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La promesse d'une fessée ... Et après ...

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Lue : 2728 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/12/2018

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Au début, il avait juste mentionné qu’il était partant pour me donner la fessée.
Je n’y avais pas trop fait attention… Puis petit à petit.

L’idée avait fait son chemin. En apprenant à le connaître, il avait du charme, était drôle et dégourdi.

Alors quand il m’a invitée à prendre un café, je dois dire que j’ai un peu joué la carte de la provocation. Entre la jupe sans culotte et le choix de se promener dans un parc, cela laissait des opportunités.

Au début, cela a été courtois. On se fait la bise, on parle du trajet. Lui aussi s’est fait beau ceci dit.
La chemise lui va bien. Il fait beau pour le moment bien que des averses soient prévues pour plus tard. Nous décidons donc d’aller dans ce grand parc.

Discutant de tout et de rien, je finis par mettre les pieds dans le plat avec une fausse innocence qui ne doit pas tromper grand monde.
- Et cette fessée alors ? Toujours partant ?
- La fessée ? Ho. Tu parles de ce message d’il y a quelques mois.
- Tout a fait. Ca n’était pas sérieux comme proposition ?
- Ah mais si, bien évidemment ! Il faut juste trouver le moment propice.
- Ca n’est pas propice ce rendez vous aujourd’hui ?
- Euh. Tu trouves ?
- J’ai mis une petite jupe. Le parc est grand. On devrait pouvoir trouver un endroit vraiment propice. Et n’ayant pas à me déshabiller. Cela peut se faire assez vite.
- Ahem. Je ne pensais pas forcément que cela se fasse rapidement par contre. Mais rien ne nous empêche de chercher au moins un lieu propice.
- Cela me semble un bon début oui. Qui sait. On pourra peut-être prendre notre temps.

A parcourir les allées, nous avons fini par trouver une sorte de petit labyrinthe végétal dont les murs cachaient ceux qui y déambulaient …

- Ici ? C’est bien non ? On ne nous voit pas. On entend tout de même ceux qui pourraient arriver.
- Hum… Mais si quelqu’un arrive.
- On fait comme si de rien n’était. Tu penses que cela va prendre longtemps cette fessée ?
- J’aurais préféré je dois dire.
- Alors allons y.

Je relevais alors ma jupe en me tournant, lui montrant mes fesses.

- Ah. Tu ne portes donc pas de culotte ? Tu avais tout prévu dis moi.
- C’est grave ? Je me suis dit que cela serait plus convivial…
- Ca n’est pas grave non. Penche toi un peu que je regarde tout cela.
- Ah. Tu dois m’examiner en plus ?
- Oui. Que je trouve le bon endroit.

Je me penchais doucement. Il s’approcha de moi. Il posa alors ses mains sous mes fesses pour les masser un peu, les malaxant. Il releva un peu plus ma jupe sur mon dos, me posa la main au creux de celui-ci pour que je me penche un peu plus.

- Voila. Tu es prête ?
- Oui. Tout va bien pour toi ? Ma position te convient ?
- On va voir ça. On pourra encore changer après.
- Après ? Comment cela ?
- Après la première.
- La première ?
- Fessée. Tu t’attendais à une seule ?
- Je croyais.
- J’aurais parlé d’une fessée. Pas de la fessée.
- Ho. Me voila piégée alors.
- Il semblerait oui.

Et sa main claqua sur ma fesse gauche.

- La position me semble bien. C’est un peu sonore. Espérons que nous ne serons pas entendus.
- On reprendra ailleurs ou plus tard si on se fait remarquer … N’est ce pas ?
- Tout à fait. On va donc commencer par une petite série sur la fesse gauche. On passera à la droite après. C’est mieux. Je verrais la différence comme cela.
- La différence ?
- Oui. Celle qui sera rouge avant l’autre.
- Tu comptes les faire rougir ?
- Bien sûr ! Allez. Ne perdons pas plus de temps.

Sa main claqua a nouveau sur ma fesse. Il savait y faire. Il visait bien. Toujours au même endroit. Avec vigueur. Après une petite dizaine, il marqua une pause.

- On passe à la droite ? On continue ?
- Elle est rouge ?
- Pas encore.
Je me prenais au jeu doucement.
- Alors on continue encore un peu.
- Plus fort peut-être ?
- Cela serait plus efficace.
Il me provoquait par ailleurs.
Il ne fit pas semblant d’y aller plus vigoureusement. Cela me plaisait de plus en plus.
Sa main claquait sur ma fesse. Une petite dizaine plus tard, il hésita un instant … Puis continua.
Apres trente fessées, il devait vouloir changer de fesse.

- Voila. C’est mieux comme cela. Une jolie teinte rosée. Satisfaite ?
- A moitié. Et toi ?
- Plutôt. Cela manque un peu de tonus je crois.
- C’est le moment de te rattraper alors.
- Tourne toi un peu que je fasse bien les choses.

Sa main claque fort sur ma fesse droite, me surprenant un peu.

- C’est plus tonique comme cela ? Satisfaite là ?
- Je commence à sentir que je suis venue pour quelque chose là oui.
- Décidément … On va se mettre d’accord.

La claque fut d’un coup forte, sonore, piquante. Je me cambrais un peu.

- Ne bouge pas s’il te plait.
- Désolée. La surprise.
- On reprend alors. Sans bouger.

C’était maintenant une fessée sévère. J’avais la fesse qui chauffait. Et en même temps, je sentais que l’excitation montait.
Trente fessées comme cela, cela laisse la fesse chaude et piquante. Quand il me donna la dernière, il souffla sur sa main, regarda son oeuvre.

- Voila. Tu es venue pour quelchose chose là. Il va falloir s’y reprendre de l’autre côté.
- Evidemment. Que cela soit rosé de chaque côté.
- Ca ne vira pas encore sur le rouge. Tu veux voir le résultat ?
- Oui … On pourra s’y reprendre pour le rouge.
Il sorti son téléphone pour prendre une photo et me montrer le résultat. C’était effectivement bien rose à droite.
- Allez. Tend moi ta fesse gauche. Pour une fessée tonique cette fois ci.

Je lui tournais mes hanches pour présenter la fesse qui devait être claquée de nouveau. Je savourais. Lui était concentré.

- Voila. C’est un bon début de fessée. Satisfaite maintenant ?
- Hmm. Oui. Très satisfaite. Et toi ?
- C’est un bon début comme je disais. On reprend ?
- Ah ? Déjà ?
- L’endroit s’y prête bien. Et j’ai le rythme maintenant. Le geste qui va bien.
- Nous devions aller prendre un café non ?
- Cela peut attendre. Tu voudrais t’assoir sans avoir les fesses qui piquent ? Ca serait dommage non ? Pour bien te souvenir de cette fessée.
- Tu prends cela très au sérieux.
- Toujours. Regarde donc. Tu trouves que c’est assez rouge ? C’est tout juste rose. Relève ta jupe que je prenne une photo.

Je lui relevais ma jupe. Il prenait une photo pour me la montrer. C’était un peu rose, c’est vrai. Il avait l’intention que cela soit rouge ? Après tout, je n’étais pas venue juste pour une petite tape sur chaque fesse.

Je me penchais à nouveau… Je relevais complètement ma jupe sur mon dos… M’adressant à lui pour que nos attentes soient claires.

- Une fessée vigoureuse, qui claque, pour me rougir les fesses alors. Une vraie fessée.
- Bien sûr. Comme la précédente ? Ou plus vigoureuse ?
- Je me mordrais les lèvres au besoin.
- Cela prendra moins de temps comme cela. Sers les dents.

Sa main claqua vraiment fort. C’était une vraie fessée cette fois-ci. Il recommença. Il me demanda alors de compter. Il était concentré. Il ne voulait pas perdre le fil. Une trentaine de fessées fermes plus tard, il m’invita juste a tourner mon bassin pour lui tendre mon autre fesse. Et sans plus attendre, la gratifia d’une trentaine de fessées par équité pour ma paire de fesses.

- Reste penchée. Que je prenne une photo. Voila. Redresse toi. Regarde.
Ca me picotait. Je les sentais chaudes. La photo fut plaisante. Elles avaient viré vers un rouge encore un peu rosé … Mais qui me plaisait. Deux belles marques bien distinctes.

- C’est mieux comme cela non ?
- Oui. Tout à fait. Ca m’a réchauffée.
- Et à regarder entre tes cuisses, cela t’a fait de l’effet.
Il agrandit la photo au niveau de ma vulve. Elle luisait doucement. Cela me fit un peu rougir, moins de me sentir excitée mais qu’il s’en rende compte comme cela.
- Je peux toucher ?
Ah d’accord. Sans hésitation. Mais c’est vrai que je n’avais pas été farouche jusqu’ici. Je relevais ma jupe en ouvrant les cuisses. Il y glissa sa main, me caressa la vulve avant de la porter à son nez.
- Tu sens bon.
Il suca ses doigts devant moi.
- On va le boire ce café ? A moins que tu aies encore envie d’être fessée. Mais j’ai les mains un peu chaudes. J’aimerais les rafraîchir un peu au moins.
Je regardais ses mains dont il me montrait les paumes. Mon regard poursuivi sa course entre ses mains écartées, vers son entrejambe. Je n’arrivais pas à voir s’il avait une érection. Il serait resté calme en me fessant comme cela ? J’avais envie de quelques dernières fessées.
- Quelques dernières fessées ? Jusque quelqu’unes. Que tu présérves tes mains … Mais fortes ? C’est possible ?
- Hum. Fortes ? Fortes comment ?
- Fortes. La grosse fessée. Avec de l’élan. Pour bien terminer. Celle qui excite. Celle qu’on donne sans retenue, qu’on a envie de donner sans oser…
- Ah. Celle-la. Je vois … Juste une alors. Enfin. On va voir. Peut-être deux. On va voir. Tu te tournes. Mets toi bien. Pas besoin que je t’explique bien sûr.
Je me retournais, me penchais bien, me cambrais, levant ma jupe complètement sur mon dos puis tournant la tête vers lui…
- Claque moi bien le cul comme tu aimes. Que tu aies envie de m’en donner une deuxième pour savourer. Une bonne fessée bien sévère que je gémisse. Je l’ai entendu murmurer quelque chose derrière moi, indistinctement avant que sa main ne me cingle la fesse bien fort. Je gémis fort … Avant de m’adresser à lui …. Recommence …. Redis ce que tu as dit avant de me fesser pour que j’entende en me fessant.
- Salope. Je vais te marquer le cul !
Sa main me claque encore bien fort la fesse. Je lâchais un “Ho oui, comme ça” bien sonore. On risquait de nous entendre. C’était le moment d’en profiter.
- L’autre fesse. Allez, tends la bien.
- Oui. La voila.
- Ca t’excite de te faire corriger la croupe salope !
Sa main claque sur ma fesse bien fort, ça pique. Ca chauffe. Ca m’excite.
- Ho oui. Ca me fait mouiller en chienne. J’aime qu’on me corrige sévèrement.
Il me donne une deuxième fessée avec force, il voulait que ça claque, c’était une fessée pour faire mal celle-ci.
- Hoo oui ! Marque moi le cul !
- Salope.
Je restais penchée les fesses tendues vers lui. On ne savait jamais.
- Redresse toi. C’est fini.
Je me redressais. Baissais ma jupe me tournant vers lui.
- Oui ! On file ? J’ai été un peu expressive je crois.
- Un peu oui. Allons prendre ce café.

En sortant du dédale végétal, un couple nous dévisagea. J’avais envie qu’ils nous aient surpris, qu’ils me voient la culotte relevée. Les dernières fessées m’avaient enflammée. J’étais trempée. J’avais les fesses qui piquent. J’avais envie d’être au café. Qu’il me touche à nouveau la chatte ….

Alors que nous nous étions en train de nous diriger vers la sortie du parc, je m’avançais pour me tourner face à lui, les yeux dans les yeux.
- Passe ta main sous ma jupe. Discrètement.
- Pardon ? La ?
- Oui. Fais ça vite. Touche moi la chatte.
Il hésita un peu, se rapprocha, glissa sa main sous ma jupe, entre mes cuisses, il s’arrêta un instant, me fixa à son tour intensément. Ses doigts se sont posés sur ma vulve, ont glissé le long, puis palpant doucement, ont glissé entre mes lèvres.
- Tu es trempée … Tu es chaude et toute trempée.
- Oui. Je voulais juste que tu saches. Que tu t’en rendes compte. Les dernières fessées… Elles étaient super. Tu peux enlever tes doigts.
- Pas encore non. Reste là. Que je te fouille un peu. Il ne fallait pas m’inviter.
- Il n’y a personne autour. Tu veux continuer à me fouiller. Nous avions juste parlé d’une fessée. Enfin, de la fessée.
- Et qui a voulu que je la touche ?
- Moi.
- Voila. Il n’y a personne qui peut voir de toute façon. Et puis sans culotte, c’est le but. Tu avais prévu que je te touche non ? Comme d’être fessée.
- Oui.
- J’aurais du ramener de quoi te fesser. Si j’avais su.
- Ca aurait eu moins de charme. Tu ramèneras cela la prochaine fois.
- Il y aura une prochaine fois ?
- Bien sur. Tu crois que je ne voudrais pas revoir quelqu’un qui a ses doigts dans ma chatte toute humide ?
- Tu sais …
- Non. Enlève tes doigts. Le gardien nous regarde.
Il enleva ses doigts, fit un pas pour reculer en se retournant.
- Ou ca ?
- Nulle part. Mais j’ai envie d’un café, de me rafraîchir. La journée n’est pas finie.
- Ahah. Garce. Je te revaudrais ça ! Ce que tu sens bon. Et tu as un goût …
Il se délecta de ses doigts couverts de ma cyprine.
- J’ai hate que tu te venges. Crois moi. Tu vas me raconter ça devant un café. Avec quoi tu me donneras des fessées pour épargner tes mains. J’ai hâte d’entendre tout cela pendant que tu me donneras les détails pour qu’on se revoit vite.

Ils sortaient ensemble du parc pour se diriger vers un café pendant qu’il se lançait dans des explications dont il comptait bien qu’elles continuent à m’exciter.
- Alors… Tu vois, entre le martinet et la cravache, ils ont chacun leur avantage, que cela soit pour l’endroit qu’on vise, comme pour la sensation qu’on veut provoquer. Et toi, tu aimes juste sur les fesses ? Ou ailleurs ?
- Ailleurs aussi oui. Tu utiliserais le martinet sur mes seins toi ?
- Bien sûr. Voire ailleurs si tu y prenais goût….
- Il reste peu d’endroits …
- Oui …
- On s’approche du café …
- Tu ne voulais pas te rafraîchir ?
- Tu as ces accessoires chez toi ?
- Bien sûr… Tu ….
- Qu’on reprenne cette fessée là ou on en était…
- Ah oui ?
- Oui. Juste après les dernières …
- Hmmm …. Celles-ci.
- Oui. Celles-ci. Celles qui m’ont fait mouiller à ce point.
- Tu me provoques. Tu veux te livrer a mes fessées comme cela ? Dans mon antre ?
- Humm…
- Tu pourras t’exprimer sans craindre d’être entendue …
- J’adorerais.
- Et être corrigée ? Cela a eu l’air de te plaire quand je t’ai dit cela …
- Dit le moi encore …
- Je vais te corriger.
- Hmmm.
- Sévèrement.

Ils étaient devant le bar.

- Tu m’emmènes dans ton antre ? Ou tu veux encore papoter un peu, t’assurer que j’y serais satisfaite ?
- Prenons ce café. Je veux finir de te convaincre.
- Que je sois encore plus trempée en ressortant ?
- Cela ne te semble pas important de savoir si tu veux vraiment venir dans mon antre ?
- J’ai le sentiment que j’en ai déjà envie … C’est loin ?
- Non. A 20 minutes environ. Le temps de me laisser t’expliquer la punition qui t’attend quand nous arriverons.
- La punition ? Quelle punition ?
- Celle pour m’avoir fait tacher mon caleçon à me faire bander comme ça.
- Ho.
- Tu ne t’en doutais bien évidemment pas.
- J’avais un doute….
- Allez. En chemin. Passe devant moi. Que je regarde tes jambes. Je te dirais ou aller.
Quand tu seras dans mon antre, tu enlèveras tes vêtements et tu t’alongeras par terre. Et je te présenterais les accessoires pour fesser, fouetter,claquer. Tu me diras ou tu voudras que j’utilise chaque accessoire, toujours un endroit différent. Et quand tu auras gouté à chacun, on reprendra ou nous en étions. Dis moi les endroits que tu vas devoir choisir pour essayer les accessoires ….
Je marchais devant …. Essayant de répondre …
- Les fesses …. Les seins …. Les .. Les cuisses .. Le ventre ….
- Oui… Mais encore.
- Les pieds …. Le dos ….
- Aussi, c’est vrai. Et comme zone plus intime ….
- La chatte.
- Oui. Exactement. Tu accepterais ?
- Tu me rends curieuse …. Des accessoires …. Il s’agira d’une découverte … Pas trop sévère … N’est ce pas ?
- A moins que tu en redemandes …
- Je risque de redemander …. J’en ai l’intuition ….
- Pourquoi donc ?
- Tu vas commencer en douceur , je me trompe ?
- Je ne sais pas encore…. Cela dépendra. De mon envie.
- De ton envie …
- De mon envie de faire durer, de te donner envie que cela dure…
- C’est encore loin d’ailleurs ?
- N’y pense pas. Pense à ta punition. Le martinet … Tu voudrais l’avoir où ?
- Hmmm … J’hésite.
- Ah ? Dis moi donc.
- Entre les seins … Et la chatte.
- Sur la chatte ? Vraiment ?
- Peut-être. Cela me tente …
- Pourquoi ?
- Parceque tu m’excites ….
- Je t’excite ?
- Oui.
- Tu es sure de cela ?
- Ho oui.
- Dis m’en plus alors, que je juge de cela.
- J’ai envie d’être dans ton antre. J’ai envie de t’offrir mon corps pour que tu me punisses d’avoir osé te faire tacher ton caleçon … J’ai envie que tu me fasses mouiller pour toi … A me promettre fessée, corrections, punitions … Sentir comme cela t’excite et te plait … Dis moi qu’on arrive bientôt … Que je me mette à mouiller d’impatience … Tu trouves que c’est bon signe tout cela ? Ou tu veux me toucher a nouveau la chatte avant d’arriver dans ton antre ?
- Ho non. Laissons ta chatte tranquille pour le moment. Nous y sommes bientôt. Tu t’allongeras immédiatement dans le séjour sur le carrelage … Je te rejoindrais vite avec ce qu’il faut. Et tu me désigneras les endroit du corps … Je jugerais alors moi même de l’accessoire.
- Ho oui. C’est encore mieux comme cela.
- Tu as envie d’etre toute rouge j’espère ?
- Mmm…. Oui.
- Alors prépare toi. Nous y sommes.

Il lui montra un pavillon. La guida vers la porte qu’il ouvrit.

- Va t’allonger dans le séjour. Attends moi les cuisses bien ouvertes.

Il monta a l’etage pendant qu’elle pénétra le séjour. Je me déshabillais et m’allongeais par terre, les jambes écartées vers l’entrée. Il apparu vite.

- Ouvre les cuisses. Ouvre les bien. Montre moi ta chatte.
- Oui… Regarde comme elle est humide.
- Tu as l’air tellement chaude comme cela. J’ai envie de te fouetter la chatte … Dis moi de la fouetter. Donne moi envie de la fouetter.
- Fouette moi la chatte. Fais moi gémir. Corrige moi.

Il brandit un martinet. Me cingla la chatte vigoureusement. Je poussais un cri.

J’allais savourer ce moment avec lui et pour lui …
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Histoire de unemeline22

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Commentaires du récit : La promesse d'une fessée ... Et après ...

Le 17/01/2022 - 14:41 par Exorium
Chaud! Très chaud. Et remarquablement bien mené. Et les dialogues donnent beaucoup de vivacité au récit. Quel bon moment vous avez dû passer!

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