ACCUEIL > Gays > Récit : La randonnée en cheval ou le galop

La randonnée en cheval ou le galop

+39

Lue : 16097 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 26/06/2011

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Cela faisait deux jours que je marchais seul sur cette route de terre, perdu et épuisé. Si je ne trouvais pas bientôt de l’eau, j’allais mourir de soif. Le soleil commençait à se coucher lorsque traînant mes pieds sur le chemin, j’entendis au loin le bruit d’un galop. Je priai de toutes mes forces qu’on me vienne en aide. Au sommet de la colline, j’aperçus la silhouette d’un cheval monté par un homme. Totalement épuisé, je me laissai tomber sur le sol. Quelques minutes plus tard, l’homme sauta de son cheval et se pencha au-dessus de moi. Il me parla, mais j’étais confus et ne comprenais pas ce qu’il disait. Je hochai difficilement la tête lorsque je crus comprendre qu’il me demandait si je me sentais assez solide pour m’agripper à lui sur le cheval, car il allait m’amener à la ville la plus proche afin de me faire soigner.

En peu de temps, je me retrouvai sur le dos du cheval. Puis, l’homme monta à son tour. Il prit mes deux bras et les amena devant lui pour que je le tienne afin de ne pas tomber. Sans tarder, il ordonna au cheval d’avancer et nous nous mîmes en route. Pendant le trajet, il me prêta sa gourde d’eau. Au fur et à mesure que je prenais des forces, j’observais celui qui m’était venu en aide. Ma tête appuyée contre son dos, je vis que sa chemise était trempée de sueur. Je regardai ensuite ses bras, découverts des manches de la chemise roulée. Ils étaient forts, vigoureux et musclés. Poussant ma curiosité aussi loin qu’elle me le permettait, je resserrai délicatement mes bras autour de son torse pour le sentir se soulever chaque fois qu’il respirait. Ce faisant, il se retourna légèrement pour me demander si j’allais mieux.

Puisque la nuit tombait, il décida qu’il était préférable de nous arrêter pour la nuit. Il guida son cheval hors de la route et descendit de sa monture, m’aidant ensuite à faire de même. Sitôt au sol, il me conseilla de m’appuyer contre un arbre tandis qu’il préparait des branches pour faire un feu. Bien vite, je sombrai dans un profond sommeil, réchauffé par les flammes que mon sauveur avait su allumer.

Le lendemain, je me réveillai peu après l’aube et à ma grande surprise, j’étais à nouveau seul. L’homme n’était plus là, mais son cheval broutait non loin de moi, attaché à un arbre. Pas très solide, je me relevai du sol en m’aidant des branches. Sur l’une d’elles était suspendue la chemise que portait l’homme la veille. Marchant tant bien que mal entre les arbres et arbustes, je me faufilai jusqu’à un ruisseau. Tel un animal, je m’accroupis pour boire à même l’eau du ruisseau, complètement assoiffé. Relevant lentement les yeux, j’aperçus à quelques mètres devant moi l’homme. Il était flambant nu, de dos, et il aspergeait son corps musculeux d’eau pour se nettoyer. Son dos était magnifique, ses épaules larges, ses fesses rebondies et fermes et ses cuisses si puissantes. Lorsqu’il se retourna, je n’eus le temps de ne contempler que son torse. Croisant son regard, je perdis l’équilibre et tombai tête première dans l’eau.

Manquant me noyer, l’homme vint me sauver pour la deuxième fois en moins de vingt-quatre heures. Je sentis ses bras forts me soulever de l’eau et me remettre sur pieds. Me regardant anxieusement dans les yeux à travers ses longs cheveux châtains mouillés, il me demanda si j’allais bien. Gêné, je bredouillai quelque chose d’inaudible et me rendis maladroitement à la rive. Derrière moi, il semblait s’amuser. Voyant que je m’éloignais du rivage, il me demanda de lui ramener sa chemise.

La baignade inattendue m’avait durement réveillé. J’allai chercher la chemise puis revint la lui donner. Heureusement, quand je fus de retour auprès de lui, il n’était plus nu. Au moment où il terminait de monter ses pantalons, je lui lançai sa chemise. Il me remercia en souriant gentiment. Il était très beau. Remontant la pente du rivage dans ma direction, il boutonna sa chemise. Je voyais les muscles de ses bras saillir sous la chemise et ça me donnait la nausée. Pour déjeuner, il me donna des galettes qu’il avait sorties d’une poche fixée à son cheval. Lorsque nous eûmes terminé de manger, il me fit signe qu’on allait reprendre la route. Se dirigeant vers le cheval, il m’aida à grimper dessus. Cependant, contrairement à la veille, il me poussa à l’avant. Il monta à son tour, cette fois-ci derrière moi. Voyant mon expression perplexe, il m’expliqua :
- Je ne veux pas prendre de chance que tu tombes au sol! dit-il en se plaçant confortablement sur la monture. Je vais te tenir pour t’éviter une chute comme celle de ce matin!

Je ne savais pas si je devais rire. J’étais tellement gêné que je ne fis rien, y compris lorsqu’il plaça ses mains sur mes hanches pour les pousser vers lui.
- De cette façon, il y aura moins de mouvement et l’équilibre sera meilleur!

Dès qu’il se fut justifié, il prit les rennes dans ses mains et donna un coup. Malgré ses bras et lui derrière moi, je faillis tomber. Ne sachant comment me tenir, je déposai mes mains sur le cou du cheval. Je ne savais pas combien de temps j’allais tenir de cette façon, mais au moins on avait repris la route et j’étais entre de bonnes mains. Une heure plus tard, je m’étais endormi et je faisais un rêve. Dans mon songe, j’étais agenouillé sur un lit et l’homme qui m’avait sauvé me faisait l’amour, collé à mon dos. Je le sentais aller et venir en moi, son torse nu glissant contre mon dos et ses cuisses cogner contre mes fesses. Je rêvassais au moment où je me réveillai. À mon réveil toutefois, mon rêve n’était pas totalement parti. Créé par le galop du cheval, je sentais mon sauveur cogner contre moi. À chaque mouvement du cheval, j’avais l’impression que l’homme me pénétrait. J’entendais son souffle court, sa chaleur dans mon cou et je contemplais ses bras ruisselant de sueur de chaque côté de moi tirer sur la bride du cheval. Décidant de profiter de ce merveilleux instant, je me permis de fantasmer tout le reste du trajet.

La nuit tombée, nous nous arrêtâmes dans une auberge. Fatigué, je pris un repas puis montai à la chambre sans plus traîner alors que mon sauveur resta en bas discuter avec l’aubergiste, une jolie jeune femme aux boucles dorées. Confortablement allongé dans mon lit, il me fallut très peu de temps avant de sombrer dans un sommeil réparateur. Au cours de la nuit, je fus brusquement tiré de mon sommeil. À l’extérieur, on produisait un terrible vacarme. Me levant de mon lit, j’allai voir à la fenêtre. Un homme et une femme saouls s’embrassaient langoureusement contre le mur de l’auberge. De là-haut, je reconnus la blondinette aubergiste par ses boucles dorées toutes en désordre. Le visage dans la poitrine de celle-ci, l’homme remonta en sauvage le jupon de la jeune femme tandis que cette dernière abaissait ses pantalons. Puis, ils firent ce que tout le monde fait : ils baisèrent bruyamment et repartirent chacun de leur côté.

Déçu, je retournai me coucher, mon fantasme soudainement éteint. Mon sauveur rentra un instant plus tard dans la chambre et se laissa lourdement tomber sur le lit, complètement ivre et épuisé. Le lendemain matin, j’étais réveillé de bonne heure, bien remis de ma fatigue et déterminé à quitter cette auberge dès que possible. Alors que je me rhabillais, l’homme se réveilla à son tour. Il s’étonna de mon réveil matinal.
- Que fais-tu? Il est si tôt …
- Je pars …

Il s’assit sur le lit, portant une main à sa tête et effaçant une grimace. Visiblement, il ne comprenait pas pourquoi j’étais désireux de partir au plus vite.
- Attend encore une heure ou deux et nous reprendrons la route! proposa-t-il en se recouchant. J’ai besoin de sommeil.
- Normal! dis-je furieux. Après cette baise de sauvages!

Il se rassit, fronçant les sourcils. Il me regardait en ayant l’air surpris.
- Tu nous as entendus, c’est ça? demanda-t-il.
- Entendus et même vus! Tout juste sous ma fenêtre! répliquai-je en reniflant de dédain.
- Je suis désolé! Je crois que j’étais ivre!
- Ivre? m’écriai-je en me retournant vers lui. Tu veux dire que tu n’en pouvais juste plus et que tu devais sans attendre baiser?
- Écoute, ça faisait longtemps que je n’avais pas …
- Il suffit simplement qu’une petite salope de blondinette montre ses nichons et remonte son jupon et hop c’est suffisant pour monter en selle!
- Pourquoi fais-tu toute une scène?
- Vous êtes tous pareils, les hommes! continuai-je en colère. Avec vous, c’est tellement facile! On se dénude un peu (je déboutonnai ma chemise pour exhiber une poitrine absente), on se met à genoux devant vous (je m’agenouillai devant lui en écartant violemment ses jambes), on arrache les vêtements (je tirai ses pantalons jusqu’aux genoux), puis on …
- STOP!

Il me poussa violemment et je tombai à la renverse sur le sol de bois. Il se leva du lit, furieux, en remontant ses pantalons. Lorsqu’il fut rendu à les boutonner, il ne réussit pas. Son sous-vêtement était tendu. Un mélange de fureur et de frayeur sur le visage, il retint son pantalon d’une main et me lança :
- Lorsque je sortirai de cette salle de bains, dit-il en pointant une porte au fond de la chambre, je veux que tu aies quitté cette chambre. Et je ne veux plus jamais recroiser ta route!

Il marcha jusqu’à la porte et s’enferma dans la salle de bains. De mon côté, je rassemblai mes affaires. Décidé à partir, j’avais pourtant au fond de moi un sentiment de culpabilité. Je me disais que je n’aurais pas dû réagir de la sorte. Après tout, cet homme m’était venu en aide. Il m’avait sauvé la vie et voilà comment je le remerciais. Je déposai mes affaires au sol près de la porte et prenant mon courage à deux mains, j’entrepris d’aller m’excuser auprès de lui. Sans cogner, je poussai la porte de la salle de bains et entrai.
- Écoute, je m’excuse, je n’aurais pas dû …

Au moment où je portai mon regard vers lui, il était complètement dévêtu, ses vêtements jonchant le sol de la salle. Il se tenait debout devant la baignoire remplie d’eau chaude. Apparemment, il allait prendre un bain. Avant que je ne reprenne la parole, mes yeux descendirent jusqu’à son entrejambes. Descendant son torse musculeux, ses pectoraux et ses muscles abdominaux, je vis enfin son sexe. Il était long, gros et … durci. Embarrassé et encore en colère, il me demanda de partir.

Cette fois, je ne reculai pas et fonçai droit sur lui. Il eut un mouvement de recul, mais il fut arrêté par la baignoire. Je m’agenouillai devant lui et implora son pardon.
- Pardonne-moi. J’ai réagi bêtement tout à l’heure. C’était ridicule de ma part et je te suis redevable pour tout. Tu m’as sauvé la vie!

La colère sur son visage disparut. Il semblait à présent gêné.
- Allez relève-toi et va m’attendre en bas!
- Je n’ai aucune envie de me remettre debout! lui dis-je en souriant.
- Tu n’es pas une femme! rigola-t-il. Tu n’as pas à te mettre à genoux devant un homme!
- Tu as raison, je ne suis pas une femme! affirmai-je en hochant la tête. Par contre, ça fait des jours que je n’ai pas pris de repas entiers!
- Dans ce cas, si tu as faim, vas demander à manger à l’aubergiste! répondit-il à demi amusé.
- En fait, j’ai demandé le petit-déjeuner au lit!
- Sauf que tu n’es pas au lit en ce moment, tu es dans la salle de bains! lança-t-il en piquant un clin d’œil.
- Alors si nous sommes dans la salle de bain, comment expliques-tu que tu me portes ici à la bouche une aussi grosse saucisse?

Inexpressif et ne sachant plus que répondre, il me fixa du regard, puis fixa son pénis à deux pouces de mon visage, puis il me fixa à nouveau en silence. Il ouvrit et referma sa bouche plusieurs fois en cherchant quoi répondre, mais il ne trouvait rien. Quant à moi, j’avais très faim. Sans détourner mon regard du sien, j’ouvris la bouche, m’avança lentement et referma mes lèvres sur son sexe bien dur. Bouche bée, il tressaillit. Pour le calmer, je me retirai. Sans débander, il paraissait stupéfait. Je m’approchai à nouveau de son pénis et me baissai jusqu’à sa base pour le lécher jusqu’à son gland. Voyant qu’il ne réagissait pas mal, j’enveloppai à nouveau son sexe de ma bouche et entrepris des mouvements de vas et viens. Malgré qu’il ait déjà été dur, j’ai eu l’impression que son pénis grandissait encore. Il prenait tout l’espace dans ma bouche. Quelques mouvements plus tard, il me prit la tête de ses deux mains et me força à me relever. Entre deux souffles, il réussit à me parler.
- Tu n’es pas une femme …
- Est-ce si important?
- Oui … je ne veux pas que tu sois à genoux devant moi …

Sans avertir, il m’embrassa longuement et plaqua son corps nu contre le mien. Maladroitement, il empoigna mes vêtements et tira sur le tissu de toutes ses forces sans arrêter de m’embrasser. Il me tira par la main dans le bain et me fit signe de m’agenouiller. Croyant qu’il voulait que je continue de lui tailler une pipe, je me préparer à recevoir son sexe dans ma bouche, mais au lieu, il alla se placer derrière moi à genoux lui aussi. Alors qu’il descendait dans le bain, je sentais son pénis glisser contre mon dos. Une fois installé, il me poussa un peu en avant. Puis, en s’approchant de moi, il me prit par la taille et me chuchota doucement à l’oreille.
- Prêt pour la randonnée?
- Amène-moi faire du galop!

S’éclatant de rire, il se plaqua contre moi et de sa main écarta mes cuisses pour se frayer un chemin. Je me penchai légèrement vers l’avant afin de l’aider. Quelques instants plus tard, son sexe s’était frayé un chemin. Avant d’entamer le galop, mon homme me prévint.
- Tu te tiens bien? N’oublie pas que nous sommes à cheval!
- Je me tiens, je suis prêt!

Il prit mes mains et les déposa sur le rebord de la baignoire, plaçant les tiennes à côté comme s’il tenait les rennes. Son souffle dans mon cou, je n’en pouvais plus.
- Attention, le cheval part! me dit-il.
- Le cheval ou l’étalon? lui demandais-je en souriant.

Sans prévenir, il m’enfonça son pénis dans les fesses et m’arracha un hurlement de douleur et de plaisir.
- Alors ça répond à ta question?
- Je crois que oui! Emmène-moi dans ta prairie!
- Accroche-toi, ça va brasser!

Il n’aurait pu mieux choisir ses mots. À peine les avait-il prononcés qu’il me fit l’amour comme un étalon sauvage en pleine liberté. Je m’accrochai à la baignoire du mieux que je le pouvais. Il y avait de l’eau partout et le bain ne tenait plus sur place. Moi non plus d’ailleurs. Les puissants vas et viens de mon homme me brassaient d’avant en arrière. Si bien qu’il avait lâché la baignoire de ses mains pour me tenir les hanches et mieux me pénétrer. Tel un cheval sous les ordres de celui qui me montait, je me cabrais pour lui offrir une monture parfaite. Des instants plus tard, instants qui parurent les plus douloureux de ma vie, le galop s’accéléra jusqu’à devenir une course folle. Mon homme me prit par les épaules et me défonça sans retenue. Lorsqu’il jouit enfin, j’étais plaqué contre la paroi du bain, son pénis au plus profond de moi qui éjaculait à grandes quantités de sperme alors que celui qui me poussait de toutes ses forces jouissait dans mes oreilles. Lorsqu’il se retira, son pénis était encore long et bien dur. Mon étalon me souriait, fier de porter son nom.

Il m’embrassa doucement puis se laissa tomber dans le fond de la baignoire, m’invitant à aller me lover contre lui. Il me serra très fort, me chuchotant à l’oreille.
- Je ne t’avais pas dit de quitter la chambre pour que lorsque je sorte de la salle de bains tu n’y sois plus? me demanda-t-il en glissant le bout de ses doigts sur mon bras.
- Oui, mais tu es encore dans la salle de bains! lui répondis-je en éclatant de rire.
- Alors dépêche-toi et prend de l’avance!

Tout sourire, je sortis du bain et enfilai mes vêtements dont la moitié étaient déchirés. Deux minutes après, j’avais quitté la chambre. Lorsque mon homme sortis de la salle de bains, il trouva la chambre vide tel qu’il l’avait demandé. Il descendit payer la chambre à l’aubergiste et sortit dehors retrouver son cheval. Il alla défaire les liens qui le retenaient à la rampe, le monta et se retourna vers le côté de l’auberge. J’y étais, assis sur un banc, les mains dans les poches. Il approcha son cheval dans ma direction et me demanda à voix haute :
- Dans quelle direction allez-vous?
- Je vais devant vous! lui dis-je en souriant.
- Dans ce cas, montez et prenez place! me répondit-il en en faisant signe de monter devant lui.

Il m’aida à grimper sur le cheval et lorsque je fus assis, j’eus une impression de déjà-vu. Je me retournai pour le regarder. Il me souriait.
- Prêt pour la randonnée?
- Prêt pour le galop!

Mon homme tira sur les rennes et le cheval partit au galop. Les jours suivants, je fis du cheval le jour comme la nuit, mon vigoureux étalon cognant son sexe bien dur contre moi sans jamais se reposer.
41 vote(s)


Histoire de izzybitch

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La randonnée en cheval ou le galop

Le 11/06/2015 - 09:07 par marc6931
pas en cheval mais à cheval

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :