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La salle de bains ou maquillage pour Saliha partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/07/2023

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LA SALLE DE BAINS OU MAQUILLAGE POUR SALIHA

partie 1

Ce qui définissait sans aucun doute ma relation avec Saliha, c'était que, jusqu'à présent on avait fonctionné par tranches de deux. Deux ans, ou presque. Deux ans entre le moment où j'avais posé mon regard sur elle pour la première fois, et celui où notre relation, bien que marquée par des moments de sexe ponctuels et assez surprenants
avait basculé sur quelque chose d'autre, d'amoureux et d'intense, que je n'aurais vraiment pas imaginé la première fois où on avait été face à face, et deux ans qu'on était ensemble, dans une relation d'une complicité comme je n'avais jamais encore connu, dans lequel sans aucun doute sexe et plaisir jouaient une grande place, ce que je n'aurais vraiment pas imaginé. Pas elle...D'autres filles oui, mais pas elle...Comme quoi, on ne sait jamais ce qu'une relation va devenir.
Au tout début, il y avait eu ce mardi après-midi. Je finissais tous les jours sur le coup de trois heures de l'après-midi, je faisais de la maintenance industrielle, C'était un métier que j'avais choisi et qui me plaisait, mais à l'opposé de cette occupation très rationnelle, j'avais une passion pour tout ce qui était écrit qui ne s'était jamais épuisée au fil du temps, J'avais une bibliothèque très copieuse, des livres donnés, achetés, mais j'allais aujourd'hui emprunter, à la vaste médiathèque près de chez moi, des nouveautés, attendant souvent que le livre qui m'avait plu sorte en poche.
Souvent, mon après-midi, c'était passer à la médiathèque, lire ensuite trois ou quatre heures, avant d'aller au sport. Je lisais de manière frénétique, et toujours avec plaisir.
A la médiathèque, les employées étaient des fonctionnaires territoriales, et le personnel évoluait, Départ à la retraite, mutations...
J'avais ramené deux romans, que j'avais donné à Vero, une petite blonde pétillante, qui me connaissait bien, comme toutes les employées d'ailleurs, et j'étais parti me chercher deux bouquins. Généralement, je revenais le vendredi, reprendre deux livres.
C'était en revenant vers le point d'accueil que j'avais vu Saliha pour la première fois. J'avais d'abord aperçu une chevelure comme je les aimais, épaisse et longue, brillante de vie. Comme pas mal d'hommes sans doute, j'aimais les beaux cheveux.
Ca avait été en m'approchant que j'avais capturé d'autres détails. Elle avait relevé la tête, posant un œil noir, aussi noir que ses cheveux sur moi. Elle ne souriait pas, un visage plutôt sévère, mais beau, d'une beauté classique, mais ce type de beauté était plutôt rare. Un visage équilibré. Ses yeux étaient très maquillés, alors même que sa bouche, une bouche charnue et aussi bien dessinée que le reste de son visage, était dépourvue de rouge. Mais elle avait du fonds de teint.
Bien que me voyant arriver vers elle, avec deux livres à la main,et qu'elle soit seule au comptoir, elle a rebaissé les yeux sur un lising qu'elle parcourait.
Ce que j'ai remarqué après, ça a été son bustier. Ca été la source du drame...Ou de l'enchantement, c'est selon...C'était un bustier blanc, dans une matière un peu épaisse, sans bretelles, qui enveloppait sa taille, et venait prendre une partie de seins volumineux, laissant leur haut à nu, ainsi qu'une partie du sillon profond et sombre qui les coupait en deux. Elle n'avait d'évidence pas de soutien-gorge dessous.
Quand ça s'est produit je devais être à un mètre d'elle. Je ne sais pas comment ça s'est passé. Un mouvement, ou alors elle a respiré un peu trop fort. Et un sein est sorti, qui s'est échappé de son corset.
Un sein qui valait le coup d'oeil. Il était à l'image du reste de son corps, lourd, mais parfaite ment formé. Très rond et très ferme, avec une très large aréole, et un téton, qui, même au repos était dur, mais qui, sans doute sous l'effet de l'air, a grossi, et de manière particulièrement visible. Nos regards se sont accrochés. Elle a attrapé son sein, a écarté le tissu, et la refourré à l'abri. Mais vu la configuration du vêtement, elle n'était certainement pas à l'abri d'uine autre échappée de sein, voire de plusieurs...
Je lui ai présenté mes deux livres...Elle m'a demandé mon nom, a scanné les deux codes barres, les a démagnétisés.
--Je vois à l'historique que vous empruntez beaucoup.
--C'est un crime ?
--Une constatation.
Elle m'a tendu les deux livres et on en est restés là.
J'ai passé la soirée à penser à ce sein. J'aimais, cela n'avait rien d'original, les filles plantureuses, même avec quelques kilos de trop. Ce sein était le symbole de charmes qui me convenaient, comme, sans aucun doute, le reste de son corps. J'avais juste aperçu son buste.
Et puis...Mercredi, jeudi...J'ai pensé à autre chose...J'ai fini mes livres...Et on est arrivés au vendredi.
C'est vraiment en allant à la médiathèque que c'est remonté. La chevelure, sa froideur, le sein...Quelque chose qui avait du recul prenait une dimension autre, à la fois érotique et totalement irréel.
C'est en franchissant les portes de verre coulissantes que je me suis rendu compte que j'avais vraiment envie de la revoir. Qu'elle m'avait marqué plus que je ne l'aurais pensé.
Les choses ont été différentes. Et plutôt positives. D'abord, je l'ai vue dès mon arrivée. Elle était debout, devant l'une de ces structures métalliques qui permettent de trier les livres nouveaux et de les insérer dans les collections. Elle la garnissait. Les bouquins avaient été étiquetés.
J'ai eu un aperçu plus complet d'elle. Elle était plutôt grande, un bon mètre quatre-vingts. Elle portait un pantalon en vinyle qui dessinait de manière précise ses formes. Des formes pleines, charnues. Elle avait des cuisses, des hanches, des fesses, et le pantalon, indiscret, collait au dessin de son sexe d'une manière très précise. Je me suis même demandé un instant si elle avait un slip dessous, ou si elle l'avait à même la peau, car outre le renflement de son sexe, et la fente qui le coupait en deux, je pouvais aussi distinguer très nettement deux bouts de lèvres sorties d'elle et écrasées contre le tissu.
En haut, elle avait un chandail jaune, et ça sautait aux yeux, même sans qu'elle bouge, que ses seins étaient nus dessous, libres. Et quand elle s'est mise à bouger, ça a été encore plus évident. Elle était vraiment magnifique.
Ce qui m'a le plus surpris, pourtant, ça a été autre chose. Elle a senti son regard sur moi, a relevé la tête, m'a aperçu, et elle m'a fait un immense sourire. Bien loin de la froideur du premier jour.
Quand je lui ai rendu les livres, elle m'a juste dit :
--Je vous reconnais. Vous venez chercher deux autres ouvrages, je parie ? Ceux-là vous on plu ?
--Deux styles différents, mais j'ai adhéré aux deux.
Ca a été quand je suis revenu, avec les deux ouvrages qui feraient mon week-end qu'elle m'a dit :
--Ca vous dirait de voir l'autre ?
Je suis resté tout à fait stupide, et, quand elle m'a dit ça, j'ai d'abord pensé qu'elle parlait du second tome de la dualogie dont j'avais emprunté le premier. Avant de réaliser qu'elle évoquait ses seins.
Elle tenait vraiment à me les montrer, car elle a dit :
--Rassurez-vous, on irait dans une des réserves. Et je vais d'abord enregistrer vos deux bouquins.
Je n'ai pas dit oui, mais pour elle c'était acquis. Elle a enregistré les livres, et je l'ai suivie vers le réduit. Ses fesses étaient aussi pleines que ses seins, et elles bougeaient librement sous le vinyle. Je me suis rendu compte que j'avais le feu dans le ventre, et la queue toute raide. Elle était hyper-désirable. Même avec des kilos en trop. Surtout avec des kilos en trop.
On s'est retrouvés dans le réduit. Une grande vitre dépolie, deux tables au centre sur lesquelles des bouquins s'empilaient, ainsi que des étagères, partiellement garnies.
Mais on n'était pas dans le local pour lire. Elle a bloqué la fermeture de la porte, et elle est entrée immédiatement dans le vif du sujet. Elle a soulevé son pull collant et ses seins se sont retrouvés exposés à l'air libre, jaillissant de sous le tissu. Il y avait un côté magique dans cette apparition. Un peu comme un tour de magicien. Et le magique, c'était aussi de voir deux seins aussi beaux, impeccablement ronds et fermes, avec deux belles aréoles et deux tétons que l'air faisait durcir.
--On n'a pas trop de temps, mais il y aura une collègue qui viendra me remplacer, on tourne entre rayons et comptoir,donc on peut prendre du plaisir. En tout cas tu peux m'en donner. Je suis très sensible des seins. Tu crois que tu peux faire quelque chose ?
En guise de réponse, je me suis penché sur elle, et j'ai dardé ma langue, pour, sans toucher ses tétons, venir caresser ses aréoles. Chair souple et douce à la pointe de ma langue. Elle s'est mise à gémir...
--Ah c'est vraiment très bon...Continue.
Continuer, pour moi, ca a été prendre un téton dans la bouche. Ils avaient des capacités érectiles impressionnantes. Tourner sur les aréoles les avait fait plus durcir, et, quand j'ai gainé le premier de mes lèvres, je l'ai senti déjà long et dur, comme sans doute je n'avais jamais trouvé aucun téton avant. J'ai frotté avec ma langue, et elle a gémi de plus belle.
--Je sens ma chatte s'ouvrir et je suis entrain de dégouliner. J'aurais du mettre un slip sous mon pantalon, ca va me couler le long des cuisses...Ca fait six mois que j'ai pas eu de partenaire, et même si je me branle quotidiennement, c'est pas pareil...C'est trop bon...Le hasard fait bien les choses...Ce nichon qui s'est échappé, ca a été une bénédiction...Quand j'ai surpris ton regard...
--N'importe quel homme aurait été intéressé, j'ai dit, dans le moment de répit avant de passer à l'autre nichon...
--Oui, mais toi tu me plais...
Elle s'est retrouvée avec deux tétons impressionnants d'érection, long, épais et durs...Pendant que je travaillais le deuxième, jouant à les ériger autant que je pouvais, mais percevant bien aussi que je lui donnais du plaisir, à la manière que son corps avait de frémir, elle a défait le bouton qui tenait son pantalon de vinyle à sa taille, et descendu la fermeture-éclair. Comme je l'avais bien compris, elle n'avait pas de slip dessous, et j'ai aperçu une pilosité abondante de brune...C'est tout ce que j'ai aperçu d'ailleurs, car elle a fourré la main dans son pantalon sans le descendre, et elle s'est mise à se caresser pour accompagner le plaisir que je lui donnais. Elle a cru bon de me préciser, alors que je revenais sur le premier téton :
--Je fais partie de ces filles qui sont capables d'avoir un orgasme simplement en se touchant les seins. Quand j'étais plus jeune, j'ai découvert que je pouvais jouir en me touchant simplement les seins, sans même frôler ma petite chatte et je passais des heures à les caresser, en modulant, simplement avoir du plaisir ou aller jusqu'à l'orgasme...Je le fais encore aujourd'hui...
J'avais un œil sur sa poitrine, un autre sur la main, qui, sous le vinyle, bougeait dans un rythme circulaire, tendant le pantalon. C'était hyper-excitant, et j'étais en feu. Elle m'a déclaré, au bout de quelques minutes, les tétons tendus à éclater, je n'en avais jamais vus d'aussi dilatés, sa main avait un rythme plus rapide sous le vinyle :
--Je suis entrain de jouir...
Elle a fermé les yeux et elle s'est laissée aller contre le mur, agitée par des spasmes. Elle a poussé un cri silencieux, se figeant. Elle ne faisait pas semblant, et, quand elle s'est reprise, son visage disait clairement son bonheur. Elle m'a dit :
--Moi j'ai joui,mais toi tu n'as pas joui...Tu veux que...
Sa main a effleuré mon pantalon, me trouvant bien raide.

--C'est trop tard...
Trop excité, j'avais eu un orgasme moins fort que le sien, inattendu, balançant tout dans mon caleçon. Heureusement que j'avais fini ma journée.
J'ai jeté un coup d'oeil à ma montre. On n'avait pris que dix minutes, mais ce moment m,avait semblé être une éternité. On s'était sorti du temps et de la routine.
Elle a planté son regard brillant dans le mien.
--J'ai vu à ton historique que tu venais deux fois par semaine. Ca te dirait de joindre le plaisir présent au futur plaisir ? Celui que tu as avec moi à celui que tu auras en lisant plus tard et en repensant à notre moment ensemble ?
C'était clair. Et je crois bien que je n'avais jamais eu autant envie de quelque chose. Elle m'attirait énormément. Ca faisait bien longtemps d'ailleurs qu'une fille ne m'avait pas attiré autant. Elle a remonté la fermeture éclair du pantalon en vinyle, fermé le bouton. Je lui ai dit :
--Je voudrais te voir, juste un instant. C'est possible ?
Elle n'avait pas encore redescendu son pull, et ses tétons étaient figés dans la dureté. En guise de réponse, elle m'a souri, a défait le bouton qu'elle venait de rajuster, tiré la fermeture-éclair totalement en bas. Avec un sourire, elle m'a dit :
--Prends-en plein les mirettes. Tu te branleras en pensant à moi en attendant qu'on se revoie.
Elle a attrapé le pantalon et elle l'a descendu. Lentement. On avait bien deux minutes de plus. Deux minutes pour voir tout le reste de son corps.
Ca en valait la peine.
Elle avait un pubis gonflé, qui tendait le pantalon, et la pente de celui-ci amenait vers son sexe que j'ai découvert, ému. Deux gros bourrelets que l'excitation avait entrouverts, laissant voir un intérieur bien rose, à la fois sur les parois internes, et vers le fond, et, comme un écrin enchassant sa muqueuse la plus intime, un gros paquet de lèvres sans commune mesure avec le dessin au repos qui s'était nettement laissé entrevoir contre le vinyle, puisqu'elle n'avait pas de culotte. Elles s'étaient bien gorgées de sang, et enlever le pantalon les a déployées, longues, et épaisses.
Son gland clitoridien était lui aussi bien visible, et il était à l'image du reste de son corps. Une grosse boule qui dardait en haut de ses lèvres. Ses chairs, sur un large pourtour, étaient humides des jus qui avaient coulé d'elle.
Ses jambes, bien qu'épaisses, étaient remarquablement dessinées.
Elle s'est retournée pour me permettre d'admirer ses fesses, même si son pantalon laissait nettement entrevoir aussi bien leur volume que leur forme, et leur rebondi. Un sillon profond les coupait en deux, attirant, dans lequel j'ai eu envie de glisser mes doigts, ma langue, ma queue.
Et ce serait rien pour l'instant.
Elle m'a laissé le temps de bien la mater, faisant un tour complet sur elle-même pour que je capte le maximum de détails, avant de remonter enfin le pantalon.
On allait sortir de la pièce quand je lui ai dit:
--Tu penses pas que si on passe un moment ensemble tous les mardis et les jeudis ça risque d'être compliqué ?
Elle a souri, et m'a dit :
--Tiens, viens voir.
On est sortis du local, elle m'a entrainé dans un couloir sur la gauche, jusqu'à une portel qu'elle a entreouvert. Une pièce plus vaste, Des piles de livres, des tables...Rien d'original, sauf le couple au milieu. Une jolie blonde, grande et fine, que j'avais aperçue pas mal de fois déjà était pliée en deux sur une table, la jupe retroussée à la taille, son slip accroché à une cheville, et derrière elle, il y avait un homme qui faisait aller et venir dans son sexe une queue enveloppée de latex, longue et épaisse...Elle haletait et commentait, comme on peut le faire dans ces cas-là...
--Oui, bourre-moi bien...Je voudrais que tu ailles encore plus profond...Que tu me remontes ta queue jusqu' la gorge...Ahhh, je vais jouir...
Elle avait lâché une sorte de cri rauque, qui s'est prolongé, laissant penser qu'elle avait effectivement un orgasme. Le gars continuait de la fouiller. Elle a tendu la main en arrière, a attrapé sa queue et l'a sortie d'elle. Ca a fait un bruit visqueux, Elle s'est vite accroupie, et elle a remonté le latex, jusqu'à dégager totalement la queue. Elle avait senti qu'il allait jouir, et elle avait raison, elle a eu juste le temps d'ouvrir la bouche, et le premier jet de semence a atterri dedans. Elle est restée bouche ouverte, accueillant le sperme blanc et copieux qu'elle a laissé glisser dans son gosier.
--Tu vois, nous sommes toutes des chiennes ici. Et nous en sommes fières. On est toutes pareilles. Si quelque chose se passe entre toi et moi, tout le monde s'en fichera, ne te fais pas de souci là-dessus...Autant en profiter.
On était le vendredi, et je ne revenais que le mardi suivant. J'ai passé le week-end à lire et à me branler en pensant à elle. Elle m'attirait énormément, plus que la plupart des filles que j'avais connues la dernière année. Elle avait pour elle une sensualité très forte, l'évidence qu'elle aimait le sexe, et qu'elle en avait envie, une réelle intelligence de toutes les situations.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : La salle de bains ou maquillage pour Saliha partie 1

Le 18/07/2023 - 11:05 par OlgaT
Une très belle rencontre!

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