 4 partie

Le 27/04/2023 - 13:58 par DBHB24
Tout est vraiment bon pour donner un plaisir inégalé à Emma, ils ont vraiment une imagination débordante...
Le 25/04/2023 - 21:48 par OlgaT
J'imagine le plaisir non stop d'Emma!

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