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La ruée vers Laure partie 1

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Lue : 895 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/03/2021

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Mon téléphone portable s’était mis à vibrer; J’étais en voiture, je rentrais de faire des courses. Un nom s’inscrivait sur l’écran. LAURE. Je me suis garé sur le côté avant de décrocher. J’ai reconnu sa voix, chaude et mélodieuse.
—Il vient de partir. Tu peux passer quand tu veux. On a trois jours devant nous.
Je me souvenais encore ce samedi où je lui avais proposé qu’on mange ensemble à M…Je ne travaillais déjà plus avec elle, en remplacement itinérant. Elle m’avait répondu par mail.
Pour qui tu me prends? Je ne suis pas une putain prête à courir après toutes les queues. Je suis une femme fidèle et mariée. Ce qui s’est passé au centre c’était différent.
Les choses avaient bien évolué depuis. Il s’agissait sans doute d’une ultime tentative pour mettre un bouclier, autant entre elle et moi qu’entre elle et ses envies. Le plus ironique, sans doute, c’était qu’au moment où elle avait écrit ce mail, nous avions eu des rapports sexuels pendant quasiment une année. Ainsi que je l’avais appris, en écoutant des collègues discuter, elle était mariée et fidèle à un mari qu’elle n’aimait pas, et qui ne lui apportait que peu, sinon aucune satisfaction sexuelle, ceci expliquait cela, mais qu’elle ne voulait vraisemblablement pas trahir.
Le manque de sexe avait été finalement le plus fort, elle m’avait recontacté le lendemain. Elle m’avait proposé qu’on se voie sur un parking.
Elle avait choisi un lieu en fin fond de la campagne, un samedi après-midi.
Quand je l’avais vue arriver et descendre de voiture, j’avais su qu’elle m’avait vraiment manqué.
Elle était toujours aussi désirable, même si elle était une MILF. En fait, c’était sans doute parce qu’elle était une MILF qu’elle était aussi désirable. Avec quelque chose de fier et d’arrogant dans son attitude. Sa silhouette fine, musclée par l’exercice, mais en même temps féminine. Elle portait une robe courte, très courte, comme elle affectionnait, très moulante, avec des cuissardes noires.
Elle s’est glissée dans la voiture, près de moi. On n’a pas dit un mot, ça a été l’explosion immédiatement. Elle s’est penchée sur moi, et nos bouches se sont accrochées. On ne s’était pas vus depuis trois mois. Ma main est venue la caresser sur sa robe puis dessous. Elle avait oublié de mettre un slip, et j’ai trouvé son sexe ouvert et mouillé au bout de mes doigts. On était en manque l‘un et l’autre. Les paroles qu’elle avait fini par prononcer, quelques semaines avant que nous nous séparions, sans doute une sorte de testament, résonnaient encore à mes oreilles. Elle avait épousé, passé la trentaine un homme qui l’avait courtisé et dont elle était très éprise, mais elle s’était vite rendue compte, s’il était attentionné et prévenant, que le sexe avait peu d’importance pour lui. Il en avait en tout cas pris de moins en moins au fil du temps. Et son affection, bien que toujours présente s’était transformée en une relative indifférence.
Tout cela ne convenait pas à Laure, qui rêvait sexe à longueur de journée. Elle voulait des rapports quotidiens et sans doute plus qu’un homme la regarde et la trouve belle. Ce qui n’était plus le cas de son mari.
Elle ne courait pas forcément après les hommes, mais elle avait en tout cas envie qu’ils la regardent, qu’ils aient envie d’elle, même s’ils n’allaient pas plus loin.
Elle avait béni notre rencontre. Je lui plaisais. Elle m’avait entrainé dans ses jeux.
Elle a très vite ma queue à nu et elle a plongé sur moi avec une avidité qui trahissait le manque, manque qu’elle a confirmé en me disant, avec cette vulgarité qui la caractérisait:
—Ah putain, ta queue me manquait, t’as pas idée.
Elle avait un petit sac à main dont elle a tiré une capote. Elle m’en a gainé. Elle a roulé sa robe à sa taille, me dévoilant son ventre nu. Moi aussi elle m’avait manqué. J’avais eu deux filles dans l’intervalle, mais il y avait à chaque fois l’écho de Laure, le manque, le regret que ce ne soit pas elle à la place.
C’est quand elle a glissé de son siège au mien que j’ai remarqué qu’elle avait quelque chose d’enfoncé dans l’anus. Un ovale bleu et brillant masquait sa muqueuse.
Elle m’a guidé vers ses lèvres. La jonction a été impeccable, ma queue glissant dans son ventre. J’ai retrouvé ce qui m’avait manqué, la sensation de son sexe autour du mien, cette muqueuse caressante et chaude. Ca n’avait pas été pareil avec les deux filles. Chaque femme est décidément unique, et c’était encore plus vrai pour Laure.
Assise sur moi, mon sexe entièrement rentré en elle, sans qu’un seul centimètre soit sorti, elle a resserré ses parois vaginales autour de moi, se contractant puis relâchant la pression. Elle souriait autant parce qu’elle était heureuse qu’on se retrouve que parce qu’elle me montrait un aspect de sa personnalité qu’elle ne m’avait pas présenté jusqu’à présent.
—Retiens-toi de jouir, je veux qu’on ait du plaisir ensemble.
Elle m’a caressé comme cela un moment, avant de se soulever. Ma queue avait gagné un tiers de volume, et le latex était détrempé de ses sécrétions vaginales.
Elle a attrapé ma main, et elle l’a guidée vers ma muqueuse anale. Elle a posé mes doigts contre le jouet qui la remplissait. J’ai accroché un relief, et j’ai tiré l’objet. Un anal plug, je l’ai compris en examinant la masse, ronde au début, et qui s’affinait. Elle avait toujours aimé les jouets, s’en garnir, et en tirer du plaisir.
Ca avait dilaté son anus,qui béait, la muqueuse rosacée ouverte sur son intérieur. J’ai posé l’objet de plaisir à la place du mort, et elle s’est laissée glisser sur moi, me prenant avec sa muqueuse anale. Même si elle était dilatée, le contact était plus étroit, source d’un plaisir intense pour elle comme pour moi. J’ai été surpris de jouir dès que j’ai été en elle, crachant du sperme, mais en même temps pas tant que ça. Je suis pourtant resté très dur, jouissant une deuxième fois après qu’elle ait eu du plaisir plusieurs fois à force d’être caressée intérieurement par ma queue, démultipliant son plaisir en frottant son sexe fébrilement.
Au bout de tous nos orgasmes, alors que ma queue était encore en elle, encore dure, comme si je ne devais jamais plus débander quand j’étais en sa compagnie, elle m’a glissé:
—Maintenant, il faudra qu’on se voie beaucoup plus régulièrement. Tu m’as trop manqué.
—Je croyais que tu étais une femme mariée.
Elle a eu un petit soupir que l’on pouvait interpréter dans beaucoup de sens.
Depuis on se retrouvait un peu partout, dans des endroits improbables, des parkings, des aires désertes en pleine zone rurale, mais aussi, plus classiquement, dans des chambres d’hôtel. Elle ne voulait pas venir chez moi, car j’habitais dans une zone urbaine, avec deux de nos ex-collègues à proximité, et elle voulait garder une certaine confidentialité à notre liaison. Comme elle le disait elle-même, elle avait de l’estime et du respect pour son mari, et elle ne voulait pas qu’il soit blessé en apprenant qu’elle allait batifoler ailleurs. Même si, et cela, elle ne me l’avait jamais dit clairement, mais je le comprenais, je n’étais pas le premier, et je ne serais pas le dernier.

J’avais fait la connaissance de Laure il y avait un an et demi de cela. J’enseignais l’économie et le droit, et je remplaçais des profs absents pour des raisons diverses. Une situation qui m’allait. Je n’aimais pas la stabilité, j’aimais changer et rencontrer d’autres personnes.
Il y avait eu ce moment zéro, que je ne risquais pas d’oublier sans aucun doute. J’étais dans une petite salle qui servait à la fois de salle des profs et de salle de photocopies. Cela faisait deux jours que j’étais là. A ce moment, j’avais un trou dans mon emploi de temps, un trou de deux heures. Je m’étais calé sur un fauteuil, il y avait dans cette salle des fauteuils rouges bas, et moyennement confortables et je lisais.
Elle a fait son apparition. Il n’y avait que moi dans la salle. Elle m’a regardé, un examen qui a duré quelques secondes, mais qui ne s’est pas prolongé, a esquissé un demi-sourire et a dit un simple bonjour sans chaleur.
Je crois bien que j’ai été attiré par elle dès les premières secondes. Elle dégageait quelque chose de très très fort. Je me suis demandé si elle en était consciente ou pas.
Elle devait avoir une cinquantaine bien entamée, mais elle avait un corps superbe. Il était bien dessiné, et elle le mettait en valeur. Pas de vêtements flous, mais au contraire des tenues serrées et révélatrices. Ce jour-là, elle avait une jupe dont je n’aurais su dire si elle était mini ou micro, très courte en tout cas, qui couvrait de quelques centimètres seulement ses cuisses, collant à ses hanches et ses fesses. Ses jambes n’étaient pas nues, mais gainées par le nylon d’un collant. Elle portait une magnifique paire de bottes couleur fauve qui arrivaient quasiment à son genou, luisantes d’être neuves, ou soigneusement cirées. En contraste avec sa jupe noire, elle portait un pull-over jaune canari aussi moulant que décolleté, qui soulignait une taille fine ainsi que des seins volumineux, que le contraste avec la minceur de sa taille renforçait. Elle avait un visage plutôt carré, lèvres fines, pommettes marquées, avec des yeux bleu glacier, pas vraiment dans les normes. Je crois bien que c’était justement ça qui faisait son charme, ce léger décalage qui était sa marque. Le fait qu’une femme de 55 ans puisse s’habiller de manière aussi sexy, ses cheveux coupés très courts, ce visage un rien différent.
Le décalage, je l’ai encore mieux perçu dans les minutes qui ont suivi.
Elle est partie se servir un café à la cafetière qui réchauffait du café depuis le matin. Puis elle est venue se poser face à moi. Son parfum est monté à mes narines, fruité et subtil.
—Tu es nouveau? Ah, tu dois remplacer Françoise…
—Effectivement.
En même temps qu’on parlait, mon regard a glissé sur elle. La jupe, très courte et déjà fixée haut avait largement remonté quand elle s’était assise, venant tirebouchonner autour de ses hanches, sans qu’elle juge nécessaire de la redescendre. Elle m’offrait ainsi l’intégralité de ses jambes, sublimées par le nylon de son collant. Elle m’avait révélé par la suite qu’elle était passionnée par l’exercice physique, autant parce qu’elle voulait rester en forme, ferme et fine, que parce que cela lui apportait plaisir et détente. Elle faisait de l’exercice chez elle, mais aussi en salle.
Ce n’était pourtant pas le meilleur. Le meilleur ça a été quand elle s’est calée sur le fauteuil, en discutant, et qu’elle a écarté les jambes, m’offrant un spectacle auquel je ne m’attendais pas.
Je n’étais pas un expert en sous-vêtements, mais les filles que j’avais croisées, avec qui j’avais pu vivre mettaient généralement quelque chose sous leur collant, quand elles en portaient un, une culotte, un tanga, un string…Et elle, elle n’avait rien.
J’avais déjà remarqué que certains collants avaient un empiècement, de quelque style que ce soit, ce pouvait être un rond, un losange, qui permettait de masquer les parties intimes en mettant juste un collant. Là, ce n’était pas le cas, et j’ai pu profiter pleinement, pendant les quasi dix minutes où nous avons discuté, de son sexe. En avoir un paysage précis, qui est resté gravé en moi. Elle avait un vagin gonflé, un renflement bien marqué, coupé en deux par une fente qui semblait très profonde, dont sortaient deux lèvres au dessin différent. Au-dessus de son sexe, elle avait choisi de conserver une toison pubienne dont le blond était en harmonie avec sa couleur de cheveux, et qui ne semblait entachée de nul poil blanc…Toison toutefois soigneusement taillée.
J’espérais pour elle qu’elle ne s’asseyait pas sur le bord du bureau pendant ses cours…A moins qu’elle n’aime allumer les hommes…Comment ne pas être troublé par la vision d’un sexe féminin, pour n’importe quel homme normalement constitué?
Le plus étonnant, ce n’était pourtant pas de la voir ainsi, cul nu sous son collant, elle n’était certainement pas la première, mais plutôt ce qui dépassait de son sexe, en dehors de ses lèvres. Une tige rose, longue et courbée. Je me suis demandé ce dont il s’agissait. J’ai eu la réponse le soir même, en cherchant sur Internet.
On est partis en même temps professer. L’image m’a hanté pendant mes trois heures de cours.
C’est en parcourant Internet que j’ai découvert ce qu’elle avait dans le vagin. Il s’agissait d’un jouet sexuel, la tige rose aboutissait à une masse de plastique ovale dans lequel il y avait un mécanisme. Ce mécanisme, on pouvait l’actionner à distance, avec une télécommande. L’objet se mettait à vibrer, et, inévitablement le plaisir s’emparait de la personne qui avait ça en elle.
Elle prenait des risques énormes. La robe courte remontait immanquablement. Que quelqu’un la voie sans slip, c’était une chose, mais avec un jouet sexuel en elle…
A quel moment l’actionnait-elle? J’avais une scène en tête, où je la voyais, faisant un devoir écrit, installée à son bureau, la télécommande dans le sac, actionnant celle-ci et se faisant jouir alors que ses élèves travaillaient, en s’efforçant de masquer son plaisir.
Apparemment, je m’en suis rendu compte dans les jours qui ont suivi, je l’intéressais. On était apparemment sur certains mêmes créneaux de libre, et elle venait me parler. Je n’ai pas eu, dans l’immédiat, l’occasion de revoir son cul. Elle appréciait aussi les pantalons très très moulants. Son anatomie sans failles le lui permettait. Elle aimait aussi les tenues très décolletées.
En tous les cas, elle ne me laissait pas indifférent. Je ne savais pas si ça marchait dans les deux sens.
J’ai eu un semblant de réponse au bout de la deuxième semaine. Un vendredi matin. Elle s’était posé de nouveau face à moi. Il s’était développé entre elle et moi une relation certes professionnelle qui avait fait qu’une certaine intimité, et une certaine amitié s’étaient développées entre nous. Même s’il y avait des pans de sa vie dont elle ne parlait absolument pas. Elle devait m’en dire beaucoup plus par la suite.
Une collègue pas comme les autres.
—Tu veux m’accompagner aux toilettes, s’il te plait?
J’avais été un peu surpris de sa demande. On se faisait accompagner quand on était dans un lieu dangereux. Les toilettes étaient une annexe de la salle, il n’y avait même pas à sortir de celle-ci pour accéder à une pièce simple, deux lavabos d’un côté, trois cabines de l’autre.
—Tu es sûre que tu as besoin de moi?
—Si je te le demande, c’est que c’est effectivement le cas.
On était seuls dans la salle des profs. Elle s’est redressée. Je l’ai suivie, me sentant un rien ridicule. Je n’avais pas compris où elle voulait en venir. J’aurais du.
Les toilettes étaient vides. Les cabines suffisamment grandes pour que deux personnes puissent s’y tenir à l’aise. Elle a poussé une des deux portes, et m’a tiré avec elle, alors que j’allais l’attendre près des lavabos. Elle a fermé le battant derrière nous.
Elle a défait la ceinture qui tenait son pantalon de vinyle très collant, puis le bouton de celui-ci et la fermeture-éclair, avant de le tirer vers le bas. Dessous, elle avait un slip de dentelle rouge vif qui a suivi le même chemin. Je n’ai pas été surpris, son sexe je le connaissais depuis le premier jour. Elle s’est laissée descendre sur la cuvette. Son sexe s’est naturellement mis en position pour sa miction, il s’est ouvert, son urètre à sailli. Un premier jet d’urine a jailli.
—Viens, donne-moi ta queue, j’ai envie de faire une fellation à un homme.
Pendant que le jet d’urine coulait, régulier, et qu’elle se vidait, elle a défait mon pantalon. Il y avait quelque chose d’avide sur son visage, comme si elle était en manque de queue. Elle l’a un rien descendu, et a aussi tiré mon caleçon bas. Elle m’a trouvé dans une semi-érection, troublé par la situation. De la bouche, elle est venue gainer mon gland et elle a fait tourner sa langue dessus…L’urine continuait de jaillir de son urètre. Le flot a quand même fini par se tarir, et pendant qu’elle avançait un peu plus sur ma queue, et en calait un tiers dans sa bouche, faisant tourner sa langue sur moi dans une caresse indubitablement habile, elle a amené ses doigts sur ses lèvres pour se caresser.
La situation était inédite, mais le plaisir lui bien réel. C’était bon, cette caresse buccale, cela faisait longtemps qu’une fille ne m’avait pas pris dans sa bouche. Et elle éprouvait du plaisir elle aussi, gémissant doucement, ses lèvres toutes gonflées, arrosées par ses jus intimes qui trempaient ses chairs. Quand elle a joui, elle a lâché plusieurs jets, un peu comme une éjaculation, mais d’un liquide clair. Elle m’a gardé dans sa bouche pendant que je jouissais, fermant bien la bouche pour ne pas laisser échapper la moindre goutte de sperme. Après, elle a fait tournoyer sa langue autour de ma queue pour laper ce qui pouvait rester.
Je suis resté dans le centre de formation jusqu’à la fin de l’année, l’enseignante, en pleine dépression nerveuse n’a pas repris.
Une année de bonheur. Pas seulement parce que je travaillais dans des conditions idéales, en face de personnes motivées, mais aussi parce qu’elle m’entrainait plusieurs fois par semaine dans des escapades de la sorte, dont l’aspect le plus ritualisé était la demande de l’accompagner. Elle ne précisait jamais pourquoi. Et il y avait toujours effectivement quelque chose à côté, ce pouvait être de transporter un objet, consulter un livre…On se retrouvait immanquablement seuls dans un coin du centre, une réserve, un débarras, et on basculait très vite sur un moment de sexe, qui, indubitablement, nous apportait à l’un comme à l’autre un plaisir intense.
Je ne me posais pas trop de questions sur la nature de nos relations. Je vivais simplement le moment présent. L’accès à son corps, plus que désirable, me procurait une joie profonde. A chaque fois, c’étaient des caresses, des positions différentes. Elle avait énormément d’expérience. Et d’imagination.
Et puis l’année s’est terminée. On n’a même pas eu l’occasion de se dire au revoir.
C’est quand le vide s’est installé que j’ai eu des regrets. Pour le sexe bien sûr, mais aussi parce que, je m’en suis rendu compte trop tard, j’avais développé, que je l’accepte ou non, des liens avec elle.
Et nous étions à nouveau proches. On se voyait trois à quatre fois par semaine, selon nos emplois du temps. C’étaient des moments auxquels je tenais énormément, qui avaient redonné de la couleur à une existence que je trouvais bien morne pendant ces cinq mois où nous ne nous étions pas vus.
C’avait été la semaine précédente qu’elle m’avait proposé:
—Mon mari ne sera pas à la maison pendant trois jours. Il part faire une formation. Si tu passais? Je te confirmerai.
Ces derniers temps, elle avait ouvert une vanne, et m’avait parlé de lui, ce qu’elle s’interdisait avant. Ses envies de sexe, mais aussi d’une évidence, le vide entre eux, le fait qu’en partie à cause du passé commun, et, même s’il était distant, il l’aimait toujours, et elle l’aimait toujours…Elle ne se sentait pas de le quitter, mais elle allait chercher ailleurs…
Je comprenais bien que si elle me donnait accès à sa maison, c’était une étape supplémentaire. Comme une marque de confiance.
Je savais où elle habitait, mais je n’étais jamais passé devant chez elle, fut-ce par curiosité. L’une des collines qui entouraient C… Pas mal de propriétés, construites dans les vingt dernières années…
Leur maison, sur un mamelon était simple, carrée, deux étapes, un crépi couleur crème. Elle était entourée par des arbres qui, sans doute plantés à l’époque de la construction, isolaient de la route, avant, lorsqu’on les avait dépassés, de donner à voir la maison, dans sa simplicité massive.
J’avais le sentiment qu’une surprise m’attendait.
La surprise, j’avoue que je ne m’y attendais pas.
Sur le perron, il n’y avait pas une Laure, mais deux.
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Histoire de JamesB

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