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La salle de bains ou maquillage pour Saliha partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/07/2023

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LA SALLE DE BAINS OU MAQUILLAGE POUR SALIHA
PARTIE 2
Je l'ai attendu ce mardi. Et puis il est arrivé. Elle avait une robe en lainage ultra-moulante, qui soulignait ses charmes et une paire de cuissardes noires...La bouche soulignée par un rouge sang, et les yeux très maquillés, elle était irrésistible.
Elle m'a souri en prenant mes livres, accrochant mes mains en les prenant, volontairement, et les maintenant pour tisser un contact entre nous. Sa chaleur m'a pénétré.
Mais le moment, c'était, et ce devait être par la suite quand je ferais enregistrer les bouquins.
Elle m'a entrainé dans un autre local. C'était bien de tourner. A force j'ai connu la médiathèque par cœur.
On s'est retrouvés dans une pièce à la configuration différente, mais au principe de fonctionnement identique : des étagères, des tables, des livres...
--Tu as vu toute mon anatomie...Moi j'ai rien vu encore...J'ai envie de découvrir ta queue...J'aime les queues...Ca fait six mois que j'en ai pas vu une...Ca ne devrait pas arriver...
--Tu auras la mienne matin, midi et soir, si tu veux.
Je me suis souvenu par la suite de cette première phrase qui était sortie, comme ça, sans que je réfléchisse, et, que j'avais même oubliée sur le moment, y repensant après. Ca devait être ma première manifestation d'une envie bien réelle, celle d'être avec elle, dont je n'étais pas vraiment conscient sur le moment. C'était sorti comme ça.
Avec de l'avidité et un rien d'énervement, elle m'a défait, et est venue chercher ma queue. La prendre dans sa main, puis la voir a paru l'émerveiller, comme un gosse qui défait un cône contenant une surprise, et qui trouve la surprise à l'intérieur. Elle m'a masturbé très doucement. J'ai failli jouir. Sa main était chaude et douce. Et elle savait caresser. Sa lenteur délibérée donnait de l'ampleur et de la puissance à sa caresse. J'ai poussé un gémissement. Elle est venue frotter de l'index mon gland, et mon suppurement est devenu une inondation qui a graissé sa main. Elle a ri. Mais elle ne se moquait pas de moi. C'était un rire qui marquait son plaisir. Elle l'a d'ailleurs explicité clairement, au cas où je n'aurais pas compris...
--Je suis tellement contente. Retrouver une queue...Ca me manquait tellement...Tu vois, je suis une grosse obsédée sexuelle...Je les aime chaudes et dures...J'aime m'en servir, et faire tout ce qu'on peut faire avec...Les avoir dans ma main,dans ma bouche, dans mon ventre...Quand je pense qu'il y a des filles qui vivent sans ça...Mais comment c'est possible...
J'ai d'abord pensé qu'elle voulait me faire jouir en me branlant. Ca m'aurait largement suffi d'ailleurs. J'aime me faire masturber. J'avais eu des copines qui, dans une palette de plaisirs, me donnaient, et m'avaient donné du plaisir de la sorte, en caressant ma queue, et ca avait été très bon. Une main de femme chaude, habile et caressante, c'est quelque chose.
D'ailleurs, c'était peut-être ce qu'elle envisageait. Mais sans doute qu'elle avait envie de goûter à ma verge autrement. Elle a attrapé un fauteuil à roulettes, et elle s'est laissée tomber dessus. Le confort pour venir profiter de ma queue autrement. Avec une expression qui disait que, si ce n'était pas le bonheur absolu, du moins elle en était quand même proche, elle a commencé à donner des coups de langue sur ma queue, que sa caresse manuelle avait bien développé, qui s'était dilatée, longue et épaisse, sans doute plus longue et plus épaisse que dans mes érections habituelles. C'était qu'elle savait bien caresser, c'était aussi qu'elle me troublait énormément, et ça jouait.
Elle savait en tout cas tout faire et bien le faire. Elle s'est mise à me travailler de la langue, frôlant ma chair sans s'appesantir, et ca a été vraiment bon. Glissant sur moi, partant, puis revenant. J'ai lâché prise, tout entier dans cette caresse. Elle a fait rentrer une partie de ma queue dans sa bouche, je me suis trouvé gainé par la cavité chaude. Un copain m'avait dit un jour qu'à choisir, il préférait être enveloppé par la bouche d'une femme que par sa chatte, que c'était plus fort. Je n'étais pas d'accord, j'aimais tout, mais être dans la bouche de Saliha, c'était vraiment fantastique. Elle a alterné, me gardant immobile dans sa bouche, faisant aller et venir celle-ci sur moi, puis me bloquant à nouveau, mais cette fois frottant mon gland de sa langue. Et très vite, j'ai du me retenir de ne pas jouir.
Ce qui a ajouté un cran à mon excitation, ca a été quand elle s'est soulevée, a remonté sa robe autour de son ventre, dévoilant un sexe nu et dont l'état disait qu'elle était aussi excitée que moi. Il était ouvert et suppurant, et, quand elle a laissé le fauteuil, il était couvert de tâches sombres, larges ou plus serrées. Et pile dans la ligne de mon regard, ce sexe ouvert sur ses muqueuses roses, et ses liquides intimes qui coulaient d'elle. Son clitoris était bien visible, en haut de ses chairs, pas encore aussi gros que la première fois où je l'avais aperçu.
Ce qui m'a fait jouir, ça a été en partie qu'elle me caressait depuis un bon moment déjà, et que j'étais au bout d'un cycle, mais aussi ce geste qu'elle a eu et qui a clairement précipité ma jouissance, d'enfoncer son index au centre de son sexe, et de le faire aller et venir. J'ai perçu les frémissements de son ventre, vu le doigt qui allait et venait, et qui poussait à l'extérieur des jets de liquide, et ça a été trop pour moi. Est-ce que j'imaginais ma queue à la place, ou bien était-ce simplement le spectacle que je trouvais excitant ? Il y a eu un premier jet de sperme qui est sorti, quelques secondes avant que je réalise que je jouissais, et j'ai été emporté par la force de l'orgasme.
Il y a des filles qui, même si elles font des fellations à des garçons, détestent le sperme, et préféraient mourir plutôt que de l'avaler. Elles écartent leur bouche, la ferment, détournent leur visage. Elle, son regard planté dans le mien, comme un défi, une provocation ou simplement une manière de me dire qu'elle était heureuse, elle a gardé sa bouche obstinément fermée sur ma queue, et elle a laissé le sperme couler dans son gosier, en même temps qu'elle gardait le rythme de son doigt et que les jets de mouille qui sortaient d'elle étaient des crachements de plus en plus abondants. Il y a eu des jets de sperme copieux et après ma queue a suppuré, liquides qu'elle a léchés de sa langue jusqu'à me libérer. Elle m'a dit :
--Regarde-moi jouir.
Elle s'est légèrement basculée en arrière, de manière à mieux m'offrir son ventre. Ca a été très vite, elle était elle aussi sur un point limite. Elle a poussé une sorte de râle, a figé son doigt en elle, a poussé un petit cri, et a craché des jets de mouille copieux, une véritable éjaculation, à ceci près que ce n'était pas du sperme, mais plutôt un liquide clair, qui s'est éparpillé autour d'elle et qui m'a frappé,tâchant mes vêtements, et laissant une odeur de femme que j'ai reniflée le soir, en me branlant. Ca m'a tellement excité qu'il m'est arrivé quelque chose qui ne m'était jamais arrivé encore...Ma queue encore toute roide, parce que j'étais très excité, même si je venais de jouir, j'ai eu un orgasme, qui m'a surpris et traversé, et j'ai balancé du sperme dans les airs.
Elle s'est redressée et sans un mot, la main dégoulinante de ses jus intimes, elle a attrapé ma queue et elle m'a masturbé, cette fois très vivement. J'ai encore joui, rapidement, crachant encore du sperme, comme si j'avais des réserves inépuisables, même si la source se tarissait.
--Que tu parles soulagé...
--Ca ne m'empêchera pas de me branler toute la soirée en pensant à toi.
--En tant que bibliothécaire, je désapprouve, je sais que tu liras moins, en tant que femme j'approuve que tu te branles en pensant à moi. C'est flatteur. Tu veux que je te dise ? Moi aussi je me caresse en pensant à tout ce qu'on peut faire ensemble. J'ai des tonnes de fantasmes, et j'en ai d'autant plus que ces dernières semaines, la frustration a été mon pain quotidien. J'aime jouir seule, mais aussi avec des partenaires. L'ideal, c'est de suivre les deux lignes en même temps.
Dans cette phrase, il y avait en gestation, j'y ai repensé plus tard, je l'ai compris plus tard, notre relation. Un désir très fort qui nous poussait l'un vers l'autre. Une base sur laquelle construire, mais pourquoi pas ? Le sexe est un ciment, et un ciment très puissant...
Je n'oublierai jamais AUCUN des moments qui ont marqué cette année et trois-quarts, avant qu'on bascule sur autre chose. Le rythme, le schéma étaient simples. Deux fois par semaine, je me rendais à la médiathèque, je ramenais des bouquins, j'en prenais deux autres, et on partait passer un moment ensemble. C'était du sexe fort, inventif, et l'attrait qu'on avait l'un pour l'autre ne s'est pas amoindri, il a cru, jusqu'à ce que s'impose l'évidence qu'il existait entre nous une grande complicité, une attirance mutuelle si forte qu'on avait envie d'aller plus loin que simplement se voir deux fois par semaine.
Plus simplement, on était bien ensemble. On s'entendait sans heurts. C'était peu et déjà beaucoup.
Et nos journées étaient jalonnées par de multiples moments de sexe. Quand on avait envie, on allait chercher l'autre.
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Histoire de JamesB

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