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Vapeurs de sexes au sauna

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Lue : 955 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 28/02/2022

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Il est vingt deux heures quand nous quittons le restaurant. Tu es ravissante, vêtue d’une courte robe noire. C’est la dernière fois de la soirée, que je te vois habillée.
Vingt deux heures trente, arrivons au sauna. Pendant que je règle l’entrée, je te retrouve au bar, en train de te gaspiller avec deux inconnus. Assise sur un haut tabouret, jambes écartées, un homme t’embrasse avec fougue, tandis que le second a retroussé ta robe jusqu’à la taille, a écarté ton string, et caresse ta chatte. Tu t’abandonnes totalement, quand il excite ton clitoris, et glisse un doigt à l’intérieur. Ils rient de te voir te trémousser sur le tabouret, pendant que l’un d’eux te branle la chatte, tandis que tu as pris leur queue en main.
Des hommes, enveloppés dans une serviette, suspendent leur conversation en voyant la scène. Après avoir atteint un puissant orgasme, tu m’aperçois entre tes yeux mi-clos. Tu me rejoins, surprise de ma présence.
Malgré cette scène surréaliste, et l’humiliation que j’ai subi, je décide de poursuivre l’aventure, car c’était une éventualité, qu’une telle scène se réalise.
Nous pénétrons dans le sauna…
Il fait une chaleur torride. A peine cinq minutes que nous sommes dans la cabine, que déjà nous perlons à grosses gouttes. Tu es installée assise sur un petit banc dans le coin, entièrement nue, je suis assis sur celui qui est en longueur. De temps en temps, tu écartes tes cuisses, découvrant ainsi ta chatte encore luisante de mouille, tandis que moi, j’arbore une queue assez représentative de l’effet que tu me fais. On se regarde en souriant, l’œil malicieux, parcourant nos corps dénudés.
Détente, rêveries, moiteur, nous ne disons pas un mot. Dans l’autre coin, il y a le dispositif sur lequel se trouvent les pierres qui chauffent, et l’eau que l’on peut y verser dessus afin qu’elles dégagent d’autres vapeurs. Mais je ne pense pas y retoucher avant la fin de cette demi-heure. Je suis bien, je me délasse, je ferme un peu les yeux… Soudain la cabine tremble au bruit d’un roulement mécanique. La cabine bouge puis s’arrête, et tout devient calme. On se regarde, un peu inquiets. Tu as ce sourire qui trahit une interrogation. Le verrou de la porte s’ouvre, mais la porte reste close. Nous n’entendons rien de plus. Tous deux nous interrogeons du regard, et ce regard demande.
"Qu’est-ce qu’on fait ?"
Poussés par la curiosité, nous entrouvrons cette porte dérobée. On ne distingue pas grand chose, mais nous pouvons constater que l’extérieur n’est pas le même que celui par lequel nous sommes entrés. L’air est moins chaud qu’ici, mais tout de même vaporeux. Un homme nu, passe devant nous. Il nous fixe un moment.
- Pardon, je cherche ma cabine.
Curieuse,tu me demandes « On va voir » ? Je te réponds OK .
Je passe devant toi, ouvre la porte en grand, et descends la petite marche.
Tu me suis de près, collant tes seins contre mon dos, je te prends la main.
Des bras enveloppent ton corps, des mains caressent tes seins, descendent plus bas, vers ton intimité. Des doigts essaient de te pénétrer, tu les repousses. Partout, ce ne sont que des corps qui fusionnent, gémissent dans des rapports torrides. Ton regard s’attarde sur une ou telle scène, des plus hard.
La vapeur est omniprésente et nos pieds trempent dans une eau chaude. Pudique, Je me cache tant bien que mal ma bite en érection, tandis que toi, libérée de l’intrus, te caches derrière moi. Nous avançons timidement. L’espace doit être grand, et il y a d’autres personnes qui traversent les volutes, d’autres mains qui te caressent, atteignent ton entre jambes, ton sexe. Mais que cherchent-elles ?
Tout simplement à profiter de ton corps, entièrement offert à leur vue, et qui espèrent en tirer toute la quintessence. Mais fais-tu quelque chose pour les en dissuader ? Offres-tu une farouche résistance ?
Ça chuchote sur toi, et ça t’excite de te sentir désirable.
Nous avançons encore, le mystère grandit, aussi épais que le brouillard, et nous nous sentons vulnérables, surtout toi. De partout, ce n’est que des fesses, des fesses d’homme pour la plus part.
L’un d’eux nous tourne le dos. Il semble trembler, mais nous ne savons pas à quoi c’est dû, nous ne voyons pas bien. Nous le contournons pour ne pas le gêner et toi, mateuse, tu jettes un coup d’œil pour savoir ce qu’il fait. Tu as l’impression qu’il se branle. Tu es prête à intervenir, tant la scène t’excite, mais tu ne m’en souffles mot, tu sais comme je peux être jaloux parfois, même si j’ai accepté ton écart de conduite avec ces deux inconnus au bar.
Cette fois, tu en es sûre, il se branle. Il tient sa queue érigé et la branle lentement. Si tu ne vois pas bien le visage de cet homme, tu peux par contre voir son énorme queue, ainsi que ses grosses couilles, son gland et sa main aller et venir…
Ton excitation s’intensifie, et une question te vient à l’esprit.
"Et s’il éjaculait ? J’aimerais bien le voir jouir ».
Puis une nouvelle question.
"Mais qu’est-ce qu’il regarde pour être dans cet état ?"
Tu reprends, un peu abasourdie, ton chemin vers moi, ma main te servant de guide et, lorsque ton regard se détache du sexe de cet homme, c’est pour assister à une scène incroyable. Tu t’en cognes la tête contre mon épaule.
- Aïe ! te plains-tu à voix basse..
Tu te frottes la tête, je me tourne vers toi en souriant et en murmurant. « Ça va »?
Tu restes sans voix devant le spectacle auquel tu assistes.
Tu as d’abord honte, puis enfin t’habitues. Malgré les vapeurs, tu devines ce qu’il se passe au centre de cette mini-arène. Tu reconnais bien ces bruits. Ces gémissement de plaisir, qu’échangent le couple qui s’étreint devant nous.
Personne autour de nous, ne semble vouloir gâcher l’instant charnel de ces deux êtres. Autour il y a autant d’hommes que de femmes, tous suspendus à cette scène. Mais nous ne pouvons deviner ce que nous avons en face de nous.
Ton bras enserre ma taille. Tu saisis mon pieu tendu, joue avec, le serre dans tes mains, le parcours sur toute sa longueur. Nôtre pudeur s’envole petit à petit, et ne savons jusqu’où tout cela va nous mener.
C’est à ce moment, que tu attires mon regard sur la droite. Une femme est en train de tailler une pipe à un homme, avec une envie non dissimulée, ce qui te permet de savourer des yeux cette queue qui se branle dans sa bouche. Il te semble sentir la saveur sur tes lèvres, et au lieu de détourner ton regard, tu attends le coup final. Tu le devines en voyant l’homme appuyer la tête de sa partenaire, contre son pubis, en grognant de plaisir. Tu sembles jalouse de ne pas être à sa place.
Je me détourne d’eux pour t’adresser un clin d’œil. C’est le premier regard que nous échangeons depuis longtemps. Depuis nôtre arrivée dans cette pièce, en fait.
Je t’embrasse tendrement, et nôtre complicité reprend ses droits, pour pouvoir enfin nous détendre.
Je me place derrière toi, t’enlace, et pose ma tête sur ton épaule, tandis que toi tu incline la tienne, pour accaparer ma tendresse. L’air est tiède, humide et agréable.
Dans l’arène, le bruit des vaguelettes signalant que les fesses de l’un, frappent les hanches de l’autre, s’accélèrent, annonçant peut-être la fin proche des ébats.
Un léger « oui » est lâché, suivi d’autres plus perceptibles. L’acteur est derrière sa partenaire, qui ne s’appuie que sur lui, cambrant ses reins au maximum, les mains accrochées à sa nuque. Elle atteint un orgasme terrible, puissant. L’homme ralentit ses coups pour s’enfoncer profondément dans sa complice, se cambrer à son tour, et venir en elle. Crispé, silencieux, les yeux mi-clos, le bassin tendu en avant, telle fut l’image de sa jouissance, offerte à tous les voyeurs, dont nous faisions partie.
Deux hommes se sont approchés, en se masturbant. Tu as vu venir de l’un d’eux, un étonnant jet de sperme, qui atteignit un sein de la femme qui venait d’être prise. L’excitation était à son comble. J’ai senti tes fesses chercher mes hanches, tu as senti ma queue bien dure se frotter à toi.
Soudain, nous sommes déconcentrés par les râles des couples en fusion, au point de nous apercevoir au dernier moment, des hommes se diriger vers nous. Je me place devant toi, en protection. On parvient à les détourner, mais l’homme que nous avons dépassé tantôt, nous rejoint, se colle à toi. Il glisse sa queue dans ta main, qui pendait le long de ton corps.
Tu as un léger sursaut, mais ne repousse pas l’intrus. Tu lui serre la bite, la décalotte, comme si elle avait réellement besoin de l’être. A mon insu, tu te retournes, et te mets à la branler. Elle te fait tellement envie, que tu te penches, et l’aspire de tes lèvres pulpeuses. Tes va et vient font le reste, jusqu’à ce que son sperme gicle dans ta bouche. Tu n’oses te retirer. Sans un mot, tu avales son abondante semence, jusqu’à la dernière goutte.
Je me retourne, et te vois en train d’essuyer tes lèvres, d’un doigt discret.
Comme pour te faire pardonner, tu m’as chaudement embrassés, sans te soucier si des traces de sperme ne traînaient pas sous ta langue. Puis tout le monde s’est éloigné, et nous allions tous regagné nos cabines respectives, quand les deux inconnus du bar, s’approchent de nous. Je ne vois pas les deux autres arrivés derrière moi, et qui me ceinturent. Les deux inconnus se collent à toi, t’enveloppent de leur bras. Leurs mains parcourent ton corps, le caresse. Le pire, c’est que j’ai comme l’impression que tu acceptes.
« On va bien te la bouffer ta femme, elle va bien nous sucer...on va bien la baiser.
Tu jubiles sous leurs paroles. Soumise, tu les suis...au milieu de l’arène.
Tous les trois, vous tombez à genoux, toi entre eux deux. Leurs mains avides, reprennent leurs caresses. Tes seins au bouts tendus, ta chatte offerte aux mains expertes, et aux doigts pervers des deux acolytes.Tu saisis leurs queues, les branles doucement, te penche pour les prendre en bouche, une après l’autre. Puis l’un d’eux te positionne à quatre pattes, caresse ton sexe, et te pénètre. Tu te cambre en poussant un gémissement de plaisir. Le second s’accroupit, tient sa grosse bite en main, qu’il dirige vers ton visage. De ta langue, tu enroule le gland décalotté, la fait courir sur toute la longueur, puis la prend finalement en bouche avec délectation. Les deux inconnus se mettent en action, simultanément. Ainsi embrochée, tu reçois leur offrande dans des râles de plaisir, annonciateur d’un orgasme qui se profile. Un tsunami souffle en toi, tandis que tu avales la semence épaisse des couilles qui se vident dans ta bouche. Ce dernier justement, s’allonge sur le dos, t’oblige à t’empaler sur lui. Tes reins se cambrent dans cette nouvelle position. Tu te couches sur lui, lui prend la bouche dans un interminable baiser. Tu en oublie que dans cette position, tu offre un endroit de ton anatomie, non encore exploré. C’est quand l’énorme gland taquine ton petit trou, que tu réalises, que tu ne t’es jamais faite sodomiser. Tu pousse tes premier cris lorsque ton petit orifice se dilate. Tu acceptes cette queue qui pénètre le coin sombre de ton corps. J’assiste, impuissant, dans le douleur, à cette scène horrible. Mais l’est-elle pour toi, qui gémis de plaisir à présent.
Soudain, c’est l’explosion. Vos corps, en pleine harmonie, jouissent. Je vois le rictus du plaisir sur leur visage quand ils éjaculent en toi, tandis que ton orgasme fait trembler les murs de la pièce. Vous restez un instant ainsi, enchevêtrés l’un dans l’autre.
Le premier se lève enfin, te libérant d’un poids qui te maintenait empalée sur le second acteur de cette intense relation. Puis ce dernier te fit rouler sur le côté.
Les inconnus du bar se lèvent, de donnent un tendre baiser, puis disparaissent dans le brouillard bouillant de la pièce.
Je te regarde t’étirer voluptueusement au milieux de l’arène, ou d’autres hommes te rejoignent, tombent à genoux, caressent ton corps chaud comme la braise du sauna. Impassible, tu te laisses faire, guidant toi-même leurs doigts ou leur sexe, vers les endroits secrets de ton intimité. J’ai les yeux embués de larmes, quand tes puissants orgasmes terrassent la pièces. J’entends les rires narquois des hommes, qui viennent de te donner du plaisir.
Puis ils s’évaporent sous les volutes, comme déclinent tes gémissements.
Quant à moi, j’ai de la peine à réalisé ce à quoi je viens d’assister.
Nous sommes restés trop longtemps, et nous sommes perdus dans les vapeurs de sexes de ce sauna maudit, et il faudra du temps pour que nôtre couple s’en remette...si toutes fois il s’en remet.
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Histoire de Aurore34

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