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Les Guerriers ou les brutes

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Lue : 17814 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/06/2011

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C’était mon deuxième match de hockey cosom de la saison. Je me changeais dans les vestiaires pour les hommes, dans une rangée de casiers où j’étais seul et pouvais en toute confiance me préparer sans soutenir le regard des autres. Depuis mon enfance, je me changeais à l’écart des autres garçons, car j’étais souvent victime de railleries de leur part puisque je n’étais pas « comme eux ». Après avoir pris mon temps, prêt pour la partie, je sortis des vestiaires, remplis ma gourde d’eau et me rendis au gym où le reste de mon équipe se faisait des passes pour s’échauffer. Me joignant à eux, je pus exécuter quelques passes avant que le match ne commence.

L’équipe que nous affrontions s’était donné pour nom « Les Guerriers ». À prime abord, le nom semblait prétentieux et un peu enfantin, mais lorsque je vis les membres qui la composaient, je compris qu’il n’y avait là absolument rien de prétentieux. La moitié des joueurs qui étaient des gars arboraient un profil d’athlète. J’étais à la fois excité et effrayé, car le temps que j’allais passer sur le banc me servirait à les mater et le temps à passer sur le terrain me ferait vite douter de ma capacité à jouer contre eux.

Bien vite, j’eus raison. Je passai les premières minutes sur le banc et je pus analyser la situation. En plus de leurs muscles saillants sous leurs chandails et leurs shorts, les Guerriers jouaient comme des brutes. C’est ainsi que mon équipe les avait baptisés : les Brutes. L’un des joueurs étaient roux. Parfaitement sculpté. Son alter-ego était plus foncé, aussi bien bâti que lui. Ils courraient vite, maniaient habilement la rondelle. Alors que je contemplais leurs corps onduler sur le terrain, on me poussa dans le dos. Un membre de mon équipe revenait du terrain et c’était mon tour de le remplacer. En moins de deux secondes, je me retrouvai dans la partie, proie facile pour les redoutables Guerriers. Toutefois, je ne me laissai pas impressionner. Alors que le roux courrait en direction de la rondelle qui glissait vers un coin du gymnase, mon équipe me cria d’aller chercher la rondelle vu que j’étais le plus proche, ce que je fis aussitôt. Le roux courrait vite et tous les deux arrivâmes pratiquement en même temps sur la rondelle. Il me déjoua quelque peu. La capitaine de mon équipe, qui me savait attiré par le mec en question, me cria « Aies pas peur de te coller dessus! » En temps normal, cette expression signifie simplement de foncer et de plaquer le gars, mais en ce moment elle pouvait dire deux choses et ma capitaine se rendit compte de son erreur. Elle ria. Je me collai sur le gars, c’était agréable. Une ou deux secondes seulement où je pus sentir ses muscles saillir tout près de moi. Il m’arracha la rondelle. J’étais en colère.

Le reste de la partie se déroula péniblement. Je ne voulais plus jouer en même temps que le roux. Il m’avait complètement humilié. Nous perdîmes la partie. De retour dans les vestiaires, je me rendis à mon casier. À mon grand désarroi, les mecs de l’équipe adverse avaient pris possession de la rangée. Arrivés après moi avant le match, ils avaient utilisé cette section des vestiaires. Je me rendis tant bien que mal à mon casier, faisant mon possible pour concentrer mon attention sur cet objectif et ne pas les regarder. Le supplice ne dura pas longtemps, car ils partirent tous vers les douches à l’autre bout du vestiaire. Enfin seul, je pus me détendre et me changer en toute quiétude jusqu’à ce que l’un d’eux revienne. Il avait oublié sa serviette. Discrètement, il vint me parler à voix basse.
- En passant, il n’est pas gay!

Sans vraiment comprendre ce qu’il disait, je me retournai vers lui en fronçant les sourcils. Je vis qu’il s’agissait du beau brun foncé. Il ne portait que ses boxers noirs.
- Je t’ai vu le mater toute la partie, expliqua-t-il en souriant. Il n’est pas gay!
- Désolé, je … je dois m’en aller. lui répondis-je en prenant mes affaires.
- Mais si tu as envie d’une belle grosse queue ce soir, je connais un gars qui ferait faire ton affaire!

Les yeux sortis de leurs orbites, je le regardai bouche bée. Je me disais que ce gars se moquait de moi et j’étais trop gêné pour parler de ce genre de choses avec un gars que je ne connaissais pas. Alors que je refermais mon casier en vue de quitter cet endroit, il lança sa serviette sur mon épaule en me piquant un clin d’œil.
- Je suis dans le stationnement dans 15 minutes! me dit-il tandis que je m’éloignais. Si tu as envie que je te dépose chez toi ou que tu viennes faire un tour chez moi!

Le cœur battant à tout rompre, je me retournai pour lui faire signe que j’allais me débrouiller tout seul. À cet instant, il me prit le paquet d’une main et mima une fellation de son autre main près de sa joue. Je me sentis rougir.

Vingt minutes plus tard, mon cœur battait encore à tout rompre au beau milieu du stationnement. Il était en retard. Peut-être qu’il s’était simplement moqué de moi aussi vulgairement qu’un autre mec de son genre. Certain qu’il s’agissait d’une moquerie, j’entrepris de marchai pour me rendre chez moi. En franchissant le stationnement, je l’aperçus. Il parlait avec trois autres mecs de son équipe près d’une voiture. À une bonne distance d’eux, je les entendais rigoler. Le beau brun me vit à son tour. Il fit un signe de la main à ses amis puis il marcha dans ma direction les mains dans les poches tandis que ceux-ci prenaient place dans une auto et partaient je ne sais où. Il me salua en souriant. C’était un beau gars, grand, athlétique, mais il avait un air de gars un peu salaud. J’aimais ce genre de gars. Foncés et cons.
- Alors t’es encore là? me demanda-t-il en s’approchant.

Voyant que je ne répondais pas, il vint vers moi en me tendant la main.
- Je m’appelle Simon et toi?
- Sam, lui dis-je en lui serrant la main, j’étudie en Droit.
- Cool! Moi j’étudie en éducation physique! Nos facultés sont dans le même bâtiment!
- Ouais!
- Mon auto est juste là! me dit-il en désignant une voiture rouge non loin de nous.

Assis dans l’auto, nous bavardâmes un peu et nous prîmes la route en direction de chez lui. Durant le trajet, il me toucha la cuisse à quelques reprises en me souriant. Je lui rendais son sourire et quelques fois, je jetais un œil à son entrejambes. Apparemment il bandait. J’étais donc persuadé qu’il était gay. Soudain, j’avais hâte d’être chez lui!
- Je ne pensais pas que tu étais gay, lui confiai-je pendant qu’il se stationnait.
- Et oui! Je suis gay! Me dit-il en hochant la tête. Aussi gay que toi!

Nous sortîmes dans sa bagnole rouge. Je l’attendis et nous nous dirigeâmes tous les deux vers la porte du bloc d’appartements où il demeurait. Il déverrouilla la porte vitrée puis m’invita à entrer en me donnant une bonne claque sur les fesses qui fit agréablement sursauter. En montant les escaliers, je savais qu’il me matait les fesses et j’espérais que ça le fasse bander encore plus fort. Rendus à son numéro d’appartement, il me poussa face contre la porte en s’appuyant de tout son corps contre le mien. Dans le bas de mon dos, je sentais la bosse dure de son sexe frotter contre mon jeans. Ça m’excitait drôlement. Il prit bien son temps pour déverrouiller la porte de son appartement. Apparemment, il n’était pas pressé.

Enfin déverrouillée, la porte s’ouvrit sur un appartement d’étudiant. Il y avait des meubles défraîchis, des livres qui traînaient ci et là et des tonnes de dvd et de jeux vidéo devant la télé. Le temps qu’il verrouille la porte derrière lui, j’allai jeter un œil à ses films. Lorsqu’il revint, il me prit par la taille et m’embrassa. J’en profitai pour caresser ses muscles et descendre lentement vers ses pantalons. Je détachai sa ceinture, déboutonnai son pantalon et descendis sa fermeture éclair. Mes doigts glissèrent inévitablement dans ses boxers et ils firent connaissance avec le sexe de Simon. Il était dur, bien dur et je salivais. Surexcité, il descendit ses pantalons, gardant cependant ses boxers. En baissant ses jeans, je voyais son sexe bouger dans ses boxers. Je ne pouvais m’empêcher de le caresser à travers le tissu. Il était gros et je n’avais qu’une seule envie : le prendre en pleine bouche. En se relevant, Simon me parla.
- T’as envie de me manger?
- T’as pas idée!

Il s’assit sur son divan alors que je me mettais à genoux devant lui. Il sortit son pénis de ses boxers et le pointa vers moi en se léchant les lèvres.
- Allez pompe-moi!

J’obéis. Sans attendre, je m’approchai et il m’enfonça son sexe dans la gueule. Je faillais m’étouffer et ça le fit rire.
- C’est tout ce que tu sais faire? me lança-t-il en ricanant.

Comprenant que ce n’était pas un reproche qu’il me faisait, mais plutôt un commentaire pour s’exciter davantage, je décidai de jouer le jeu moi aussi. Je me reculai en m’excusant.
- Je suis désolé, je ne suis pas très habile, je crois que tu devrais demander à quelqu’un d’autre …
- Quoi? s’exclama-t-il en prenant un air déconfit. Tu vas prendre ma queue et la sucer, compris?
- Non, tu vas te branler …
- J’ai dit dans la gueule …

À ces mots, je fendis l’air et attrapai sa queue en pleine bouche. D’un seul coup, je lui fis une deep throat. Surpris, il leva du divan en étouffant un cri de surprise.
- Putain!

Je le suçai des minutes durant, lui appuyant ma tête de ses deux mains en soufflant de plaisir quand son pénis s’engouffrait dans ma gorge. Le regardant dans les yeux durant la fellation, il s’excitait à mort.
- J’ai le goût de te venir dans la gueule pendant des heures. Suce-moi pis arrête pas. Putain suce-moi!

Soudainement, j’entendis quelqu’un de l’autre côté qui essayait de déverrouiller la porte de l’appartement. Avant même que je n’aie le temps de me relever pour cacher la situation, la porte s’ouvrit et je recevais au même moment une bonne giclée de sperme au visage. Simon ricanait en me voyant le visage ruisselant de son foutre, une main branlant vigoureusement son sexe et l’autre serrant ses couilles. Furieux et embarrassé, je me relevai. Je m’essuyai le visage d’un coussin et par malheur, l’un de mes yeux me faisait mal, comme si j’y avais reçu du shampoing.
- Hey Julien! s’écria Simon à l’endroit du nouveau venu. Il a reçu de mon sperme dans les yeux! Je crois que tu devrais l’examiner! Hahaha

Terriblement gêné, j’étais allé m’enfermer dans la salle de bains. J’avais été surpris en train de faire une pipe à un gars. C’était le comble de la honte! Ledit Julien cogna quelques fois pour que je le laisse entrer.
- Écoute! Laisse-moi entrer! dit-il d’un ton sérieux. J’étudie en médecine et je devrais vérifier pour être certain que tu ne fasses pas d’infection. Je connais quelqu’un qui a déjà reçu ça dans l’œil et ça avait fait une conjonctivite …
- Et ce quelqu’un tu l’avais vu tailler une pipe alors que tu rentrais chez toi? lui lançai-je, presque en colère.
- Non … mais laisse-moi y jeter un œil quand même!

À regret, j’allai lui ouvrir, une main me cachant l’œil douloureux. En ouvrant la porte, je vis Simon assis sur le divan, les jambes bien écartées et le jeans refermé, les bras au-dessus de sa tête qui me souriait et me lançait :
- C’était super! Tu me suces quand tu veux!

J’eux le goût d’aller le frapper, mais je me ravisai lorsque Julien me poussa vers la salle de bains en refermant la porte. J’eus le goût de dévisser la tête de Simon lorsque je vis que Julien était en fait le gars aux cheveux roux. Je me sentis rougir en le voyant.
- Sois pas gêné! Je vais te nettoyer ça!

J’abaissai ma main et je le laissai faire. Cinq minutes plus tard, il me disait que tout était ok! En jetant ses gants, il me taquina.
- La prochaine fois, avale!

Je me sentis à nouveau rougir. Je le remerciai puis sortis de la salle de bains. En prenant mes affaires, Julien me lança :
- Hey! Reste prendre une bière! Tu nous dois bien ça! Ton équipe a été défaite et … tu as reçu du sperme dans l’œil!

Simon s’esclaffa sur le divan en me faisant signe d’accepter. Je redéposai mes affaires près de l’entrée et allai m’asseoir sur le sofa à côté du divan où était assis Simon. Julien revint deux minutes plus tard en me disant de me pousser.
- Va t’asseoir à côté de lui, dit-il en désignant Simon. Je n’ai pas envie de m’asseoir avec lui, car il pourrait me blesser au visage!

Tous les trois partîmes à rire en cognant nos bières. J’étais un peu moins gêné, mais tout de même. J’en voulais à Simon de m’avoir dissimulé qu’il demeurait avec Julien en appartement. Il ne prit pas grand temps que nous finîmes nos bouteilles et que Julien nous en apporte d’autres.
- Fais-toi en pas, Julien! s’exclama Simon en mimant une pipe près de sa joue. Je sais que tu suces pas!

À nouveau, nous nous esclaffâmes de rire. Le regard de Julien croisa le mien, je détournai aussitôt, me sentant rougir. Voyant ma gêne, il tenta de détendre l’atmosphère.
- As-tu déjà sucé deux gars en même temps? me demanda-t-il en riant.
- Non, ça ne m’est jamais arrivé! dis-je après avoir failli m’étouffer.
- Fais attention avec ça! railla-t-il en montrant la bouteille. Ça peut être dangereux!
- Pas quand on sait comment s’y prendre! lui répondis-je en mimant une pipe à l’aide de la bouteille.
- Woooo! Là! C’est pas une queue ça! s’exclama-t-il en pouffant de rire. Je suis pas certain qu’une queue rentre autant que ça!
- Demande à Simon! lui dis-je en piquant un clin d’œil à celui-ci.
- Sérieux, mec. Il pompe profond! assura-t-il en faisant des mouvements de bassin.
- Normal, t’as une petite queue! répliqua Julien en se payant la tête de Simon.
- Parce que la tienne est plus grosse? lui lançai-je à la figure.
- Même pas bandée elle est plus grosse que celle de Simon! répliqua-t-il en mimant la mesure de son sexe.
- Wow! Un roux avec une grosse queue! m’exclamai-je en prenant un air ridiculement impressionné.
- Exact! dit-il en prenant fièrement une gorgée.
- Quand je te regardais, je ne pensais pas que tu en avais une grosse! lui envoyai-je en exagérant mon regard vers son entrejambes.
- Ça fait longtemps que tu me mates le paquet? rigola-t-il en écartant ses jambes pour exhiber en blague son entrejambes.
- Il t’a maté tout le match! avança Simon en mimant un air fanatique.
- Et je l’ai bien senti un peu lorsqu’on se battait pour avoir la rondelle! poursuivai-je afin d’appuyer Simon.
- Arrêtez ça vous deux, vous allez me gêner! trancha Julien en riant jaune un peu.
- Ça te gêne de parler de ta queue? lui demandai-je innocemment.
- Ça ne me gêne pas, je ne trouve juste pas ce qu’elle a de si intéressant! expliqua-t-il en prenant une autre gorgée, visiblement mal à l’aise.
- Moi, je trouve qu’elle a l’air très intéressante!

Sur ces mots, je mimai de sucer ma bouteille de bière et je la vidai d’un trait.
- Elle est vide! dis-je en faisant rouler la bouteille vers Julien. J’ai encore soif!
- Il n’en reste plus! annonça Julien en levant les bras, faussement désolé.
- Alors passe-moi la tienne! lui dis-je en souriant.

Il se leva et s’avança vers moi pour me donner sa bouteille.
- Je ne parlais pas de celle-là! lui répliquai-je en riant.
- De laquelle tu parlais alors? demanda-t-il en fronçant les sourcils, amusé.
- De celle-là!

En le fixant dans les yeux, je lui agrippai le paquet. Il sursauta en arrière en m’enlevant la main de son entrejambes et se laissa tomber sur le divan à côté de Simon et secouant la tête.
- Celle-là, tu l’auras pas! lança-t-il en buvant sa bière.
- Il le faudra bien! C’est la seule qui est disponible! s’exclama Simon en pointant son entrejambes. Il m’a vidé la gourde tantôt et je te jure que c’est à sec!
- Je suis pas gay! riposta Julien en soupirant, exaspéré.
- Tu es un roux avec une grosse queue! lui répondis-je en déposant une main sur sa cuisse.
- Ouais! Une ostie de grosse queue! affirma-t-il en se prenant le paquet d’une main. Pis si tu l’avais dans la gueule, je te jure qu’elle te ferai débarquer la mâchoire.
- Alors vas-y! insistai-je en me léchant les lèvres. En tant qu’étudiant en médecine, tu seras capable de me la replacer!

Julien secoua à nouveau la tête en levant les yeux au ciel. Simon quant à lui déboutonna ses jeans et sortit son pénis qui commençait une érection. Surpris, Julien se redressa dans le divan et lui cria de lui expliquer ce qu’il fabriquait.
- Tant qu’à lui décrocher la mâchoire, on va la lui décrocher bien comme il faut! expliqua-t-il en me faisant signe d’approcher. Avec nos queues dans sa gueule, on va lui nettoyer le palais!

Je m’agenouillai devant eux, écartant les jambes de Julien qui paraissait stupéfait. Glissant mes mains lentement vers la fermeture éclair de ses pantalons, il m’attrapa les mains et me stoppa avant que je ne descende le zip. Il me regarda, silencieux et inquiet.
- Je veux ta grosse queue de roux dans ma gueule! Lui dis-je en le regardant fixement.

Deux minutes plus tard, j’avais deux queues dans la bouche. Ce soir-là, les deux Guerriers ne me décrochèrent pas la mâchoire, mais en leur arrachant des râles de brutes endurcies, je reçus deux fois plutôt qu’une du foutre de roux au fond de la gorge. Enfin, Julien avait raison sur toute la ligne : il était roux, il n’était pas gay, il avait des couilles pleines et une ostie de grosse queue, mais ce qu’il n’avait pas dit, c’était qu’il adorait par-dessus tout se la faire pomper!
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Histoire de izzybitch

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