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Il m'a claqué les fesses

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Lue : 3707 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/12/2018

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Je me souviens… C’était l’année de mes 18 ans. Les avais-je déjà ? Je ne sais plus mais soit je venais de les avoir, soit j’allais les avoir.

Mes parents venaient de faire construire dans un petit lotissement, de même que tous les voisins. Nous avions vite fait connaissance. Un couple plus âgé avait emménagé en face ; lui venait de prendre sa retraite, elle devait encore travailler deux ans. Il passait son temps à peindre l’intérieur de sa maison ou sur son ordinateur. Moi, j’étais une nulle en informatique et, cette année-là, je devais rendre plusieurs textes dont certains très longs.

Le voisin étant sympa, j’eus l’idée de lui proposer de l’aider pour sa peinture en échange d’une aide pour mes présentations. Il a tout de suite accepté, amusé à l’idée d’un troc de services. Comme j’avais deux après-midis de libre par semaine nous avons convenu de faire peinture deux heures suivies par deux heures d’informatique.
Le premier jour je suis arrivée en tenue pour peindre avec un sac contenant mon change propre que je dépose dans sa chambre. Nous avons très vite attaqué. J’ai vu qu’il était exigeant mais qu’il appréciait ma minutie et nous nous sommes très bien entendus. Comme il n’arrêtait pas de faire des jeux de mots, j’éclatais de rire plus souvent qu’à mon tour et prenait plaisir à travailler ainsi. Quand il a décidé d’arrêter (respectant notre deal), je me suis changée sans m’occuper de sa présence à mes côtés ; il se changeait lui aussi. C’est ainsi que je me suis retrouvée en sous-vêtements devant lui un court instant, lui montrant mon dos ; je ne suis pas spécialement pudique mais ne suis pas non plus exhibitionniste. Il fallait juste que je me change… Je l’ai alors entendu dire « beau fessier qui appelle des claques sonores » mais il n’a pas bougé. J’ai ri sentant bien qu’il était incapable de violence. Plus tard, en travaillant mon premier texte, il m’a demandé si je ne lui en voulais pas de sa réflexion. C’est sans réfléchir que je lui ai répondu qu’il aurait pu le faire sans que je lui en veuille. Il a souri et nous nous sommes remis à l’ouvrage. Au moment de partir, alors que je m’approchais de lui pour lui faire la bise, il m’a saisi d’une main par la taille tandis que l’autre claquait ma fesse. J’ai sursauté de surprise puis ai éclaté de rire. Il avait l’air tout content de sa plaisanterie et m’a embrassé sur les deux joues en me disant au revoir. Cela ne m’avait rien fait mais le soir, dans mon lit, je n’ai pas pu m’empêcher de me passer la main sur la fesse en souriant…

Deux jours plus tard nous rejouons le même scénario. Au moment de me changer j’étais tout à côté de lui… acte manqué de ma part ? Alors que je suis en petite tenue, il me claque la fesse droite et la masse aussitôt. Je me tourne vers lui et lui sourit. Il m’embrasse sur le front tout en continuant à me masser la fesse. Il me découvre de face en sous-vêtements, me regarde et me dit que je suis très jolie. Je me serre contre lui. Il me demande alors si je veux qu’il claque l’autre fesse. M’étonnant moi-même, sans prendre le temps de réfléchir, je le regarde droit dans les yeux et lui dit oui, un sourire provocateur aux lèvres. Il se penche vers moi et, tout en posant un bisou sur mes lèvres moqueuses, abat fortement sa main sur ma fesse gauche. Je sens la chaleur irradier et me serre un peu plus fort sur sa poitrine. Je sens ses mains qui pénètrent dans ma culotte et me caressent les fesses. Je lui tends mes lèvres pour un second bisou et nous nous séparons. Il m’invite alors à aller travailler sans me rhabiller. J’accepte en souriant. La séance est riche, il m’apprend vraiment beaucoup de choses. Pendant ce temps, sa main n’arrête pas de me caresser le dos et le haut des fesses (à même la peau). Je me sens vraiment bien avec lui. Quand il est temps de partir, nous nous levons et il m’enlace, ses mains dans ma culotte, l’une écartant les fesses, l’autre caressant ma raie en profondeur. Je me serre contre lui en frissonnant de plaisir et lui tends mes lèvres pour un vrai baiser. Je pars me rhabiller pendant qu’il éteint son ordinateur et nous nous embrassons une dernière fois au moment du départ. Ce soir-là, une fois couchée, je me suis caressée en ayant l’impression qu’il s’occupait de mon postérieur…

La semaine suivante, dès mon arrivée, j’étais impatiente… J’avais envie qu’il me caresse pour pouvoir en profiter le soir dans mon lit... Sitôt notre séance de peinture terminée, je me suis rapidement déshabillée et je suis allée face à lui. Il m’a embrassée puis m’a demandé de me retourner. Je m’attendais à ce qu’il me claque les fesses (je sais, je suis maso mais ce genre d’échauffement m’excitait de plus en plus). Mais, là, je fus surprise : il m’a déculottée… une main se pose sur mon pubis pendant que l’autre m’assène une série de petites claques sèches sur les deux fesses nues. Tétanisée par la surprise, je ne dis ni ne fais rien. La fessée s’arrête, je sens la chaleur irradier mon postérieur tandis qu’il serre mon dos contre sa poitrine et se penche pour m’embrasser intensément. Pendant qu’il m’embrasse, je sens sa main dégrafer mon soutien-gorge. Me voilà entièrement nue. Il me retourne et me caresse la poitrine et les fesses tour à tour. Je ne sais plus où j’en suis, la tête me tourne et le plaisir inonde mon sexe. Je le laisse m’allonger sur son lit. Ses lèvres parcourent mon corps et s’approchent de plus en plus de mon sexe impatient. Quand il plonge entre mes cuisses que j’ai volontiers écartées, je suis dans un état d’excitation que je n’ai jamais ressenti. Il n’est pourtant pas le premier à me caresser ! Au moment où sa bouche gourmande atteint enfin mon sexe, j’ai l’impression que je vais exploser mais il fait durer le plaisir et s’éloigne presque aussitôt embrassant mes cuisses et mouillant ses doigts à l’entrée de mon vagin. Enfin, sa bouche remonte vers mon sexe mais, avant qu’elle ne l’atteigne, je suis surprise par un doigt qui ouvre ma rosette annale ; j’ai toujours refusé ce genre d’attouchement. Là, je le laisse faire et prends vite du plaisir à sentir son doigt bouger en moi. Un second doigt rejoint le premier au moment où ses lèvres s’emparent de mon clitoris en l’aspirant puissamment. L’explosion du plaisir est telle que je n’ai plus aucune conscience de lieu, de moment ni de temps. Il me laisse retomber et vient m’embrasser en douceur en caressant mes seins. C’est en me serrant contre lui que je m’aperçois qu’il est tout habillé et n’a pensé qu’à mon plaisir. J’ai un peu honte de mon égoïsme mais c’était tellement fort que je n’ai pensé à rien d’autre. Il se lève et sort de la chambre, me laissant seule. J’enfile mes sous-vêtements et le rejoint ; je me blottis dans ses bras et il me sourit. Quand je pose ma main sur son sexe, il la retire et me dis que je n’ai aucune obligation mais que s’il se dénude il aimerait pénétrer tous mes orifices : bouche, sexe et anus ! Pour ce dernier point, je ne l’ai jamais fait et il lit mon angoisse. Il ajoute alors que j’ai le temps d’y réfléchir, pour une autre fois, si j’en ai envie… Je me sens coupable de ne pas lui dire oui mais il sourit toujours quand, après m’être revêtue, je le quitte. Ce soir-là, dans mon lit, je ne peux m’empêcher de me caresser même si je sais que ce sera moins bon qu’avec lui. C’est là que je me surprends à me pénétrer l’anus. Je prends conscience que c’est bon même si je reste apeurée par le fait d’y absorber un sexe…

Deux jours plus tard, de retour chez lui, j’attends la fin de nos tâches (peinture et informatique) pour me mettre nue devant lui et lui dire que j’aimerais qu’il soit nu en moi, que je lui fais confiance pour ne pas me blesser. Il s’approche de moi, se déshabille puis m’enlace, m’embrasse et me caresse les seins, le dos, les épaules, les fesses… ses mains explorent mon corps. Lorsqu’il lâche mes lèvres, je lui murmure que j’ai envie d’être fessée. Il rit puis me fait poser le buste sur sa table, appuie une main dans mon dos et me fesse mais sans y mettre de force, juste des petits coups rapides qui me font vite sentir le rouge aux fesses et l’envie qui monte avec la chaleur. Quand il s’arrête, il me maintient dans cette position et passe une main entre mes cuisses qui s’écartent volontiers. Je suis trempée mais il se contente d’empaumer ma vulve pour un doux massage, remontant souvent ses doigts bien humidifiés par ma cyprine jusqu’à mon anus qu’il pénètre et relâche régulièrement. Je sens monter l’extase même quand il m’introduit jusqu’à trois doigts dans ma précieuse rosette. Je n’arrête pas de gémir sous ses caresses. Enfin je crie un grand oui quand son sexe me pénètre mais cela ne dure que trop peu. Déjà il se retire et je le sens se présenter à ma rosette élargie par ses doigts. Je reste effrayée mais décidée à lui faire confiance. Très lentement, il me force et m’aide à me détendre en continuant à caresser ma vulve. A la brûlure ressentie succède un sentiment de plénitude quand ses doigts explorent délicieusement mon vagin qui suinte comme il ne l’a jamais fait. Ce n’est qu’en me sentant bouger de désir qu’il commence, doucement puis de plus en plus vite, de plus en plus fort à me pilonner. Un premier orgasme m’a déjà submergée, un second est en train de monter quand je le sens exploser en moi. Ses jets puissants et sa main qui enserre ma vulve en appuyant fortement sur mon clitoris déclenchent mon second orgasme qui me laisse pantelante quand il se retire. Il me redresse, m’enlace et m’embrasse tendrement avant de m’entraine dans la salle de bains où une douche nous revigore assez pour de nouvelles caresses.

Cet homme fut le premier à me faire découvrir les joies de la fessée bien que je n’ai jamais éprouvé de plaisir ni à souffrir ni à être dominée. Mais la fessée, avec lui, c’était un jeu tendre qui m’a menée au plaisir. Depuis peu d’amants ni même mon mari que j’adore n’ont su me mener à ce point d’extase… à moins que ce ne soient mes souvenirs qui embellissent les choses !
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