ACCUEIL > Hétéro > Récit : La plus grosse erreur de ma vie

La plus grosse erreur de ma vie

+15

Lue : 20745 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 02/11/2010

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Avant de vous raconter l’aventure qui m’est arrivée, je crois qu’il est important de vous parler un peu de moi. Mon nom est Caroline, j’ai 28 ans et je vis au Québec. Sans être une femme prétentieuse, je me considère comme étant assez jolie, bien que je n’intimide personne du haut de mes 1,60 mètres, avec mon visage aux traits assez jeunes (surtout avec les petites lunettes que je dois porter pour contrer les méfaits de ma presbytie), mes cheveux châtains qui frôlent mes épaules et mon corps qui, en toute modestie, est assez bien formé (j’aime particulièrement mes seins qui, sans être des ballons, tiennent fermement ainsi que mes jambes élancées et qui supportent bien mes fesses rondes et fermes).

Depuis bientôt quatre ans, je travaille comme responsable des ressources humaines dans un des bureaux d’une banque de Montréal. Bien qu’étant assez jeune, le sérieux de mon travail et mon CV assez impressionnant en ce qui a trait à mes études m’ont permis d’obtenir ce poste assez facilement. Je dois avouer que j’adore mon travail et surtout mes collègues, dont la plupart sont des hommes d’au moins 35 ans, avec qui j‘aime discuter de tout et de rien. Il est d’ailleurs très agréable de parler avec eux étant donné qu’ils sont assez terre à terre (vous connaissez la réputation des banquiers!) et, de ce fait, pas machos ou pervers pour deux sous, ce qui me permet de porter des robes et jupes plutôt courtes sans toutefois être victime de commentaires dégradants ou sexistes. Depuis que je travaille dans cette entreprise, je n’ai été draguée qu’une fois par un ancien collègue, comptable, qui, semble-t-il, avait particulièrement aimé mon tailleur bleu clair, dont la jupe couvrait à peine la moitié de mes cuisses, et mon appétit sexuel de célibataire insatiable. Je pense toutefois qu’il a préféré me voir à genoux devant lui, dans une cabine des toilettes pour hommes, tandis que je le suçais passionnément, tout en me massant les seins par-dessus mon veston et ma blouse blanche, jusqu’à ce qu’il atteigne l’orgasme, libérant ainsi son sperme que j’avalai au fur et à mesure que les giclées atteignaient mon palais et le fond de ma gorge.

L’histoire que je vais vous raconter, en ce qui la concerne, n’a rien à voir avec ce petit écart de conduite (même si j’en avais bien profité). Tout a commencé en ce beau lundi matin, journée plutôt calme pour ne pas dire ordinaire. Comme à mon habitude, je débutais ma journée en consultant mes courriels et en feuilletant deux ou trois CV tout en dégustant un bon café vanille française acheté au restaurant en bas de l’immeuble où je travaille. Étant assez concentrée, je fus bien surprise lorsque j’entendis Jean-Claude, mon patron, cogner à la porte ouverte de mon bureau :
- Bon matin Caroline, j’espère que je ne te dérange pas trop.
- Bonjour Jean-Claude, qu’est-ce que je peux faire pour toi?
- Un des cadres de la banque va venir faire un tour en début d’après-midi avec un de ses neveux. Il paraît qu’il cherche une place au département d’informatique et j’aurais besoin que tu le rencontres avec moi pour voir s’il fait l’affaire. Tu penses qu’on peut venir ici après le dîner?
- Pas de problème, je vous attendrai!
Bien que j’aime beaucoup Jean-Claude et qu’il soit un excellent patron, je dois avouer que cette rencontre m’ennuyait un peu car j’aurais préféré avoir plus de temps pour m’occuper de certains dossiers qui traînent sur mon bureau depuis belle lurette.

C’est ainsi qu’à 13 heures, alors que je continuais ma besogne, j’entendis des voix provenant du couloir et des pas qui se rapprochaient de mon bureau. Je me levai donc pour accueillir comme il se doit les trois hommes qui entraient dans la pièce et c’est à ce moment que mon souffle fut coupé. Devant moi se tenait un homme d’environ 50 ans, assez grand et costaud, qui, malgré ses quelques cheveux gris, avait des airs de James Caan. Dans son complet noir, sa chemise bleue ornée de magnifiques boutons de manchette et sa cravate de soie, il était d’une élégance des plus séduisantes et sa parfaite maîtrise de ses gestes et de ses paroles le rendait très intimident. Je fus tellement impressionnée par cet homme que je ne remarquai même pas son neveu et mon patron, qui semblaient tellement petits et minables à côté de cet apollon rempli de maturité et de charisme.

L’entretien se passa plutôt bien. Enfin, c’est ce que je crois car j’ai eu toute la misère du monde à rester concentrée. À la fin de ce dernier, tout le monde se leva et mon patron garantit à nos deux invités qu’ils seraient rapidement contactés afin d’avoir des détails sur l’affaire avant de les inviter à prendre un verre dans un restaurant à quelques pas de l’immeuble :
- Tu viens avec nous Caroline?
- Non merci, je crois que je vais rester ici et poursuivre mon travail.
- Vous en êtes sûre? Nous serions ravis de vous avoir en notre compagnie, me dit l’homme avec une voix grave et sensuelle.
- Non…Je veux dire non merci! Ce fut toutefois un plaisir de vous rencontrer! Bafouillai-je en lui serrant la main timidement.
C’est sur ces paroles que les hommes quittèrent les lieux et que je me retrouvai seule, encore toute chamboulée par ce que j’avais ressenti en présence de cet homme qui m’avait fait un effet fou. Je sentais ma culotte me refroidir l’entrejambes tellement elle était humide par toutes les pensées qui me traversèrent l’esprit en sa présence. N’en pouvant plus, je décidai de succomber à la tentation et, pour la première fois, je me masturbai au bureau. Assise sur ma chaise, je me laissai glisser vers l’avant et je remontai ma robe jusqu’au niveau de mes hanches avant de faire glisser ma culotte à mes pieds. Puis, tout en faisant glisser mes mais sur mon corps, chatouillant au passage mes mamelons, durcis par l’émotion, et je suçai mon majeur afin de le rendre humide (comme si mon entre ne l’était pas assez) avant de l’insérer dans mon vagin. S’en suivit de lents vas et viens qui s’intensifièrent rapidement, me faisant gémir de plaisir tandis que je me pinçais le mamelon droit. Bien que j’aie l’habitude de me procurer du plaisir seule chez moi, je dois avouer que cette séance fut particulièrement plaisante étant donné que je m’imaginais, les yeux fermés, des scènes torrides en compagnie de cet homme qui me prenait comme jamais on ne m’avait pris auparavant. J’imaginais son membre, long et dur, me procurer du plaisir violemment et j’accélérais le mouvement de ma main, synchronisée avec mon partenaire imaginaire.
- Hum, excusez-moi…
Un frisson glacial et très désagréable venait de m’envahir, j’ouvris rapidement les yeux et vit, devant moi, mon Don Juan qui me fixait. Son regard, mélange de gêne et d’excitation, me couvrait de honte tout en me donnant l’unique envie de lui sauter dessus et de profiter de son corps sculpté au ciseau.
- Je suis vraiment désolé, j’ai simplement oublié de reprendre mon veston, me dit-il en s’approchant lentement de mon bureau pour récupérer le vêtement qui était plié sur un dossier de chaise.
- Je…Je suis désolée, je ne sais pas…
- Non, ce n’est rien, coupa-t-il tout en posant son regard sur mes jambes qui, d’un réflexe que je juge plus que naturel, s’étaient repliées afin de cacher mon intimité et le peu de dignité qu’il me restait.
Dès lors, j’étais sûre que l’on allait me licencier et j’appréhendais avec horreur les violentes réprimandes de la part de mes supérieurs. Je venais littéralement de me faire prendre, telle une jeune adolescente, en plein plaisir charnel au beau milieu de mon bureau et, de toutes les personnes qui auraient pu me surprendre, il fallait que ce soit un des cadres les plus importants de la banque et, qui plus est, l’homme qui m’a donné l’envie de me donner autant de plaisir.

Les jours qui suivirent cet incident furent pénibles pour moi. Même si je m’étais fait prendre en plein délit, personne ne m’avait parlé de quoi que ce soit et je n’avais pas eu de nouvelles du cadre, chose qui me rassurait et me terrifiait en même temps. J’étais terrorisée à l’idée que l’on m’appelle et que l’on me demande des explications quant à mon comportement et le stress m’empêchait d’effectuer toute tâche, ralentissant ainsi mon travail dans mes dossiers qui prenaient de plus en plus de retard. Le pire dans toute cette histoire, c’est que je ne pouvais pas m’empêcher d’être terriblement excitée chaque fois que je repensais à cette scène et que je me faisais des scénarios de ce qui aurait pu suivre cette fâcheuse rencontre.


Le vendredi qui termina cette semaine, alors que je venais de terminer, de peine et de misère, mon repas, je tentai de travailler tant bien que mal sur mes dossiers lorsque je reçus un courriel. Mon cœur se mit à battre rapidement lorsque je vis que ledit courriel venait de Michel Charbonneau, le fameux cadre qui me faisait rêver et qui avait hanté mes nuits depuis une semaine. Brusquement, je cliquai sur le lien et une autre fenêtre s’ouvrit avec son message.

Mlle Beaulieu,

Veuillez excuser l’écart de conduite dont je fais preuve mais le message que je vous envoie ne concerne en rien notre relation professionnelle. Je dois vous avouer humblement que j’ai passé la semaine à chercher votre nom de famille afin de vous écrire. J’aimerais vous inviter à dîner, ce soir, chez moi, afin que nous fassions plus ample connaissance. Si cette idée vous déplaît, sentez-vous libre de refuser cette invitation qui, bien entendu, restera notre secret. Je vous garantie toutefois que vous ne regrettez pas de l’accepter si tel est le cas.

Vous trouverez ci-joint mes coordonnées. Si vous n’êtes pas chez moi au plus tard à 20h00, je prendrai cela comme un refus et je comprendrai tout à fait.

Cordialement,

Michel Charbonneau.

Je n’en croyais pas mes yeux. Alors que je croyais perdre mon emploi, voilà que celui devant qui j’avais eu l’air d’une vraie dévergondée exhibitionniste m’invitait à un souper en tête à tête. C’était presque trop beau pour être vrai et il est certain que je n’allais sûrement pas refuser cette occasion en or.

À 15h00 cette même journée, je rentrai chez moi hâtivement (il avait effectivement raison au sujet des horaires avantageux des employés d’une banque) afin de me préparer à cette soirée. Après avoir pris une bonne douche, je me suis mise à la recherche des vêtements que j’allais porter ce soir pour mon rendez-vous. C’est ainsi que je me retrouvai complètement nue devant une multitude de vêtements étalés sur mon lit. Tout devait être choisi avec minutie : les sous-vêtements, les vêtements, les souliers et même le maquillage, je me devais d’être parfaite pour cette soirée. Après avoir essayé une multitude d’ensembles, mon choix s’arrêta à un ensemble composé d’un soutien-gorge et d’une petite culotte en dentelle bourgogne, cadeau qui m’avait été offert par un ancien copain, ainsi que d’une paire de bas en nylon noir. Pour ce qui est des vêtements, j’avais opté pour une blouse à manches courtes satinée rouge dont j’avais laissé les deux premiers boutons ouverts afin d’offrir à mon hôte un beau décolleté ainsi qu’une petite jupe évasée noire qui laissait paraître la couture de mes bas lorsque je me penchais un peu trop. Je décidai également de me maquiller légèrement afin de ne pas avoir l’air d’une prostituée de luxe, je voulais paraître élégante tout en étant sexy. Après avoir chaussé mes souliers à talons hauts, je quittai mon appartement pour me rendre chez M. Charbonneau.

Il était 18h45 lorsque j’arrivai à l’adresse indiquée dans le message envoyé plus tôt dans la journée. Je fus très surprise que, malgré le fait que je me trouvais sur le plateau Mont-Royal, quartier huppé de Montréal, l’adresse fut celle d’un immeuble à condos qui, bien que luxueux, n’était pas ce que je croyais être la maison d’un cadre de banque. Arrivée à l’accueil, je fus également surprise de constater qu’un homme s’occupait de la réception de l’immeuble et je me surpris même à me demandai s’il ne s’agissait pas d’un hôtel. Arrivée devant lui, je lui demandai l’adresse de Michel Charbonneau et l’homme, après m’avoir longuement dévisagé d’un drôle de regard, me dit « septième étage, appartement 745 ». Je m’avançai donc vers les ascenseurs tandis que le réceptionniste se rinçait l’œil en me reluquant les fesses.

Arrivée devant l’appartement 745, je fus prise de panique lorsque je constatai que ma tenue faisait beaucoup trop secrétaire et je remis en question tous mes choix en matière de vêtements. Prise dans mes pensées, je n’avais pas remarqué que la porte s’était ouverte et que M. Charbonneau se tenait devant moi :
- Bonsoir! Entrez, je vous en prie.
Il était encore plus séduisant que la première fois que je l’ai vu. Beaucoup plus à l’aise que moi, il portait une chemise bleu ciel dont les deux premiers boutons étaient ouverts et donc les manches étaient retroussées, laissant paraître une belle montre en or, des pantalons beiges et une paire de souliers de cuir très brillants. Une fois entrée, il m’invita à prendre place sur son sofa et il me tendit une coupe de vin rouge que j’acceptai avec plaisir.
- Votre tenue vous va à ravir. Je suis bien content que vous aillez accepté mon invitation.
Jamais auparavant un homme ne m’avait imposé autant de respect. Sa carrure, ses vêtements, le luxe très apparent de son bel et grand appartement et sa façon de s’exprimer dans un français impeccable me donnaient des frissons dans le dos.
- Loin de moi l’idée de vous brusquer, mais si vous le voulez nous pourrions passer directement à table, le repas est prêt.
- Avec plaisir.

Le repas fut délicieux et accompagné d’une succulente bouteille de vin. Durant ce dernier, nous nous sommes mis à discuter de tout et de rien, apprenant peu à peu à nous connaître. Célibataire endurci, il a toujours préféré se concentrer sur sa carrière plutôt que sur une relation sérieuse qui, selon ses expériences, n’apportait que des problèmes. À la fin du repas, il m’invita à faire le tour du propriétaire, proposition que j’acceptai avec joie et avec ma quatrième coupe de vin qui commençait à me monter légèrement à la tête.

Son condo, malgré les apparences de l’immeuble, était très spacieux et luxueux avec sa salle de bain en marbre, ses deux chambres d’invités, son petit salon et la chambre des maîtres, dans laquelle on retrouvait deux fauteuils en cuir, un meuble, un placard et un grand lit recouvert de couvertures bourrées de plumes d’oie. Émerveillée par la beauté de la pièce, j’y entrai sans pudeur et il me suivit en prenant bien soin de fermer la porte derrière lui.

- J’espère que vous avez apprécié le repas et la soirée, me dit-il en prenant ma coupe de vin avant de la déposer sur son meuble.
- Oui, c’était succulent et je vous en remercie.
- Vous savez, depuis que je vous ai vu lundi dernier…
- Je vous prie de m’excuser pour cet écart, j’en suis vraiment honteuse…
- Non non, me coupa-t-il doucement, je dois vous avouer que j’ai pris beaucoup de plaisir à vous admirer tout ce temps.

Cette dernière phrase me donna tout un choc, combien de temps m’avait-il observé pendant que je me donnais autant de plaisir? Cinq minutes? Dix minutes?
- Depuis que je vous ai vu, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à vous.
Je me suis vite rendue compte qu’il était collé derrière moi, les deux mains sur mes hanches, en train de me rapprocher doucement de lui tout en me murmurant ces paroles à l’oreille. Le souffle chaud qu’il expirait dans mon cou me donnait une sensation indescriptible et je sentais déjà mon entrejambes devenir très humide.
- Si vous le voulez, nous pourrions peut-être passer à la deuxième partie du programme de la soirée.
- Oh oui! Laissai-je aller dans un gémissement alors que je fermai doucement les yeux.

C’est alors qu’il se fit un peu plus entreprenant. Alors que sa main droite remontait jusqu’à ma poitrine, son autre bras se mis autour de mon ventre et appliqua une légère pression afin que mes fesses viennent se frotter à son pantalon, à l’intérieur duquel je pouvais déjà sentir une bonne bosse. Comme par réflexe, j’entrepris de me déhancher légèrement et j’entendis son souffle devenir un peu plus rapide et saccadé. Puis, il nous fit faire un demi tour afin de me mettre face à son meuble, sur lequel je m’appuyai avec les bras, lui offrant ainsi une belle vue sur ma petite jupe qui ne cachait plus le bas de mes fesses ni la couture de mes bas. D’une main agile, il la souleva doucement pour la poser sur le haut de mes fesses et il me caressa tout en faisant glisser ma petite culotte le long de mes jambes. Une fois débarrassés de cet obstacle à notre passion, il prit deux son index et son majeur et les mit devant ma bouche, que j’empressai d’ouvrir afin de les sucer et les lécher, tandis que de l’autre main il déboutonnait lentement mon chemisier avant de me l’enlever. Une fois ses doigts bien humides, il les retira de ma bouche et commença à les frotter aux parois de mon vagin, ce qui m’excita grandement et me fit gémir tout doucement. Puis, sans aucun préavis, il les enfonça brusquement jusqu’au fond de mon entre et il les laissa ainsi pendant une seconde avant de faire quelques petits mouvements de vas et viens tout en faisant bouger ses doigts latéralement, geste que je n’avais jamais fait et qui me procurait beaucoup de plaisir.

Après de longues minutes de caresses, je décidai que c’était à mon tour de lui faire plaisir et je retirai sa main de mon entrejambes. Puis, lentement, je me retournai pour lui faire face et j’enlevai mon soutien-gorge qui était, à présent, inutile. Je pris ensuite sa tête et je l’approchai doucement de mes seins afin qu’il puisse les lécher et les mordiller, chose qu’il n’hésita pas à faire et qui me fit gémir de nouveau tandis que je déboutonnais sa chemise et que je détachais sa ceinture et son pantalon. Une fois ces vêtements enlevés, je remarquai qu’il ne lui restait qu’un caleçon qui semblait un peu trop serré pour contenir ce qui formait l’immense bosse qui l’étirait. Je commençai donc à l’embrasser sur la bouche, passionnément, langoureusement, avant de me rendre doucement, baiser par baiser, sur ses joues, son cou, son torse (où je m’arrêtai le temps de lui embrasser un de ses mamelons très durs) puis, une fois à genoux devant lui, son ventre et, une fois devant son caleçon, je l’enlevai doucement avec mes mains, libérant ainsi ce qui me sembla être le plus gros pénis qu’il m’ait été donné de voir dans ma vie. Il devait faire vingt centimètres, bien long, légèrement courbé vers le haut, large à souhait et décalotté, m’offrant ainsi un gland bien rond et rosé dont la seule vue m’excitait. C’est donc avec énergie que je me mis à le lécher, alternant les petits coups de langue saccadés sur le bout du gland et les longues léchées de la verge entière, avant de lui donner un petit baiser et d’apposer mes lèvres dessus avant de le sucer de façon très sensuelle. Je hochais ma tête à chaque mouvement afin de lui procurer plus de plaisir et les petits sursauts qu’il faisait me montraient qu’il ne semblait pas détester cette pratique. Entre temps, il avait posé ses mains sur ma tête et accompagnaient mes vas et viens doucement, sans mettre de pression, comme si cette fellation, bien qu’elle n’ait rien d’extravagant, lui procurait tout le plaisir dont il avait besoin.

Après l’avoir sucé pendant dix bonnes minutes, il se retira de lui-même et me releva d’un coup sec par le bras avant de me coucher sur le lit, les fesses dans les airs et ma chatte face à lui. À ce stade-ci, je n’avais plus que mes bas et ma jupette, retroussée sur mes hanches, et il vint derrière moi tout en se masturbant doucement avant d’enfoncer sa verge en entier et sans hésitation. S’en suivirent des coups de rein qui eurent tôt fait de devenir assez rudes et qui était des plus plaisants. Je fus assez surprise de constater que son plaisir n’était perceptible que par son souffle qui était fort et plus rapide tandis que je tentais, en vain, d’étouffer mes cris de plaisirs dans les couvertures que je mordais à pleines dents pendant que lui, s’agrippant à ma jupe, s’en servait pour donner un plus grand élan à chacun de ses coups. Les positions finirent par s’enchaîner et nous nous retrouvâmes en missionnaire, avec ses mains qui me tenaient les fesses tandis que je serrais son cou de mes bras, en cuillère, position durant laquelle il serrait mes seins et chatouillaient mes mamelons de ses index, et à califourchon, dernière position que nous avons adopté. C’est à ce moment que je me rendis compte, à mon plus grand bonheur, que la porte de son placard était en fait un miroir dans lequel on pouvait admirer nos prouesses sexuelles. J’étais donc plus excitée étant donné que je pouvais me voir sautiller sur son membre, les bras bien en place sur ses pectoraux, pendant que celui-ci massait mes fesses avec énergie. Je trouvai également très sexy le fait que ma petite jupe couvrait à peine mes fesses et accentuait leurs mouvements en rebondissant à chacun de mes sauts.

Soudain, contre toute attente, mon Don Juan plia les genoux et me fit basculer sur lui et il prit la relève, donnant des coups de rein très rapides qui me firent pousser des cris aigus à chaque fois que ses cuisses venaient claquer les miennes. Enfin, après une bonne heure et demie de sexe, il donna le coup de rein ultime et, le membre bien au fond de moi, il tira de grandes giclées de sperme entre mes jambes et la chaleur de son liquide me fit jouir presque en même temps alors que je poussai un long râle de plaisir. Il éjacula pendant une trentaine de secondes avant de déplier les genoux et nous restâmes enlacés, alors que j’étais encore empalée sur son sexe toujours aussi dur, tout en s’embrassant tout doucement.

Après cette douce étreinte qui se voulait très reposante, je m’allongeai à ses côtés et lui offrit un dernier baiser sur la bouche.
- Voudriez-vous passer la nuit avec moi? Demain je pourrais vous laisser prendre une bonne douche et nous pourrions aller déjeuner ensemble?
- C’est une invitation bien appréciée, répondis-je en lui caressant les cheveux, mais je crois que je préfère rentrer chez moi. Il se fait tard et j’ai des choses à faire demain.
- Permettez-moi tout de même d’insister un peu?
- Je suis désolée, mais je crois que ce ne serait pas convenable.
À ce moment, on aurait dit que je venais de réaliser la gravité de la situation. Je venais tout juste de m’envoyer en l’air de façon plus que torride avec un homme qui a presque vingt ans de plus que moi et, qui plus est, est un homme très haut placé dans la banque où je travaille. Malgré tout le plaisir que j’ai pu prendre cette soirée-là, sur le coup, je ne pouvais que regretter cet élan de passion car je ne le trouvais pas du tout raisonnable. À ce moment-là, sans l’avoir compris tout de suite, j’étais tombée amoureuse de cet homme et cela expliquait le mélange de gêne et de tristesse dans ma voix.
- Je comprends tout à fait, laissez-moi tout de même vous raccompagner à la porte de mon appartement.

Sur ces paroles, il se leva et je fis de même. Pendant qu’il enfilait un nouveau caleçon et qu’il remettait ses pantalons, je réajustai ma jupe, froissée par toute cette action, et je boutonnai mon chemisier que je ramassai par terre, à côté de mes sous-vêtements que je ne pris même pas la peine de remettre. Une fois rendus à la porte, il me tendit une petite enveloppe cachetée dans laquelle on pouvait sentir une bosse.
- C’est pour vous, un petit cadeau d’au revoir.
Malgré ma réticence, il finit par me convaincre d’accepter tout en me demandant de ne l’ouvrir qu’une fois rendue à ma voiture. Je descendis donc, passant rapidement devant l’accueil où mon pervers était stupéfait de me voir partir en trombe, le visage rouge, une larme perlant sur ma joue mais surtout avec mes sous-vêtements dans ma main.

Arrivée à ma voiture, je m’assis à la place du conducteur et, après avoir pris une grande respiration, j’ouvris la lettre et commençai à lire le message qui s’y trouvait.

Mlle Beaulieu,

Si vous lisez cette lettre, cela signifie trois choses. D’abord, cela veut dire que vous avez accepté mon invitation et, si cela n’a pas déjà été fait, je vous en remercie. De plus, cela veut dire que j’ai passé une excellente soirée en votre compagnie et que j’espère fortement que cela est réciproque. Toutefois, malgré tous les compliments que je pourrais vous faire, cela veut également dire que vous avez refusé de passer la nuit avec moi et, par le fait même, de devenir mon amante. Je ne demande pas de relation sérieuse ni d’engagement, mais simplement un peu de chaleur humaine et d’une compagne avec qui passer de belles soirées empreintes de passion et de tendresse. J’aurais bien aimé que vous acceptiez ma proposition, mais je comprends votre décision et j’espère que cela ne mettra pas en péril notre relation professionnelle.

Veuillez agréer l’expression de mes sentiments les plus distingués,

Michel Charbonneau.

Puis, en jetant un petit coup d’œil à l’enveloppe, j’aperçus un petit objet brillant dans un des coins. En le retirant, je me rendis compte qu’il s’agissait d’une petite chaîne en or jaune au bout de laquelle se trouvait un petit pendentif représentant un C orné de diamants, bijou que je porte encore à ce jour et qui me rappelle sans cesse, d’une part, la plus belle soirée que j’ai passée avec un homme et, d’autre part, la plus grosse erreur que j’aurais pu commettre dans ma vie.
15 vote(s)


Histoire de Feelingtheblues

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La plus grosse erreur de ma vie

Le 04/11/2010 - 00:17 par Paradise Kiss
Une nouvel écrivain érotique en puissance ... Quelle magnifique histoire ! J'aimerais tellement passer une nuit avec cet homme ... Merci pour les supers sensations que m'a procurer cette histoire

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :