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La Congrégation

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Lue : 1032 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/12/2020

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—Patrice est mort.
Ca s’est passé il y a pas mal d’années maintenant. J’étais jeune. Je ne le suis plus. Jeune et insouciant.
Notre voisine venait de sonner à notre porte. Elle était en larmes.
—Patrice est mort. Il s’est tué hier soir.
Elle avait eu trois enfants. Patrice, son fils ainé s’était, on l’a compris quand elle est arrivée à s’exprimer, tué en moto en redescendant de chez un couple d’amis avec qui sa femme et lui avaient passé la soirée. Son épouse était en voiture, lui en moto. La route était humide. Il avait dérapé, et heurté un pylône électrique de plein fouet. Il avait été tué sur le coup.
J’allais partir pour travailler. Ma mère venait de prendre la retraite. Mon père était décédé deux ans plus tôt. Je les avais laissées entendre. J’avais croisé le fameux Patrice deux ou trois fois. Il m’avait fait l’effet d’un con arrogant. Mais ça ne m’empêchait pas d’éprouver de la compassion pour sa mère. Une mort, c’est toujours terrible, et ça l’est encore plus quand ça ne suit pas l’ordre naturel.
—Les obsèques ont lieu mercredi. Tu viendras avec moi, puisque tu ne travailles pas?
—Ai-je le choix?
Mes parents et la famille B… étaient restés fâchés six ans, et je n’oubliais pas comme le couple de retraités avait pu dire du mal de ma famille.
—Je crois lire en toi. Ecoute, ce n’est pas parce qu’on va à un enterrement qu’on doit renouer des liens. Crois-moi, je ne les apprécie pas plus que ça, avec tout ce qui s’est passé, mais la mort passe par dessus tout. Ce n’est pas pour autant qu’après, j’irai leur parler tous les jours.
C’est ainsi que le mercredi, sur le coup de 13 heures 20, on débarquait à F… la préfecture de ce petit département rural. J’avais passé une veste, et ma mère avait opté pour un ensemble gris qui lui allait à merveille. Mais je crois bien que ni l’un ni l’autre, on n’avait envie d’être là. Qui apprécie les enterrements?
On est passés par plusieurs rues avant d’arriver jusqu’à la cathédrale. Elle était magnifique, l’un des joyaux architecturaux de la ville, du département et de la région.
J’ai été surpris de voir autant de monde arriver, mais en même temps, ce n’était pas surprenant si on y réfléchissait bien. Il y avait les voisins, les amis de ses parents, les amis du couple, ceux du défunt, de sa femme…Les collègues de travail…Ca faisait beaucoup de monde.
Les places assises, bien qu’on soit arrivés tôt, étaient déjà toutes prises…Ma mère s’était éclipsée pour rejoindre une amie à elle…Je me suis retrouvé tout seul. J’étais au fond, avec tous ceux qui n’avaient pas pu s’asseoir, debout, proches de la grande ouverture.
Le cercueil venait d’arriver et de passer devant nous lorsqu’elle est arrivée, un rien en retard.
Je l’ai tout de suite remarquée. Je crois que n’importe quel homme capable de désirer une femme l’aurait remarquée. C’était une magnifique jeune personne, elle avait dans mes âges, avec une crinière de cheveux couleur miel qui coulait sur ses épaules, et un visage parfaitement dessiné. Sous son imper entrouvert, elle portait un simple tailleur noir, jupe et veste. La veste ouvrait sur un chemisier blanc, la jupe très courte donnait à voir des jambes gainées de nylon.
Elle a regardé où se positionner, puis elle est venue se caler juste devant moi. Tout près, mais sans que nos corps se touchent. Les sensations ont afflué, l’odeur d’un parfum de muguet, et la vision de cette crinière qui débordait de santé.
Le prêtre a commencé à parler.
Ca s’est produit dans les minutes qui ont suivi.
Imperceptiblement, je ne m’en suis rendu compte qu’après, en revenant en arrière, et en analysant les choses, elle s’était rapprochée de moi. Oh, la distance n’était pas très grande, et elle s’était reculée millimètre par millimètre.
Suivant le discours du prêtre sur l’un des écrans qui avaient été installés, j’avais les mains devant moi, réunies, au niveau de mon pubis.
J’ai senti un poids contre. J’ai réalisé que ses fesses appuyaient contre moi. J’ai senti leur volume, leur rondeur, mais aussi leur chaleur, à travers le tissu.
Je me suis demandé quoi faire. Je me demandais, déjà, si elle sentait mes mains contre elle. Ca n’avait pas l’air de la déranger. Je craignais que les enlever n’active, chez elle, une réaction. Je la voyais tout à fait me hurler que j’étais un beau dégueulasse, que je lui tripotais les fesses. Je n’avais pas envie de me trouver en plein scandale.
J’ai compris que je n’étais pas sur la bonne option quand j’ai senti ses mains à elle, chaudes et douces, rejoindre les miennes, et se plaquer dessus. Et en conséquence les plaquer encore plus sur son derrière.
Je n’osais pas bouger. Me demandant ce qui la motivait. Etait-ce une sorte de crise de folie, qui l’avait soudain prise? Puis je me suis rappelé que, l’espace de quelques secondes, je l’avais enregistré, mais pas analysé, quand elle était arrivée, elle m’avait examiné. Lui avais-je plu et avait-elle décidé de m’aborder ainsi? Ca changeait du classique ‘Je vous invite à prendre un café?’ mais les chemins de la séduction étaient multiples…Donc…
La situation a évolué quand, soulevant sa jupe, et me laissant entr'apercevoir un slip de dentelle rouge, elle a attrapé une de mes mains et l’a carrément fourrée dedans. J’ai senti, contre ma paume, la rondeur d’une fesse, ferme et souple à la fois, et sa chaleur. C’est de moi-même que j’ai glissé mon autre main sous la jupe. Une fesse pour chaque main. Ou alors une main pour chaque fesse. C’était apparemment ce dont elle avait envie. Je les ai doucement caressées. Certaines filles restaient indifférentes si on leur touchait les fesses. D’autres, au contraire, adoraient ça. Elle semblait appartenir à la deuxième catégorie.
J’écoutais en même temps le discours du prêtre. Ca me donnait l’impression d’être totalement dédoublé. Emu par le ce qu’il disait, avec talent, et émoustillé par la belle inconnue.
J’ai abandonné une de mes mains sur la rondeur de ses fesses, tandis que l’autre montait haut, là où son sillon fessier prenait naissance, et je suis descendu doucement dans cette ouverture naturelle, la pulpe de mes doigts au fond de la fente, effleurant sa chair délicate, passant sur sa muqueuse anale avant de venir sur le gonflement de sa vulve. Là, j’y ai trouvé un sexe ouvert d’excitation, lèvres sorties, qui a coulé dans ma main. Je l’ai caressée, allant et venant sur ses lèvres. Ca devait être bon, parce qu’elle s’est mise, très discrètement, à bouger sur ma main, faisant aller et venir son sexe.
J’étais plutôt beau garçon, j’avais déjà eu pas mal de copines, et il nous était souvent arrivé de flirter, voire de faire l’amour dans des endroits insolites. Dans des parcs publics, une cage d’escalier une fois, sur un toit…Mais certainement jamais dans une cérémonie d’enterrement.
Et pourtant, je n’avais absolument pas l’intention d’arrêter. Et elle non plus.
Elle est venue chercher ma main, l’a sortie de sa culotte, et, me tenant, elle m’a entrainé. Je me suis laissé guider. On est partis sur la gauche. Elle a poussé une porte. On s’est retrouvés dans un couloir étroit. Apparemment, elle connaissait déjà les lieux. Ce qui se passait entre nous s’était-il déjà produit avec d’autres hommes? A vrai dire, je m’en fichais bien. Ce qui m’intéressait, c’était le moment présent. C’était tout.
Elle m’a fait entrer dans une pièce spartiate. Il y avait juste une table et une chaise. Elle a récupéré dans son sac à main un préservatif. Elle s’est penchée sur moi, tout sourire, et elle m’a défait.
Même à travers les murs, on entendait la voix du prêtre, qui rendait hommage au défunt. Je n’avais pas imaginé, en venant à la cérémonie, qu’on en arriverait là.
Elle a sorti ma queue de mon pantalon, et l’a caressée doucement. J’étais bien dur. Elle a fait glisser le préservatif sur moi jusqu’à me recouvrir totalement, puis elle s’est retournée, remontant sa jupe et descendant le slip de dentelle rouge, offrant à mon regard ses fesses charnues, et
le dessin de ses muqueuses anales et vaginales. Elle a attrapé ma queue et m’a guidé jusqu’à son sexe. Je me suis glissé dans le canal chaud et délicat, en me disant que non, je ne m’attendais pas à une cérémonie d’enterrement pareille.
—Fouille-moi, elle m’a intimé. Je veux que tu me caresses à l’intérieur avec ta queue.
J’ai bougé en elle, m’enivrant des sensations qu’elle me procurait. Mais sans doute que, à la manière dont je sentais son corps vibrer, elle éprouvait pas mal de plaisir elle aussi. Elle a en tout cas joui, au moins une fois, sa main bougeant entre ses cuisses pour donner une autre dimension à son plaisir.
Quand elle a senti que j’allais jouir, elle m’a fait sortir d’elle. Le préservatif dégoulinait de ses sucs intimes. Elle s’est penchée, l’a enlevé, et elle m’a pris dans sa bouche. Sa langue a tourné autour de moi, me caressant pour me faire jouir. Je crois bien que pas une seule goutte n’est sortie de sa bouche, qu’elle a gardé obstinément close.
On a senti tous les deux qu’il ne nous restait que peu de temps avant que la cérémonie ne se termine. On s’est rajustés avant de revenir dans la grande salle.
Elle était à côté de moi. Le cercueil est passé, suivi par une famille en pleurs.
J’ai réalisé soudain qu’elle avait disparu.
Ma mère m’a rejoint.
—Et voilà, c’est fini. Le pauvre.
On revenait à la voiture, quand elle m’a dit:
—Dis-moi, à un moment, je me suis retournée, et je t’ai vue en compagnie d’une jolie fille…Tu lui as parlé?
—Ah non, pas du tout, je lui ai répondu, en me sentant rougir.
—Dommage…Il est temps que tu te maries.
La suite, ça a été quelques mois plus tard. Je ne pensais plus à la cérémonie, ni à ma conquête d’un instant.
Je suis passé au bureau de poste de S…J’avais du courrier à poster. C’était un tout petit bureau. Juste devant moi, il y avait deux soeurs, je l’ai compris à leur tenue, typique, robe noires, longues…
Elles sont reparties avec un gros paquet de courrier.
Elles avaient une sorte de capuche qui masquait leurs cheveux tout en laissant voir leur visage.
Ca a été très curieux parce que le dessin d’un visage m’a rappelé quelqu’un…Mais je ne me rappelais plus qui.
Je me suis avancé pour donner mon courrier à peser.
—Il y a une congrégation de nonnes qui s’est installé au couvent à la sortie du village…Elles sont arrivées il y a huit mois…Il y a plein d’histoires farfelues qui courent sur elles…Comme quoi elles auraient une double vie, habillées en civil…Mais tout ça c’est des histoires…Pff…Les gens racontent n’importe quoi.
Je me suis alors souvenu où j’avais déjà croisé ce visage.
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Histoire de JamesB

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