ACCUEIL > Lieux publics > Récit : La porte cochère

La porte cochère

+50

Lue : 1438 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/01/2022

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Nous nous étions rencontrés fortuitement, en cette fin d’après-midi, seuls si on peut dire, perdus dans la foule grouillante des chalands en cette rue piétonnière commerçante et nous étions émus autant l’un que l’autre, me semble-t-il ! j’avais toujours eu envie d’elle sans le lui montrer, d’elle, oui ! , une belle femme d’une quarantaine d’années, grande, blonde, que j’admirais depuis toujours ; son visage avenant , sa gentillesse, la sveltesse de son corps, ses seins et ses fesses de reine, le fuselé de ses cuisses! Combien de fois j’ai fantasmé en m’imaginant jouir avec cette voisine si charmante, si sexy ……. complice si possible !

« Je suis heureuse de vous voir Julien, je voulais vous remercier
« Gisèle, de quoi, grand dieu ! lui dis je
« Pour cette charmante attention que vous avez eue pour moi hier soir
« Ce n’était rien que de plus normal entre voisins
« Cela fait si longtemps que nous nous côtoyons sans nous connaître vraiment
« Oui, c’est vrai, bonjour, bonsoir et pourtant ce n’est pas l’envie qui m’a manquée de faire plus ample connaissance avec vous…vous êtes si belle, si aimable
Lui dis-je pour tenter ma chance, lui faire comprendre qu’elle me plaisait, « Embrassons-nous si vous voulez me remercier ! Nous aurions dû le faire depuis longtemps !
« Merci du compliment ; un baiser ! oui c’est bien mais j’ai mieux pour vous plaire …, enfin j’espère, car j’en ai très envie moi aussi ….

Alors je fus comme foudroyé par son culot, quand je sentis sa main droite sur moi, furtivement, subrepticement placée, sans équivoque pourtant, sur le devant de mon pantalon de toile, entre mes cuisses, ses doigts serrés sur mon sexe disons-le , elle me regardait intensément, anxieuse, guettant ma réaction pour cette caresse incongrue en ce lieu passager
Mon regard la rassura, je me m’approchais d’elle pour garder sa main sur moi et pour masquer aux yeux de tous son geste, cette intrusion jouissive que je voulais faire durer ; j’étais comme fou, incrédule, éberlué par son audace ; c’était elle qui venait vers moi, au-devant de nos désirs, réciproques, elle me le montrait.

« Oui Gisèle cela me plait beaucoup, dommage qu’en ce lieu nous ne puissions aller beaucoup plus loin ….lui dis-je avec une voix troublée masquant mal mon émotion, mon excitation
« Tu le penses vraiment me dit- elle, serrée contre moi, un souffle parfumé dans mon cou
Son tutoiement, cette marque d’intimité m’alla droit au cœur. Mais plus loin elle l’était déjà car d’un geste rapide, avec sa main entre nos deux ventres soudés elle fit glisser le Zip de ma brayette et je me sentis saisi sur l’étoffe soyeuse de mon boxer, sous mes testicules agrippées avec sa main, ses doigts, caressants, enveloppants ….
« Mais que fais-tu ?
« Je me fais plaisir, j’en ai envie
« Moi aussi…. si tu savais à quel point !......On ne va pas pouvoir en rester là
« Suis-moi si tu veux, si tu en as autant envie que moi

Je la suivi, elle m’entraînait en me tenant la main pour pas me perdre dans la foule, nous courrions presque, haletants, et on se retrouva dans une de ces rues désertes de la vieille ville cherchant un endroit tranquille. C’est une porte monumentale qui attira son attention, une de ces hautes portes ouvragées, en bois, anciennes qui laissaient passer autrefois tout un attelage, carrosse, patache et leurs chevaux…une porte cochère. Elle était fermée à double tour mais un portillon sur le côté pu s’ouvrir et nous permis d’entrer.
Manifestement les écuries avaient fait place à des logements au fond de cette longue cour pavée faisant suite à un vaste préau couvert où nous nous trouvions, ahuris de notre audace ; un vrai capharnaüm rempli de grands bacs poubelles ouverts, d’objets ménagers hétéroclites, de vieux meubles : des encombrants comme on dit, prêts à partir, un matelas souillé, un peu éventré, étendu à califourchon sur une table basse en bois toute bancale……..
Cela nous allait très bien car l’endroit était désert, conscients d’un coup tous les deux que là nous allions être libres de laisser parler nos pulsions, nos caresses, tranquilles, cachés aux yeux de tous.

Elle m’entraîna sur le côté gauche du passage, dans une sorte d’alcôve, la plus encombrée, la plus propice pour se cacher, la moins éclairée aussi ; seul un faible lumignon rougeoyant nous permis de nous voir enlacés, elle se jeta dans mes bras nous étions serrés l’un contre l’autre, ses seins écrasés sur ma poitrine, nos ventres soudés, nos cuisses enchevêtrées, mes mains, les siennes s’égaraient déjà , les miennes sur ses seins, sur sa taille gracile avant d’empaumer en caresses enveloppantes ses fesses opulentes sur le tissu soyeux du corsage de sa robe d’été. Elle, recommença à me cajoler la main dans l’ouverture de mon pantalon largement ouvert et je la laissais faire, elle aimait cela m’avait elle dit et moi j’aimais bien aussi en attendant mon heure, celle où je lui rendrais ses câlineries intimes……..

Oui des attouchements d’abord, presque sages, et si jouissifs pourtant, une reconnaissance des lieux si j’ose dire , une longue et douce caresse sur mon sexe encore flaccide mais si sensible à cette attention, sous mes parties aussi avant que sa main, ses doigts entrent en transe sur moi, plus précisément, sous moi, entre mes cuisses, sur mon service trois pièces caché encore sous mon boxer, lui faisant subir une sarabande endiablée, une danse folle. Mes testicules agitées par ces doigts en corole avant qu’ils ne remontent pour me saisir la verge et l’agiter tout en la branlant, branlottant serait plus juste , de plus en plus vite de plus en plus fort. Ces va et vient sans cesse recommencés de sa menotte de mes couilles à ma verge me mirent dans un état d’excitation folle jamais ressentie,

« Tu sens ma main Julien……tu la sens
Si je la sentais ! ahhh oui et c’était bon, jouissif, avec ses doigts elle m’agitait tout le paquet comme on dit, en glissant parfois l’un d’eux entre mes deux baloches congestionnées, pour les faire valser à l’unisson avec mon sexe, jamais on ne m’avait fait une telle gâterie
« Jamais on ne m’a excité comme-toi Gisèle, avec ta menotte !
Et c’était vrai, le plaisir commençait à poindre entre mes cuisses, ma verge à enfler délicieusement à l’étroit maintenant dans mon calbut …….

« Merci…attends je détends un peu ton slip pour que ton sexe soit plus libre de ballotter ….c’est mieux dis moi ?
« Oui c’est mieux, C’est bon ! tu fais bien……
« Ecarte bien tes jambes…….tes cuisses aussi ….penche toi en avant…oui…. quelle bite Julien…je sens bien tes deux couilles qui pendulent……ahhhh ……si tu savais comme j’aime …… je vais te faire jouir !
« Non Gisèle, surtout pas, pas encore, je suis si bien, continue de m’exciter ; si tu savais le bien que tu me fais, mes burnes congestionnées, ma verge raidie, mais toi trouves tu ton compte à me faire du bien ?

« Oui ! si tu savais comme je suis chaude à réaliser ainsi mes fantasmes avec toi, je mouille comme il n’est pas possible, grâce au cadeau que tu me fais, celui de me laisser à mes pulsions …..mes fantasmes refoulés depuis toujours !
Penché en avant comme elle me le demandait, les cuisses bien ouvertes, c’était encore mieux en effet, mes couilles pendantes, libres , prisonnières mais indépendantes sous la soie de mon slip, dans leur sac de peau fripée, agitées comme jamais par cette main diabolique qui savait si bien ce qui fait monter la fièvre du désir, la tension qui d’un coup, engourdit la hampe de mon sexe dressé et qui irradie mon ventre d’un plaisir intense.

Quand mon pantalon dégrafé tomba à mes chevilles, elle put m’attaquer, m’exciter par devant et par derrière aussi, entre mes fesses, cherchant une caresse nouvelle qui me surprendrait, mes attributs toujours libres sous mon calbar détendu et son tissu qui participait à mon plaisir en accompagnant les doigts par des caresses soyeuses

Elle avait de la suite dans les idées, et je ne compris pas tout de suite ce qui m’arrivait, c’est cette caresse nouvelle qui me surprit et m’enchanta, ce n’était plus sa main qui me branlait par derrière mais autre chose…….elle tenait un accessoire de cuisine qu’elle avait dû repérer dans cette ménagère éventrée à portée de nous…….un fouet, un batteur à main, cet espèce d’assemblage de larges boucles métalliques de fines cordes à piano souples qui sert à faire monter les blancs d’œufs en neige……..sic !

Je ne saurais mieux conseiller cet accessoire jouissif, pour ceux qui comme moi se prêtent de temps à autres à des plaisirs solitaires, cette manière de se faire jouir, de se faire bander valable autant pour les hommes mais aussi, j’imagine en fantasmant, pour les femmes qui veulent s’exciter sans ne devoir rien à personne ? Pour bien profiter il faut un fouet comme celui qu’elle tenait, avec de grandes boucles de fils très fins d’acier, guère plus qu’un millimètre de diamètre, souples, peu nombreuses qui ouvrent facilement le passage à la moindre pression et engament dans cette sorte de cage ce qu’on peut bien leur offrir. Je n’ai depuis l’instant béni où Gisèle me le fit découvrir de meilleurs moments de plaisir en jouant avec ces fines boucles emprisonnant mes testicules mais qui peuvent aussi, je l’imagine, faire de l’effet sur des vulves réceptives, sur des grandes lèvres congestionnées toutes mouillées d’excitation serrées par cet engin infernal si jouissif …...de longues caresses entre les cuisses sur la soie du fond de la culotte avant en s’insérant de passer par-dessous le fin tissus du slip.

Le meilleur c’est quand on se caresse par l’arrière, ce qu’elle fit, m’intimant l’ordre de rester penché cuisses ouvertes , pour que mes couilles soient libres, bien pendantes, prisonnières, seules, de ce réseau subtil d’acier mais animé furieusement par moments par une main de vibrations anarchiques, enveloppantes, imprévisibles, la nôtre dans la recherche de plaisirs solitaires ou à cet instant par la sienne passée entre mes cuisses sous mes fesses…dites-moi en commentaire si je me trompe et un petit merci pour l’essai de ce plaisir nouveau si vous en usez………

Gisèle su me fouetter comme il faut, par devant et par l’arrière toujours sur mon boxer, c’était doux ou violet, intrusif ou caressant, les boucles d’acier captant mes roubignoles en les emprisonnant, emmaillotées, pour mieux les déglutir en glissements jouissifs ; sur mon sexe aussi en le branlant entre deux mailles ; moi je m’agitais, ivre de plaisir, d’avant en arrière comme si je baisais, chaque fouettement, chaque branlette, chaque vibration me tirait un cri de plaisir ou de surprise… de brusques avancées de mon bassin, de mes fesses
« Ahhhh……. Gisèle c’est bon……..continue…….oui….ouiiiiiii…..ahrkkk
D’un coup je me retrouvais le cul nu, les fesses à l’air, mon caleçon, avec l’aide de Gisèle, rejoignant mon pantalon à mes chevilles et là saurais je vous décrire le plaisir nouveau, inconnu jusqu’alors qui d’un coup me submergea. Sans la protection de la soie de mon boxer, les cinq ou six fines boucles d’acier câlinèrent par devant mes parties et ma verge, doucement puis de plus en plus vite au rythme de mes petits cris, de mes geignements de satisfaction et d’extase, je fus terrassé d’un plaisir inconnu quand d’un coup les caresses vinrent de l’arrière, ce fouet de tous les plaisirs passé par une main diabolique, enfoncé profond entre mes fesses en haut, entre mes cuisses pour ne capter que mes valseuses et d’agiter ma verge. Jamais oh grand jamais ! je n’avais eu cette sensation de félicité.

Elle était aussi dans un autre monde, heureuse, elle devait jouir aussi du plaisir qu’elle me donnait, elle hurla presque
« Oui…..ouiiiiii…..écarte bien tes cuisses…….penche toi ….tu les sens …. dis !ces boucles d’acier qui emprisonnent tes couilles ……tu bandes tu as un sacré gourdin……..
En effet jamais je n’avais bandé autant, jamais ma verge agitée n’avait été si grosse, si dure , si dressée et quand tout en continuant de m’exciter par derrière, passant sa main gauche par devant Gisèle me branla le sexe, je crus que j’allais me laisser aller à jouir, à me répandre entre ses doigts serrés sur moi……..elle était comme folle elle aussi….son visage crispé, transfiguré, le souffle court ……..

« Julien caresse moi la chatte, caresse-moi toi aussi
Alors passant une main en arrière je la passais sous sa robe directement, la fit remonter entre ses cuisses nues, ouvertes jusqu’à sa culotte , elle était trempée alors que je ne l’avais pas encore touchée. Avec la pulpe de mes doigts je caressais sa vulve, je devinais sa chatte, une chatte fruit comme je les aime, qui se dandinait pour mieux profiter de ma caresse. Un instant, dans un autre monde déjà, elle laissa tomber le fouet jouissif pour me faire face, de nouveau, lovée comme une chatte dans mes bras, ma bouche dans son cou gracile et parfumé

Nous nous caressions mutuellement dans les bras l’un de l’autre, nos mains actives, la sienne sur ma verge nue, dressée, le gland décalotté, les doigts de la mienne passés maintenant sous sa culotte faisant mieux connaissance de son sexe de son vagin inondé à son clitoris gaillard
« Julien suce moi les doigts…….oui…plus…mouille les bien !

Elle s’agitait tout en gémissant que je crus bon de glisser mon majeur dans son vagin, mon pouce dressé sur son ventre, sa pulpe titillant son clitoris. Sa réaction fut indescriptible tant sa jouissance était grande, elle gardait le contrôle cependant car je sentis le bout d’un de ses doigts lubrifiés par ma salive délaissant mes testicules pour s’enfoncer profond entre mes fesses me faire une petite enculette, oh! juste la première phalange, du plus petit de ses doigts sans doute dans mon anus et pourtant cette petite intrusion dans mon fondement allant et venant en glissant dans mon cul me révulsa et je dis me retenir pour ne pas jouir précocement.

Alors notre langage devint plus cru, sans retenu ni respect humain, à la mesure du plaisir envahissant qui nous submergeait
« Bouffe moi les seins …continue de me branler……..oui……..c’est booonnn ….ouiiiiii…..ah Julien que ne l’avons-nous fait plus tôt…….quel cadeau tu me fais, là……c’est bon…tu es bien toi aussi
« Oui j’aime tes caresses…agite moi les valseuses aussi si tu veux…c’est bon ton doigt dans mon petit cul !
Ainsi pour elle c’est moi qui lui faisait un cadeau, elle me le dit plus tard, cette possibilité que je lui offrais de me faire caresser le sexe, de voir monter le plaisir qu’elle me donnait, de sentir ma verge se tendre dans sa main, de la sentir pulser, de voir dans quel état d’excitation elle me transportait…oui pour elle c’était cadeau ……. jamais aucun homme ne lui avait permis ces gestes licencieux mais si jouissifs………..et vous !!!!!!!!

« Gisèle !
« Oui
« Veux-tu que je te caresse avec ma verge…avec mon gland
« Tu me caresserais la chatte ? avec ta bite ?
« Oui !
« Tu ferais ça pour moi ?
« Je le ferais pour nous, nous deux
Elle le voulait, elle voulait que je la rejoigne dans le plaisir, je l’avais dépoitraillée en éclatant son corsage et je pris ses seins dans ma bouche en les aspirant l’un après l’autre, en suçant leurs pointes érectées avec ma langue
« C’est vrai…tu le ferais ? c’est possible ?
« J’en ai très envie, tu vas voir comme c’est doux, j’ai envie de jouir avec toi comme jamais !
« Comment faire ?
« Quitte ta culotte nous serons mieux……..Installes toi…..allonge toi sur le matelas……oui comme ça……tu es bien ainsi …….oui…….écarte bien tes cuisses…ouvre toi ! tu me vois m’approcher ?
« Oui je te vois, je devine ton ventre ……..ton sexe…….. tu bandes drôlement ……je te fais de l’effet
« Oui….. attends……je m’agenouille……..je glisse mes cuisses sous les tiennes, sous tes fesses, je suis sous toi, mon sexe entre tes cuisses, sur ton ventre…je suis à bonne hauteur….tu sens mon gland sur ta chatte?…tu sens mes couilles sur ton cul, entre tes fesses ?
« Oui je le sens sur ma vulve… entre mes lèvres…tu as raison …..c’est doux

C’était doux pour moi aussi, le long cylindre de ma verge enlisé de tout son long dans la boursoufflure de sa chatte inondée, mon gland décalotté entre ses petites lèvres et quand je commençais des petits mouvements de reptation, d’avant en arrière il arrivait lors d’un recul un peu plus grand que les autres qu’en passant sur le vagin mon gland le pénètre un peu…juste pour voir…
Cela nous plaisait manifestement et je fis durer le plaisir, sa chatte s’inonda plus encore d’une liqueur blanchâtre, sirupeuse, filante, pleine de bulle, son bassin s’anima de circonvolutions lentes et amples avant que par de brusques avancées de son ventre elle put mieux plaquer ma verge dans la soie lubrifiée de son sexe. Mon gland fouillant en les écartelant ses petites lèvres , plongeant par-dessous pour mieux caresser le chapiteau de son clitoris, pour s’y vautrer en le maltraitant en le faisant se dresser, sortir de l’écrin de son capuchon, petit sexe sensible, érecté, sanguinolant.

Gisèle se mit à gémir, une plainte douce ponctuée de petits cris quand mon gland tel un soc commença à presser l’entrée de son vagin, à visiter tous les plis soyeux entre ses cuisses et sa vulve et s’enliser de quelques centimètres, elle hurla me demandant de la fourrer bien à fond mais je sus la faire languir en caressant son clitoris avec mon gland décalotté, une douce caresse en faisant avec ma main aller et venir la peau de mon gland sur son bouton inondé. Cela la révulsa, la fit plonger dans un autre monde et j’étais heureux de voir les avancées de son bassin pour profiter plus encore du plaisir qui l’inondait, elle était à bout et le la contentais en me présentant plus bas à l’entrée de son vagin. Ses grandes lèvres d’un coup congestionnées, toutes gonflées par le plaisir naissant masquaient en cet instant sa vulve, enfouissant son clitoris et ses petites lèvres les faisant disparaître dans son sillon rougeoyant, gorgé de sang, pourtant ma bite était libre, à l’aise dans son vagin dilaté grand ouvert devenu d’un coup tout dur avant que dans un cri Gisèle plongeant dans un orgasme trop longtemps contenu se crispe sur ma verge, l’étreignant dans son vagin pour bien la garder au fond de sa chatte.

Elle jouissait de tout son corps, son ventre saisi de soubresauts incontrôlés, elle avait glissé une de ses mains appuyant avec la pulpe de ses doigts sur son pubis pour faire resurgir sa vulve ; et c‘est en hurlant qu’elle accompagnait mes pénétrations en se caressant avec sa main bien à plat sur son sexe tellement inondé qu’on pouvait entendre les floc floc de sa mouille sur son clito bandé ressurgit de son capuchon. Mais quand enfin je m’enfonçais en elle de toute la longueur de ma verge allant et venant lentement d’abord avant qu’à sa demande comme une réponse à ses cris je la baise furieusement.
Tout son corps s’enflamma d’un coup. Je la fis jouir ainsi, longuement, sa jouissance n’avait pas de cesse, elle se tortillait sous moi pour mieux me sentir Il y avait quelques accalmies ponctuées de gémissements langoureux avant que d’un coup l’orgasme ne ressurgisse de plus en plus souvent de plus en plus violent, effrayant presque pour moi heureux pourtant de mon savoir à la transporter ainsi dans le plaisir et le mien.

« Baise moi en levrette je t’en prie ; tu pourras jouir en moi…sans risques
« Attends, j’étale le matelas par terre
Nous étions en plein préparatif Gisèle à genou, les fesses nues bien cambrées en l’air et moi derrière elle flamberge au vent la prenant par les hanches, lui caressant ses seins pantelants , nous allions jouir enfin ensemble quand nous entendîmes des pas venant de la cour, nous étions figés d’un coup, n’osant faire un geste ………. une ombre qui passe, un bruit de porte qui claque, de nouveau nous étions seuls, alors dans la lumière blafarde du lumignon je la repris par les hanches halluciné par la blancheur et l’ampleur de ses fesses , rabattant mon sexe je le fourrais lentement dans sa chatte mais de toute sa longueur, elle était prête à me recevoir.

Le passage de plusieurs locataires entrant dans la propriété ou sortant dans la rue ne pouvaient plus nous arrêter de baiser car nous étions tous les deux au moment de jouir, au point de rupture, l’instant où mon foutre allait gicler dans sa chatte quand un homme fit irruption devant nous et manifestement il n’avait pas envie de nous laisser tranquilles
« Ben, les amoureux…. il ne faut pas se gêner…j’arrive bien.. vous m’avez fait bander.. je vous observe depuis un moment…vous m’invitez sinon j’ameute le quartier ……aller suce moi ma belle

Il avait la bite au vent, il avait dû se branler en nous espionnant car elle avait belle allure, gonflée à bloc. Son irruption ne put nous empêcher de jouir , il était trop tard, rien ne pouvait plus arrêter l’ouragan qui grondait dans nos sexes, c’était l’instant de la jouissance, de l’éjaculation pour moi, de l’orgasme final pour Giselle ; je me mis à jouir en gueulant perdant toutes notions de temps et d’espace, Gisèle comme moi en plein coaltar…… au diable, la pudeur, au diable l’importun …….on ne peut arrêter un coït quand la jouissance monte prête à éclater , impérieuse, pas de coitus interruptus comme disaient les latins

La jouissance de Gisèle dura plus longtemps que la mienne et quand je refis surface après avoir craché tout mon foutre au plus profond de sa cramouille, je vis que pour ne pas me faire descendre le train en marche comme on dit, pour être tranquille elle était en train de sucer la bite de cet intrus qui avait manqué de tout gâcher, il avait l’air d’apprécier en se dandinant à genou devant elle les yeux dans le vague
« Paul…….où es tu ? je t’attends
C’était une voix féminine que nous entendions venant, lointaine, du fond de la cour
« Merde ! ma femme !
« J’arrive chérie

L’intrus s’éclipsa, à regret avant qu’il n’ait eu le temps de se répandre dans la bouche de Gisèle, il était temps pour nous de remettre nos tenues en ordre et de nous serrer tendrement l’un contre l’autre
« Pardonne moi Julien d’avoir sucé ce malade je savais que tu allais jouir et je ne voulais pas gâcher ton plaisir… et le mien…..tu comprends ?
« Merci chérie je n’ai rien vu, j’étais dans un autre monde quand j’ai explosé au fin fond de toi
« Tu sais, c’est toi que j’aimerais sucer, lécher ta grosse bite, gober tes couilles Julien, nous aurons sans doute d’autres occasions de nous revoir j’espère, qu’en penses-tu ?
« je te sucerais moi aussi, je sais bien faire ces caresses avec ma bouche, ma langue, mon nez
« Arrête Julien…tu m’excites…….dommage que je doive partir….sinon !
« Je pense Gisèle que nous avons vécu un moment merveilleux malgré ou à cause je ne sais de ce final, tu m’as fait un cadeau merveilleux, incroyable, inconcevable ……….,
« Ne crois pas çà Julien c’est moi qui ai eu ce cadeau

Nous avons quitté séparément cette porte cochère pour ne pas attirer l’attention des rares passants mais je dus la rappeler avant qu’elle ne sorte car accroché sur sa robe, par derrière, à hauteur de ses fesses je vis une arête de poisson, une vraie, avec la tête et la queue danser la gigue en pendulant accrochée par ses arêtes. Cela nous fit bien rire, ce pendentif volé aux poubelles éventrées qui dans le feu de l’action avait vues de près notre plaisir ……. Je la débarrassais de ce pendentif incongru en lui caressant une dernière fois ces jolies fesses et je la vis partir en admirant son pas chaloupé de princesse…..
Avant de partir moi aussi, en regardant autour de nous pour voir si nous n’avions rien laissé de compromettant je vis l’objet de mon plaisir et je l’emportais avec moi, ce fouet qui depuis agrémente mes instants de plaisir en solitaire ? Nous nous sommes revus Gisèle et moi mais c’est une autre belle histoire.
50 vote(s)


Histoire de Pierre le Grand

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La porte cochère

Le 11/01/2022 - 16:22 par Exorium
Un récit haletant. Un "moment" qui a manifestement procuré beaucoup de plaisir aux différents protagonistes .

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :